|| Mission Petits Princes || Sateen & Valentin sont là pour vous aider

Les échanges de nos baisers passionné furent vraiment agréable jusqu’au moment où nous fûmes surpris par la mère des enfants ! Nous avions tout fais ou presque pour éviter ce moment et voilà que nous étions tombé en plein dedans. Mais au font de moi je ne le regrettais pas car j’avais envie de lui. J’avais expliqué la soirée a la maman des enfants et l’avais rassuré, ceux après quoi nous nous étions congédié.
J’avais embrassé de nouveau valentin une fois a l’extérieure et avais ajouté qu’il nous fallait Absolument un taxi et surtout qu’on arrête de se jeter dessus comme ça dans la rue ! Chose qui je le conçois allait être extrêmement difficile pour lui comme pour moi.

- Oui, un taxi ...

A peine avait-il prononcé ces mots qu’il me surprenait déjà à plaquer ses lèvres contre les miennes, je ne pouvais pas lui résister. J’entrelaçais délicatement mes lèvres aux siennes jusqu'à ce que ce dernier se décolle de moi. C’était un peu comme le chat et la sourie, sauf que là les rôles n’arrêtaient pas de tourner.
Valentin me prit ensuite la main et nous nous étions dirigés vers la rue principale, là où il prit son portable pour appeler un taxi. Tandis que je le regardais sans cesser de me mordre la lèvre, j’avais tellement envie de l’embrasser encore et encore, de coller mon corps contre le sien…. Je pense que ça relèverais du miracle si nous arrivions à parler plus de 5 minute chez moi, mais il n’y échapperait pas, malgré l’irrésistible envie qu’il m’inspirait je tenais à m’excuser.
Le taxi arriva enfin, je lui indiquai alors le lieu de destination et m’installa au côté de valentin, ma main dans la sienne, nos doigts enlacé et ma tête posé sur son épaule, n’ayant ainsi pas besoin de caresser son corps de mon regard et m’inspirer d’autre tentation. Je ne pu cependant pas m’empêcher de déposer un baiser dans son cou avant de dire :

-Valentin quoi qu’il advienne il faudra vraiment que l’on parle, j’ai certaine explication a te donner je crois… j’ajoutais en rigolant : mais je suis consciente qu’il va être difficile de parler ce soir.

Spoiler:

Sateen n'avait elle non plus pas résister à l'envie d'embrasser le sportif. A peine eut-il posé ses lèvres sur les siennes, qu'elle rendit ce baiser beaucoup plus passionné que prévu. Il ne pouvait encore moins la repousser, il n'en avait pas envie, et même avec toute sa meilleure volonté, il n'aurait pas réussi.
Ce fut elle qui réussi cependant à se décoller de lui, quelques instants, pour ranger un peu le salon. Il s'efforçait de ne pas la regarder, mais il n'y arrivait pas, il rangeait sans vraiment ranger. Il ne pensait qu'à une seule chose. La récupérer et l'avoir de nouveau contre lui. Alors quand elle se jeta à son cou, il était déjà prêt à l'accueillir, comme si c'était prévu depuis des siècles et qu'il n'attendait plus que ça de sa vie.

Elle l'embrassa de nouveau, comme s'ils avaient été séparé depuis des années. Il la serra de nouveau contre lui, pour lui rendre son baiser si passionné. Cela le rendait tellement fou, qu'il l'aurait bien plaqué contre un mur et sur le canapé. Mais il n'eut pas le temps de réfléchir davantage, puisqu'il entendit un toussotement. Il releva les yeux, tout en décollant ses lèvres de celles de Sateen au même moment qu'elle, pour se rendre compte que c'était la mère qui était rentré. Eux qui avaient voulu éviter ça à tout prix, voilà qu'ils s'y étaient jetés littéralement dedans. Valentin ne put réfréné un sourire, alors que la belle blonde essayait de se rattraper. Elle était tellement belle quand elle faisait ça. Pas autant que lorsqu'elle se mordait la lèvre inférieure pour résister à l'envie de l'embrasser. Et le fait qu'elle garde sa main dans la sienne, doigts entremêlés, il adorait ça. A croire qu'ils étaient complètement collés l'un à l'autre, et que rien n'arriverait à les séparer. Pour l'instant, physiquement.

En tout cas, il n'avait plus qu'une seule envie à présent. Sortir de cette maison et pouvoir faire ce qu'il voulait de Sateen. Ce fut chose faite bien assez vite. Tellement qu'il ne vit presque pas arriver Sateen contre lui. A croire qu'elle était encore plus pressée que lui.

- Il faut vraiment que j’arrête de faire ça sinon on arrivera jamais à aller « chez moi » ! Maintenant il faut qu’on trouve un taxi…
- Oui, un taxi ...

Mais il s'était déjà jeté de nouveau sur ses lèvres, alors qu'ils étaient encore devant la petite maison. Il s'en rendit alors compte, se décolla alors de la blonde, lui prit la main à son tour, et ils se dirigèrent vers la rue principale. Il sortit son téléphone et appela une agence de taxi pour qu'on vienne à eux, au lieu d'en chercher un pendant des heures. Il n'y en avait pas des tonnes dans cette partie de la ville, et c'était assez normal.
Il était pressé d'arriver chez elle, mais il avait tellement envie d'elle, qu'il avait presque oublié qu'elle lui avait proposé de venir chez elle pour parler.

Nous étions toujours dans cette même étreinte, avec cette même envie du corps de l’autre, je mourrais d’envie d’enlacer tendrement mes lèvres avec les siennes mais j’étais bien consciente que si nous commencions à nous embrasser il me serait impossible d’arrêter, si Valentin tenté un baiser il est certain que je lui rendrais et là qui sais où on s’arrêterait !
Il avait glissé une de ses mains dans mon dos pour me serrer contre lui et l’autre sur mon visage avant de caresser délicatement mes lèvres. Ce simple petit mouvement n’était pas anodin et sans conséquence, son regard posé sur moi n’avait pas non plus aucune incidence sur moi. Sentir sa peau contre mes lèvres influées de cette douce caresse me donnait encore plus envie de lui. C’était incroyable comment nos corps s’appelaient, on ne pouvait pas s’en empêcher quoi qu’il advienne on avait besoin de sentir nos corps collés l’un contre l’autre et plus la soirée avançait, plus ce désir cette envie évoluait.
Malgré tous nos efforts pour éviter d’embrasser l’autre alors que nos souffles se mêlaient, Valentin avait fini par déposer ses lèvres su les miennes. Et ce contact eut l’effet auquel je m’attendais, j’eu encore plus envie de l’embrasser et je ne me contrôlais plus vraiment, je n’avais plus la force de résister. Je plaquai de nouveau mes lèvres contre les siennes jouant avec ses cheveux tout en lui donnant un baiser passionné, je ne pensais plus qu’à lui, à son corps contre le mien, ses lèvres entrelacées aux miennes.
Je dus produire un effort qui me semblait surhumain pour me détacher de lui et ranger tout avant que la mère n’arrive. À peine avions nous eu fini de ranger que j’avais toujours cette envie irrésistible de l’embrasser et je m’étais limite jetée à son cou pour l’embrasser de nouveau passionnément.
Tout ce qu’il y avait autour semblait ne plus existé jusqu’au moment où j’entendis :

-Rhum rmmm

Un petit raclement de gorge discret et féminin, sans aucun doute la mère des enfants. Je décollai mes lèvres de celle de Valentin avec énormément de difficulté et rouvrant les yeux je le regardai un instant en me mordant la lèvre assez fort pour essayer de combattre cette envie de recommencer à l’embrasser dès maintenant malgré la présence de la mère.
Je finis par me retourner vers la mère après mettre décoller de Valentin, mais sans réellement le lâcher j’avais besoin de ce contact entre nous, c’est pourquoi j’avais enlacé mes doigts au sien.

-Hum veuillez nous excuser, s’il vous plait madame !!

Après ses quelques mots d’excuse pour faire oublié le moment présent je m’étais mise à parler des enfants :

-Les enfants sont couchés à l'heure voulue et sans caprice. On a eu un petit incident avec Sam qui a voulu manger un trop gros morceau de nourriture, mais on a réagi aussitôt et tout est rapidement rentré dans l’ordre ce fut juste un petit moment de frayeur. Il restait un peu de nouilles garnies je les ai mis dans une boîte au frigo.

Après que nous ayons parlé a la mère des enfants et qu’elle nous eut remerciés nous étions sortie de la maison, et à peine la porte fut-elle fermée que je l’embrassai de nouveau. Pour essayer de nouveau de me détacher de lui. J’eut un petit rire nerveux en lui disant :

-Il faut vraiment que j’arrête de faire ça sinon on arrivera jamais à aller « chez moi » ! Maintenant il faut qu’on trouve un taxi…

En le regardant encore un fois je réalisais qu'espérer parler chez moi allais être extrêmement compliqué face a l'envie qu'il m'inspirait.

Une fois que Valentin eut annoncé l'heure de se coucher, tout le monde finit par monter à l'étage, plus ou moins ravi. Pour le sportif, c'était presque une libération, il allait pouvoir se retrouver une nouvelle fois seul avec Sateen et c'était tout ce dont il désirait. Elle couchait Sam pendant que Val bordait Jimmy, qui était assez calme pour un gamin de cet âge. C'était peut-être parce qu'il les appréciait au fond. D'ailleurs, il attrapa le sportif pour lui glisser un nouveau mot dans l'oreille :

- Ne faites pas trop de choses, maman va pas tarder à rentrer.

