[X]Hôtel <3[X] Pv Alfred

Tout allait très bien avant que je ne reçoive ce sms. Nous venions d'arriver devant la porte de la chambre d'Helinä. Mon visage se décomposa. Je n'en revenais pas. J'avais la bouche entrouverte et je du devenir tout pâle, puisque je pris appuie sur le mur. Je n'en revenais pas... Ca n'était pas possible... Pas encore... Pas encore un coup dur, pas encore une épreuve d'une telle ampleur... Je repris appuie sur mes deux pieds et avala ma salive. La jeune femme était entrée dans la chambre depuis peu de temps, elle discutait avec son amie et venait de prendre son fils contre elle. Je regardais la scène de loin et je vis qu'Alisa me regardait étrangement, se doutant que quelque chose n'allait pas. Helinä se tourna alors vers moi et à sa tête, je vis qu'elle se rendait compte que quelque chose n'allait pas du tout. Elle s'approcha alors de moi, inquiète, mais aucun son de sortit de ma bouche. Je restais de longues secondes comme ça, sous le choc de cette terrible nouvelle. Je n'avais aucun détail. Je finis par murmurer:

- Je suis désolé... Il faut que je parte... C'est mon frère... il est mort

Quand je dis ces mots, je passais mes mains sur mon visage avant d'éclater mon téléphone contre le mur et de partir vers ma chambre, Helinä rentrée dans sa chambre pour y déposer son fils et elle ne vit pas que j'entrai dans ma chambre. Je m'enferma à clef à l'intérieur, la laissant dans la serrure. Je tomba, assis, contre la porte et ne pus retenir mes larmes. Je me retrouvais tel un enfant, à nouveau seul. Pourquoi venait-on de me prendre mon frère? Pourquoi lui? Il y avait tellement de choses qu'on avait pas mis à plat... Je m'en voulais tellement de ne pas avoir eu le temps de lui dire tout ce que je ressentais, il aurait tout compris si j'avais osé lui parler à coeur ouvert... Mon visage était dans mes mains, je me leva alors et entra dans une rage sombre, jetant contre les murs tout ce qui apparaissait sous mes yeux, dans des hurlements de douleurs intenses.

N'avais-je jamais droit à un bonheur?! Pourquoi tout devait toujours s'assombrir alors que le soleil venait enfin?! Pourquoi je payais toujours une erreur dont j'ignorais l'existence? Pourquoi Dieu s'acharnait-il contre moi de cette façon?

Une chose était sûr Alfred aimait les repas chinois. Cela ne me déplaisait pas j’aimais bien ça et ce depuis qu’il me l’avait fait découvrir le premier jour de notre rencontre. Il appela le room service afin qu’on puisse manger dans des assiettes. Nous mangions tous deux jusqu’à qu’il me demande si Alisa pouvait garder Aaron encore aujourd’hui. Je pris alors conscience que cela faisait plusieurs heures que je n’avais pas vu mon fils. Je secouais la tête afin de répondre à ce qu’Alfred me demandait.

- J’irais bien au musé, mais il faut qu’on passe d’abord par la pharmacie mais surtout par les dortoirs afin que je vois mon fils au moins un petit moment. Et j’ai passé une très belle nuit, le mot qui m’viens en tête pour définir cette nuit n’est autre qu’explosive.

Je lui souris terminant mon assiette en entière, les fraises ne m’avaient pas suffit apparemment hier soir. Je souris à ma pensée. Il est vrai que cette nuit restera à jamais graver dans ma mémoire et ce pour une éternité. Et de plus j’avais enfin fait le deuil de mon passé et de violence que mon père avait pu me faire. Alors que nous terminions une fois notre repas terminé j’appelais la réception afin qu’une femme de ménage monte que nous partions. Nous quittions alors la chambre qui était le témoin de nos ébats ainsi que de notre union. Seul témoin en plus de moi à avoir entendu le je t’aime que le brun avait prononcé à mon encontre. Heureuse c’était ce que j’étais. Perdue aussi. Peureuse également, parce qu’après tout ça arriverais-je seulement à le voir partir? Mon bras gauche autour de son corps et le sien aussi. Sur un petit nuage? Oui bien entendue mais que ferais-je si le nuage se dérobait en dessous. Je tomberais dans le vide et la chute n’en serait que plus douloureuse encore. Je devais vivre l’instant présent mais que faire quand nos pensées se dirigeaient sans arrêt vers le futur proche comme le futur éloigné? Je soupirais encore. L’ascenseur descendait. Nous sortons et quittons l’hôtel. Je ne pris pas la peine d’appeler un taxi, nous nous dirigions à pieds jusqu’à Wynwood. Ce qui clorait à jamais notre nuit, ne restant plus qu’un merveilleux souvenir pour tous les deux. Nous arrivons enfin devant les dortoirs il était deux heures et demi passé.

- J'ai trouvé un traiteur chinois au bout de la rue, j'espère que ça te plaira? J'ai pris un peu de tout pour que tu t'habitues.

Alfred s'approcha alors d'elle et lui sourit tendrement, passant ses bras autour d'elle, il l'embrassa doucement. Posant finement ses lèvres sur les siennes, suçant sa peau élégamment. Il fit glisser ses lèvres à son cou et s'arrêta enfin pour la coller contre lui, soupirant légèrement face à cette accolade amoureuse. Il finit par lui murmurer:

- J'ai vraiment adoré notre soirée... J'espère que toi aussi?

