TERMINÉ [x] There's one thing on my mind || Norim

Non, ce n'était pas possible, je ne pouvais pas croire que tout ça ne signifiait rien pour elle.Comment cette nuit pouvait lui être anodine?Alors c'est ça?Je n'étais qu'un mec comme les autres?Un mec qu'elle jette dès le lendemain matin?Je n'étais rien de plus pour elle?Elle avait beau tenter de me faire croire ça, je refusais de le croire.Je pouvais pas croire après cette nuit qu'on avait passé ensemble, qu'il n'y avait rien entre nous.il fallait se rendre à l'évidence; ce n'était pas qu'une histoire d'un soir, c'était bien plus que ça, quelque chose nous liait l'un à l'autre, et même si je n'arrivais pas à y mettre un nom dessus, c'était bien présent.On ne pouvait pas le nier, ni elle, ni moi.J'avais besoin qu'elle m'explique, j'avais besoin de la voir, de l'entendre de sa bouche, qu'elle me regarde dans les yeux et qu'elle me dise sincèrement qu'il n'y avait rien entre nous.Si elle pouvait le faire, alors je serais parti.Anéanti peut être, mais je me serais barrer.

Mais je savais bien qu'elle ne le ferait pas.Qu'elle ne sortirait pas de là avant d'être certaine que je serais à des kilomètres.Qu'as cela ne tienne....

"Va t'en!"

Sa voix tremblait....Est-ce qu'elle pleurait...?Est-ce que je l'avais sérieusement perdue?Je ne voulais pas y croire.J'hésitais un instant avant de soupirer, et de partir peu à peu.Elle voulait que je m'en aille?Parfait....Mais le fait que je parte maintenant ne signifiait pas que j'allais abandonner.Je ne comptais pas la laisser, je m'étais bien trop attacher à elle, je croyais même l'aimer à ce moment précis....Sinon, pourquoi serais-je aussi meurtri?Pourquoi je me sentirais aussi mal?Une seule nuit aurait suffit pour me faire tomber amoureux d'elle?Bah merde.....Dans tous les cas, je refusais de l'oublier ou de lâcher prise.Je descendais de l'immeuble, me dirigeant vers ma voiture, et conduisais jusque chez moi sans jeter un oeil derrière moi.C'aurais été bien trop dur....J'aurais voulu faire machine arrière, rester jusqu'à ce qu'elle m'ouvre, résister pour qu'elle ne me foute pas dehors....Mais c'était trop tard de toute manière....

C'est comme si tout s'écroulait autour de nous.Comme si tous les problèmes étaient de retour.Notre rêve était totalement terminer.Nos amour, notre nuit, n'étaient plus qu'un souvenir.Du passé.Un passé merveilleux , impossible à retrouver....Tout ce rêve me manquait, et je doutais qu'on puisse retrouver cet amour et cette complicité.Frieda semblait gênée, coupable.Que s'était-il passé?Est-ce qu'elle regrettait notre étreinte?Est-ce qu'elle regrettait ce qu'il s'était passé?Notre amour, notre nuit, nos baisers, nos caresse, notre tendresse l'un envers l'autre?Pas moi en tout cas....Ce qui me faisais le plus mal, c'était de penser qu'elle, elle le regrettait.

Elle hésita un instant avant de m'embrasser de nouveau.Je prolongeais ce baiser, parce qu'au fond, je me doutais que ce serait le dernier.Après quoi elle se leva, me tendis la quasi totalité de mes vêtements ouvrit la porte et me poussa dehors.Avant même que je ne puisse réagir, elle me lança, d'un ton incroyablement froid;

"N'essaie pas de me retrouver. Ne m'appelle pas, ne reviens jamais cogner à cette porte. Compris?"

Sur quoi elle referma la porte.

"Attends quoi?Frieda attends!"

