TERMINÉ [x] There's one thing on my mind || Norim

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Norim & Frieda

There's one thing on my mind

Chaque mouvement semblait naturel. C'était comme si ils étaient tous les deux, ensemble, devant une page blanche et qu'ils écrivaient leur histoire, leur destin. Après tout, on pouvait appelé sa le destin? Les chances qu'ils aient été tous les deux là-bas, qu'ils se parlent, qu'ils s'entendent bien et surtout qu'il ressentent la même chose n'étaient certainement pas une simple coïncidence. Le fait qu'ils soient collés l'un à l'autre sur ce sofa n'en n'était pas plus une. Peut-être que cette relation cessera après cette nuit, mais cette nuit allait être spécial. Un rapide coup d'oeil à l'horloge dans le hall indiquait qu'il approchait onze heure. Le temps passaient trop vite. Frieda voulait profité de chaque moment, de chaque minute, de chaque seconde comme si c'était la dernière passé avec lui. Plus de Enrick, plus de problème, seulement lui. Lui et elle. Elle et lui. Ainsi il se devait pour cette nuit.

Lentement, la jeune femme détachait les boutons de la chemise de Norim. Elle était lente et sensuel pour être sûr de bien prendre plaisir à chaque moindre mouvement. Une fois la tâche effectué, il enleva sa chemise qui partit aussitôt valsé dans un coin de la pièce. L'Allemande se pencha aussitôt pour prendre la possession de ses lèvres. Une main caressait son torse nu alors que l'autre se logeait dans son cou pour être sûr que ses lèvres ne quittent jamais les siennes. Le garçon remonta délicatement la robe violette qui alla rapidement rejoindre la chemise. En quelques coups d'orteils, les talons hauts argentés les imitèrent. Frieda était maintenant en sous vêtement. Le contact nu de sa peau contre la sienne fit augmenter sa pulsion de vouloir son corps contre le sien. Elle avait de plus en plus chaud. Elle projeta la tête vers l'arrière alors qu'amoureusement et passionnément, il l'embrassait dans le cou puis se mit à descendre vers sa poitrine. Alors qu'elle gémit faiblement du contacte des lèvres de Norim contre sa poitrine, elle prit possession de ses mains et les menèrent vers la broche de son soutien gorge qui tomba sur le sol. Elle plongea son regard dans le sien quelques secondes avant de continuer d'embrasser ses lèvres passionnément, déboutonnant en même temps la boucle de sa ceinture.

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Frieda & Norim

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Rien ne semblait plus exister.Ni le passé; La vie à Londres, les ex, les histoires d'amour, ses parents homophobes, son attirance nouvelle, ses regrets, ses chagrins...Ni le présent; Ses problèmes, ses retrouvailles, sa nouvelle vie, Miami, Wynwood, Nina, Charlott et j'en passe...Ni même le futur, ou la projection d'un futur entre elle et moi.En faites, il n'y avait que ce moment ci, que notre passion, notre tendresse,notre amour, probablement passager...Oui, peut être que cette nuit n'annonçait rien de plus, mais qu'importe. Ca m'étais égal.Pour l'instant j'étais là, avec elle, et j'avais terriblement envie que le temps s'arrête, qu'il se fige, nous laissant tout le temps que nous voulions, toute la vie s'il le fallait, juste elle et moi, rien de plus n'existait, ne serait-ce que pour une nuit.Une petite nuit, aussi courte soit elle, peut être des plus magique.Et je tenais à ce qu'elle soit, au moins pour elle. Qu'elle soit parfaite, remplie d'amour...

Tout venait naturellement, simplement, comme si nous nous connaissions depuis toujours, comme si nous étions venus délibérément ensemble à cette représentation.Le destin nous avait poussé l'un dans les bras de l'autre, et je n'avais jamais été heureux de croire au destin.Elle m'attira alors vers une autre pièce, et je me posais dans le sofa de, ce qui semblait être, le salon de l'appartement.C'était grand, je ne pouvais pas réellement appelé ça un appartement, mais passons.Nos baisers cessèrent quelques instants, le temps qu'elle déboutonne ma chemise aussi lentement que sensuellement.Mais parfois, c'est aussi bien de se faire attendre.

Une fois celle ci déboutonnée, j'enlevais ma chemise et remontais lentement sa robe jusqu'à la lui retirer.Chose faites, je l'embrassais de nouveau, aussi tendrement qu'amoureusement et passais un main dans son dos et l'autre sur sa joue.Je me sentais chaque fois frustré quand nos lèvres ne se touchaient pas, ou que mes lèvres ne se posaient pas sur son corps.Si bien qu'une fois ces dernières détachées des siennes, je déposais quelques baisers sur son cou descendant à sa poitrine, et la tenais un peu plus contre moi.

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Norim & Frieda

There's one thing on my mind

Vous savez cette sensation de passion que vous ressentez jusque dans vos tripes? Le coeur qui accélèrent, les muscles qui se serrent, le cerveau qui s'embrouille. C'était tout se que Frieda ressentait à ce moment précis. Elle avait envie de sentir le corps de Norim contre le sien. C'était plus qu'un flirt d'un soir, qu'une histoire de physique ou encore de couchette, c'était comme si leurs deux pensés s'assemblaient en un seul morceau. La porte se referma dans un claquement, mais les deux jeunes ne s'en rendirent pas compte, trop occupé par se qu'il faisait. Norim poussa délicatement l'Allemande contre la porte. D'une main valide, elle tourna le truc au dessus de la poignée pour la barrer tandis que l'autre était logé dans le cou de son amant. Elle projeta la tête vers l'arrière alors que l'homme l'embrassait tendrement dans le cou. Elle se mordit la lèvre alors qu'il remontait lentement sa jambe vers ses côtes. Sa robe déjà courte glissa le long de sa cuisse, la laissant dénudé. Son coeur tambourinait contre sa poitrine et elle se demanda presque si il pouvait l'entendre. Elle passa sa main qui était dans son cou dans ses cheveux tandis que l'autre qui était encore libre se glissa sous son chandail. Le contact de sa peau lui donna un frisson de plaisir. C'était comme si ils se connaissaient depuis toujours, ça venait naturellement.