Il déposa un baiser sur son front et s'éloigna pour sortir la nourriture des poches. Il y avait un peu de tout effectivement: riz cantonnais, nems, nouilles etc... Il avait prit deux sodas pour accompagner le tout, plus, deux parts de gâteau au chocolat en dessert. Il appela le room service pour qu'on leur monte de la vaisselle et ce n'est que quelques minutes après qu'elle arriva. Alfred mit la table et proposa alors à la jeune femme de venir le rejoindre. Les rideaux étaient grand ouverts et le soleil venait partager sa douce chaleur avec eux. Le jeune homme commença à manger et finit par dire à Helinä:

- Alors qu'est-ce que tu veux qu'on fasse aujourd'hui? On doit aller chercher le petit ou tu crois qu'Alisa peut nous le garder encore aujourd'hui?

Il commença à manger, suivit de l'adolescente. Le brun ne savait pas du tout ce qu'ils pourraient bien faire aujourd'hui. Il aurait pu l'emmener en mer, mais il avait un peu la flemme de sortir le bâteau, de plus, il ne gardait pas un bon souvenir de ce dernier, étant donné qu'il avait fait l'amour avec Paige dans la cabine.... Il n'y avait plus fichu les pieds depuis, il faudrait qu'il s'arrange pour le vendre.

Au milieux du repas, il quitta la table pour se saisir du journal qui avait été déposé par le room service, il l'ouvrit à la page des divertissements et, s'asseyant sur l'accoudoir du fauteuil en cuir, lu:

- Alors aujourd'hui... Il y a un marché à l'est de la ville, un musée qui vient d'ouvrir, une association qui propose un lavage de voiture plus d'autres activités en tout genre, il y a une foire aux animaux, une vente aux enchères, une nouvelle boite de nuit qui ouvre ce soir, le concours du plus grand mangeur de saucisses allemandes, des films en tout genre, une compétition de surf et puis... une foire.

Il regarda alors la jeune femme et lui demanda:

- Y'a quelque chose qui te tente?

Alors que je me réveillais de nouveau le brun me regardait accroupit il souriait et j’étais moi aussi heureuse et je souris à mon tour, je quémandais un baiser qu’il m’offrit sans rechigner.

- J’ai bien dormi, j’espère que toi aussi.

Alors que je trainaillais encore au lit Alfred se lança pour aller prendre une douche. Chose que je ferais toute suite après. Alors que l’eau de la douche commençait a s’éteindre je me levais péniblement après m’être entouré du draps. J’allais prendre mes affaire; Quand Alfred sorti il me demande ce que je cherchais et je lui fis voir mes vêtements. Et m’avança vers lui pour lui faire un baiser. Alors qu’il me dit qu’il allait chercher quelque chose à manger. Je le laissais donc faire et alla prendre un bain d’abord pour me détendre. L’eau brûlante coulait dans le bain et une fois que la baignoire fur remplie je m’y glissais à l’intérieur. Savourant l’eau brûlants sur mon corps. Je soupirais bruyamment. Et je plongeais ma tête sous l’eau. Après m’être bien assez détendue je sortis du bains afin d’aller prendre ma douche. Je réglais l’arrivée d’eau afin qu’elle soit à température ambiante. Je me lavais tranquillement me savonnant et me lavant les cheveux. Quand j’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir je me tournais vers la porte pour tomber sur le brun. Je lui souris rinçant mon corps moussant. Une fois que j’eu finis je me dirigeais vers lui pour prendre possession de ses lèvres. Je finis alors par m’habiller avant de ne retourner dans la chambre et fermer la porte de la salle de bain.

- Alors qu’est-ce que tu nous acheté?

Alfred finit par ouvrir les yeux. La lumière se faisant intense derrière les rideaux et des rayons venaient jusqu'à leurs corps dénudés. Une chaleur ambiante résonnait tandis qu'une odeur de sexe se faisait également sa complice. Helinä était allongé sur le ventre, près de lui. Elle dormait toujours autant et le jeune homme sourit. Il se laissa tomber sur le dos pour passer ses mains sur son visage et sentit une douleur au niveau de son oeil. Merde! Il grimaça alors et finit par s'asseoir au bord du lit, s'étirant de tout son long.

Il se leva du lit, alla vers les rideaux et entrouvrit l'un d'eux pour regarder dehors. Il faisait un temps magnifique et ça lui fit du bien de voir autant de soleil. Comme si ça agissait sur son humeur. Il se retourna alors et vu que la jeune femme commençait à bouger dans le lit. Il fit le tour du lit et s'accroupit devant elle. Passant sa main sur son visage pour le caresser, il attendit qu'elle ouvre les yeux. Elle ne tarda pas à le faire et il lui sourit.

- Bonjour toi, tu as bien dormi?

Il déposa un baiser sur son front en écoutant sa réponse. Il ne tarda pas à se redresser et alla chercher son téléphone pour y voir l'heure et s'il avait reçu des appels ou des messages. Il était 13 heures passées et il n'avait aucun message. Il alla donc dans la salle de bain, laissant la jeune femme se réveiller calmement. Il alla directement sous la douche et en prit une seul et bien chaude. Se nettoyant le corps entier, le savonnant et sentant cette eau brûlante sur son corps foncé et musclé. Le jeune homme resta de longues minutes sous l'eau puis se décida à sortir. IL se sécha et enfila de nouveau son boxer avant de regagner la chambre pour y chercher ses vêtements. La jeune femme s'était entouré du drap dans lequel ils s'étaient endormi et marchait péniblement dans la chambre.

- Tu cherches quelque chose?

IL s'approcha d'elle, passant sa main derrière son crâne, il lui déposa un baiser sur le front. Il récupéra ses affaires un peu partout dans la chambre et lança à la jeune femme, alors qu'il plaçait tout dans ses poches:

- Je vais chercher un truc à manger, je reviens dans un petit moment ok?

Il s'approcha d'elle pour l'embrasser et sortit de la chambre. Il n'avait pas fait appel au room service car il ne faisait pas de repas complet. Il fallait soit descendre au restaurant de l'hôtel soit aller en ville chercher un truc.