Je tambourinais légèrement à la porte espérant qu'elle la rouvre, en vain, évidemment.Je me rhabillais avant de m'apercevoir qu'elle avait toujours ma chemise.Une fois chose faites, je me retrouvais donc avec des chaussures, un pantalon mais pas de haut....C'était plutôt embarrassant...Il fallait qu'elle s'en rende compte; Je n'allais pas l'abandonner, je n'allais la laisser loin de moins ainsi.Elle me demandait de ne plus la voir, de l'oublier?Hors de question que je fasse ça.Quelque chose s'était passé, et elle ne pouvait pas le nier....J'hésitais encore à partir, mais je voulais essayer, ne serait-ce qu'une dernière fois.Je m'appuyais donc sur la porte, m'adressant à l'Allemande.

"Frieda, ouvre moi je t'en pris...Je comprends pas, qu'est-ce qu'il se passe?"

J'avais besoin de comprendre, pourquoi ce changement si soudain?

Je n'avais pas envie de dormir, mais lutter devenait trop dur.J'aurais voulu ne pas dormir, rester tout la nuit à lui sourire, à l'embrasser, à parler avec elle.Que ça dure une éternité.Je savais que si je dormais, je ne me réveillerais qu'au petit matin, et que notre rêve ne deviendrait qu'un passé.Mais j'ai fini par m'endormir, par me laisser aller dans les bras de Morphée, laissant mes pensées vadrouillées dans mon esprits, et m'abandonnant à des rêves inouïs.J'étais simplement bien, là, à dormir tout contre elle.Comme si rien n'allait nous séparer.Comme si le monde extérieur n'existait pas.N'existait plus.Tout devenait plus facile, plus simple avec elle.Tout était différent.La vie était différente.Tout était plus agréable.

Et si je ne l'avais pas rencontrer?Imaginons que je n'ai pas eu assez d'argent pour avoir cette place.Que j'arrive quelques minutes en retard.Que quelque chose me retienne et m'empêche de bouger le jour J.Qu'en arrivant dans la salle, je ne fasse que croiser la belle Frieda. Que nous nous soyons parler sans être sorti à l'extérieur. Que je n'ai pas proposer de la ramener.Que devant cette porte, je lui ai simplement dis au revoir, sans l'embrasser....Qu'est-ce qu'il se serait passer?Ou est-ce que je serais, là?Sûrement chez moi, à me haïr de ne pas avoir sauter le pas.A penser à elle, à ce qui aurait pu se passer.Je me serais sans doute mordu les doigts, et peut être que j'aurais fini par l'oublier.Tandis ce que là....Je ne pouvais qu'être heureux de ce qu'il s'était passé.Prendre cette décision, fut l'une des meilleure chose que j'ai faites.

Le matin arrive peu à peu, les rayons du soleil entre dans la chambre doucement.Mais ça ne me réveille pas.Même le bruit qu’émet l'ordinateur dans la chambre ne me réveille pas.C'est seulement le départ soudain de Frieda qui se lève qui me réveil.Elle me pousse légèrement, et prends l'ordinateur.Je comprends pas bien ce qu'il se passe, je tente de me réveiller tandis ce que Frieda réponds à l'appel.Elle parle une langue que je ne connais pas avec quelqu'un.Ca ressemble à de l'Allemand...Ce serait logique.Je ne dis rien, si elle tient à ce qu'on ne me voit pas, c'est qu'il y as une raison.A qui peut elle bien parler pour vouloir faire croire qu'elle est seule?J'attends patiemment que la conversation se termine.

"Tu peux sortir…"

Je me redresse légèrement observa Frieda. Le matin s'est levé, et c'est comme si tout avait changer.

"Qu...Quelque chose ne va pas?"

Je redoute la réponse, et je ne sais pas pourquoi....

Pourquoi nous séparer?Pourquoi est-ce que les premiers rayons du soleil devraient nous arracher l'un à l'autre?C'est totalement injuste....Une nuit, aussi parfaite qu'elle soit, ne me suffisait pas à ses côtés.J'aurais voulu qu'elle dur, ne jamais la quitter, rester là, l'un dans les bras de l'autre, heureux, presque amoureux, paisible.Que le temps s'arrête, que rien ne nous perturbe.Que le jour ne se lève jamais.Que la nuit dure éternellement, puisqu'il n'y as que ça qui nous rapproche, que ça qui nous permet de ne pas partir loin l'un de l'autre.