Ce qui pouvait être intelligent ce gosse ! A croire qu'il lisait dans les pensées de Valentin ! Ce dernier lui ébouriffa les cheveux et lui répondit de ne pas s'inquiéter pour ça. Sateen les regardait encore interloquée. Si elle voulait savoir, il lui dirait avec plaisir, ce n'était en aucun cas gênant pour lui. Mais ce n'était pas le point le plus important qu'il devait aborder avec elle.
Il alla dire au revoir au petit Sam, avant de sortir de la chambre, attendant que la blonde éteigne la lumière et ferme la porte. Ils descendirent les escaliers et elle finit par lui prendre la main pour l'attirer contre elle une fois dans le salon. Elle jouait avec le feu, surtout en l'embrassant de nouveau dans le cou. C'était comme ça qu'il avait fini par avoir envie de l'embrasser, à son tour. Mais sur les belles lèvres qui ornait son visage. Et le fait qu'elle recommence et qu'elle soit si proche de lui était dur pour résister. La bonne idée aurait été qu'ils se décollent l'un de l'autre, et qu'ils aillent chacun dans un coin opposé. Mais il savait très bien qu'ils finiraient par s'aimanter et finir toujours dans la même position.

Il avait du mal à résister, il n'arrivait même pas à parler tellement il avait envie d'elle. Il la serra contre lui par sa taille et glissa son autre main sur son visage, caressa ses lèvres délicatement et les regardait avec envie. Un petit baiser ne pouvait faire de mal à personne ?! Mais il savait pertinemment qu'il n'arriverait plus à s'arrêter une fois lancé, comme tout à l'heure dans la cuisine. Une douche froide, oui ils en avaient besoin d'une, tout de suite. Mais il n'arrivait à penser qu'à elle, et à rien d'autre. Comment faire dans ces cas-là ?! Même avec toute la volonté du monde, il n'arrivait pas à enlever ses mains de son corps, il voulait la garder contre lui, encore et encore.

Les quelques secondes qui s'écoulèrent, alors qu'il essayait tant bien que mal de résister à l'envie de l'embrasser semblait durer des heures. C'était à la fois terriblement agréable et agréablement terrible. Leur visage était tellement proche, qu'il finit par déposer ses lèvres sur les siennes, à les embrasser. Il devait s'arrêter là, simplement les goûter et les savourer, et rien de plus. Stop. Sinon plus jamais il ne serait capable de s'arrêter. Mais peut-être qu'elle allait remettre ce baiser, et là, pas sûr qu'il se retienne bien longtemps.

Lorsque j’étais redescendu après avoir été voir ce que faisaient les garçons, je m’étais naturellement dirigé aux côtés du Valentin sur le canapé en gardant à l’esprit qu’il ne fallait pas que nous soyons trop proches pour ne pas choquer les enfants, malgré l’envie irrésistible que j’avais de l’embrasser, de me serrer contre lui au creux de ses bras, envie de lui tout simplement, de son être tout entier… Je devais arrêter de penser à ça.
J’avais simplement déposé ma main sur la sienne pour lui demander s’il voulait bien venir « chez moi » après. C’est alors que ce dernier prit ma main dans la sienne, caressant délicatement la mienne avec sa pousse. C’était un simple petit geste, mais fait avec tellement de délicatesse, de tendresse… Valentin me surprenait de plus en plus, ce séducteur faisait preuve d’une tendresse que je n’aurais imaginée possible, il me portait une attention qui ne me semblait pas existant de la part d’un tel homme. Il contredisait tout ce que j’avais pu penser de lui, me donnant à chaque fois un peu plus l’envie de lui donner ma confiance, de me coller à lui.
Chacune de ses petites attentions me faisait fondre, je m’attachais de plus en plus à lui sans savoir ce qui nous unissait, c’est chacune de ses petites attentions qui me donnaient envie de me faire pardonner de l’avoir jugé ainsi, je réalisais petit à petit que je ne lui avais pas dit de quoi je voulais parler, il devait certainement se poser des questions pensais-je tandis qu’il acceptait ma proposition. Je n’eu pas le temps de m’expliquer que les enfants nous rejoignirent.

Valentin avait alors choisi Gulli comme programme de soirée, oui ça convenait tout à fait pour les enfants ! De toute façon je n’avais pas vraiment l’intention de me concentrer sur le film mais plus sur lui. Ce garçon qui occupait mes esprits depuis l’instant même où il m’avait embrassé, marquant en moi l’envie incessable de recommencer. Non il ne fallait pas que je pense à ça sinon je ne tiendrais jamais, je me contentais alors de sourire pour lui témoigner que j’étais heureuse avec lui.
Vingt minutes plus tard valentin annonça aux enfants qu’il était temps d’aller au lit… ces vingt minutes me parut extrêmement longue… vingt minuter à devoir attendre pour pouvoir à nouveau me serre dans ses bras, vingt minutes avant de sentir ses lèvres contre les miennes.

- Bon les mômes, j'ai le malheur de vous apprendre qu'il est l'heure d'aller voir le marchand de sables !

Il leur avait fait un petit sourire sadique et j’avais levé les yeux au ciel avec le sourire marqué sur mes lèvres, il me faisait bien rire avec les enfants. J’enlevai ma main de celle de valentin avec regret, me mis debout et candit les bras vers Sam. Ce dernier vint s’y blottir et je me dirigeais alors vers leurs chambres, une fois là-haut je couchai Sam dans son lit après lui avoir fait un gros câlin ainsi qu’un petit bisou sur son front. Je jetai un coup d’œil à Jimmy qui soufflait encore un dernier petit quelque chose dans l’oreille de Valentin, puis je vins aussi lui faire un bisou. Les enfants étant bordé j’éteignis la lumière de la chambre et fermai la porte avant de redescendre avec Valentin je pris sa main une fois en bas de l’escalier et allai jusqu’au salon avant de l’attirer délicatement vers moi et de me serrer contre lui. Je lui soufflai alors à mon tour dans l’oreille :

-Nous n’avons plus qu’à attendre l’arrivée de leur mère pour pouvoir aller « chez moi »

J’étais à la fois pressé que la mère des enfants arrive et ressentait le sentiment inverse en même temps. D’une part je voulais que l’on se retrouve rien que tous les deux et d’une autre part je ne voulais pas bouger et rester enlacé dans ses bras. Je ne put pas m’empêcher se déposa à nouveau un baiser dans son cou, je glissai ma main dans ses cheveux et plongeai mes yeux dans les siens… je ne put pas m’empêcher de penser qu’il était vraiment beau, il avait vraiment des yeux magnifiques, à cette pensée je me mordis la lèvre tout en lui faisant un petit sourire, je n’osais pas l’embrasser de peur que la mère de Sam et Jimmy n’arrive d’un moment à l’autre, mais j’en mourrais d’envie.

Une fois qu'elle fut redescendu, Sateen était venue s'asseoir près de lui. Cette envie irrésistible de la serrer contre lui devait se retenir. Ce n'était pas le moment idéal, il ne devait pas se laisser distraire pendant qu'ils s'occupaient des gamins. Bon d'accord c'était déjà fait, et cela l'était toujours, mais il devait rester le plus concentré possible.
C'est alors qu'elle posa sa main sur la sienne. Il entendit ce qu'elle était en train de lui dire, mais il pensait plus à sa main sur la sienne, à sa chaleur qu'elle lui prodigué, qui lui donnait encore plus envie d'elle. Un si petit geste pour une si grande émotion. Il avait alors eu le reflex de prendre sa main dans la sienne et de la caresser doucement à l'aide de son pouce.

Elle voulait parler. Elle voulait qu'ils aillent dans leur chambre. Le pauvre petit cœur de Valentin s'était mis battre un peu plus fort. Parler. Parler de ce soir ? Il ne savait pas où il en était. Cela faisait à peine un an qu'il n'était plus avec Rosalia. Cela ne faisait qu'à peine quelques mois qu'il s'en était vraiment remis. Et voilà qu'il se sentait retomber de nouveau. Oui il avait peur. Il lui fallait attendre. Sateen en valait la peine et ne voulait pas la perdre pour ses incertitudes à lui. Peut-être faudrait-il qu'il lui parle de ça, de son aventure si désastreuse. Oui, c'était déjà un bon début. Peut-être arriverait-elle à comprendre son besoin de prendre du temps pour savoir ce qu'il voulait vraiment. Oui il savait qu'elle comprendrait. Elle était tellement attentionnée et à l'écoute. Comment pourrait-elle ne pas comprendre ?!

- Avec plaisir. Lui avait-il répondu accompagné d'un sourire. Et les enfants avaient débarqués. Sateen demanda alors quel était le programme. Valentin attrapa alors la télécommande avant les deux mômes et regarda le programme proposé. Bon et bien ce sera Gulli. Il y avait "Allo maman ici bébé". Parfaitement adapté à la situation ! Bon les garçons n'auraient le temps de voir que les premières minutes. Mais soit ils ne comprendraient rien, soit ils auraient déjà vu ce film. Tant pis, ils n'avaient pas le choix (a).

Les vingt minutes qui suivirent, Valentin les avait passé près de Sateen, toujours sa main dans la sienne, à la caresser tendrement. Et elle défilèrent un peu trop vite. Et pourtant il n'était pas tant que ça absorbé par le film, mais plutôt par autre chose, qui n'était autre que la jeune femme qui se trouvait à côté de lui. Il se sentait idiot de la vouloir autant, alors qu'elle était là si proche de lui. Il devait se calmer.

- Bon les mômes, j'ai le malheur de vous apprendre qu'il est l'heure d'aller voir le marchand de sables ! Leur avait-il dit avec un petit sourire sadique.

Jétais redescendu de l’étage et m’étais réinstallé aux côtés de Valentin, nous étions toujours en face du dessin animé « extrêmement passionnant. » J’avais toujours cette envie de me serrer contre lui, l’envie de l’embrasser mais je n’en fis rien car les enfants pouvaient descendre d’un instant à l’autre, je me contentais donc de regarder Valentin. Ce dernier semblait pensif, c’est alors qu’il m'a dit :

- J'espère que la mère ne va pas tarder. Au pire on pourra toujours se reposer sur ce ... petit canapé.

Il m’avait dit cela en riant et j’avais accompagné ses éclats de rire ! Ce canapé était vraiment tout petit, à la hauteur des moyens de cette famille en fait ! Au moins je serais obligé de dormir dans ses bras, et ça je trouvais ça parfait, le peu de places qui nous étaient offertes nous forcerait avec grand plaisir à dormir l’un contre l’autre. Cependant je ne pense pas que la maman de Sam et Jimmy tarderait trop, à l’inverse je pensais qu’elle reviendrait bien assez vite. C’est alors que j’eus une pensée et tout en voulant la transmettre à Valentin, je posai ma main sur la sienne et lui dit alors :

-Le canapé est un peu petit je pense, et par ailleurs je doute que leur maman revienne tard ! De ce fait on risque de rapidement partir et j’aimerai vraiment que l’on parle tous les deux, ça te dit de venir dans ma chambre après .