L'Angermüller se mit à marcher lentement en direction du salon, tout en continuant de l'embrasser et de le caresser sous son chandail. Ils seraient mieux là-bas que dans le hall. Elle voulait que ce moment soit romantique et confortable et non contre une porte. Elle le poussa délicatement sur le sofa rouge et moelleux et remonta un peu sa robe pour pouvoir s'asseoir par dessus lui. Elle enroula ses bras autour de son coup, elle commençait à avoir chaud. Passant une fois de plus sa main dans ses cheveux, elle quitta ses lèvres et se mit à déboutonner sa chemise. Ne pas sentir ses lèvres contre les siennes en devenait presque pénible, mais elle prit son temps de déboutonner chaque bouton de façon sensuel pour qu'il y prenne autant plaisir qu'elle en avait.

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Frieda & Norim

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Mon coeur faisait un bon lorsque mes lèvres s'étaient posés sur celle de Frieda.C'était comme une libération, un souhait exaucé, comme si nous ne nous étions pas vu depuis des mois, des années.Comme des retrouvailles.Ce baiser m’électrisais, m'envahissais, et j'aurais voulu qu'il dure encore longtemps.Que le temps s'arrête, là, maintenant, que le monde disparaisse, ne laissant qu'elle et moi pour l'éternité.Mais mon esprit reprit le dessus quelques instants.Comment savoir si c'était réciproque si aucun de nous ne se lançais?Mais je redoutais sa réaction, j'avais peur qu'elle ne ressente pas la même chose à ce moment précis.

Je me suis excuser, ce à quoi elle rit, m'embrassant de plus belle.Je ne me suis presque jamais senti aussi bien.Une véritable vague de bonheur et de passion.Elle m'entraîne alors à l'intérieur, fermant la porte derrière elle.Je ne cessais de l'embrasser, la plaquant doucement contre le porte.Mes lèvres quittaient légèrement les siennes, se dirigeant vers son cou, tandis ce que ma main se posais sur une de ses jambes, la faisant remonter légèrement vers mes côtes.

Je ne pensais plus à rien qu'as l'instant présent, qu'as cette passion qui me dévorais, qu'as ces sentiments qui m'envahissaient,et qu'as Frieda qui m'électrisais.Quelque chose de spécial se passait.Ce n'était pas qu'un vague histoire d'attirance.J'embrassais de nouveau la jeune femme tendrement, ne voulant pas précipité les choses.Je ne tenais pas à la brusquer, ou à être trop brusque.Ce moment, pour moi, devait rester doux, tendre et romantique.

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Norim & Frieda

There's one thing on my mind

Il y avait bien longtemps que Frieda ne c'était pas senti comme elle se sentait à ce moment précis. La dernière fois qu'elle c'était senti comme cela, c'était il y a trois ans, la dernière fois qu'elle avait vu Enrick. Il l'avait tendrement embrassé et ils étaient resté collé l'un à l'autre pendant 10 minutes, au moins, avant d'être capable de monter dans l'avion. Ça faisait 3 ans qu'elle n'avait pas eut cette proximité avec un homme. Elle avait envie de sentir ses mains sur son corps, ses lèvres contre les siennes… Elle avait besoin de cet attention pour survivre et elle ne l'avait pas eut. Elle mourrait à petit feu depuis maintenant un bon moment. Chaque fois qu'elle refusait de sortir avec un garçon qui lui plaisait, qu'elle refusait de se faire racompagner pour être sûr de ne pas tricher, une partie d'elle s'éteignait. Avec Norim, c'était différent. Elle se sentait attiré par lui, elle sentait le besoin de tricher aux règles du jeu. Elle en avait besoin. Un frisson de bonheur la parcourue, il avait passé une bonne soirée aussi. Elle ne le laisserait pas partir. Ce soir, c'était un rêve. C'était comme retrouvé un vieil ami.

L'Allemande avait l'habitude de toujours contrôler avec son cerveau, mais ce soir, elle se laissait allé, elle se laissait guidé par son coeur. Norim posa sa main sur sa joue et l'embrassa tendrement. Ses lèvres contres les siennes, elle adorait se contacte doux et rassurant. Elle posa sa main dans le cou du jeune homme pour prolonger ce baiser de quelques secondes de plus. Elle ne pensait pas à Enrick, loin de là. Elle en voulait même plus. Le garçon s'excusa vaguement, mais l'Angermüller ria affectueusement avant d'entourer ses bras autour de son coup et de l'embrasser de plus bel. Elle s'adossa contre la porte qui s'ouvrit comme elle était un peu ouverte. Une fois à l'intérieur, ses lèvres toujours collés aux siennes, elle ferma la porte, continuant d'embrasser Norim de plus bel. Elle mourrait d'envie de ce moment depuis qu'ils étaient dans l'immeuble.

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Frieda & Norim

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Depuis très peu de temps, j'avais rencontrer Coleen.Coleen, c'est une jeune fille remarquable que j'avais rencontrer à une soirée, et avec qui j'avais passé tout un week end passionnel, enflammé, et magnifique.Le lendemain de ce week end, d'ailleurs, nous en avions conclut que notre relation irait plus loin de que l'histoire d'un week end.En faites, théoriquement, j'étais avec elle.Je l'aimais beaucoup, certes, mais avec tout ce qu'il se passait, je doutais pouvoir lui être fidèle, et c'était la même chose de son côté.Disons qu'il y avait une certaine flexibilité dans notre couple.C'est aussi pour ça que, malgré que je ne suis pas plus célibataire désormais, je ne me sentais pas coupable de ce que je ressentais avec Frieda.Je ne me sentais pas coupable de ce qui me passais par la tête.C'était comme si, avec elle, c'était différent.Comme s'il n'y avait plus qu'elle.Comme si ceux et celles que j'avais connus n'existaient pas.Il n'y avait qu'elle ce soir là, je n'avait d'yeux que pour elle.