Je crois que je t'aime....J'aurais voulu que ces mots puisse atteindre ma bouche, et ne pas rester enfouis dans mon esprits, mais j'avais tellement peur de sa réaction.C'est trop tôt.Trop tôt pour se dire amoureux, trop tôt pour un Je t'aime, et peut être que nous ne nous verrons plus jamais après ça.Peut être que je ne croiserais plus jamais la belle Frieda, que je ne la verrais plus sourire, que je l'aurais plus jamais dans mes bras, que nous ne nous aimerons plus jamais comme nous nous sommes aimés cette nuit là.Ca m'arrachais le coeur de pensé ça.Que je ne pourrais plus la voir....Ni l'avoir près de moi.Ca me tuais de l'intérieur de ne plus vivre quelque chose d'aussi intense avec elle.Maintenant que j'avais les idées à peu près en place, je réalisais bien que ce n'était pas qu'une fille comme les autres.Elle comptait pour moi.Comme quoi, une nuit peut tout changer....

Frieda m'embrassa à son tour avant de nous faire basculer de nouveau, comme un défi.Elle riait légèrement et je l'accompagnais, l'embrassant de nouveau, avant qu'elle ne pose sa tête sur mon torse et ne ferme les yeux.Je fermais également les yeux, la serrant contre moi, une main dans son dos et l'autre caressant ses cheveux avant que nous ne nous endormions tous les deux.

J'aurais voulu que le temps s'arrête, là, maintenant.Que je puisse la garder ainsi dans mes bras pour le restant de mes jours.Et pourquoi s'arrêter ainsi?Qu'est-ce qui nous empêchait d'être ensemble après tout?Je veux dire....Entre Coleen et moi, il n'y avait pas d'amour, tandis ce qu'avec Frieda.....C'était totalement différent.Savoir Coleen, ou même l'imaginer en ce moment même dans les bras d'un autre homme m'étais presque indifférent.Aux yeux de tous, nous étions le petit couple parfait, fidèle et sans soucis.Fou amoureux l'un de l'autre....Mais il n'en était rien.Une attirance physique, un week end idyllique, c'est tout ce qu'il restait de notre relation.Mais au fond, nous tenions l'un à l'autre.Malheureusement pas comme un couple devrait tenir l'un à l'autre.

Avec Frieda c'était différent de ma relation avec Coleen. M'imaginer désormais la jeune femme dans les bras d'un autre homme m'étais impossible.Est-ce que je tomberais peu à peu amoureux?Tout se mélangeait dans ma tête...Elle se leva rapidement, expliquant qu'elle allait prendre une douche, et m'indiquait la chambre.Sur ces mots elle rejoignit la salle de bain.Je la regardais partir, souriant, et attendais quelques instants allongé là, sur le divan.De nombreuses pensées me traversaient l'esprits.J'étais un peu frustré de ne plus être contre le corps de la jeune Allemande, mais je savais que j'allais bientôt la retrouver.Que pour encore tout le restant de la nuit, je pourrais la tenir dans mes bras.C'en était presque rassurant.

Frieda étant partie rejoindre la douche, je finit quelques minutes plus tard par me levé du canapé.J'enfilais simplement mon caleçon, rejoignant la chambre indiquée un peu plus tôt par la brune.Cette chambre était bien plus grande et bien plus belle que la mienne....Je m'allongeais sur le lit, ne cessant de réfléchir à toute sorte de chose, et finit par fermer les yeux.Je luttais pour ne pas m'endormir avant qu'elle ne revienne.Finalement la porte s'ouvrit, laissant apparaître mon amante.Je lui souris de nouveau et la laissais me rejoindre.Elle se posa sur moi, et m'embrassais de nouveau, je prolongeais son baiser quelques secondes, nous faisant ensuite basculer légèrement, me retrouvant au dessus d'elle.J'embrassais son front, et plongeais mon regard dans le sien, caressant ses cheveux et lui sourit de plus belle.Oui, une nuit parfaite.