Les garçons finirent enfin par nous rejoindre dans le salon, et je ne pensai pas à enlever ma main de celle de valentin pour ne pas surprendre les enfants ! Bon Jimmy nous avais vu tout a l’heure mais je sais que les enfants son sensible à ce genre de chose et qu’ils se font vite des films, mais là l’idée d’ôter ma main n’arrivait pas à me traverser l’esprit !
Les garçons s'étaient installés et je regardais alors Valentin avec un sourire en lui disant :

-Alors c’est quoi le programme ce soir ?

Je savais qu’il fallait faire attention à ce que l’on pouvait mettre pour éviter à tout prix une crise des enfants ne voulant plus aller ce coucher a cause du film. J’espérais donc que Valentin ferait le bon choix.

- Pas de souci !

Avait répondu Valentin une fois que Sateen était redescendu après être allée voir pourquoi il y avait autant de bruit à l'étage. Elle lui avait dit qu'elle leur avait accordé vingt petites minutes avant d'aller se coucher. C'est alors qu'il se demanda alors quand est-ce que la mère allait rentrer. Elle n'avait pas donné d'heure, et il espérait qu'elle ne tarde pas trop, histoire de devoir passer la nuit ici, sachant qu'il n'y avait pas d'autre lits, pour eux, au cas où. Obligés d'attendre la mère. Mais le sportif s'en fichait bien, il y avait Sateen. Ce n'était pas comme s'il avait été seul ou avec une autre personne.

- J'espère que la mère ne va pas tarder. Au pire on pourra toujours se reposer sur ce ... petit canapé. Dit-il en riant.

Il était vrai que le canapé où il était assis n'était pas bien grand. Il n'était même pas sûr qu'il y rentrait en long. Sateen peut-être, et encore pas sûr. Il pouvait toujours essayer de faire nuit blanche. Pas sûr qu'il y arrive, et puis la mère ne tarderait certainement pas. En même temps, Valentin était quasiment sûr de ne pas réussir à dormir auprès de la belle blonde, il voudrait trop en profiter et ne pas vouloir s'endormir, juste pour passer le maximum de temps avec elle, et s'en rappeler, même si elle, elle s'endormait. Heureusement que le lendemain ils n'avaient pas cours. Ils pourraient ainsi récupérer les heures de sommeil qui à la rigueur n'auraient pas eu.

Il ne fallu pas bien longtemps aux garçons de venir les rejoindre au salon. L'heure des films commençaient, et ils devaient faire gaffe à ce qu'il allait leur mettre à la télé. Pas de capitulation. Ca, Valentin y était habitué, il n'était pas du genre à céder grand chose avec les enfants, il était bien plus stricte que Sateen, mais il aimait la voir faire, il la trouvait tellement adorable. Ils se complétaient en quelque sorte.

Les garçons n’avaient pas rechigné a ma demande et était rapidement monté se changer, je ne put m’empêcher de sourire, car il m’écoutait extrêmement facilement et tous les petits garçons n’étaient pas comme ça, ça me faisait plaisir, d’un autre côté avec ce que nous venions de vivre ensemble ça ne me semblait pas si étrange !
C’est alors dès l’instant où les enfants nous avaient quittés que Valentin se rapprocha de moi, il était venu s’assoir à mes côtés et m’avait dit d’une voix douce et sensuelle :

- J'ai comme une envie de faire des bébés, là, tout de suite, avec toi ...

Il avait sans aucun doute plus envie de sentir nos corps s’entrelacer plus que de faire des bébés! Mais ceci dit cette idée ne me déplaisait pas, j’avais toujours envie de coller contre son corps, de sentir mes lèvres contre les siennes ! J’aimais les étreintes que nous partagions, je me sentais bien dans ses bras ! À cette pensée je l’imaginais de nouveau entrain de m’embrasser, j’eus assez d’y penser, et ce dernier contenta mes envies il prit mon visage entre ses mains pour l’approcher délicatement du sien. Je fermai les yeux un instant lorsque ses douces lèvres se posèrent délicatement sur les miennes, j’aurais eu envie de l’embrasser encore et encore, mais l’un comme l’autre nous savions que les enfants allaient revenir et ses pourquoi je du refreiner cette envie.
Valentin passa alors son bras autour de mes épaules et je déposai ma tête sur son épaule ! J’étais bien là, je n’avais pas envie de bouger, j’espérais même que les enfants resteraient coincés en haut laissant ainsi l’occasion à Valentin de m’embrasser à nouveau, mais là je crois que je rêvais un peu. Je levai légèrement ma tête et répondu à Valentin :

-Là tout de suite on a déjà deux enfants sur les bras val, mais l’idée n’est pas déplaisante !

Lui avais-je répondu d’une douce voix, un sourire charmeur sur le visage. J’avais cette sensation avec lui, mon cœur qui s’emballait quand j’étais dans ses bras et la peur qu’il ne me lâche, alors que je voulais qu’une chose c’est qu’il me sert encore plus contre lui. Je déposais alors un baiser dans son cou, jusqu'à ce que j’entende du mouvement à l’étage, une petite bagarre de garçon peut être, des rires traversaient le plancher. Je fis une mou et décidai à regret de me détacher de Valentin, je posai délicatement ma main sue sa joue et approchai délicatement mes lèvres des siennes pour l’embrasser de nouveau, je devais par contre me retenir et ne pas laisser l’envie m’emporter, j’annonçai alors à Val :

–Je vais voir ce qu’ils font.

Sur ce je lui fis un sourire et montai les escaliers, je me dirigeai vers la salle de bain et vis les garçons faire une bataille d’eau, il était mignon et je les observais un petit moment avant de les interrompre :

-Allez les fripouilles, vos dents ne vont pas se laver toutes seules ! Et si vous voulez profiter de vingt minutes de télé il faut se dépêcher !

Sur ceux ils commencèrent à laver leur dent et je descendis les marches de l’escalier pour rejoindre de nouveau valentin sur le canapé, je lui fis un petit sourire et lui dit :

–Les garçons se lavent les dents ! Et ensuite je leur ai accordé vingt minutes de télé ! Comme ça on aura une marge de dix minutes sur l'heure de couché, vu qu’il est 21 heures.

Spoiler:

Valentin sentait que la belle blonde allait très bien s'en sortir. Il ne s'était pas trompé, parce que même si elle avait été autant surprise que lui, elle avait réussi à trouver la bonne phrase. Mais il ne s'était pas vraiment attendu à ce qu'elle dise ça à la fin. Il ne manqua pas de s'étouffer cette fois, mais fit un immense sourire. Le sérieux de Sateen face aux gamins lui faisait comprendre qu'elle en riait au fond. Sinon jamais elle n'aurait dit cela comme ça. Enfin c'est ce qu'il pensait. Et puis l'idée de faire plein plein d'enfants avec elle comme elle disait si bien n'était pas du tout une idée répulsive au contraire. A eux deux, ils pourraient faire d'excellents parents. Il ne savait pas pourquoi il songeait à ça. Pourquoi avait-il fallu qu'il pose cette question ?!
Alors que le sportif finissait son Mars glacé, Sateen annonça qu'il serait bientôt l'heure d'aller se coucher. Les garçons rechignèrent mais ils savaient surtout qu'ils n'avaient pas le choix. Ils se levèrent alors et partirent en direction de leur chambre pour se changer. Une fois que Val fut certain qu'ils n'entendraient ni ne verraient rien, il se retourna vers la blonde et lui dit :

- J'ai comme une envie de faire des bébés, là, tout de suite, avec toi ... Il avait dit cela avec une voix très suave et sensuelle histoire qu'elle comprenne bien ses sous-entendus. Il avait aussi envie de se foutre de sa gueule à lui pour cette interprêtation mais il avait bien trop envie de l'embrasser de nouveau et ne tarda pas à le faire. Il fallait tout de même qu'il garde ses distances et posa simplement ses mains sur son doux visages pour l'attirer vers le sien. Mais il savait que les enfants n'allaient pas tarder. Il ne devait donc pas trop se laisser aller. Cependant, il avait envie de la prendre tout de même dans ses bras. Après son baiser, il resta assis à côté d'elle, passant son bras au dessus de ses épaules, regardant les supers dessins animés, attendant que les gosses ne les rejoignent.

J’étais extrêmement sensible au charme de Valentin, je ne serrais pas expliquer ce qui se passe entre lui et moi a l’instant, mais l’envie d’être dans ses bras, l’envie que ses lèvres se collent contre les miennes, l’envie de l’avoir pour moi ne cessait pas de grandir au fur et à mesure !
Je lui avais demandé s'il savait pourquoi Jimmy avait eu une telle réaction en nous voyant et Valentin n’avait pas tardé à me répondre que c’était certainement dû au fait que Jimmy ai vu l’effet que je faisais à Valentin ! Moi je ne m’en suis même pas rendu compte, et ce serait un jeune garçon de 9 ans qui aurais vu cela ! Là j’étais un peux dépasser, me faire dépasser par un gamin de 9 ans en matière d’attirance. Peu importait, je faisais de l’effet à Valentin et cela me faisait plaisir, je ne put pas alors m’empêcher de lui faire un magnifique sourire tout en me demandant quel effet exactement je pouvais lui faire ! Était-il simplement attiré par mon corps où était-ce plus profond que cela encore ?
J’avais sans cesse envie de l’embrasser, de me serrer dans ses bras ! Je lui avais murmuré quelque mot pour lui dire ce que je ressentais et sa réponse me combla de bonheur, bien mieux que des mots, ses lèvres se posèrent à nouveau délicatement sur les miennes, c’était juste délicieux !
À notre arrivée dans le salon Valentin s'était redirigé vers son assiette qu’il mangea assez rapidement, je fis de même tandis que les garçons mangeaient leurs glaces. J’entamais ma glace lorsque Sam se tourna vers moi et me demanda :

- Vous allez faire des bébés ?