J’entendis sa voix se faire douce à mon encontre. Ses mots résonnèrent dans ma tête comme un leitmotiv, le « je t’aime énormément » mais surtout le « je ne te quitterais pas » voulait-t-il parler de ce lit ou avait-t-il mentionné ses mots pour le restant des jours à venir. Son dos contre le mien, mes yeux étaient fermés mais je n’arrivais pas à trouver le sommeil à cause de ses mots. Je me tournais alors face au brun et je posais mes lèvres sur les siennes, dégageant des mèches de cheveux de son visage. Je me retournais alors afin de coller mon dos contre son torse. S’il ne me quitterait pas, parce qu’il m’aimait et alors sa promesse la laisserait-t-il de côté pour moi. À cette pensée mon ventre se réchauffa, des papillons parcourait mon corps. Serait-t-il vraiment capable d’oublier ses objectifs pour moi? J’avais passé une merveilleuse même si elle était longue. Inépuisable cet Alfred, ou était-ce moi qui lui faisait cet effet. L’avait-t-il ne serait ce qu’une fois ressentis ce qu’il avait ressentit avec moi. Ce sont sur ses pensées que je ne me rendis même pas compte que je m’endormis.

Le lendemain matin…

Une nuit sans rêves, un sommeil réparateur, un sommeil dont j’avais absolument besoin. Je sentis toujours contre moi une masse brûlante et quelque chose de lourd entourant ma taille. J’ouvris délicatement les yeux et je vis que le bras n’était à personne d’autre que la personne avec qui j’avais passé la nuit, la personne qui m’avait dit je t’aime et qui était tombé amoureux de moi. Je me tournais vers le brun pour lui faire face. La lumière du jours filtrait à travers les rideaux. Quelle heure était-t-il? J’en avais pas la moindre idée et je m’en foutais. Je contemplais le visage du brun son hématome se voyait encore plus qu’hier, ça devait faire mal. Je me rappelais alors que moi j’avais mal ailleurs, mon vagin qui fut malmené par les soins d’Alfred. Mais en fait j’m’en fichais aussi. Ce qui comptait c’était que j’étais avec Alfred et ce peut être pour toujours. Je déposais mes lèvres chastement contre le sienne avant ne prendre mon portable qui trônait sur la table de nuit. Je regardais si je n’avais pas de message d’Alisa et heureusement ce ne fut pas le cas. Je tapais donc rapidement un message pour la blonde. Lui disant que je ne savais pas quand Est-ce que je rentrais et que si elle devait aller faire des courses ou un rendez vous quelconque qu’elle laisse Aaron à son oncle. Oncle qui va bientôt vouloir pourquoi sa sœur n’avait pas appelé depuis une semaine. Elle n’avait pas eu le temps de prendre des nouvelles puisqu’elle était occupé avec Alfred toute la semaine pour les devoirs mais aussi pour apprendre à se connaître davantage. J’avais pas l’temps de m’occuper de mon fils, de ma relation amoureuse et en plus de ça prendre des nouvelles de mon frère. J’avais été voir sa fille à la maternité accompagner par mon propre fils et alors je reconnus une Tässäon toute crachée en elle. Je souris à l’image du bébé dans ma tête. Je restais longtemps dans cette position avant que je ne m’endorme de nouveau.

Il venait à nouveau de se vider en elle. Une sensation tellement agréable et intense... Le jeune homme avait la peau collante, Helinä était dans le même état de fatigue extrême. Il la regarda alors qu'elle venait de l'embrasser et il l'embrassa à son tour. Il se mit à rire soudainement, tombant sur le dos, passant ses mains dans ses cheveux. Il se redressa pour voir l'heure: presque 2 heures du matin. Leurs ébats avaient duré plus d'une heure. Une fatigue intense se fit ressentir dans tout son corps. Il se leva néanmoins, prenant son boxer chaud et l'enfila avant de s'installer de nouveau sur le fauteuil en cuir histoire de finir son joint. La fumée envahit la pièce et le jeune homme se sentait plus que bien. Avachit dedans, les jambes écartées, le corps encore brûlant, il profita de ces sensations qui s'offraient à lui. Il ne cessait de regarder la jeune femme, complètement épuisée sur le lit, n'ayant pas bougé depuis qu'ils avaient jouis. Quand il termina son pillon, il alla dans la salle de bain et mouilla un gant de toilette, il revint dans la chambre et le passa sur le corps entier de la jeune femme, insistant sur ses parties génitales qui étaient d'ailleurs toutes gonflées. Elle ouvrit les yeux et lui sourit tendrement. Elle était totalement crevée et il faut dire que le jeune homme était dans le même état.

Il lança le gant dans le bac à linge sale qui était dans leur salle de bain, puis s'avança vers le lit. Il souleva la jeune femme et la posa sur le fauteuil qu'il avait occupé quelques minutes auparavant. Il retourna vers le lit, enleva les draps et alla chercher Helinä pour la placer, nue, à l'intérieur, il la recouvrit alors des couvertures et alla fermer la fenêtre avant de venir la rejoindre. Se collant contre son dos, il saisit sa main et entrelaça ses doigts aux siens. Il vint murmurer à son oreille:

- Je t'aime énormément... J'ai adoré te faire l'amour, voilà pourquoi je voulais attendre, on apprécie beaucoup mieux. Reposes toi bien mon bébé, fais de beaux-rêves, je suis là. Je ne te quitterai pas.. Je t'aime.

Il ferma ses yeux et s'endormit tout de suite après, il n'était même pas sûr qu'elle l'avait entendu. Elle semblait endormie depuis déjà quelques minutes. IL sentait son corps froid contre le sien et se colla davantage contre elle. Il s'endormit heureux et sans doute bien plus qu'amoureux...