Tout avait été parfait.De notre premier regard à notre dernière étreinte.Tout avait été magique, romantique.Rien n'avait été précipité, ou brusque.Si c'était à refaire, il ne faudrait rien changer.Absolument rien.Peu importe le lendemain, au diable les conséquences, oublier les regrets.Si il y'avait bien une chose à ne pas regretter c'était ça.Elle, moi, nous, et cette nuit qu'on avait partagée.Mais qu'en était-il de nous maintenant?Qu'est-ce que cette nuit allait signifier?Est-ce que ça comptait réellement, ou ce n'était qu'une nuit parmis tant d'autres?Non.Quoiqu'il arrive, on ne pouvait pas la compter comme une nuit comme les autres.On ne pouvait pas caser Frieda avec les filles d'un soir qu'on oubliait rapidement.Il me serait impossible de l'oublier, elle n'était pas comme les autres, quelque chose de spécial et de fort s'était passé entre nous.On ne pouvait pas dire que c'était une aventure comme les autres, une fille rencontrer comme ça avec qui on couche.Tout simplement parce qu'on avait pas coucher ensemble, on avait fait l'amour et c'était totalement différent.

L'espace d'un instant j'ai réalisé; Merde....Aucune protection....J'avais les idées trop entremêler pour m'en soucier sur l'instant.mais au fond, j'espérais que ce n'était pas "si grave que ça en avait l'air".Trop tôt pour ce soucier de ça, je voulais profiter de l'instant présent.Je ne pouvais qu'être bien, allonger sur ce divan, Frieda dans mes bras.Nous étions bien tous les deux, imperturbables, paisibles.Tout semblait parfait.La nuit rêvée, enfin atteinte....Le silence de l'appartement, que j'aurais habituellement trouver pesant, était presque reposant.Je me refusais de la lâcher...La jeune Allemande perturbait ce léger silence;

"Tu veux resté dormir?"

Je ne pu m'empêcher de sourire.Comment refuser de passer encore plus de temps, de secondes, de minutes, d'heures, en compagnie de la jeune femme?C'était impossible de lui dire non.Et elle ne pouvait pas savoir comme sa question me soulageais.Je la serrais d'avantage dans mes bras, lui souriant tendrement.

"Si tu me le propose, alors avec grand plaisir!"

Je ponctuais ma phrase d'un baiser sur son front, lui souriant ensuite de nouveau.

Parfaite.On aurait pu qualifier notre rencontre et notre nuit ainsi.Parfaite.ET c'était bien le but rechercher.Que chacun de nous se souvienne de ce moment, de chaque seconde, chaque infime instant.Que nous nous souvenions du goût des lèvres et de la peau de l'autre.De la chaleur de nos deux corps.De chaque sensation ressentie à chaque instant.Pour cette nuit reste gravée dans nos mémoire.Pour que, lorsque nous nous remémorions ces moments, nous ne puissions nous empêcher de sourire aussi bien l'un que l'autre, et de penser à l'autre.A cet amour d'une nuit qui nous avait parcourus.Oui, tout ça était parfait.Rien d'autre ne pouvait décrire ce que nous vivions.Et même si c'était mal aussi pour l'un que pour l'autre, on s'en foutait.Aucun de nous ne pensait à la vie extérieur, ni à demain, ni aux autres.Ce n'était pas le moment, et puis à quoi ça servait?Rien ne pouvait gâcher ce moment magique et inoubliable.

Chaque baiser, chaque mouvement, chaque caresse était plus électrisante que la précédente.Des milliers de sensations se faisait ressentir, un bien être immense, comme une libération.Nous ne cessions de nous embrasser, de nous faire l'amour comme si c'était la dernière fois.Et ça l'était sûrement.Peut être était-ce la dernière fois que nos deux corps se rapprocheraient ainsi.Que nos lèvres s'entremêleraient, que nos coeurs battraient à l'unisson.Et je n'en avais pas envie.Pourquoi en rester là après une nuit pareil, un amour pareil, un plaisir pareil?Pourquoi ça devrait se terminer alors que quelque part, nous étions fait l'un pour l'autre?Ce serait injuste venant du destin de nous avoir tant rapprocher pour ensuite nous séparé de la sorte après cette nuit...

