[X]Hôtel <3[X] Pv Alfred

Il me dit qu’il sera doux, chose que je ne doute pas le moins du monde. Il se plaça plus correctement afin de positionner son visage contre mon sexe. Je ressentis une gêne d’être nue devant lui, mais il avait l’air d’appréciait ce qu’il voyait tant mieux pour moi. Ce qui suivit embruma mon esprit, je ne savais plus où j’étais, mon prénom, mon nom, ma vie plus rien avait d’importance. Comme droguée par quelque chose d’inconnu mais qui me plaisait, qui m rendait toute chose, qui me faisait voyager sur une autre planète. Soupirs, gémissements mon corps se cambrait à chaque coup de langue qu’il me donnait. Chose que je ne croyais pas, chose qui m’arrivais en ce moment même. J’étais dans un état second même pire je le laissais me dévorer de toute part. Une marionnette entre ses mains habiles voilà ce que j’étais, ma tête tournais légèrement je voulais plus, bien plus encore. Il me redressa délicatement, je sentais son sexe contre le mien, je ne savais plus où Est-ce que j’en était ses mains passèrent dans mon dos laissant une trace brûlante comme si l’on me marquait au fer rouge. Mes omoplates retournèrent sur le lit confortable mes yeux se fermaient. Qu’allait-t-il faire de plus? Mon être, mon âme tout appelait son corps dans ma tête même mon corps appelait le sien. Mes bras vinrent s’accrocher alors à sa nuque, ma poitrine s’écrasait contre le torse musclé du brun, je pris soin d’happer ses lèvres si tentante, si envoutante, si douce, si sucrée.

Je le forçais alors à ce mettre sur le dos afin que je sois sur lui. Peut être n’avais-je pas d’expérience dans le domaine mais je voulais lui faire ressentir ce qu’il m’avait fait ressentir juste avant. J’embrassais son visage, je descendis toujours plus bas dardant ma langue afin d’y laisser une trace humide et une sensation de froid. Enfin j’arrivais devant son sexe dur et vivant qui me toisait de toute sa longueur. Je déposais ma bouche sur le dessus rosé laissant ma langue découvrir ce goût âpre et amer. Je fis une petit grimace avant de ne continuer ma découverte de son point faible. Dardant ma langue de la veine principal. Sa respiration devint rauque et haletante. Je finis par prendre dans ma main son sexe, je déposais de nouveau ma bouche sur le gland gonflé de désir et j’engouffrais d’abord timidement ce muscle avant de n’y aller franchement instaurant un rythme lent et régulier. Ma langue se nouait et se dénouait sur lui. Je finis par accélérer le rythme de mes mouvement. Avant de ne lâcher simplement ma tâche. Est-ce que ça lui avait plu une chose était sûr il ne s’était pas plaint et ses soupir rauques m’excitaient davantage. Je revint m’emparer de ses lèvres. Et vint mordre le lobe de son oreille avant de ne lui lécher pour atténuer quelque peu la douleur. Je finis par lui murmurer doucement:

- J’suis prête!

Le jeune homme lui caressa alors le visage pour la rassurer, il se doutait que pour elle, cela ne devait pas être évident et qu'il s'agissait en somme "d'une première fois". Il la fit basculer à côté de lui et l'embrassa doucement, il fit glisser ses lèvres à son oreille pour lui murmurer:

- Je vais être doux, ne t'en fais pas... Je veux que tu passes un bon moment, c'est tout ce qui importe.

Sa main vint prendre son visage et l'apporta à ses lèvres où il l'embrassa passionnément, ne se contrôlant plus vraiment, il l'allongea à nouveau pour se mettre au dessus d'elle. Ses lèvres glissaient sur sa peau, alors que ses mains caressaient sa poitrine. Elle était gonflée et leurs pointes étaient dures. Il embrassa son corps tout entier, la caressant de toute part, avant de se laisser aller à son bas ventre. Faisant plier les jambes de la jeune femme, il la recula un brin pour pouvoir s'allonger de façon à ce que son visage soit à la hauteur de son pubis. L'embrassant sur les hanches, il finit par faire glisser ses lèvres jusqu'à son sexe, l'embrassant doucement au départ, il ne tarda pas à caresser l'intimité de la jeune femme avec sa langue. Lui caressant plus que d'autre certaines parties, il l'entendait gémir et ne s'arrêta alors pas. Faisant valser sa langue de plus en plus vite entre ses parois humides, il s'arrêta quelques secondes pour caresser le sexe d'Helinä avec sa main, jouant plus avec un doigt en particulier, entrant doucement dans l'intérieur de la jeune femme, pour ne pas la brusquer, il la regarda voir sa réaction et voir si elle voulait arrêter. Il remonta alors à elle pour lui susurrer:

- N'hésites pas à me dire stop si ça va trop vite ou si tu veux arrêter...