S’empalant dans mon corps aussi souvent qu’il le pouvait. J’en pouvais plus… Il laissait aller ses désirs avec moi, il laissait son corps s’exprimer, s’emboitant dans mon corps. Comme si depuis le départ nos deux corps étaient fait pour être liés, unis. Son sexe était aspiré par mon antre chaude humide. Comme si mon intimité était fait pour accueillir son membre, ne s’en lassant jamais. Il me pilonnait brutalement, la porte bougeait elle aussi au rythme de mon corps qui cognait contre celle-ci. Il se dégageait de cette pièce un atmosphère sexuelle ce qui décuplait mes sensations et celle bu brun. Il me dit qu’il m’aimait trop. Je voulais lui répondre mais j’en étais incapable rien ne pouvait sortir de mes lèvres à part mon souffle haletant, mes gémissements et son prénom. Sa cadences accéléra encore, il se fit plus violent ce qui ajoutait encore plus de sensation à ses mouvements. Il était aussi loin qu’il le pouvait en moi. Je l’aimais aussi c’était certain. J’appréciais ce qu’il me faisait, son toucher, ses caresses, ses baisers, sa brutalité, sa douceur, sa tendresse. Peut être était-ce ma première expérience avec un homme après mon géniteur. Je n’avais pas été rebuté par l’idée, je n’avais pas pensé une seule fois à mon passé. C’était l’homme que j’aimais plus que tout en cet instant précis et j’aimais où est-ce qu’il me transportait en ce moment même. Je ne tenais plus d’être dans cette position alors je me permis de lui faire la remarque.

- Si on allait sur le lit.

Il s’exécuta et sans qu’il ne se retire de moi une seule seconde, je l’agrippais fermement avec mes jambes, il ne pouvait de toute manière pas se détacher de moi. Appréciant qu’il soit à l’intérieur de moi. Il me posa délicatement sur le avant de ne recommencer ses coups de butoirs toujours aussi rapide et violent. Mes cris ne désemplissaient pas de volume et j’en avait rien à faire du voisin qui gueulait. J’étais bien je criais mon plaisir et je l’emmerdais profondément. Le lit grinçait sous l’effort et la brutalité de ses gestes, je me laissais faire et j’aimais bien me laisser faire et puis j’crois que j’étais trop épuisée pour faire quoi que ce soit. Alors que de légers soupirs dépassaient la barrière des lèvres de mon amant et petit ami, un plus fort traversa sa bouche alors qu’il se déversait de nouveau en moi. Pour le coup j’en avais rien à battre de la sueur et de son liquide séminal qui coulait de mon sexe. J’avais une flemme incroyable. Le brun ne s’était toujours pas retiré de moi. Et je vins lui murmurer les mots que je n’avait pas pu prononcer plus tôt avant de ne l'embrasser tendrement.

- Je t’aime aussi très fort.

L'entendre crier me plaisait énormément c'est sûr. Elle aimait ça et c'est tout ce qu'il me fallait pour prendre mon pied. Je n'avais jamais fais l'amour de cette façon avec une femme et je dois avouer que ce n'était absolument pas pour me déplaire. La savoir soumise entre mes mains étaient jouissif, la savoir soumise de ma cadence, de mon rythme, de mon sexe qui la pénétrait était forcément jouissif. La jeune femme criait mon prénom et je ne pus m'empêcher de la caresser encore avec mes mains, les plaquant sur son ventre pour la serrer contre moi. Je me sentis totalement frustré quand elle s'avança, laissant mon sexe sortir de son entrejambe. Qu'avait-elle en tête? Je le su très rapidement. La jeune femme venait de me sauter littéralement dessus, je sentais qu'elle étais fatiguée, mais elle ne désirait pas que ça se termine encore. Après l'avoir soulevé, elle m'encercla de ses jambes et de ses bras. Je la plaquais contre la porte de la salle de bain, la faisant claquer alors. Je pus entendre un des voisins cogner contre le mur. En effet nous étions sûrement vers une heure du matin et Heli criait parfois très fort, mais j'en avais rien à foutre pour le dire. La seule chose que je voulais, c'était la faire crier encore et encore, à en être épuisé et à m'en endormir sur le sol s'il le fallait, c'était la seule chose que je voulais sur le moment.

Mon sexe la pénétra à nouveau, elle poussa un long cri, venant se réfugier contre moi, je donnait des coups rapides et violents contre son petit corps, voulant l'entrer au plus profond d'elle même, lui arrachant des cris de plaisirs intenses. J'adorais quand elle me disait mon prénom et je ne voulais pas que ça se termine. La porte faisait autant de bruit qu'elle et ça me fit sourire. Nichant mon visage dans son cou je la mordais alors, la léchant par la suite. Tenant son corps par le haut de ses cuisses, j'entrais mon sexe encore et encore en elle. Le sortant jusqu'au bout pour la pénétrer entièrement. Les sensations qui se dégageaient de cet instant étaient exceptionnelles. J'étais fou d'elle, plus que ça même. Ouais, je l'aimais, c'était certain, car si ce n'était pas de l'amour, je ne savais pas ce que c'était. Plaçant mes lèvres près de son oreille, je lui lança, dans un souffle saccadé:

- Je t'aime trop mon bébé...

Je l'assommais encore de coups, la serrant encore contre moi, pour la sentir, fragile, à l'intérieur de mes bras. Ses parois étaient si brûlantes et humides que je ne pouvais pas me permettre de m'arrêter. J'avais tellement chaud, elle transpirais également, elle n'en pouvait plus, ne savant plus à quoi s'accrocher, elle criait de plus en plus fort, criant mon prénom à tout bout de champ. Je ne pouvais plus m'arrêter et la cadence s'accéléra encore une fois, entrant dans une transe violente ou nos corps étaient fusionnés et à bout de force, ou une énergie venant de je ne sais où me permettais d'entrer dans une transe rapide et violente. Son corps bougeait tellement vite.. Elle m'excitait tellement...