Nous étions rentrer dans l'immeuble, aussi chic à l'extérieur qu'as l'intérieur,et empruntions les escaliers.Pourvus que ce ne soit pas très haut, pensais-je alors.Quatrième étage, mon voeux était donc exaucer.Porte 96.Je nombre, je ne l'aimais définitivement pas.Pour moi, à ce moment précis, il désignait mes adieux avec la jeune femme.Je n'avais pas la moindre envie de lui dire au revoir.Je ne voulais pas la quitter, j'aurais aimer passer encore un peu de temps avec elle.C'était au delà de l'attirance physique, c'était indescriptible.Mon cerveaux avait abandonner, laissant place à mon coeur.Je n'agissais que sous ses ordres désormais, et comptais bien le laisser mener le jeu.

"J'ai passé une fantastique soirée. Je suis contente de t'avoir rencontré.

-Moi aussi...."

Perdus l'un dans le regard de l'autre, je laissais agir mon coeur, qui, lui, osait enfin faire ce que je rêvais de faire depuis bien longtemps.Un léger silence s'était installé, tandis ce que j'approchais mon visage de celui de la jeune femme, posais une main sur sa joue, et l'embrassais tendrement.Quelques secondes passaient avant que je ne décroche mes lèvres des siennes, à la fois gêné et troublé.Je reculais légèrement mon visage de quelques millimètres, n'enlevant pas ma main de sa joue.

"Je...Je suis désoler..."

Désoler n'était pas réellement le bon mot, mais c'est tout ce que j'ai trouver à dire pour l'avoir embrasser sans vraiment m'assurer que ce que je voulais était réciproque...

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Norim & Frieda

There's one thing on my mind

Le voyages se fit silencieux. Frieda ne savait pas quoi dire. À vrai dire, depuis qu'elle avait accepté de se faire reconduire, la vidéo conversation qu'elle avait eut avec son fiancé le matin même la hantait de plus en plus.

Flash Back

Todoudou Dou Toudoudou Dou. L'ordinateur sonna ainsi en montrant un signe de téléphone rouge durant environ une minute avant que le visage souriant d'Enrick apparaisse dans l'écran. "Désolé d'avoir été aussi long. Mon cadran n'a pas sonné ce matin. Alors, tu as passé un bonne nuit?" Enrick était rarement à l'heure et c'était une des choses qui l'énervait, mais il était si doux et si gentil qu'elle n'arrivait pas à être fâché longtemps contre lui. "C'est pas grave, mais fais attention la prochaine fois! Sinon, j'ai bien dormi." Un long silence avait suivi. "Et toi?" Son fiancé avait vaguement hoché la tête en guise de réponse. Ils avaient parlés un peu de tout et de rien puis avait raccroché. Leurs conversations se faisaient de moins en moins longue et de plus en plus inintéressante. Chaque fois, Frieda se retrouvait avec l'envie de pleurer parce que plus rien n'était comme avant. Il y avait des jours où elle voudrait seulement retourné en Allemagne dans les bras de son fiancé. Il y avait des jours où elle aurait voulu pouvoir dire ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfant… mais elle savait qu'ils ne se mariraient que dans un minimum de 4 ans.

Retour à la réalité

Elle se sentait moins coupable. En fait, est-ce que c'était son problème si Enrick n'arrivait plus à lui démontrer un peu d'affection? Elle balaya l'Allemand de ses pensés et se concentra sur Norim. Il vient lui ouvrit la porte et elle le remercia d'un gracieux sourire. Elle arrêta de respirer le temps qu'il réponde, comme angoissé de passer pour une de ses folles qui harcèlent chaque garçon pour monter dans sa chambre. Il accepta au début nonchalamment puis se reprit et avoua que cela lui ferait plaisir. Elle entra donc dans le bâtiment. Le valet, Frank, dormait la bouche ouverte se qui fit rire Frieda. Elle se dirigea vers la grande porte plutôt que vers les ascenseurs. Elle ne leur faisait pas confiance. Elle détestait prendre l'ascenseur. Elle habitait seulement au 4eme étage après tout. Elle se mit à monter, suivit par son "ami". Bientôt, ils longèrent le corridor et arrivèrent devant la porte numéro 96. Sortant une clé de sa bourse, la jeune surdouée déverouilla la porte, mais ne l'ouvrit que de quelques millimètres. "J'ai passé une fantastique soirée. Je suis contente de t'avoir rencontré." C'était le moment décisif. L'Angermüller n'avait aucune idée de se qu'il allait faire ou dire. Le coeur battant, elle plongea son regard dans le sien.

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Frieda & Norim

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C'était nettement moins calme que tout à l'heure, et c'était dommage.Le calme, la sérénité était agréable, et là, c'était devenu un véritable brouhaha.Mais la compagnie de Frieda sous les étoiles restait agréable, véritablement très agréable.Je lui avais proposer de la raccompagner, tout en me disant que je n'aurais peut être pas dû proposer ça.Non pas que je ne le voulais pas, bien au contraire, mais je ne voulais pas qu'elle pense que ce n'était qu'une fille parmi tant d'autre et que j'aurais raccompagner n'importe qui dans l'espoir de coucher.Je n'étais pas du tout dans cette optique.Mais la laisser seule à une heure pareille ne me laissais pas tranquille, et puis c'est pas la ramener qui m'aurais déranger.