Je manquai un instant de m’étouffer avec ma glace, mais je réussis finalement à avaler correctement, j’eus un moment d’hésitation et je dus afficher une moue étrange et j’étouffai un rire gêné… je ne savais pas trop quoi lui répondre sur le moment, c’étai bien une question d’enfant, et même si c’était gênant je trouvais ça mignon. Je regardai Valentin un instant avec un sourire et finis par répondre à Sam !

-Et bien Sam, Valentin et moi ne sommes pas rendu à là encore. Mais plus tard oui nous aurons plein plein d’enfant !

J’avais ajouté ça très sérieusement pour que Valentin y croit, je voulais voir sa tête, mais au fond j’étais morte de rire. Je regardai Valentin un long moment en attente d’une réaction, il allait certainement recracher ce qu’il avait en bouche ! Puis j’arrêtais de le regarder et me tournai vers les garçons en leurs disants :

-Alors les garçons, on a fini de manger ? Je vous propose d’aller se mettre en pyjama et de se laver les dents, pour profiter un peu de la télé après et ensuite dodo et sans caprice !! Sinon pas de câlin

Lui qui pensait que c'était juste un acte de faiblesse de la part de la blonde, peut-être se trompait-il. Pour lui, dès qu'il la lâcherait, tout s'arrêterait. Il ne le voulait pas. Cependant, il ne pouvait pas la garder contre lui, par terre, dans cette cuisine éternellement. Il croyait alors qu'elle allait prendre la fuite et faire comme si rien ne s'était passé. Mais non. Elle se redressa un peu pour de nouveau lui déposer un baiser, et lui sourire. Valentin fut agréablement surpris.
Elle se leva ensuite et lui tendit la main, qu'il attrapa avec délicatesse. S'il forçait trop, il avait peur de la casser, lui qui avait beaucoup trop de force à revendre. Alors qu'il était en train de se relever, elle lui demanda ce qu'il avait voulu dire Jimmy.

- Il a du remarquer l'effet que tu me faisais ...

Une fois debout, elle l'embrassa de nouveau. Il était vraiment heureux de voir qu'elle avait encore autant envie que lui de l'embrasser. Elle lui fit ensuite part de ce qu'elle avait ressenti, ce qui eu pour reflex de faire sourire le sportif. Jamais il n'aurait pensé entendre ses mots sortir de la belle blonde. Lui qui en ce moment se trouvait être un peu trop un Dom Juan, voilà qu'il n'avait plus la confiance qu'il avait quand il draguait les autres filles. Il était conscient du charme qu'il pouvait provoqué, mais avec elle, c'était comme s'il perdait tout ses moyens. D'où ses défaillances de caractère certainement.
Pour toute réponse à ce qu'elle venait de lui dire, il ne trouva rien de mieux que de lui déposer un ultime baiser. Elle alla ensuite chercher des glaces dans le frigo et ils rejoignirent les enfants au salon. Ils avaient déjà tout fini, alors qu'eux n'avaient pas encore mangé du coup. Et Valentin mourrait de faim. Il se jeta presque sur son plateau, après avoir récupérer la glace que lui avait tendu Sateen.

Il était déjà 20h45, et les enfants n'allait pas tarder à aller se coucher. Le temps était bien trop vite passé avec tous ces évènements. Valentin avait presque fini son repas, quand il manqua de s'étouffer quand Sam demanda à Sateen :

- Vous allez faire des bébés ?

Valentin ne put s'empêcher de rire à cette réflexion typique gamin. Heureusement, il l'avait posé à Sateen, parce que le brun n'aurait pas su quoi répondre.

J’appréciais l’étreinte que nous partagions, c’était tellement réconfortant. J’arrivais petit à petit à me détacher de ces penser douloureuse, je ne pensais plus qu’a l’instant présent. La chaleur des bras de valentin qui m’enveloppait, son odeur qui m’enivrait, mon esprit qui était complètement chamboulé et qui devenait de plus en plus confus, jusqu'à ce que tout pensée cesse ! Jusqu’à que mon visage se rapproche du tien, jusqu'à que nos lèvres soient si proches que notre souffle se mêle, jusqu'à ce que je t’embrasse pour la première fois depuis la dernière fois ! À cet instant tout mon être était chamboulé, mon esprit retourné. Et mon premier réflexe fut de m’excuser alors que j’avais apprécié ce doux baiser, bien différent de ceux que l’on avait pu échanger auparavant. Pourquoi l’avais-je embrassé ? Par besoin d’affection, a cause de cet amas de tristesse, ou tout simplement car j’en avais envie ! Je m’étais resserré dans le creux de ses bras, j’étais tellement bien contre lui, plus paisible, cependant je craignais sa réaction, le pauvre nous en voyons de toutes les couleurs lorsqu’on est ensemble, mais à chaque fois il s’en dégage quelque chose d’agréable et c’est ce que j’apprécie quand je suis avec Val ! À chaque fois c’est étrange, mais une part de bon, de délicat ou même délicieux ce cache derrière, et je ne retrouve pas cela avec tout le monde.

Sa réaction ne tarda pas non plus à venir, il releva ma tête en prenant le bout de mon menton et approcha délicatement mon visage du sien, nos souffles se mêlèrent à nouveau, mon cœur s’emballait à l’instant même où nos lèvres se frôlèrent. Je ne m’attendais pas vraiment à cette réaction de sa part, mais au combien je l’appréciais. Nos lèvres s’entrelacèrent alors, je glissai de nouveau ma main dans son cou pour répondre à ce baiser passionné et profitais pleinement de l’instant présent. Je répondais entièrement à son baiser, faisant moi-même preuve de passion, je ne savais pas vraiment ce qui se passait, mais plus notre baiser s’amplifiait plus l’envie montait en moi. Mon cœur s’emballait complètement et mon esprit n’était plus en mesure de réfléchir, l’endroit, la situation, les autres personnes nous entourant semblaient avoir disparu, c’était mon petit moment de bonheur ! Le petit moment de douceur que j’appréciais temps, cela faisait un moment que je n’avais pas ressenti ça et je l’appréciais pleinement, la seule personne que j’embrassais récemment c’était Duncan. Mais cela n’avait rien à voir avec ce que je ressentais pour Valentin.

Je pouvais sentir nos envies respectives, ce désir qui nous envahissait l’un l’autre au contact de nos lèvres ! Nous n’avions pas envie que cet instant s’arrête ! Nous voulions l’un comme l’autre continuer à se baiser, répondre à nos désirs, mais Jimmy en avait décidé autrement il était entrée dans la pièce et avait prononcé des paroles que j’avais vraiment du mal à saisir ! Valentin avait arrêté notre baiser, ce qui semblait d’ailleurs compréhensible, contrairement à l’expression qu’affichait Jimmy. Ce dernier était surpris, mais surtout super-heureux ! Pourquoi donc et ses paroles que signifiait-elle ?
Jimmy avait finit par partir, Valentin ne m’avait toujours pas lâché et je n’avais pas envie de me détacher de cette étreinte, mais l’heure tournait et nous avions des horaires à respecter. Je tournai mon regard vers Valentin et ne put pas m’empêcher de sourire, je me redressai légèrement, glissa ma main sur sa joue et déposa un nouveau baiser sur ses lèvres avant de me détacher enfin à regret de son étreinte. Je me levais alors et lui tandis la main, tout en lui dédiant un sourire tendre et un regard pétillant. C’est alors que je lui demandai :

-Tu sais pourquoi Jimmy a dit ça ? Et pourquoi il semblait si heureux ?

Une fois que val fut levé, je me rapprochai de lui me hissa sur la pointe des pieds et l’embrassa de nouveau, c’était plus fort que moi j’avais encore et encore envie de l’embrasser. Je lui murmurai alors avant de sortir de la cuisine, à l’abri des oreilles indiscrètes :

-J’aurais pu rester dans tes bras longtemps valentin, apprécier tes lèvres entrelacé au mienne et le parfum qui émane de ton corps, mais nous avons malheureusement des horaires à respecter.

C’était vraiment étrange toutes ses sensations que j’éprouvais à l’égard de Valentin, mais aussi extrêmement agréable ! Nous étions encore restés un petit moment dans la cuisine, à nous regarder, je m’étais tourné vers le frigo un instant pour en sortir les surprises, puis nous nous étions dirigés vers le salon pour rejoindre les enfants ! Les garçons avaient fini de manger leurs, plat, encore heureux il ne nous avait pas attendu. Je m’étais alors dirigé vers le bout de choux et lui avais demandé, tout en passant ma main dans ses cheveux :

-Ca va Sam ? Bon tu as été un bon joueur donc tu as le droit a la surprise !

Sur ceux je lui tandis un Mars glacé et il me décerna un grand sourire, ce qui déclencha instinctivement le mien. Je le serrai dans mes bras et tandis les deux autres glace à Val et Jimmy.

Valentin n'avait pas réfléchi un seul instant. Oui c'était pour la réconforter qu'il l'avait pris dans ses bras, mais peut-être était-ce tout simplement égoïste de sa part, que ce n'était que pour le réconforter lui-même. Il ne l'avait jamais vu dans un tel état et ne le voulait pas. Cela lui faisait presque aussi mal qu'elle devait l'être. Sûrement était-ce pour les deux raisons qu'il lui avait déposé un baiser sur le front et l'avait serré contre lui. Ce n'était pas comme la première fois qu'elle s'était retrouvée contre lui. C'était le même geste, mais tellement plus intense, et non pour assouvir le même désir. Ce dernier était certainement beaucoup plus affectif que le précédent.