Visiblement je lui faisait de l’effet et c’était plus que certain même. Il vint titiller mon intimité à l’aide de ses doigts encore lubrifié naturellement. Il vint me demander si on pouvait essayer de cette manière là. Je ne dis rien posant juste mes coudes sur le rebord du lavabo afin de voir mon visage et quelle visage, perlé de sueur je voyais aussi la moitié du corps d’Alfred dans le miroir. Il me pénétra d’abord lentement afin de savoir si cela m’allait. Je bougeais lentement afin de lui faire comprendre qu’il pouvait aller plus loin. Je vis son visage venir mordre mon cou pour commencer et parsemé mon dos de baisers brûlant. Alors que ses mains se baladaient sur le devant de mon corps s’attardant toujours sur mes seins. Était-t-il un fétichiste des seins? Il aimait à me les peloter depuis qu’on avait commencer à se toucher. La position dans laquelle nous nous trouvions me perturbait parce que je ne pouvais pas le toucher comme je le désirais. Pas que les sensations n’étaient pas agréable mais c’est le fait est de rester passif sans rien faire qui me troublait et me dérangeait. Mais il était vrai que le sensation n’était pas les même qu’avant. L’angle de pénétration n’était pas le même et il touchait à chaque fois mon point sensible. Mon dos était cambré et je criais. Le visage concentré du brun était trop beau à voir. Ses mains se posèrent sur mes hanches et il faisait buter mon postérieur contre son bas ventre afin d’aider à sa pénétration et aller aussi vite que nos limites nous le permettait. Je n’pouvais pas reprendre mon souffle qu’il me pénétrait. Ce n’était qu’une mélodie de soupir entrecoupée de gémissement et du prénom du brun. Cette position de soumission me plaisait assez finalement.

Je me redressais me tournant vers lui embrassant le jeune homme le frustrant de l’avoir arrêté, il me plaqua donc contre la porte de la salle de bain. Me soulevant légèrement j’entourais alors mes jambes, il me pénétrait alors de nouveau encore plus sauvagement qu’avant. M’embrassant, me mordillant. Me laissant pantoise et certainement encore dans l’incapacité de tenir debout. Cette vague de plaisir était beaucoup trop pour moi. Je m’accrochais à son cou. Le laissant faire ce que bon semblait de moi. Les yeux fermés je ne faisait qu’apprécier les salves de plaisir qui me submergeait sans demander mon reste.

Voulait-elle me pousser à bout de forcer? Il m'en faudrait plus! Néanmoins quand elle s'était mise à genoux devant moi pour mettre mon membre encore dur dans sa bouche, je devais avouer que c'était l'extase. Que demander de plus? C'est après quelques minutes que je la prévenu que j'allais bientôt venir mais elle ne retira pas mon sexe d'entre ses lèvres. J'éjaculais donc dans sa bouche: un bonheur certain. La jeune femme me regarda en se levant pour se rendre à la salle de bain. Je l'y suivis après un petit moment, elle se rinçait la bouche au dessus de l'évier. Je vins me coller contre elle, mon membre encore dur vint caresser ses fesses alors que mon torse se colla contre son dos. Elle ne se retourna pas encore et j'en profitais pour faire glisser mes mains sur ses seins, les empoignant fortement alors que mes lèvres venaient se coller dans son cou, l'embrassant de mille part. Je lui murmurai alors:

- Je crois que tu m'as envoûté... J'ai encore envie de toi...

Il ne savait pas si la jeune femme en avait également envie ou si elle était fatiguée. Il lui mordilla doucement le cou alors qu'il lui caressait les seins et le dos, faisant glisser sa main à ses fesses et sur sa cuisse. Il lui fit écarter ses cuisses et y passa sa main. Il pouvait voir le visage de la jeune femme grâce au miroir accroché en face d'eux. Alfred commença à caresser l'intimité toute humide de la jeune femme et rentra un doigt facilement. L'agitant dans tous les sens et écoutant les gémissements de la jeune femme, il en fit entrer un second, alors que ses lèvres embrasaient le corps enflammé de sa compagne. Il avait encore envie d'elle et n'en revenait pas de voir sa virilité encore à fond, après ces deux fois absolument intenses. Son sexe avait durcit à nouveau et se faisait ressentir contre les fesses de la jeune femme. Alors vint alors lécher le cou de la jeune femme et lui demanda doucement:

- On essaie comme ça bébé?...

Suivant sa réponse, il la fit se reculer, tandis qu'elle gardait ses mains au bord de l'évier. Elle se pencha en avant et le jeune homme lui fit bien écarter les cuisses afin de la pénétrer plus facilement. Il posa ses mains sur ses hanches et l'emmena vers son membre dur. Les parois de la jeune femme vinrent encercler son sexe, elle était encore bien humide, ça glissait tout seul. Il commença d'abord doucement espérant que la jeune femme aimait ça. Il lui caressait le corps en entier, surplombant son dos de baisers chauds et torrides.