Il redescendit alors vers le bas ou il réintroduisit son doigt, jouant à l'intérieur de cette intimité humide et chaude. Il avait la sensation que c'était tout petit et avait peur que la jeune femme ne soit pas assez détendue, il renouvela alors avec sa langue, restant bien plus longtemps, malgré la crampe à la mâchoire. Il continua, allant de plus en plus vite faisant glisser ses mains sur son ventre, atteignant ses seins et les caressant doucement.

Alfred avait plus qu'envie d'elle en cet instant. Ils étaient en train de vivre quelque chose d'important dans leur relation, leur première fois. C'était même plus qu'important et surtout pour Helinä. Il voulait vraiment faire ça bien, histoire qu'elle en garde un très bon souvenir. Il se redressa alors et la redressa vers lui en même temps. Etant assis sur le lit, elle s'asseya sur ses cuisses, se collant contre lui. Sexe contre sexe et poitrine contre poitrine. Il fit glisser ses mains dans son dos alors qu'elle se cambrait, il lui embrassa le cou sans s'arrêter, alors qu'elle tombait à la renverse, sur le dos, s'offrant à lui dans toute sa splendeur.

Finalement nous prîmes un bain l’eau était chaude et le corps d’Alfred contre le miens aussi. Je me sentais bien. Il s’excusa lui aussi de s’être emporté. Je lui souris et apprécia son baiser. Une phrase de sa part me combla plus qu’il ne le pensait. Même si le début de sa phrase m’avait fait déglutir la fin fit mon cœur s’emballer à tout allure. « J’crois que je suis amoureux de toi. » Je ne pus retenir quelque larmes de bonheur m’envahir. Alors que l’eau chaude nous réchauffait, il n’y avait pas que l’eau qui chauffait le brun. Apparemment je lui donnait chaud et pas qu’un peu. Je lui souris et il vint me dire au creux de mon oreille qu’il avait envie de moi.

- J’avais cru comprendre.

Nous sortions tous deux de l’eau chaude et le brun me porta jusqu’au lit comme une petite chose fragile. Ce que j’étais quand j’étais avec lui. Une poupée de porcelaine qu’il faut protéger et aimer plus que de raison. Alors que mon corps était étendu sur le lit parfaitement bien fait, le visage d’Alfred surplombant le mien. J’avalais ma salive alors qu’il m’embrassait dans le cou je soupirais doucement. Il revint prendre possession de mes lèvres. Je le laissais faire, alors que le baiser s’approfondissait encore plus, nos langues dansaient, se cherchaient, se happaient, se caressaient. Cela m’aurait suffit à perdre pied si je ne sentais pas son corps se presser contre le mien mais surtout une autre partie bien plus sensible que le reste.

Je le fis s’allonger à côté de moi et je vins prendre sa place c’est-à-dire lui en dessous de moi et moi le surplombant. Je vins prendre de nouveau possession de ses lèvres avant de ne redessiner sa mâchoire à l’aide de baiser, alors que ma bouche arrivait près de son oreille je descendis mes lèvres dans son cou avant de ne revenir sur son menton et ses lèvres de nouveau. Sa virilité était à tendue et je la sentait près de mon ventre. J’entrepris alors de continuer mon exploration de son corps avec mes lèvres et ma bouche, commençant par son flanc gauche arrivé à l’os de son bassin je posais ma bouche près de son nombril laissant ma langue descendre plus bas, jusqu’à atteindre ses poils pubien et je laissais cette tâche pour plus tard, le frustrant certainement plus qu’autre chose.

Je revint poser ma bouche sur la sienne. Je n’était pas vraiment expérimenté dans le domaine mais je savais simplement comment m’y prendre mais de là à y mettre en application c’était une autre paire de manche. La théorie c’est bien mais la pratique c’est pas si facile de la mettre en application quand on ne connait simplement du sexe violence, pénétration, sans amour sans rien dans ces gestes habituellement réservés au couple.