Il la serrait toujours autant alors qu'elle s'était volontiers laissé faire, pour à son tour se coller contre lui. En même temps même si elle n'avait pas eu vraiment le choix, elle l'avait serré à son tour et avait posé sa tête sur son épaule. Rien que ce contact si fort faisait qu'il la sentait se calmer et il en était heureux, il souriait presque. Il se sentait mieux, avec elle, sachant qu'elle arrivait à se calmer.
C'est alors qu'elle déposa un baiser à son tour, mais dans son cou. Il en fut surpris, mais il en eut surtout des frissons. Elle avait relevé la tête. Ils étaient tellement proche, il n'avait pas songé alors que cela lui ferait un tel effet. Il la regardait, ne sachant que dire, que faire. Mais il n'en eut pas vraiment le temps, vu qu'elle l'embrassa, de nouveau, mais ses lèvres. Il n'avait pas bougé d'un poil, ne comprenant pas vraiment ce qu'il lui arrivait. Cette tendresse avait tellement été différente de celle qu'il se rappelait d'elle. Et ce simple baiser, il l'avait beaucoup plus apprécié. Mais il savait bien qu'elle l'avait embrassé simplement parce qu'elle était faible à cet instant là, et qu'elle avait besoin d'affection. Il ne lui en voulait en aucun cas, au contraire.

C'est alors qu'elle s'excusa, après avoir été presque choquée de son geste. Pourquoi ? Elle n'avait aucune excuse à donner. Ce serait plutôt à lui de lui en faire par la suite, parce que lui n'en avait aucune, puisqu'il releva la tête de Sateen à l'aide de sa main libre, et l'approcha de la sienne pour pouvoir l'embrasser à son tour. Mais pas qu'un simple baiser, non, il l'embrassa langoureusement, et plus passionnément que jamais. Cela faisait tellement longtemps qu'il n'avait pas embrassé une fille de la sorte, et qu'il en avait eu autant envie. Il se sentait abuser de la faiblesse de la jeune femme, mais il ne pouvait pas se contrôler, il avait trop envie d'elle. Tellement qu'il sentait autant son pauvre cœur battre la chamade, et le corps chaud de la belle blonde contre lui, dont il avait de nouveau envie. Il sentait surtout que c'était vraiment différent. Ce n'était ni la même envie, ni la même passion. Il reconnaissait ce sentiment. Mais il n'avait pas envie de cesser de l'embrasser, et n'arrivait pas à arrêter.

- Ah ben voilà t'as réussi !! se mit à crier le Jimmy en rentrant dans la cuisine. Merde. En matière de discrétion, il n'était vraiment pas le roi. Il arrêta net d'embrasser la blonde pour se tourner vers le gosse qui les regardait à moitié surpris et moitié content. Val n'avait pas pour autant lâcher Sateen, surement par réflex. Après tout, c'était elle qui était sur lui, et il savait qu'elle n'allait pas tarder à rejoindre les enfants.

Je ne sais pas pourquoi cet évènement qui n’avait finalement pas tourné au drame au vu de nos réactions immédiates, me mettait dans un tel état ! Je n’aurais jamais dû réagir comme tel, mais voilà que j’étais dans la cuisine la tête plongée dans mes mains incapables de retenir ses larmes maudites ! C’était complètement pathétique pourquoi avait-il fallu que je repense à mon enfance ? Et en plus me voilà entrain d’enfreindre ma promesse ! De mieux en mieux décidément. Je n’avais pas le droit de pleurer ainsi, pas le droit de penser à tout ça, je l’avais promis. À ce jour il n’y a que cinq personnes m’ayant vu pleurées sur cette terre : mon cher Maximilien, Scott, Lukas, Edgard et mon confident jasper. Je n’avais vraiment pas besoin que Valentin s’ajoute à la liste, il devait absolument me voir comme la jeune fille joyeuse qui affiche toujours un grand sourire et qui fait tout le temps la fête. Je voulais réfréner ses larmes pour que Valentin ne me voit pas dans un tel état, mais je ne cessais pas de me dire que tout était de ma faute et cela entrainer des vagues de larmes encore plus belles ! J’avais de la conviction à ce qu’il ne me voit pas ainsi, mais il était déjà trop tard, Valentin se trouvait à mes côtés.

Ce dernier retira la chaise de la table et c’était accroupi devant moi, choses à laquelle je ne m’attendais pas, mais alors pas du tout, par ailleurs il avait ensuite retiré mes mains de devant mon visage avant de déposer un baiser sur mon front. Je ne sais pas pourquoi mais au moment où il allait déposer un baiser sur mon front, lorsqu’il remonta ses lèvres jusqu'à ce dernier, que nos visage se rapprochait, j’eus l’ombre d’un instant l’impression qu’il allait m’embrasser ! Certainement un besoin d’affection témoigné de la tristesse qui me tordait ainsi le cœur et l’esprit, à tel point que je n’arrivais même plus à honorer ma promesse !

Je fis un sourire à Valentin qui était des plus faux et totalement en adéquation avec les larmes qui continuaient de perler sur mon visage. Mais ce faux-semblant de sourire fut vite remplacé par une expression d’inquiétude, tandis que me sentais tomber lentement de ma chaise. Cette inquiétude se transforma bien vite en une agréable sensation de réconfort. Valentin venait en fait de m’attirer tout contrer lui, il me serrait contre son corps et me câlinait. J’appréciais cette attention qu’il m’apportait, et ce réconfort, d’un mouvement qui me sembla naturel je me serrai encore plus dans le creux de ses bras. Valentin n’arrêtait pas de m’étonner, il était vraiment charmant avec moi, attentionné et délicat. Malgré ses petits côtés machos qui ressortaient, il s’en excusait toujours, si j’avais ne serait-ce qu’un seul instant imaginait que Val ferait preuve de temps d’attention a mon égard … bref ce n’était pas le sujet.

Mon Cœur battait toujours la chamade suite aux récents évènements, mais sentir son corps contre le mien, sentir ses bras m’enlaçant, commençait à me rassurer, mes larmes commençaient alors à s’estomper petite à petit. J’en essuyai quelqu'une, avant de frotter ma main sur ma robe, puis serrant un peu plus mon corps contre le sien, je glissai ma main dans son cou et cela ma tête sur son épaule. Je voulais qu’il me serrait encore, encore, de plus en plus fort, je me sentais en sécurité dans ses bras.

Mais là toute cette attention me touchait au plus profond, j’avais toujours quelques larmes aux creux de mes yeux, et l’esprit complètement chamboulé par cette tristesse à laquelle je n’avais plus l’habitude de faire face, enfin plus extérieurement. Quelque évènement que je déclenchais alors m’étonnait moi-même, je déposai un baiser dans le cou de valentin et relevai mon visage de telle sorte à ce qu’il soit face au sien avant d’embrasser ses lèvres. Ce contact me rappela l’étreinte que nous avions eue lors de la fameuse soirée qui avait tout changé entre nous. J’eu alors un instant de réflexion avant de réellement réaliser ce que je venais de faire, j’écarquillais alors les yeux. Non mais qu’est-ce qui m’avait pris, non que ce soit déplaisant, non c’était très agréable. Mais Valentin ne s’attendait pas du tout à ça, il vient me réconforter et voilà que je l’attaque avec une vague de sentiment impromptu ! La surprise avait fait disparaître les larmes, mais je ne tenais pas à ce qu’il me lâche, je dis alors d’une douce voix tout en me confinant à nouveau dans le creux de ses bras :

-Euh... je suis désolé, je n’aurais peut être pas du faire ça !

Alors que Valentin s'évertuait à soutenir psychologiquement le jeune Jimmy, Sateen quand à elle opéra des soins de premiers secours. Il ne la regardait pas vraiment, histoire que Jimmy non plus ne voit pas cette scène. Il plaqua alors ses deux mains sur les deux joues du gosse pour le forcer à le regarder dans les yeux. Il se mit à lui sourire, puis quand il entendit que le petit avait réussi à recracher le morceau, Valentin sortit d'un ton joyeux, complètement soulagé que cela n'est pas tourné au drame :

- Et voilà ! Elle l'a sauvé !

Valentin se releva, heureux de la situation. Sateen semblait plus choquée que rassurée. Elle serra Sam dans ses bras avant de convier Jim au câlin. Le sportif cru qu'elle allait pleurer, et cela lui fendit le cœur. Il comprenait, mais il ne la savait pas aussi émotive. Il s'attendait à ce qu'elle affiche de si tôt un magnifique sourire comme elle savait si bien les faire, mais non. Elle laissa les deux enfants sur le canapé, collés l'un à l'autre. Elle passa devant Val, avec le bout recraché dans la main et se dirigea droit vers la cuisine. Il était toujours debout et était un peu pommé. Mais il avait mal pour elle. Son cœur s'était incroyablement mis à faire du tambourinage. Il fallait absolument qu'il aille voir si elle allait mieux.

Il jeta un regard aux deux garçons, puis se dirigea d'un pas franc, à la limite de la panique, vers la cuisine. Il vit alors Sateen assise sur une chaise, le visage dans ses mains, en train de pleurer. Aie. Oui il se sentait mal, vraiment. Il se jeta presque à ses pieds, tourna la chaise vers lui, et se mot à croupi devant elle. Il lui retira les mains de son beau visage et lui déposa un baiser sur le front. Il n'hésita pas un seul instant et fini par la prendre dans ses bras. Il l'attira contre lui, la faisant tomber de sa chaise par la même occasion. Mais il était là pour la réceptionner. Il la serra contre lui, la câlinant, ne songeant même pas à lui demander pourquoi elle allait si mal.Ce n'était pas ça le plus important. Il voulait la réconforter, qu'elle aille mieux. Il s'inquiétait vraiment pour elle, et voulait la serrer davantage contre lui. Il ne supportait pas la voir dans un tel état, alors qu'elle n'était pas en danger. Mais c'était tout comme.

La soirée se passait plutôt bien, j’étais plutôt fier du repas que je leur avais fait et néanmoins encore inquiète de ce que Valentin allait en penser ! Ceci dit mon inquiétude fut bien vite interrompus, ont plutôt vite remplacé par une inquiétude bien plus importante. J’aurais largement préféré continuer de m’angoisser pour le plat. En effet tandis que j’avais lancé un petit jeu au garçon Sam avait décidé de jouer à fond et en voulant faire le malin le voilà qui était en train de s’étouffer avec un morceau de poulet pané. Je m’en voulais tellement à cet instant. Mais n’attendis pas un seul instant pour réagir, pas un regard vers Jimmy, même pas un regard vers Valentin non, toute mon attention était portée sur Sam, je me levai et immédiatement vins à ses côtés.