Il accéda à ma demande rapidement et mes soupirs n’étaient plus soupirs seulement gémissements et son prénom entre mes lèvres. Il me marquait à son tour d’un suçon qu’il faudrait que je cache à mon frère. Non quelle horreur la vision de mon punk ridicule de frère vint se mettre devant mes yeux; Bien vite chasser par le brusque retrait d’Alfred. Non mais pourquoi s’arrêtait-t-il. Je me fis alors souler par le brun qui me posa sur une table qui se trouvait là. Je ne l’avais même pas remarquer en arrivant quoi que vous me direz seul le lit avait attiré mon attention. Alors que tout à l’heure les gestes restaient timide et doux, tendre. Ce n’est plus l’cas, je cherchais juste à assouvir le désir qu’il faisait naître en moi. Voulant satisfaire cette envie qui ne se tarissait pas. Mon corps étant en feu, Alfred se faisait un peu plus brutal ce qui ne me déplaisait pas. Il laissait tout son être s’envoler alors qu’il se déhanchait en moi. Mordant ma peau qui lui faisait face. Mes mains toujours derrière sa nuque mes lèvres nichées dans le creux de son épaule. Ne pouvant plus m’arrêter de gémir et dire son nom. Il allait toujours plus profondément en moi, plus vite, plus fort. L’extase, le septième ciel c’était ça? Je ne regrettais pas d’être sur l’un de ses nuages. La cadence devenait effréné, une course qui me satisfaisait. Une chose était sûr j’aimais le sexe mais surtout si c’était mon petit ami têtu, sûr de lui, confiant, aimant, génial qui me faisait ressentir toutes ses sensations que je ressentais. Si j’avais appréhender ma première fois après ce que j’avais vécu, je n’avais pas à angoisser comme ça. C’était merveilleux et il m’aimait… Un sourire conquis s’attacha à mes lèvres et je baisais le cou qui se présentait à moi. Alors qu’il venait de faire un dernier coup de rein et qu’il toucha une fois de plus je libérais un dernier gémissement alors que le brun se déversa dans mon antre chaude et humide encore une fois. Alors qu’il était encore en moi je le sentis se retirer et je vis que son sexe n’avait pas perdu toute sa vigueur. Je souris, il n’était pas facile d’épuiser Alfred McMathis.

Alors que j’étais encore assise sur table j’en descendis et colla Alfred contre la porte, je caressais son corps de mes mains et me finis par me mettre à genoux devant lui. Le sexe du brun gonfla plus certainement en sachant très bien à ce que je m’apprêtais à faire. Je pris le membre du brun dans ma main droite prodiguant quelque va et viens sur son membre pour qu’il reprenne vie dans son entièreté. Je me relevais pour prendre possession de ses lèvres n’arrêtant pas mes vas et viens sur son muscle. Je léchais la peau de son ventre m’attardant un peu plus sur son nombril avant de ne descendre plus bas. Soufflant sur le sommet de son sexe. Je posais finalement ma bouche sur son gland, m’aidant de ma main je pris en bouche le membre durcit de mon petit ami. Je suçotais sa peau sensible rythmant un va et vient lent et long. Les mains du brun se posèrent sur ma tête. Je levais les yeux vers lui et je me délectais de la vision qu’il m’offrait, il avait les yeux fermé et se mordait la lèvre inférieure. J’entamais alors un va et viens beaucoup plus rapide.

C'était intense et c'était peu de le dire. La jeune femme savait absolument lire dans mes pensées et le moindre de ces faits et gestes ne faisait que décupler ce plaisir si fort entre nous. Elle tomba à la renverse cependant je restais à genoux devant elle, répondant à son besoin de plus de force et de vitesse. Mes hanches vinrent claquer contre les siennes et j'entendis sa vie devenir de plus en plus présente entre ces murs. Je ne pus retenir quelque gémissements de bien être, avec ma voix toujours aussi rauque qui paraissait cependant un peu plus souple. Ma respiration se fit entendre et je vins l'embrasser d'une passion fusionnelle. Passa ma main derrière sa nuque pour relever son visage vers le mien. Je ne donnais que des coups de bassin saccadés et bruts, espérant ne pas lui faire de mal cependant. J'adorai cet instant et je ne pouvais pas le cacher. Elle n'arrêtait pas de se cambrer et j'adorais ça, mes mains caressaient son corps de pars en pars et je me fixais soudainement sur ses hanches pour les faire venir jusqu'à moi. Sa poitrine valsait sous mes yeux sous la cadence de mes coups de bassin. C'était encore plus humide que la première fois et ça n'était pas plus mal, mon sexe la pénétrait sans encombre. C'était tellement bon d'être en elle de cette façon, de savoir qu'elle partageait mes sentiments et mon envie.. Nous étions sincères et sur la même longueur d'ondes et c'est pourquoi c'était sans doute si bon.

Je ralentis alors soudainement, voulant la faire languir, pouvoir l'entendre à nouveau... J'attendis qu'elle me demande de reprendre pour annoncer une nouvelle fois une cadence beaucoup plus vive. J'approchais mon visage du sien pour y attraper ses lèvres, la mordant alors avant de l'embrasser dans le cou, prit d'une fièvre, je ne me retenu pas de lui laisser un suçon sur sa peau fragile et chaude. Je la quitta alors soudainement, me levant pour faire le tour du lit, je la souleva du lit pour la prendre dans mes bras et la déposer sur une console qui se trouvait non loin de la porte d'entrée. Elle y était assise, les cuisses écartées, rouge de plaisir, suffoquant. Comment pouvais-je résister? La jeune fille attrapa mon cou et me tira violemment contre elle, nos deux sexes se rencontrèrent une nouvelle fois, ma main guida mon pénis jusqu'à son pubis pour le pénétrer une nouvelle fois. Elle gémis beaucoup plus fort que d'habitude et je ne pus m'empêcher de sourire, lui croquant alors la peau à chaque fois que mes lèvres la rencontrait, je plaçais mes mains sur ses cuisses pour les rapprocher de moi, tandis que mon bassin ne s'arrêtait plus de frapper dans le sien. Je l'entendais m'appeler, sa voix s'élevait de plus en plus et à chaque fois mon excitation grimpait. Lui mordant le cou, je continuais mes coups, empoignant ses cuisses sous la folle extase, je ne me contrôlais plus du tout.

J’aimais bien quand il se comportait comme ça. Il avait envie de moi et j’avais envie de lui aussi alors quel mal il y avait à ça? Rien seulement laisser notre désir se consumer. Nos deux corps étaient l’un contre l’autre. Il montrait son désir férocement et j’aimais ça. Ses baisers m’enflammaient, mon sexe s’humidifiait alors qu’il caressait mon bouton de chair si sensible, je gémissais de plus en plus, me yeux aussi sous le plaisir que je ressentait en ce moment même. Il me redressa jusqu’à lui et me dit qu’il avait trop envie de moi. Je souris à sa réplique.