Elle accepta, je lui rendis son sourire et nous nous dirigions alors vers la voiture.Je lui ouvrais la portière pour qu'elle puisse s'asseoir sur le siège passager, et montais moi même dans la voiture.Ne connaissant pas tout à fait les goût de la jeune femme, je n'avais pas allumer la radio.Le chemin fut court, agréable, mais silencieux.Je ne savais pas quoi dire, et j'étais concentré sur ma route.Nous arrivions donc à l'immeuble que Frieda m'avait indiqué.Chic, grand...Impressionnant même.Je sortais de la voiture, puis lui ouvrit une nouvelle fois la porte l'aidant à sortir.Je n'aime pas les au revoir dans ce genre, déjà parce que je ne savais jamais quoi dire, et surtout, dans ce cas, parce que je n'étais pas sûr de la revoir un jour...Et je n'étais pas sûr de vouloir la quitter maintenant, comme ça...Sa façon de se mordiller la lèvre m'électrisais, je trouvais ça simplement charmant...

"Euh… Tu veux monté ?"

J'hésitais quelques secondes avant de me lancer.

"Euh...Oui, oui pourquoi pas!"

Oui, pourquoi pas?!Quel con...Je savais jamais quoi dire, mais ça franchement.Ca fait le mec qui n'as rien à faire de mieux!Et je ne voulais pas qu'elle pense ça.Je me repris donc très rapidement, un peu maladroitement.

"Je veux dire, avec plaisir!"

Un sourire au lèvres, j'accompagnais donc Frieda à l'intérieur.

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Norim & Frieda

There's one thing on my mind

La jeune femme était encore sous le choc du talent des musiciens. La première partie avait été excellente, mais la deuxième avait juste été magistral. Comment pouvait-on faire jouer autant d'instruments, autant de son qui ne se ressemblent pas dans un même temps et que ça crée… ça! Elle s'attendait de passer une bonne soirée, mais maintenant qu'elle y pensait, la soirée avait été presque parfaite. Lorsqu'elle se dirigea à l'extérieur avec Norim, un vent froid caressa son visage et elle resserra le veston sur ses épaules. Elle aimait le contact de ce tissu appartenant à quelqu'un de familier sur sa peau. Une fois à l'extérieur, elle se rendit compte qu'ils n'étaient plus seuls comme à l'entracte. Les gens sortaient en riant, en parlant, en faisant l'éloge de l'orchestre.

Norim dit à l'Allemande lui aussi avoir apprécier la prestation en ajoutant qu'il rêverait d'être à ce niveau. La jeune femme lui sourit tendrement. Il faudrait qu'elle commence à pense à appeler un taxi. Il devait être environ 10h du soir et elle ne voulait pas se retrouver à attendre seul pendant la nuit. Bien sûr et sans trop savoir pourquoi, elle aurait aimé rester là à regarder les étoiles et à leur donner des noms avec Norim. Il pourrait faire ça toute la nuit. Regarder les étoiles, les comptés, les nommés. Ils seraient là, seuls au monde, seuls contre le monde. Alors qu'il lui proposait d'aller la porter chez elle, l'Angermüller entendit la voix de Montgommery au loin. Elle ne savait pas quoi faire. Et si elle ne revoyait plus jamais ce Norim? Il l'intriguait tellement… En même temps, Montgommery pourrait l'aider dans sa carrière… Au diable Montgommery! Il n'a que 56 ans, il vivra encore longtemps. Elle peut bien vivre sa vie un peu pendant qu'elle est encore jeune. "D'accord, c'est vraiment gentil!" La jeune surdoué suivit l'homme vers le parking. Ils arrivèrent près de la voiture quelques minutes plus tard et Frieda s'assisa sur le siège passager. "C'est mieux que le taxi!" fit-elle en riant. Alors que le moteur démarra, elle indiqua la route à prendre à Norim et ils furent bientôt devant le grand immeuble chic à appartement. Elle ne savait pas trop quoi faire… La conversation vidéo avec Enrick de ce matin la hantait. Elle se mordit la lèvre et respira un bon coup. "Euh… Tu veux monté ?"

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Frieda & Norim

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C'est dingue comme l'endroit peut changer la façon de voir les choses quand on est avec quelqu'un. A l'intérieur, c'était juste une jeune femme intéressante avec qui passer la soirée m'arrangeais, je me sentais moins seule et elle était sympa.Et là, sous ce ciel étoilé, pour les secondes défilaient, et plus je la trouvais belle.Plus j'étais attiré par elle.A moins que ce ne soit le ponge que j'ai bu, mais avec une si faible quantité, ça m'étonnerais.Elle avoua qu'elle aurait appelé son étoile Luciole.C'est mignon, et la comparaison entre les lucioles et les étoiles étaient tout à fait exact.Je n'avais jamais vu les choses sous cet angle.

Les gens commençaient à bouger et rejoindre l'autre salle.Frieda me fit la remarque et nous entrions donc de nouveau à l'intérieur.Prenant les même places que tout à l'heure, nous avions longuement apprécier le temps restant du spectacle.C'était presque magique.Je ne regrettais en rien toutes ces heures de dur labeur pour atteindre cet objectif.J'étais très content d'être arrivé à voir cet orchestre.Une fois terminer, nous nous sommes levés, repartant dehors.Je n'ai fais aucune remarque; elle portait toujours ma veste sur ses épaules, mais vu le froid, il valait mieux qu'elle la garde.Les gens sortaient tous nous emboîtant le pas, et l'air frais me faisais réellement du bien.

"Wow! C'était fantastique!

-Oui, merveilleux, presque magique!Si je pouvais atteindre ce niveau...."

Je visais toujours la perfection, mais eux, c'était au delà de ça.Je pense ne jamais pouvoir atteindre ce niveau là malheureusement, je me contenterais donc de rêver et de les admirer.Je regardais Frieda, il se faisait tard maintenant, j'étais venu en voiture et je ne savais pas si elle avait un moyen de rentrer.