Nous avions du aller à l'hotel car le couvre feu était tombé. Nous venions d'entrer dans la chambre et nous décidâmes d'aller directement prendre une douche. Je suivis donc la jeune femme dans la salle de bain. Elle se déshabilla sous mes yeux et je préférai prendre un bain. Je le prépara donc puis une fois nu, m'y installa afin qu'elle vienne me rejoindre. L'eau était brûlante et ça nous fit du bien étant donné que nous étions gelé par l'humidité et le froid. Elle vint s'allonger sur moi, offrant son dos à mon torse. Plongé dans l'eau chaude mon corps se détendit et je ne tarda pas à me réchauffer. J'avais mal à ma joue, le coup que l'homme m'avait porté commençait à rougir et j'allais forcément avoir une marque. Mes bras vinrent encercler le petit corps tremblant d'Heli et je pris alors la parole:

- Je t'ai dis que je serai toujours là... Moi aussi je m'excuse de m'être emporté, j'ai mal réagis, je suis désolé. Et puis quand j'ai vu ces deux mecs, je me suis senti piqué au vif. Pour moi la seule chose qui comptait était que tu ailles bien. Si jamais ils t'avaient fait quelque chose... Je te jure que...

Il soupira avant de reprendre:

- J'aurai vraiment été un autre homme, je n'aurai pas pu me contrôler. Je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose et ce soir j'ai vraiment eu peur...

Il la fit se retourner et l'embrassa alors lui murmurant:

- Je crois que la pire chose qui pouvait t'arriver viens d'arriver Heli, je crois que je suis amoureux de toi...

Il la serra alors contre lui, faisant glisser ses mains sur son corps, la sentant nue, chaude et douce contre lui. Il l'embrassa alors à nouveau, capturant sa langue précieusement, lui caressant le visage. Leurs deux corps nus se frottaient l'un contre l'autre et ça ne tarda pas à se faire remarquer par le sexe du jeune homme. Heli s'en rendit compte et lui sourit.

Il l'embrassa alors, lui murmurant au creux de l'oreille:

- J'ai envie de toi...

Il se redressa alors et sortit de l'eau, l'aidant à faire de même il l'enveloppa dans une serviette chaude. Il se sécha alors rapidement avant de porter Heli comme une princesse, jusqu'au lit. Là, il l'allongea sur les draps propres et se mit sur elle, se tenant à bout de bras, il lui embrassa le cou puis revint à ses lèvres pour l'embrasser langoureusement.

Alors que le brun était venue m’aider, j’étais toujours paniquée, pourquoi est-ce que des trucs comme ça arrivait à moi. Il prit mes affaires et me les tendit je les mettais encore tremblante à l’idée de voir ces gars s’approcher de moi. Alfred appela les urgences. Nous partons tous deux en direction des dortoirs. Je ne voyais plus vraiment ce qui se passait devant moi je marchais juste rapidement la main du Sigma mu dans la mienne m’emmenant à sa suite. J’avais eu peur c’était certain. Nous arrivons enfin devant le hall des dortoirs. Bordel ça pouvait pas être vrai la poisse nous poursuivait ou quoi. Je regardait l’heure sur mon portable minuit trente sept et les portes se verrouillaient automatiquement à minuit trente. Je disais rien je restais juste près d’Alfred qui m’avait reprit dans ses bras déposant un baiser sur le sommet de ma tête. Mes cheveux étaient encore trempés, mon dos bien que couvert était trempé par mes cheveux. Je levais ma tête afin de pouvoir mieux voir le visage du brun, je tombais alors sur la marque je lui avait laissé et je touchais de mon index celle-ci.

- Tu es à moi! Cette marque le prouve. J’suis désolée pour tout à l’heure et j’voulais aussi te remercier pour les deux ivrognes. Merci d’être là quand j’en ai besoin.

Je me mis sur la pointe des pieds afin de prendre possession de ses lèvres et ainsi l’embrasser, nous nous dirigeons vers une station de taxi et en appela un qui passait par là. Je lui demandais de nous emmener à l’hôtel le plus proche. Ce qu’il fit et nous arrivons enfin devant un hôtel. Je sortais de la voiture accompagné d’Alfred il me prit par la taille. Je sortis ma carte bancaire afin de pouvoir prendre une chambre alors que l’heure des réceptionnistes était passée depuis belle lurette. Un carte nous fut distribué et nous montons dans la chambre. Ça va elle était assez studieuse et propre on avait même le droit à notre propre salle de bain. Salle de bain que j’allais investir dans pas longtemps. J’envoyais un message d’abord à Alisa afin de lui dire que je rentrerais que demain matin que nous avions dépasser le couvre feu. Heureusement demain nous étions samedi et il n’y avait pas cours. J’embrassais Alfred sur les lèvres avant de ne lui dire:

- J’vais prendre une douche tu m’suis?