- Et bien alors qu’est-ce que tu attends mon corps t’appartient et mon cœur aussi. Viens…

Il n’attendit pas que je termine ma phrase qu’il se plaçait déjà entre mes jambes que j’ouvris pour plus de facilité de pénétration. Alors que je quémandais un baiser de sa part il s’avança jusqu’à mes lèvres me pénétrant en même temps doucement d’abord puis d’un coup sec il vint toucher mon point G, j’hurlais alors dans un grand cris son prénom. Son sexe glissait dans mon antre humide et à chaque coup de butoir je me cambrais plus criant toujours plus. Tout m’échappais c’était le cas de le dire. Seul mes gémissements se faisaient entendre dans la pièce et seul notre plaisir à tous les deux comptais. Alors que je m’accrochais désespérément à lui je ne pus empêcher mes ongles pénétrer dans la chair de son dos. Je me déhanchais sur lui voulant accélérer le mouvement la lenteur que me prodiguait Alfred me frustrait totalement. Je lui fit alors remarquer. Je me rallongeais sur le dos emportant ainsi Alfred avec moi dans ma chute.

- Plus... dis-je alors que ma respiration se faisait haletante.

Elle me tentait d'une façon des plus sexy qui soit. Elle était venu vers moi d'une façon féline et j'avais déposer mon spliff dans le cendar avant de la suivre pour la pousser doucement sur le lit, avant de la rejoindre, le surplombant de son corps. Nos peignoirs étaient ouverts, laissant voir nos deux corps nus. Elle me regardait qu'une façon coquine et je ne pouvais pas m'empêcher de la désirer. Quand elle me regarda en suçant le petit fruit rouge, je ne pu empêcher un sourire malicieux se dessiner sur mes lèvres. Elle m'allongea à côté d'elle et j'en profitait pour enlever le tissu blanc et épais qui entourait mon dos. Je dévorai le fruit en la regardant, me léchant les lèvres quand j'eus terminé. Je me redressa et lui enleva son peignoir d'un geste vif avant de la coller animalement contre moi. Sentant sa poitrine pointue contre mon corps et son regard malicieux, je ne pouvais plus me retenir. Prenant son visage entre mes mains, je l'embrassais férocement, mais doucement quand même. Histoire de lui transmettre mon envie de lui faire l'amour, là tout de suite, maintenant. Je ne me priva pas de lui dire:

- J'ai envie de te faire l'amour, là, maintenant, tout de suite...

Ma voix n'était que murmure et je dévorais sa peau avec mes lèvres. Mes mains glissèrent sur son corps, la caressant de toute part. Elle se cambrait sous mes paresses et je trouvais ça vraiment sexy. Sa poitrine arriva à hauteur de mes lèvres et j'y déposai de fins baisers avant qu'une de mes mains ne viennent les empoigner. Je dévorais ensuite son ventre de baisers, alors que mes mains étaient sur ses hanches, je tirai celles-ci vers moi, la faisant basculer sur le dos, sur le matelas. Mes mains traversèrent son corps pour atteindre ses joues, son cou, sa poitrine. Je ne m'arrêtais pas de la lui caresser.

Mes baisers descendirent jusqu'à son intimité, je me mis à la lui lécher de haut en bas, insistant sur son clitoris et jouant avec soigneusement. Mes mains étaient toujours sur ses hanches, la caressant follement et la mettant à ma hauteur. Mon sexe commença à prendre un peu plus de volume et de virilité quand elle commença à se laisser aller à des gémissements et des paroles qui m'enivrèrent. Elle ne cessait de m'appeler et cela m'excitait au plus haut point. Je revins à elle, passant ma main dans son dos pour la redresser d'un coup vers moi, me prenant ses cheveux en plein visage, je l'embrassais fiévreusement avant de lui murmurer à nouveau:

- J'ai trop envie de toi bébé...

Il partit alors dans la salle de bain pour voir son visage. C’est sûr qu’il allait avoir une marque mais on était que vendredi enfin plus Samedi matin que vendredi peut être que ça allait ne plus ce voir d’ici lundi. Je le vis mettre nos vêtements sur le chauffage. Avant qu’il ne me demande s’il pouvait rouler un joint. Je le laissais faire. C’est vrai contrairement à ce qu’il pouvait croire cela ne me dérangeais pas vraiment qu’il fume et puis s’il connaissait ses limites ça m’allait. Alors qu’il était assis dans son fauteuil il me regardait et me souriait. Rien de telle pour me rappeler ce qu’on avait pu faire juste avant. J’enlevais la ceinture du peignoir et m’avançait jusqu’au brun. Je déposais mes lèvres sur les siennes, mordant sa lèvre pour qu’il me laisse accéder à sa bouche et sa langue. Une fois qu’il me laissa faire je vint lui susurrer à l’oreille;

- T’es sûr de vouloir fumer toute suite. Dis-je d’une voix sensuelle.

Mes mains reposant sur ses cuisses je retirais aussi la ceinture de son peignoir. Mes lèvres vinrent titillés l’endroit ou je l’avais marqué plus tôt dans la soirée. Je me reculais afin de voir son visage un sourire espiégle.

- C’est vrai qu’on aura pas la chance d’être tranquille et seuls pour une soirée.

Je mis mes mains sur sa nuque et pris ses lèvres en otage. Je le fis se lever et je me dirigeais en marche arrière alors que lui avançait vers moi. Prédateur en force devant sa proie. Je tombais en arrière sur le lit. Mon peignoir découvrait mes formes, mon corps en entier à celui qui me désirait et que je désirais réciproquement. Je me reculais un peu plus loin dans le lit et n’arrêtais pas mes baisers pour autant. Alors que le brun était à quatre pattes au dessus de moi je souris et lui dit:

- Ce programme n’est pas mieux que celui que tu avais en tête précédemment.