"Tu...Tu veux que je te raccompagne?Ma voiture est juste là."

Rien d’ambiguë, non, juste une proposition pour lui rendre service.Alors, OUI, j'avais envie de l'embrasser à ce moment précis, mais NON, je ne l'ai pas fais.Je doutais qu'elle pense à la même chose que moi.

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Norim & Frieda

There's one thing on my mind

Un sourie. Un simple sourire peut changer le cour d'une journée, d'une semaine, d'un mois ou d'une vie. Tout commence par un sourire. Qu'il soit malhonnête, bienveillant, amical ou amoureux, un sourire a un plus grand pouvoir que certaines personnes dans ce monde. Malheureusement, les sourires, les vrais, se perdent à travers tous ses e-mails, ses textos, ses appels téléphoniques. Peut-être était ce la raison que tous ses sourires échangés semblaient spécial aux yeux de Frieda?

Elle prit une grande inspiration. L'air frais de la nuit remplie ses poumons. Elle ferma les yeux et laissa cet air sortir. Un petit nuage de vapeur se forma autour de son visage et encore une fois, elle sourit. Elle adorait être à l'extérieur, le contact avec la nature était quelque chose d'indescriptible. Norim aussi était un avantage. Elle se sentait attirée par lui comme un aimant sans savoir pourquoi. Quand elle lui parlait, elle n'avait pas besoin de se stressé sur quoi dire ou ne peut pas dire. Tout est si naturel. Peut-être un peu trop? La réponse à sa question vint finalement: Frieda. L'Allemande ne savait pas comment réagir, mais étrangement, elle n'était pas mal à l'aise. Elle s'adossa contre le mur du bâtiment et réfléchissa à comment elle appèlerait son étoile. Son regard se perdit dans le ciel obscur illuminé de quelques lumières. "Luciole. Une luciole est une mouche lumineuse qui s'éteint le jour ou lorsqu'elle meurt, comme une étoile." Les gens commençaient à bouger là dedans! Frieda fit un pas vers Norim sans se rendre compte de la proximité de leurs deux corps. "Nous devrions rentré, ça va recommencé."

Les deux retournèrent dans la salle de spectacle et s'assirent pendant que les lumières se tamisaient une fois de plus. Encore là, Frieda eut le souffle coupé par la douce et magnifique musique qui dansait dans ses oreilles. Une autre heure passa et l'homme du début et de l'entracte remonta sur scène pour présenté une fois de plus les musiciens et remercié les commanditaires etc. Une fois ce discoure terminée, Frieda se leva. Elle avait toujours la veste de Norim sur les épaules, elle ne s'en souvenait même plus… Elle sortit une fois de plus à l'extérieur et huma l'air frais. "Wow! C'était fantastique!"

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Frieda & Norim

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Elle me fit non de la tête, comme gênée de ne pas jouer.Ce n'était pas une tare, moi je ne savais pas dessiner par exemple.Tout le monde avait plus ou moins de facilité pour quelque chose, et j'étais sûr que je ne savais pas faire quelque chose dans un domaine ou elle excellait.Il y'avait de plus en plus de monde, ça devenait pesant, c'est vrai.On aurait dit que la population de cette salle avait doubler en une heure.Du jamais vu. J’espérais juste qu'au final, il y'avait assez de place pour tout le monde.

Nous étions donc sortis, dans ce froid presque glacial, et j'avais posé ma veste sur les épaule de Frieda pour qu'elle n'attrape pas froid.Elle me remercia alors.Ce n'était pas la peine, c'était naturel, je n'allais tout de même pas la laisser avoir froid.La nuit était belle, calme, et étoilée, ça faisait presque rêver.D'ailleurs, c'était étonnamment calme, comme si nous étions seuls au monde, mais ça n'en était que plus agréable encore.Je regardais les étoiles jusqu'à ce que la jeune femme prit la parole.

"Tu savais qu'une étoile est placé tellement loin dans la galaxie que le temps que la lumière se rende à nous, elle est probablement morte?"

Je lui souriais, fixant et écoutant attentivement ses propos.

"Ça veut dire que quand un homme donne son nom à une étoile, il donne probablement son nom à un trou noir qui absorbe tout se qu'il croise."

J'en avais entendu parler, mais vaguement, là au moins, son explication était claire, on en apprends tous les jours, ça fait plaisir!Ca ne faisait que me donner raison; C'était une personne intéressante.C'est toujours agréable d'en apprendre plus grâce à quelqu'un. Nous plongions alors nos regards dans celui de l'autre.

"Si je te donnais une étoile à ce moment précis, comment tu l'appèlerais?"

Si j'avais réfléchis, j'aurais sans doute dis autre chose, pour éviter de la mettre potentiellement mal à l'aise.Mais c'est sorti tout seul, sans passer par le cerveau, sans passer pas l'analyse.La réponse m'ai venue naturellement;

"Frieda...."

Je n'avais même pas réagis, même pas penser que j'avais peut être dis une connerie.Même pas penser que j'étais con, je n'étais pas mal à l'aise.Espérons juste qu'elle ne le soit pas non plus.Je m'approchais, encore une fois naturellement, d'elle avant de lui retourner la question.

"Et toi?"