Je levai Sam le faisant se tenir debout, je me positionnai alors derrière lui légèrement sur le côté, inclinant un peu son abdomen, je donnais alors cinq claques dans le dos de Sam, en faisant attention à ne pas lui faire mal mais tout en étant efficace. Je vérifiais à chaque claque que les choses rentrer dans le bon sens et pas dans le sens inverse que celle souhaite. Mon cœur était complètement affolé, j’avais vraiment peur pour Sam à tel point que les larmes commençaient à monter à mes yeux, la perte d’un enfant me faisait tellement peur, mais je devais être forte. Après la cinquième claque que je lui donnais dans le dos, Sam se mit à tousser et recracha le morceau. Il se mit alors à pleurer et cela me brisa le cœur, j’effaçai alors les quelques larmes qui avait perlé sur mon visage et alla m’assoir sur le canapé, je pris alors Sam dans mes bras et les serrai dans mes bras, posant sa tête contre ma poitrine, je caressais délicatement ses cheveux tout en déposant des bisous sur sa petite tête d’ange ! Je le berçais légèrement tout en murmurant :

-C’est fini sam !

Ce petit garçon pleurait, d’une parce qu’il avait eu mal et des deux parce qu’il avait eu extrêmement peur. C’est pourquoi je le berçais ainsi. Je m’en voulais de lui avoir lancé ce petit jeu, il aurait pris le temps de mâcher correctement si je n’avais pas fait ça ! Le rythme de mon cœur commença enfin à revenir a au normal. Je continuais de bercer le petit Sam quand je me permis enfin à regarder Valentin d’un regard qui se voulait discret pour les garçons. Je fis une légère mou à Valentin pas trop fier de ce qui venait de ce passé, cependant j’étais contente de le voir réconforter Jimmy, surprise de le voir si attentionné envers les enfants au final ! À ce moment-là j’étais même à la limite de me dire que j’avais aussi besoin de valentin me réconforte.
Je l’avais vraiment mal jugé, et de toute façon il était mal de juger, et la était mon erreur première. Lorsque le rythme cardiaque de Sam et ses pleurs commencèrent à se calmer, j’attendis un peu et finis par le redresser un peu sur mes genoux, telle sorte sortes que je puisse avoir son visage face au mien. J’essuyai alors les larmes qui restaient sur son visage, puis je tandis mon bras vers Jimmy et lui dit :

-Tu viens faire un câlin à ton frère Jimmy !

J’avais alors tout d’abord participé au câlin avec les garçons et leurs avait dit d’un ton rassurant :

-C’est fini les garçons, c’est surprenant mais ce n’est rien de grave.

Je déposais alors un bisou sur chacune de leur tête et je les laissais tous les deux sur le canapé, Jimmy prenant alors son petit frère dans ses bras. Je me levai du canapé, pris une serviette en papier et ramassai ce que Sam venait de recracher. Me dirigeant vers la cuisine je jetai la serviette avec le contenu et m’appuyai sur le bord de l’évier. Là je ne put rien réfréner et je me mis à pleurer ! C’était pathétique, j’avais eu aussi peur que les gamins et je n’arrêtais pas de me dire que si je n’avais pas lancé ce petit jeu ça ne serait pas arrivé ! En fait à partir du moment où Sam commençait à tousser je n’avais pas pu m’empêcher de penser à mon enfance et de me revisionner les images en boucle. Je n’arrêtais pas de pleurer, j’ouvris alors le robinet et m’aspergeai le visage d’eau, tirant une des chaises de la cuisine je m’asseyais un instant glissant mes mains dans mon visage, le temps de me calmer et d’arrêter ses pleurs.

Comme Valentin s'en était douté, Sateen le pardonna. Il avait découvert cette grande qualité après qu'ils se soient retrouvés dans le même lit. Elle était tellement adorable qu'elle ne pouvait en vouloir à personne. Dans ce cas-là, comment cela se faisait-il qu'elle semblait ne pas l'apprécier avant les récents évènements ?! Peut-être que cela avait été possible, mais de façon moindre, pas autant que lui.
Elle en avait profité aussi pour lui affirmer qu'ils en parleraient plus tard. Qu'elle voulait prendre un nouveau départ. Soit. Cela lui convenait, bien qu'il trouvait assez difficile de prendre un nouveau départ. Jamais il ne pourrait oublier ou faire comme si cela ne s'était pas vraiment passé. Il avait cette attirance étrange envers elle et cette répulsion encore plus bizarre, qui faisait ressortir le macho qui était en lui. Mais il ne lui dirait pas, parce qu'il l'appréciait plus qu'autre chose, et il sentait idiot d'avoir ces impressions là.

Ils étaient à présent avec les enfants, devant la télé. Sateen leur proposa un petit jeu, alors qu'ils venaient de remarquer la pomme sur le plateau. Bah quoi ? C'est bon les pommes non ? Il observa le plateau et remarqua qu'elle s'était vachement bien débrouillée pour une Américaine. Il allait tout de même goûter avant de la féliciter, quand il entendit un bruit d'étouffement. C'était Sam. Il avait avalé de travers ou une connerie du genre. Quand à Jimmy il regardait son frère, ne sachant pas quoi faire. Heureusement Sateen était plus proche de Sam et Valentin la laissa faire, tout en gardant un œil par précaution. Valentin embarqua Jim vers lui :

- Ne t'inquiète pas, il a juste avalé de travers ça va aller ! Tu vois, Sateen s'occupe de lui, il n'y a rien à craindre.

Il se mit à sourire au gamin, pour le rassurer et le réconforter. Il avait peur pour son petit frère, c'était normal.

J’étais revenue, et leurs avait préparé un repas qui j’espère leur plairait ! Après un petit moment une fois que j’eu fini de préparer les plateaux je m’étais dirigé vers le salon et avais demandé à valentin s’il pouvait me donner éventuellement un petit coup de main, histoire que je ne fasse pas trente six milles tours entre la cuisine et le salon. C’est alors que ce dernier c’était levé et m’avait suivit dans la cuisine et m’avait présenté des excuse :

-Je suis désolé Sateen pour tout à l'heure ... je n’ai pas été très ... sympa ! Je ne voulais pas ... je m'excuse !

Valentin avait l’air sincèrement désolé, et le timbre de voie qu’il avait pris me touchait au plus profond !! Ce n’était pas le premier macho que je rencontrais dans ma vie et certainement pas le dernier ! Mais valentin avait quelque chose de différent, c’était certes une partie de lui, mais il y avait ce petit quelque chose que je n’arrivais pas à déterminer. Il ne semblait pas apprécier cette partie de lui en ma présence !! Enfin ça parait stupide et ce n’est peut être qu’une sensation, mais bon.
A la fin de ses paroles je n’avais pas pu m’en empêcher, je m’étais approché de lui et l’avais serré délicatement contre mon corps, j’avais posé un instant ma tête sur son épaule et avais ensuite plongé mon regard dans le sien. Mon visage s’illuminant de nouveau d’un sourire je lui dis :

-Ce n’est pas grave Valentin ! J’ai entendu pire que ça !! Tu es tout excuser, je vais prendre ça comme une petite blague de ta part et on n’en parle plus ! J’ai vraiment envie de prendre un nouveau départ avec toi… On en parlera tout à l’heure !

Je n’arrêtais pas de lui sourire, on est resté un petit moment comme ça jusqu'à ce que les enfants nous appelle, j’avais alors desserré l’étreinte et avais suivit valentin portant moi aussi deux plateaux que je posais à mon tours sur la table basse. Je tournai un instant ma tête vers les dessins animé, cela me rappelait de lointain souvenir et je ne pu pas réfréner un sourire. Je regardai par la suite les enfants qui semblaient être ravie.

-Alors les garçons vous avez faim ?

Il était tellement absorbé par le dessin animé que je n’eu le droit qu’a un simple signe de tête m’affirmant que oui ! Du style on est entrain de regarder fait pas de bruit ! Ca c’était tout les gamins, pas un de leurs avantage, mais on était pareil à leur âge.

-Alors Sam et Jimmy, j’ai un petit jeu pour vous ! Regarder vos plateaux et dite moi ce qu’il y a dedans. Si vous trouver tout ce qu’il y à alors vous aurez une surprise !

C’est alors qu’ils baissèrent la tête vers leurs plateaux respectif, premièrement il c’était exclamé en cœur : « oh non pas des fruits », je fus extrêmement contente de mon petit effet à ce moment là… je leurs avais dit de continuer et Sam m’avait alors demandé ce qu’était le truc qui semblait croustillant !

-Et bien ça c’est à vous de me le dire, mangez et vous me direz après !!

Qu’est ce qu’il ne fallait pas faire juste pour rendre le repas un peu intéressant pour les gamins, je jetai un cou d’œil à Valentin, me demandant sérieusement si il allait aimer… je me trouvais complètement nouille (c’était le cas de le dire) d’avoir fais des pâtes à valentin ! Ce n’était vraiment pas original d’avoir fait des pâtes à un italien ! Surtout qu’il devait avoir plus d’expérience que moi en se domaine, et si je les ai raté je risque d’en avoir des commentaires !! Mais bon maintenant c’est fait je n’ai plus qu’a attendre le verdict ! Est-ce que ça allait plaire à val, sa et Jimmy ! Je commençai alors à manger ce que j’avais préparé tout en les regardant de temps à autre, mon regard se dirigeant plus souvent vers valentin que vers les enfants !! Il me tardait d’être en fin de soirée pour que l’on puisse enfin parler.

- A tout de suite !

Avait répondu Sateen avant de s'en allait faire les courses. Valentin regardait la porte une fois claquée. Il y était allé peut-être un peu fort. Pourquoi avait-il mal pris ce qu'elle lui avait proposé ?! Elle était adorable et serviable. Il ne comprenait pas pourquoi il pouvait être le pire des machos quand elle agissait comme ça, il n'aimait pas l'être, mais ce côté revenait bien trop souvent en la présence de la belle blonde.
Il fut secoué par Jimmy :

- On peut changer de chaîne steu plaiiiiit ?!