Nuit et étreinte qui se terminerait bientôt.Et elle, et moi nous en rendions compte.Un peu déçu l'un et l'autre, ça ne nous empêchait pas de rester concentrer sur le présent.Un cri s'arracha de la jeune fille, signe de la fin de cette étreinte merveilleuse, et j'en fis presque de même.Une légère frustration, si seulement cette nuit ne s'arrêtait jamais.Mais au l'Allemande avait prit son pied, et j'espérais qu'elle ne puisse pas oublier notre nuit.Je la serrais dans mes bras, reprenant ma respiration, et l'embrassais une nouvelle fois.Si seulement ce genre de nuit pouvaient êtres éternelles...

Un coup de foudre.Est-ce que j'en avait déjà eu un seul hormis celui là?Parce que oui, Frieda semblait bien en être hein.Un coup de coeur imprévisible à qui je me livrais entièrement.De toute mes rencontres, de toutes mes aventures, mes histoires d'amour, je n'ai jamais ressenti ce que je ressentais avec la brune.Tout était si différent.Nos baisers était différents, notre envie, notre passion, nos caresses, notre façon de faire l'amour, tout était complètement différent de ce que j'avais pu connaître auparavant.Tout semblait meilleur, plus naturel, moins calculé, moins réfléchis.Il n'y avait pas besoin de réfléchir, tout venait naturellement avec elle.Tout devenait une évidence avec elle.Et c'était plus que plaisant.

Alors oui, sans doute était-ce un coup de foudre, un coup de coeur.Sans doute que ça ne durerait que l'espace d'une nuit parfaite et magique.Sans doute qu'au petit matin, quand j'aurais franchie cette porte, je ne la reverrais pas.Et si je la revois, peut être que nous ferons comme si tout ça n'était pas arriver....Mais ça ne me donnait qu'encore plus de raison pour rendre cette nuit, cette étreinte, cet amour inoubliable.Ca ne me donnait qu'une raison de plus pour profiter de chaque instants passés à ses côtés.Et je voulais qu'elle profite de cette nuit plus qu'il n'en faut, qu'elle ne l'oublie jamais, qu'elle prenne encore plus de plaisir que moi, et qu'elle souvienne que, au moins l'espace d'une nuit, un homme l'as aimer comme un fou.

De l'amour, c'est peut être vite dit, ou peut être que non.C'était bien trop embrouillé pour démêler cette histoire, mais dans le pire des cas, ça n'en était pas loin.En tout cas pour cette nuit, c'était tout comme.Cette nuit là je l'aimais, plus qu'on ne devrait aimer qui que ce soit.Nos baisers ne cessaient pas, nos caresses, nos gémissements non plus.Elle fit pencher en arrière, amplifiant notre étreinte et m'embrassant de nouveau.Je me doutais bien que cette étreinte ne durerait pas éternellement, et peut être même approchions nous de la fin, mais autant chasser ça de mon esprit.Tout ce qui comptait, c'était elle.Je lui rendais ses baisers, amplifiant d'avantage nos mouvements.

C'était juste comme si nous devions nous rencontrer.Il y'avait une chance sur mille pour que nous nous intéressions au même orchestre, pour que nous allions à cette représentation, pour que nous nous parlions et passons la soirée ensembles.Et une chance sur un million pour que ça se termine comme ça.Oui, le destin, voilà ce que c'était.Un heureux hasard?Non, c'était bien plus que ça.Et c'est incroyable comme je pouvais me sentir bien avec elle, mieux qu'avec n'importe qui d'autre.Partir loin d'elle m'étais devenu impossible, m'éloigner était impensable, et je n'arrivais pas à quitter ses lèvres.Redemandant sans cesse de ses baisers, accro à notre étreinte.Comme si nous avions passer notre vie ensembles.