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Norim & Frieda

There's one thing on my mind

Si Frieda n'avait pas été élevé par une famille obsédé par les mannières, sa bouche se serait ouverte tant elle était impressionné par les paroles de Norim. Comment pouvait-on joué autant d'instrument que cela? Elle l'imaginait sur un bateau au milieu de l'océan, à jouer de la guitare, le regard rêveur et cela l'amusa un peu. Il lui renvoya la question, encore une fois. L'Allemande savait comment faire une tonne de chose, mais jouer de la musique avait toujours état un mystère pour elle. Elle avait essayé de jouer du violon, du piano, de la trompette, mais chacun de ses professeurs lui disaient la même chose, de façon plus polie bien sûr: Tu es trop coincé pour comprendre le sens des notes, des sentiments qui sont extrait de la musique. À chaque fois un peu plus remonté contre ses professeurs, elle avait abandonné il y a bien longtemps. Elle secoua la tête, un peu gêné en guise de répondre. On aurait dit qu'il y avait encore plus de monde que tout à l'heure… Elle avait chaud, vraiment. Elle proposa au garçon de l'accompagner à l'extérieur, se qu'il accepta. Il lui prit la main tendrement et avança. Un frisson la parcouru et elle fut même un peu honteuse. Que faisait-elle là? Elle devrait courir vers Montgommery et lui parler de tous ses projets futurs. Pourtant, quelque chose chez ce Norim la retenait… Lorsqu'ils furent finalement à l'extérieur, un frisson de froideur la parcouru. La nuit était douce et calme, mais le climat y était tout de même extrêmement glacé. Elle cru même voir apparaître la chair de poule sur ses bras lentement. L'homme déposa son veston sur ses épaules en disant qu'il ne faudrait pas qu'elle attrape froid. Elle se sentit tout de suite mieux et serra le morceau de tissu contre elle."Merci…"

La jeune femme aimait la nuit. Elle était silencieuse et sombre tout en étant d'une gracieuseté époustouflante. Les étoiles la fascinaient, l'astronomie la fascinaient. Elle en savait tant sur ce sujet… "Tu savais qu'une étoile est placé tellement loin dans la galaxie que le temps que la lumière se rende à nous, elle est probablement morte?" Son regard fixait le ciel ou plutôt les étoiles scintillantes. Un sourire apparut au coin de ses lèvres. "Ça veut dire que quand un homme donne son nom à une étoile, il donne probablement son nom à un trou noir qui absorbe tout se qu'il croise." C'était tout de même drôle: donné son nom à un trou noir! L'Angermüller plongea son regard bleuté si pur dans celui de Norim, comme pour explorer son âme. Encore un sourire aux lèvres, elle murmura "Si je te donnais une étoile à ce moment précis, comment tu l'appèlerais?"

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Frieda & Norim

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J'avais tellement hâte que le spectacle commence, j'avais travailler tellement dur pour voir ça, et j'adorais cet orchestre!Avoir autant bosser pour arriver enfin à ses fins, c'est hyper agréable!Et j'avais hâte d'être récompensé pour mon travail.Je continuais néanmoins à discuter avec la jeune femme, passer ce moment avec elle était aussi très agréable, elle semblait être quelqu'un de bien, gentille, généreuse, et très intéressante.Parler avec elle était un plaisir, et j'étais content de rencontrer quelqu'un comme elle qui s'intéressait en plus à cette musique.

"Moi, je suis l'exception qui confirme la règle! Je suis en partie ici pour les affaires, mais je ne dis jamais non à de la bonne musique non plus!"

Pour affaires?Je n'eus pas le temps de poser la question que les lumières se tamisèrent, faisant place à la représentation.J'avais les yeux pleins d'étincelles, et appréciais chaque seconde de ce spectacle.Une heure passait, et l'entracte vint à nous.Tout comme le reste de la salle, je me levais puis me dirigeais, accompagné de Frieda, vers la salle ou nous étions une heure plus tôt.elle se resservit un verre, et j'en fis de même.

"Alors, si tu es ici pour la bonne musique, est-ce que tu joues d'un instrument?

Je lui souris. Tu n'imagine pas....

"Et bien, en faites je joue d'un peu de tout.Batterie, saxo, violon, quoiqu'avec ce dernier j'ai un peu de mal.Mais ce que j'aime le plus reste la guitare et le piano.Et toi, tu joue?

-Tu veux aller faire un tour dehors? Il fait vraiment chaud...

-Bien sûr!"

Dis-je prenant sa main, et l'amenant lentement vers la sortie.Dehors, il ne faisait pas si chaud que ça, il faisait même très froid, la jeune femme devait avoir terriblement froid.J'enlevais donc ma veste la posant sur ses épaules.

"Faudrait pas que t'attrape froid."Dis-je lui souriant tendrement.

Moi j'avais encore ma chemise en dessous, et je n'étais pas frileux, mais la pauvre Frieda était en robe et bras nus, ce n'était pas une bonne chose avec un froid pareil.La nuit était douce est calme, c'était très agréable.

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Norim & Frieda

There's one thing on my mind

La jeune Allemande avait été bien élevé. Elle savait qu'il fallait faire la discussion et être polie à la fois. Elle avait été élevé dans une famille riche et ça se voyait dans sa façon d'agir. Tous ses moindres mouvements étaient calculés pour être ni trop brusque ni trop discret, chacune de ses paroles contrôlés de la bonne intonation, elle n'avait même pas besoin d'y penser. C'était une habitude pour elle.

Norim lui assura qu'elle n'avait pas besoin de s'inquiéter de son départ soudain de tout à l'heure. Elle croisa sa jambe, se qui fit un peu remonté sa robe mauve, mettant sa cuisse à la libre vu de tous. Elle passa gracieusement sa main dans ses cheveux pour les replacés sur son épaule gauche et arqua un peu le sourcil. L'homme assis à ses côtés plongea son regard dans le sien. Oui, il lui plaisait et même si elle était fiancé, un petit flirt de rien du tout n'était pas grave, si? Il lui dit être là pour la bonne musique puis lui renvoya la question. L'Allemande se mordit un peu la lèvre avant d'afficher un petit sourire en coin."Moi, je suis l'exception qui confirme la règle! Je suis en partie ici pour les affaires, mais je ne dis jamais non à de la bonne musique non plus!" Les lumières se tamisèrent et toutes les discussions dans la salle cessèrent. Un homme en costume s'avança au milieu de la scène et présenta l'orchestre ainsi que ses artistes. Frieda s'accota contre son dossier. Bientôt, la musique commença. Les sons s'élevèrent dans la salle dans une magnifique harmonie. L'Allemande était époustouflé par tout ça.