Il était poli ce gosse. C'était pas tous les enfants qui demandaient à changer de chaîne, ils le faisaient tout seul en général. Valentin retourna la tête vers la télé pour constater qu'il s'agissait d'une chaîne politique. Lui non plus n'avait aucune envie de regarder ça. Il avait remarquer qu'en Amérique, les débats politiques étaient juste effroyables, pire pour ceux des religieux. Ce n'était plus des débats à force, c'était de la propagande. Le sportif fit alors une sale tête, fronça les sourcils et Bien sûr, fais toi plez ! Le petit Jimmy n'attendit pas une seconde de plus pour changer la chaîne, et pour mettre ... des dessins animés. Valentin fut un peu surpris que Jimmy s'arrête sur cette chaîne. Sam était ravi, mais Jimmy n'était-il pas un peu trop vieux ?! C'est alors qu'il se rappela sa jeunesse avec son frère et sa sœur. Le plus grand avait regardé les dessins animés longtemps après l'âge normal. Ayant des petits frères et sœurs on avait tendance à continuer les cartoons, c'était normal après tout.

Valentin fut pris dans les dessins animés, tellement que Sateen sembla revenir bien vite. Il la regarda rentrer, sans dire un mot. Il ne savait pas comment s'excuser et se faire pardonner. Il se sentait gêné, alors qu'elle semblait sereine et toujours d'agréable humeur. Elle commença le dîner, et Val fut attirer par un bruit à la télé et par les rire des deux gamins. Il fut de nouveau absorbé par le programme, jusqu'à ce que Sateen proposa de manger devant la télé. Les garçons furent plus qu'heureux. Et ça sentait terriblement bon. Elle demanda ensuite un petit coup de main. Il n'hésita pas un seul instant et se dirigea vers elle pour la retrouver et l'aider à porter les plateaux.

Je suis désolé Sateen pour tout à l'heure ... j'ai pas été très ... sympa ! Je ne voulais pas ... je m'excuse !

C'était limite comme si c'était quelque chose de grave, mais il n'aimait pas voir ressurgir son caractère, encore moins avec elle ... Il ne voulait pas la blesser, il l'aimait bien au fond, surtout depuis leur fameuse nuit, dont il n'avait toujours pas encore parler. C'était peut-être de cela dont elle voulait lui parler. Mais il ne savait pas ce qu'ils pourraient se dire. Il ne pensait pas que c'était une erreur, mais il savait que c'était du à l'alcool, alors il ne savait pas trop pourquoi il avait fait ça ...
Il prit alors deux plateaux et les apporta au salon, devant la télé, sur la petite table basse.

Spoiler:

Je me demandais bien ce que nous allions pouvoir manger ! J’avais envie de leur faire plaisir sans pour autant leurs faire un plat de haute gastronomie, je sais pertinemment ce qu’aime les enfants, il raffole des féculant en grande quantité, des hamburgers ou des hot dog à volonté…cela ne me dérange pas le moins du monde, mais je me dis que dans de tel quartier ça doit être ce qu’il mange à peu prêt tout les jours et ils ne doivent pas forcément manger très saint. Il allait falloir que je me creuse la tête pour trouver quelque chose qui leurs ferait plaisir tout en étant plus sain que ce bon vieux Mcdo, c’est alors que Valentin me répondit :

- Et bien je te laisse faire alors. J'ai toujours cuisiné pour toute la famille, donc je ne connais pas les plats légers. Si tu veux aller faire des courses, vas-y, mais je ne suis pas sûr que les enfants vont te dire qu'ils veulent manger des choses bien saines ...

Hum… il se déchargeait bien vite de la tâche Valentin, c’était un peu facile ça ! Je fus surprise tout de même d’apprendre que ce dernier cuisinait, C’est rare pour un garçon et le fait qui casse les préjuger sur le fait que les garçons ne cuisinaient jamais me plaisait beaucoup je dois l’avouer. J’aimais casser les généralisations, chaque personne est particulière et laisse à chacun le plaisir de nous surprendre. Pour lui sain signifiais léger, là il devait certainement me mettre dans la généralisation des Eta iota qui ne mange quasi rien, mise à part une belle petite salade, ce n’étais pas mon cas, j’avais la chance de peu grossir et par ailleurs je faisait du sport, je dois certainement faire partie des filles qui apprécie beaucoup la nourriture et qui ne s’en prive pas sous prétexte qu’il ne faut pas dépasser un certain poids. Oui je fais attention à mon corps, mais c’est comme tout il ne faut pas viser dans l’excès et ainsi notre corps se porte bien, il ne faut ni trop de quelque chose, ni pas assez. Je m’empressai donc de rétorquer en toute simplicité, sans faire preuve de mécontentement mais plutôt en affichant un sourire si contente de casser le fait que j’étais une Eta mais que j’aimais la nourriture et que ce n’était pas une petit salade qui allait me contente.

-Tu m’abandonne déjà Valentin !!Tu sais sain ne veux pas forcément dire léger, ne fixe pas d’étiquette Eta sur ma tête s’il te plait, ce n’est pas parce que je fais partie de cette confrérie que je dois me nourrir d’une simple feuille de Salade ! J’aime la bonne nourriture, les plats copieux ! J’espère qu’un jour j’aurais l’occasion de gouter ta cuisine Valentin !! En attendant je n’ai pas l’intention de faire une petit salade au enfant, il n’y aurait pas assez de féculant pour eux, il ne faut pas oublier que j’ai été enfant aussi !

J’eu un léger rire et repris mon inspiration durant un instant. Je refermai la porte du frigo et tout en me dirigeant vers le couloir de l’entrer pour enfiler mon manteau, je continuai à lui dire :

- Tu sais je n’ai pas l’intention des les gaver de petits légume, j’ai envie de leur faire plaisir, mais je n’ai pas l’intention d’acheter Mcdo non plus, car là c’est bien loin d’être sain, tu dois certainement ignorer que dans chaque hamburger de Mcdo il y à un anti vomitif ! La prochaine fois que tu mangeras Mcdo regarde sous ton hamburger tu y verras une tache blanchâtre ou l’anti-vomitif il est souvent très mal dissimulé.

Après cela tandis que je portais ma main à mon sa c et me dirigeais vers la porte, valentin me dit d’un air bien macho :

- Les femmes, à la cuisine, et les mecs devant la télé !

Il avait d’y cela limite d’un cri de joie, c’était vraiment macho et ce n’était pas son meilleur côté j’en étais certaine, je l’avais jugée sur des préjugée, je ne voulais pas m’y faire avoir deux fois. Par ailleurs lorsque je vis le sourire des enfants cela déclenchai le mien et j’oubliais quasi instantanément les commentaires machiste de Valentin, du moins jusqu'à ce que ce dernier recommence :

- Ne traîne pas trop ! Et si t'as besoin de conseil, appelle-moi !

Mais là il me cherchait un peu quand même, Valentin ne serait-il en fait qu’un macho !! Ça façon de me dire ça m’avais fortement déplu, je me demandais sérieusement si il allait continuer comme ça toute là soirée, et si c’était le cas ça promettais d’être bien joyeux. Ca n’allait surtout pas me plaire, mais bon je n’allais pas m’énerver sur place, après tout ce n’était quelque petit van, temps qu’il ne faisait pas ça à longueur de journée, à lui de me prouver que je ne me suis pas trompé ! Je franchis la porte de la maison sans réagir à ce qu’avait dit valentin :

-A tout de suite !

Sur ceux je montai vite dans ma voiture et me dirigea vers le commerce le plus près, j’achetai tous ce qui m’étais nécessaire, ayant bien réfléchit à ce que je pouvais faire pendant le trajet. C’est donc bien plus vite que prévue que je fus de retour à la maison. Aussitôt arrivé je rentrai dans la cuisine pour ne pas perdre de temps et respecter les horaire qui nous avais été imposé, je sortie les glace et les rangea immédiatement dans le freezeur, tandis que je posais les fruits bien en évidence dans une assiette sur la table, il fallait bien que je les fasse marcher un peu. Je sortie les tagliatelles, que je mis à cuire, puis je sortie le poulet que je coupai en plusieurs morceau pour ensuite les pannée et les faire frire histoire de les rendre bien croustillant, je surveillais les pattes pour qu’elle ne soit n’y trop cuite, ni pas assez, al dente comme aurait pu me dire valentin si il avait été à mes côtés pour m’aider. Dès que les nouilles et le poulet fut près je fis griller le bacon et ajouta tout ça dans un plat, je complétai le tout d’une délicieuse sauce que je fis avec une crème fraîche très bonne, à tel point qu’on aurait pu la manger à la petit cuillère. Je fi une petit salade verte pour accompagner le tout, je savais que ma salade n’aurais pas beaucoup de succès mais les nouilles garnie par contre j’étais sûre qu’elle plairait, croustillante à point, une chose que les enfants adorait en général. Je vérifiais une dernière fois que tout était bien assaisonné puis je leur fis à chacun un jolie plateau télé, avant de leurs apporter je décidais tout de même de demander aux enfants :

-Alors les garçons !! Ça vous dit de manger devant la télé !!

Bien sûre leur réponse n’avait pas tardé, mais j’avais ajouté :

-Par contre il faudra vraiment manger et pas bader comme une mouche devant l’assiette, et une dernière chose il faudra manger proprement sinon demi-tour direction la cuisine !!

Ils avaient l’air heureux de manger devant la télé, et avais promis de respecter leur paroles, je fis un petits sourire à valentin en espérant qu’il apprécierait le repas et qu’il me soutienne si les enfants ne respecter pas le marché.

-Valentin tu viens me donner un petit cou de main pour amener les plateaux s’il te plait !!

J’attendais qu’il vienne, qu’on ai ainsi pas besoin de faire trente six mille tour pour apporter quatre plateau dans lesquels était disposer un verre d’eau, une assiette remplie de nouille garnie accompagné d’une petit salade agrémenté de quelque morceau de bacon croustillant, puis un fruit dans le coin du plateau, je me demandais qu’elle tête ils allaient faire en voyant le fruit !! je sentais que ça allait être drôle, j’avais pas forcément souvenir que j’aimais les fruits étant petites, je préférais largement une bonne sucrerie.