L'heure tournait trop vite, déjà plus de minuit, mais nous avions encore le temps.Le matin, ce serait une autre histoire, je le savais bien, mais je n'avais pas envie d'y penser.Ce n'était pas le moment, même je redoutais ce moment.Ses jambes s'enroulait maintenant autour de mes hanches, et avant de m'embrasser elle chuchota;

"Fais moi l'amour comme t'a jamais fait, Norim…"

Je lui rendis son baiser avant de la soulever légèrement et de nous faire basculer en arrière, de telle sorte que nous soyons tous deux redresser, ne stoppant pas notre étreinte.L'embrassant de nouveau avant de descendre jusqu'à la poitrine de la jeune femme.

Spoiler:

Cette passion était de plus en plus dévorante, et ce qui allait se passer était inévitable.Comme inscrit dans l'histoire de nos vies, le destins avait frappés à nos portes, et nous ne pouvions ni refuser, ni reculer.Nous savions ce que nous voulions, et nous ne pouvions pas y résister,chacun avait sa raison, peu importe ce qu'elle était.J'aurais presque maudit le destin de ne pas avoir mis Frieda sur mon chemin plus tôt, tant ce moment était merveilleux.Chaque heure, chaque minute, chaque seconde passé à ses côtés étaient meilleure que la précédente.L'envie "tait partagée, j'avais plus que tout envie d'elle à cet instant.Elle envahissait mes pensées, il n'y avait plus qu'elle au monde, et je tentais d'écarter mon plaisir pour favoriser le sien.Je pensais d'abord et avant tout à elle, à notre nuit, à ce qu'elle ressentait...

Chaque coup de reins était plus enivrant que le précédent, et encore une fois, malgré quelques soupir qui s'échappait de moi, je tentais de faire passé son plaisir avant le mien.Le contact de ses main était plus qu'agréable, si seulement notre étreinte ne se finissait jamais.Nous étions fait l'un pour l'autre, pour nous rencontrer pour nous aimer, même l'espace d'une nuit.C'était devenu une évidence après en. J’accélérais les mouvements tout en amplifiants ceux ci, en prenant soin, tout de même, à ne pas être trop brusque pour la jeune fille.Mes lèvres quittèrent les sienne tandis ce que mon front rejoignait le sien.Un moment parfait, qui aurait dû s'arrêter dans le temps, continuer pour l'éternité.Une étreinte douce et amoureuse que je voulais rendre spécial pour la brune.

Il y'avait beaucoup de manière de faire l'amour.Certains le faisaient sauvagement, d'autre sans même ressentir de l'amour, ou aucun sentiments qui s'en rapproche, d'autre timidement, comme pour une première fois, mais la plus belle restait celle ci.La façon la plus tendre, la plus lente, la plus douce possible, rendant chaque geste calculé et plaisant, chaque baiser enivrant, chaque caresse électrisante, rendant ce moment le plus long et appréciable possible, rendant cet instant, cette nuit, la plus magique et inoubliable qu'il soit.Oui, pour moi, ça restait la plus belle façon de le faire.Avec autant de sentiments entremêlés, et même si nous n'étions pas éperduements amoureux l'un de l'autre, nous nous en rapprochions à cet instant précis.Nous étions voué l'un à l'autre, et c'en était presque beau.

Plus rien ne nous séparais, aucun obstacles, aucune barrière, aucun vêtement.Rien.Il n'y avait plus que nos deux corps, attachés l'un à l'autre, prêt à n'en faire plus qu'un.J'avais chaud, mais je m'en foutais, j'appréciais ce moment et, si j'avais ne serait-ce qu'une seconde regretter d'avoir été à cette représentation cette nuit là, ce qui n'était pas le cas, je ne l'aurais plus regretter après en. Frieda était une merveilleuse rencontre et je voulais qu'elle se souvienne de moi. Qu'elle garde un souvenir aussi doux et tendre possible, aussi romantique que possible.Son coeur battait-il aussi vite que le miens?Nos respirations s’accéléraient, mais alors que moi je ne pu rien dire, elle chuchota.