Cela faisait maintenant une heure que les musiciens jouaient. Les lumières s'ouvrirent et l'homme du début revint. "Nous allons faire une entracte de 30 minutes!" Tous se levèrent, y comprit Norim et Frieda. La jeune femme marcha tranquillement vers la salle du banquet. Elle prit un autre verre de ponge et reprit sa conversation avec l'homme. "Alors, si tu es ici pour la bonne musique, est-ce que tu joues d'un instrument?" Intéréssé, elle écouta attentivement la réponse de Norim en hochant la tête. Pendant un instant, elle pensa à Enrick. Non, elle ne faisait rien de mal, elle le savait. "Tu veux aller faire un tour dehors? Il fait vraiment chaud..."

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Frieda & Norim

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J'observais la jeune femme devant moi plus attentivement, brune, les yeux bleus ne ressemblant à aucun autre regard, classe, une belle robe mauve la mettant incroyablement en valeur tout en lui donnant cet air chic, tout chez elle était plaisant.Et même si physiquement, elle était très attirante, je n'étais pas là pour ça.J'étais venu avant tout pour la musique, mais j'étais ravi à l'idée de passer une bonne soirée en bonne compagnie.Elle rit avec moi à ma remarque. Au moins, oui, nous ne passerions pas la soirée seuls de notre côtés, aussi mal à l'aise l'un que l'autre à l'idée d'être entourer de bourgeois de plus de 40 ans.

Elle regardait ailleurs, puis posait une main sur mon épaule s'excusant, avant de disparaître.Ses mots semblait prévenir qu'elle allait revenir, espérons le...Je me dirigeais vers l'une des tables ou étaient disposées le ponge, et m'en servais un verre.Une annonce fut ensuite faites, je bu mon verre l'écoutant attentivement.

"Mesdames et messieurs, le spectacle va commencé, nous vous demandons donc de vous rendre dans la salle de spectacle qui est juste en face!"

Après avoir finis mon verre et l'avoir jeter, je me dirigeais donc vers la salle indiquée, avec la quasi totalité des personnes présentes.Je m’asseyais dans l'un des fauteuil rouge et fut bientôt rejoins par Frieda.Je lui souris donc de nouveau avant de la laisser parler.

"Tu me pardonnes de t'avoir laisser seul?

-Y'as pas de mal, je t'assure!

-Le tier des gens sont ici pour bien paraître, l'autre tier sont ici pour les affaire et le dernier tier sont ici pour la musique. Dis moi, tu es dans quel tier?

Je lui souris tendrement, plongeant mon regard dans le sien.

-Du dernier!Je suis ici pour apprécier de la bonne musique jouée avec le coeur.Et toi?De quel tiers tu fais partie?"

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Norim & Frieda

There's one thing on my mind

L'homme qui faisait face à Frieda était habillé d'un veston assez chic, normal pour les circonstances. Il devait avoir entre 17 et 19 ans. Les cheveux bruns, de beaux yeux bleus, le genre de physique qui plaisait à l'Allemande. Malheureusement, elle était fiancé et fière. Frieda aimait les hommes propres et plus âgés. Elle n'était pas du genre à trouver attirant un gamin.

Norim. La jeune femme sourit. Elle passerait surement une excellente soirée. Du ponge de qualité d'une main, une personne avec qui parler qui semblait sympathique ainsi qu'un orchestre réputé. Sans oublier le médecin Montgommery. George Montgommery était un grand neurologue New Yorkais amateur de musique classique. Son fils jouait dans l'orchestre et il s'était déplacé de sa clinique de New York pour venir le voir jouer à Miami. L'Angermüller l'avait déjà croisé une ou deux fois lorsqu'elle accompagnait ses parents lors de congrès médicaux. Ce soir, elle irait lui parler et lorsqu'elle avait une idée dans la tête on ne lui enlevait pas. Son audace était souvent se qui faisait qu'elle sortait du lot de tous les futurs médecins. Après quelques secondes, elle le trouva. Un grand homme chauve un peu bedonnant qui riait fort. Son attention revint sur l'homme qui lui faisait face. Elle ria avec lui de sa remarque, surprise qu'il la vouvoie. "Je t'en supplie, tutoie moi!" dit-elle en lui faisait un petit clin d'oeil.

Alors que Montgommery alla se prendre un autre verre de ponge, Frieda posa la main sur l'épaule de Norim. "Tu m'excuses? Je dois parlé à quelqu'un." Alors qu'elle n'était plus qu'à un mètre de son but, une voix s'éleva dans la salle "Mesdames et messieurs, le spectacle va commencé, nous vous demandons donc de vous rendre dans la salle de spectacle qui est juste en face!" Une foulé de monde se dirigea vers la porte pour sortir et l'Allemande perdu de vu le fabuleux médecin. Toujours le sourire aux lèvres, elle se dirigea elle aussi vers la salle de spectacle. Elle n'abandonnerait pas son idée pour autant.

Une fois dans la salle, une centaine de chaise confortable se tenait devant une scène remplie d'instruments de toute sorte. Rapidement, Frieda remarqua Norim et alla s'installée à ses côtés. "Tu me pardonnes de t'avoir laisser seul?" Elle lui sourit de pleines dents. "Le tier des gens sont ici pour bien paraître, l'autre tier sont ici pour les affaire et le dernier tier sont ici pour la musique. Dis moi, tu es dans quel tier?" lui dit-elle, un sourire malicieux aux lèvres.