Spoiler:

Valentin avait demandé à Sateen si elle avait une idée pour le diner. Oui il avait envie de faire un peu de cuisine, pour aider, et parce que cela faisait longtemps qu'il n'avait pas cuisiné pour quelqu'un, à part pour lui-même, et encore. Il écouta donc l'avis de Sateen le temps qu'ils arrivent à la cuisine avec les enfants et le temps qu'elle ouvre le frigo pour remarquer qu'il n'y avait pas grand chose pour faire un repas pour quatre.
Il n'avait pas d'idée de ce qu'ils pourraient mangé, il ne connaissait que des plats italiens, et bien copieux. Après oui bien sûr qu'il savait faire la salade, mais il ne pouvait s'empêcher de toujours rajouter tout plein d'ingrédients.

- Et bien je te laisse faire alors. J'ai toujours cuisiné pour toute la famille, donc je ne connais pas les plats légers. Si tu veux aller faire des courses, vas-y, mais je ne suis pas sûr que les enfants vont te dire qu'ils veulent manger des choses bien saines ...

C'était toujours comme ça les gosses. S'ils pouvaient manger McDo tous les jours ils diraient oui sans hésité. Ils n'aimaient pas les légumes, ils n'aiment que les pâtes, c'est bien connu. Mais il laisserait faire Sateen pour voir comment elle se débrouillerait, et il ferait son mec macho pur et dur.

- Les femmes, à la cuisine, et les mecs devant la télé !

Avait-il presque crié de joie aux deux gosses. Ces derniers avaient été plus qu'enthousiasmé, pendant qu'ils se dirigeaient droit vers la télé. Valentin fit un clin d'oeil à la belle blonde et lui dit :

- Ne traîne pas trop ! Et si t'as besoin de conseil, appelle moi !

Pourquoi n'était-il pas si agréable ?! Lui qui avait essayé au début, pour faire plaisir à Sateen, pour que tout ce passe bien pendant cette soirée, il n'avait pas résister à l'envie d'être désagréable. Le premier tic de leur rencontre était revenu. Il savait qu'elle ne voulait pas de lui, c'était peut-être pour ça après tout, c'était son côté macho qui ressortait méchamment.

Lorsque je nous présentai aux enfants et que je leur demandai de nous faire visiter la maison, la réponse de Valentin m’avait touché !!Pourquoi impossible de vraiment l’expliquer, je trouvais ça mignon d’appeler les enfants les « kids »… On va dire aussi que je ne m’attendais pas à ce que valentin soit inscrit dans une telle équipe, il me surprenait décidément de jour en jour, en l’occasion de minute en minute.

J’avais pris le plus petit dans mes bras tandis que le plus grand commençais la visite valentin m’emboîta le pas. Je fus soulagé lorsque valentin accepta ma proposition de faire abstraction de nos actes passer pour que la journée se passe bien et que nous puissions par la suite parler ensemble, rien que tout les deux, lorsque les enfants seraient couchés. Que l’on soit posé, le calme sera la meilleure chose pour mettre les choses au clair et j’avais des excuses à lui présenter.
Je lui fis un de mes magnifiques sourire pour lui faire comprendre que ça me faisait plaisir qu’il accepte cette proposition, qui on doit l’avouer est plutôt étrange… faire abstraction de nos acte passer, de la gêne installer c’est faire comme si de rien n’était, comme si nous n’avions jamais fini dans le même lit et faire abstraction d’une gêne présente n’est pas un actes naturel, et sans aucun doute difficile à mettre en œuvre, mais nous le devions au moins pour les enfants et pour passer une « bonne » soirée.

Lorsque Jimmy eu fini la visite il s’approcha de valentin… Je portai donc mon attention sur Sam pendant ce temps, ce petit bout de choux était vraiment à croquer tout autant qua valentin… oula j’avais vraiment pensée ça là !!!! Je secouai légèrement la tête, c’était vraiment étrange, en même temps il faut avouer que même si j’étais complètement bourré, j’avais passé une bonne nuit en sa compagnie et il était plutôt mignon donc c’était normal de penser ce genre de chose... Enfin je crois ?! Je n’ai aucun moyen de le savoir, j’arrêtai donc d’y penser, je porta mon attention vers Sam et lui demanda :

-Tu veux bien me faire un gros câlin Sam ?

Il avait acquiescé d’un signe de tête et c’était serrer fort contre moi, pour un petit bout il avait beaucoup de force. Je resserra mon étreinte autour de lui et tourna la tête vers Valentin en lui décernant un joli sourire

Valentin semblait plutôt gêner, encore plus qu’en début de soirée et j’eus vraiment du mal à comprendre pour quoi !! Non bien en fait je sais toujours pas pourquoi, mais c’était étrange, et je n’arrivais pas à comprendre pourquoi il avait demandé à Jimmy de rester poli et que l’on verrait après… On verra quoi ? Si il commence à faire des cachotterie entre mec et bien je suis dans de beau drap moi. Je n’effaçai pas le sourire de mes lèvres et ne desserra pas mon étreinte avec Sam tandis que Valentin me demandait si j’avais une idée pour le dîner, ceux à quoi je répondis.

- Et bien en fait je pensais demander aux enfants si il désirait quelque chose et faire en fonction de ça pour ensuite faire quelque chose de plutôt sain pour eux !! Par ailleurs au vu de l’état de la maison je doute qu’il y ait grand-chose dans le frigo et que nos idées vont être bien vite restreinte.

Je m’avançai vers la cuisine tout en disant à valentin :

-Après moi j’aurais bien mangé italiano mais je doute que ça plaise aux enfants et que nous aillions l’ingrédient nécessaire pour que tu nous fasses un bon repas… Enfin si tenté que tu aime bien cuisiner !

C’est vrais qu’en général les garçon n’était pas cuisine, mais ceci était une généralité, et je n’avais pas pour habitude de suivre ces généralité, après tout chaque individu est différent et il faut apprendre à les connaître pour ceux qu’ils sont et non pas par des a priori ou généralité. Je n’avais pas une culture très développé sur l’Italie bien que je rêvais de passer des vacances là bas, mais j’avais connaissance de leur cuisine et je l’appréciais fortement, par ailleurs quoi de mieux que de manger italien avec un italien…certainement une prochaine fois, car en ouvrant de frigo tout ce que je trouvais me fit bien peur : quasiment vide, voilà comment étais le frigo, des hamburger du super marché, avec un reste de patte à la crème fraîche, de la salade, des tomates… Bref rien de bien frais, ou de très sain, je craignais que les enfants soit un peu trop habitué à ce genre de nourriture… Nous étions bien dans les quartiers pauvre il n’y avais aucun soucie, on ne pouvais pas se tromper là-dessus, J’imagine si d’autre Êta iota était à ma place, ou à la place de Desy, elle n’aurait pas tenu 2 seconde, encore heureux que j’ai cette différence avec les autres Êta.

Je m’écartai un peu du frigo pour montrer à valentin le peu de ressource que nous avions, et je lui fis une légère grimace pour lui montrer que ce n’était pas vraiment génial, j’étais même sur le point d’aller faire des course pour le faire un repas de roi. Je voulais que ces enfants soient heureux, et ai un bon repas, ça ne me dérangeait pas du tout de leur acheter de quoi manger.
J’avais desserré mon étreinte de Sam et je fus surprise qu’il reste collé contre moi.

-Bon alors mon cher Valentin que faisons nous ? Ca ne me dérange pas d’aller faire quelque course vite fait si il le faut !

C'était sûr, il était plus gêné qu'autre chose. Il ne savait pas du tout comment agir avec Sateen. Il avait donc opter pour le plus simple, c'est à dire la politesse. Mais elle était toujours aussi souriante et de bonne humeur, quelque soit la situation, en particulier celle-là qui était assez étrange. Impossible de savoir ce qu'elle pensait vraiment. Elle lui répondit simplement et lui renvoya la question :

- Oui oui ...

Elle s'adressa ensuite aux deux gamins pour les présenter. Il leur fit un sourire chaleureux en leur envoyant un :

- Salut les kids !

Le plus petit se laissa ensuite porter par la blonde et le plus grand commença la visite. Ils le suivirent tous, Sateen la première et Val derrière elle. Cela lui allait bien un gosse dans les bras ... Il secoua la tête et arrêta de penser à des choses hors contexte. Elle se tourna ensuite vers lui pour lui confier ce qu'elle pensait. Enfin, surtout qu'elle voulait parler d'eux et que tout se passe bien jusqu'à la fameuse discussion. Il répondit donc :

- Pas de souci.

Et c'était ce qu'il pensait réellement. Il ne voulait pas non plus qu'une gêne plus grande s'installe, mais il ne savait pas vraiment faire semblant et il savait qu'il allait être toujours aussi troublé par elle, et il n'arriverait pas à le contenir, ou alors bien difficilement. La seule chose qu'il arrivait à cacher, c'était son caractère enfoui au plus profond de lui, mais c'était parce qu'il n'avait pas le choix, sinon il risquait de tout perdre. Ici, ce n'était pas du tout le même enjeu. Il se promit tout de même de faire tout son possible pour assurer auprès des enfants.

Une fois la visite finie, le plus âgé, Jimmy vint vers Valentin et lui demanda de se baisser. C'est ce qu'il fit et le gamin lui glissa à l'oreille :

- Tu ferais mieux de te bouger le cul avant qu'elle ne s'échappe ...!

Non mais de quoi il se mêler celui-là. Il lui avait dit ça sur un ton bien taquin, tellement que Val ne put s'empêcher de glousser. Il se releva et lui répondit :

- Reste poli, et ensuite on verra ! Il s'adressa alors vers Sateen. Il espérait qu'elle n'ait rien entendu ... Une idée pour le dîner ?

Il était doué en cuisine, et cela faisait longtemps qu'il n'en avait pas fait. Il espérait donc qu'elle n'ait pas trop d'idées.