"J'ai envie de toi."

D'une voix douce et sensuelle qui m'électrisais d'avantage.Sur ces mots, sans trop brusqué, j'étais en elle, commençant mes mouvements, toujours sans précipitations, et embrassant son cou une nouvelle fois.

J'avais tellement envie que ça ne s'arrête jamais.Que cette nuit ne s'arrête jamais, que cette tendresse, cette passion, cette envie, ce plaisir ne cessent jamais.J'avais terriblement envie d'elle, et j'avais presque envie de l'avouer, mais aucun mots ne parvenaient à franchir mes lèvres, trop occupées à parcourir le corps de la jeune femme. Presque plus rien ne nous retenait maintenant, un simple geste et nous serions totalement livré l'un à l'autre, mais ce serait trop rapide, trop facile, et beaucoup moins plaisant que de prendre son temps et d'augmenter, avec le temps, cette envie que nous avions l'un et l'autre.

Cet instant était bien plus qu'une histoire d'une nuit, quelque chose de spécial et d'indescriptible se passait entre nous, et rendait ce moment d'autant plus magique.Au delà de l'envie, de l'attirance, de la passion, mais je ne pouvais pas réellement appelé ça de l'amour.L'amour c'était bien plus fort, et nous ne nous connaissions pas assez, c'est vrai.Mais ce lien était si fort que ça s'en rapprocherait presque.Tandis ce que la brune passait sa main dans mon boxer caressant ma virilité, j'ôtais lentement le seul vêtement restant de la jeune Allemande, posant une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes.Ma respiration se faisait un peu plus rapide tant le moment était plaisant.Devions passer à l'acte là maintenant?Ou attendre encore un peu et savourer ce moment?

Dans tous les cas, j'ôtais également le seul vêtement restant, ne laissant plus aucune barrière à nos deux corps.Aucun obstacle à ce que nous nous apprêtions à faire, mais je ne voulais pas me lancer ne sachant si mon amante était prête ou non...

La chemise valsait, la robe la suivait de près.Le temps filait à une allure incroyable, malheureusement.Pourvus que cette nuit ne s'arrête jamais, pourvus que ce moment dure pour l'éternité, que le soleil ne se lève jamais.Demain me faisais peur, je ne savais pas de quoi il était fait, ce qu'il se passerait à notre réveil.Comment allait-on réagir?Que faire demain matin?Partir comme si rien ne s'était passé?Passer une partie de la matinée avec elle?Allait-elle me "jeter" dehors après cette nuit?Et est-ce que cette nuit allait compter pour la jeune femme?Est-ce que nous serions gêné?Ou au contraire aussi passionné qu'à cet instant?Allait-on le regretter?Est-ce qu'il y'aurait une suite à cette nuit?Toutes ces questions me parcouraient l'esprit quelques secondes, et je les chassaient rapidement de ma tête, me concentrant sur l'instant présent, sur Frieda...

Les talons de mon amantes volaient, rejoignant les vêtements enlevés et éparpillés, tandis ce que la brune desserrait la ceinture.Chose faites, j'enlevais mon pantalon, le faisant rejoindre les autres pièces.Puis, tenant toujours Frieda contre moi, je la fis basculer doucement, me retrouvant au dessus d'elle, tout en l'embrassant tendrement.Une main me soutenait pour ne pas m'écrouler sur la pauvre femme, l'autre parcourait son corps, partant de sa joue à sa cuisse, en passant par son ventre.Nos deux corps, l'un contre l'autre, devenaient de plus en plus électrisant et ne me laissais pas de marbre, si je puis dire.Mes lèvres suivaient le même chemin que ma main, s'arrêtant tout de même au ventre de Frieda. A la passion et la tendresse s'ajoutait maintenant l'envie, une envie de plus en plus présente, mais faire durer le moment était là encore, une bonne chose.