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Frieda & Norim

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Travail, travail et encore travail.Quand c'est pas les études, c'est le boulot.Je faisais vraiment de mon mieux pour pouvoir me démerder tranquillement.Être nourris loger et blanchit ne me donnait pas le droit de ne rien foutre.Je voulais aider mes grands parents à la maison, et garder de l'argent de côtés pour certains trucs.Genre la représentation d'un orchestre très connu et apprécié de nombreuses personnes, et moi même.J'avais travailler très dur et longtemps pour pouvoir me permettre un truc pareil, et j'avais enfin eu l'occasion d'acheter une place pour m'y rendre.Ce matin là je m'étais donc levé tôt, et j'avais plus que hâte d'aller à cette représentation.Je devais tout de même travailler, e ça me gavais, mais tant pis!Je m'habillais donc, me préparais, et me rendais au boulot, bossant toute la journée comme un dingue.Le soir venu, avec l'accord de mon patron, je partais un peu plus tôt que prévu, me rendant rapidement chez moi.

Là, je sortais mon costume de mon placard, histoire d'être un minimum présentable, pris une douche, puis l'enfila, me préparant.Une fois prêt, je n'avais plus qu'as sortir et prendre la voiture direction; Orchestre!Je garais la voiture et entrais dans le bâtiment.Je me sentais tout petit face à tout ce beau monde, petit et insignifiant.Je ne me sentais pas réellement à ma place ici, entourer de toutes ces personnes de la haute et bien plus âgés que moi.Je me dirigeais dans la salle.Je me ressaisis donc, après tout je n'étais pas là pour eux, mais pour apprécier la musique qui allait bientôt envahir la salle.Je ne remarquais pas qu'une jeune femme s'approchait de moi, trop occuper à scruter la salle, observant le monde autour de moi.Je ne posais mon regard sur elle que lorsqu'elle décrocha un mot;

"Salut! Je suis Frieda. Je suis contente de ne pas être la seule jeune ici!"

Une jolie brune, réellement belle et classe, s'était présenter à moi, je lui sourit, portant mon attention sur elle.

"Enchanté, je suis Norim!Vous pouvez pas savoir comme je suis aussi content que vous de pas être tout seul!"

Je ris légèrement à ma remarque.Je me sentais déjà un peu à l'aise, mais ne savais pas si je devais tutoyer ou non la demoiselle.

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Norim & Frieda

There's one thing on my mind

Frieda ouvrit faiblement ses yeux puis les referma tout de suite après. Soupirant, elle se releva de façon à être assis sur son lit, le dos contre la structure du lit en métal. Elle resta là, à fixer sa coiffeuse à l'autre bout de la pièce. Sur celle ci reposaient tous ses objets de beauté. Sa brosse, son fard à joue, son mascara et son crayon n'attendaient qu'à être utiliser. Péniblement, elle se leva, prit sa robe de chambre de cachemire violette et enfila délicatement ses pentoufles blanches. Elle tira les rideaux, mais fut obligé de cacher ses yeux des rayons de soleil qui entrait dans sa chambre. Au bout de quelques secondes, elle cligna quelques fois des yeux et se laissa tomber dans la chaise de la coiffeuse. Le miroir lui donnait l'image de son reflet qu'elle scruta du regard durant de longues minutes. Finalement, la jeune femme brancha son plaqueur dans la prise électrique sous le deuxième tiroir. Elle aurait une grosse journée aujourd'hui. Elle devait être prête à 8h pour une conversation vidéo avec Enrick. Elle s'ennuyait terriblement de son fiancé, plus que tout. Même si la présence d'un homme à ses côtés lui manquait, elle résistait toujours aux moindres invitations et ne sortaient jamais dans les bars ou les soirées trop alcoolisé. La modération avait bien meilleur goût. À vrai dire, elle ne comprenait pas vraiment tous ses jeunes qui étaient prêt à tout pour faire l'amour. Dans faire l'amour, il y avait le terme amour. Cela ne signifiait donc pas que nous devrions le faire avec quelqu'un qu'on aime vraiment? De toute façon, elle était fidèle à son fiancé, elle n'avait donc pas à se poser cette question. À 10h, elle irait divertir les personnes âgés durant deux heures comme chaque samedi matin. Elle aurait une heure pour dîner avant d'aller étudier et faire ses devoirs. Le soir, elle avait un banquet suivit d'une présentation d'un orcheste reconnue dans le monde entier. Elle avait eut ses billets en guise de remerciment d'un autre évènement auquel elle avait participée. Chacune de ses journées à Miami était remplie de la première seconde à la dernière.

Bientôt il fut 16h et l'Allemande était enfermée dans sa chambre, à se préparé. Après tout, c'était une soirée chic où il y aurait surement des gens important dans le monde de la médecine. Elle devait faire bonne impression. Elle s'y glissa le plus attentivement possible dans sa robe mauve pour être sûr de ne pas la briser (Clik!) puis mit ses talons hauts argentés. Peu maquillé, ses cheveux légèrement ondulés tombaient en cascade sur son épaule gauche. Un taxi vint la cherché et après dix minutes de route, l'automobile s'arrêta devant un grand bâtiment de couleur grise où une banderole était accroché. On pouvait y lire le nom de l'évènement et quelques commenditaires. Frieda tendit l'argent au chauffeur et se dirigea vers les portes. Elle remercia l'homme en avant d'elle de la lui avoir ouverte et se dirigea d'un pas décidé vers la grande salle de réunion, en face de l'auditorium. Des tables où l'on avait mit des bols de ponge ainsi que des assiettes de sandwich et des chaises avaient été installé. Après s'être prit un verre, la jeune femme se dirigea vers le seul homme dans la pièce qui ne semblait pas avoir 40 ans ou plus. "Salut! Je suis Frieda. Je suis contente de ne pas être la seule jeune ici!" Elle lui fit un clin d'oeil. Même si elle maitrisait bien son anglais, la Angermüller avait toujours ce petit accent craquant.

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