Je pris une fraise qui trônait dans le plat et j’en suçotais le bout sous le regard attentif d’Alfred. Je le fis s’allonger sur le côté et lui donnais le fruit.

Alfred sourit et répondit à la jeune femme:

- Peut-être, qui sait? Après tout, ça va être rare les nuits tout les deux à faire ce qu'on veut, non?

Sa voix était sensuelle et il la regardait avec un sourire en coin, tandis que ses mains passèrent sous le peignoir de la jeune femme, glissant ses mains sur ses reins, puis sur ses fesses, l'embrassant dans le cou. Il remonta ses mains à ses cheveux et les plaqua en arrière pour lui déposer un baiser sur le bout de son nez. Il se sentait bien avec Helinä. C'était certain, leur histoire était simple, leur amour était simple et c'est ça qu'il appréciait le plus. Il était content d'avoir franchit ce cap avec elle, tout simplement car il se sentait dorénavant plus proche d'elle qu'auparavant. Il se détacha d'elle pour aller s'asseoir sur le lit, le dos collé au mur. Il l'accueillit entre ses jambes et grimaça quand elle mit ses doigts sur son oeil. Il ne tarda pas à se lever pour aller dans la salle de bain, histoire de voir les dégâts. Aïe. C'était déjà bleu et gonflé. Et merde! Il en avait ras le cul d'avoir toujours des coups sur le gueule, super bonne image à l'école après!

Il se passa un peu d'eau fraîche sur la tronche puis s'épongea un peu avant de revenir dans la chambre. Il installa ses vêtements près du chauffage pour qu'ils sèchent rapidement et lança alors à la jeune femme:

- Ca te dérange si je me roule un joint?

Il attendit sa réponse puis alla chercher ses affaires pour s'en rouler un. Une fois fait, il s'installa sur un fauteuil en cuir pour le fumer tranquillement, regardant alors la jeune femme séduisante sur le lit. Il lui sourit malicieusement et lui fit un petit clin d'oeil.

Des fraises et du chocolat fondu rien de telle pour me combler encore plus. Je souris à la bienveillance et la prévenance du brun.

- Oui j’me sens mieux! Et c’est pas une nouvelle lubie, j’ai juste pas eu l’temps de manger aujourd’hui. Aaron n’a pas arrêter de se plaindre il n’a pas dormi longtemps, il réclamait les bras de sa mère. J’vais bien t’inquiète pas. Et puis la fumée ne me dérange pas, j’ai un grand frère qui fume comme un pompier.

Je me levais après avoir repris des couleurs. Je vins me placer dans son dos et entourais sa taille de mes bras. Alors qu’Alfred finissait tout juste sa cigarette. Il se tourna vers moi et déposa un baiser chaste sur mes lèvres.

- Tu es trop grand c’est pas juste, j’suis obligée d’me mettre sur la pointe des pieds pour atteindre tes lèvres. Pourquoi tu es si grand? C’est frustrant. Mais au moins une chose est sûr ta carrure me rassure et tu peux me protéger quand j’en ai besoin comme tout à l’heure.

Je l’emmenais avec moi sur le lit. Et lui donnais une fraise à lui aussi. Ce n’était pas simplement pour moi à ce que je sache. Je me rendis alors compte de la connotation sexuelle qui se cachait derrière ce plat. Je souris au brun avant de l’embrasser sur la bouche.

- Tu avais une idée derrière la tête en commandant ça? Ou ce n’est que pure coïncidence?

Alors peut être que le brun n’avait pas voulu aller plus loin la semaine dernière, et tout à l’heure aussi. Mais j’avouais que le voir comme ça, heureux et ce seulement grâce à mes soins j’appréciais ça. C’est alors que j’augmentais la luminosité de la pièce en apercevant son œil qui commençait à être bleu. Je posais ma main sur son œil tuméfié.

- Tu aurais pu le dire avant j’aurais pu mettre de la glace dessus. Il ne t’a pas loupé.

Il ne voulait insister pour le fait qu'elle ne prenne pas la pilule, il aurait dû être plus vigilant et c'est tout. Il était inquiet pour elle, il baissa alors la lumière pour se retrouver dans une quasi pénombre. Il lui caressa le visage et la rassura sur le plateau qui allait arriver d'ici peu de temps. Il lui prit la main et l'y déposa un baiser quand on vint frapper à leur porte. Alfred se leva et alla ouvrir, donnant un pourboire à la jeune femme, il prit soin de refermer soigneusement la porte, apportant alors le plateau à Heli. Elle somnolait toujours et était devenue vraiment pale. Il n'aimait pas la voir comme ça, il trempa une fraise dans le chocolat fondu et l'apporta à la bouche de la jeune femme. Il répéta cette action plusieurs fois.

Il ouvrit un peu la fenêtre et s'alluma une cigarette, la laissant reprendre quelques couleurs tranquillement. Elle finit par ré-ouvrir les yeux doucement, l'appelant. Il répondit de son emplacement:

- Je suis à la fenêtre Heli, je fume et je voudrais pas emporter la fumée vers toi. Tu te sens mieux?

Attendant sa réponse, il continua:

- Il faut manger un peu chaque jour, pourquoi tu n'as rien avalé aujourd'hui? C'est quoi cette nouvelle lubie? J'espère que ce n'est que passager, je voudrais pas te voir tomber là dedans.

Il était inquiet à propos de cette pilule mais aussi de ce malaise. Pourquoi n'avait-elle rien mangé de la journée? Allait-elle mal? Il termina rapidement sa clope et alla la rejoindre, restant debout près du lit il lui demanda:

- Tu vas bien ou... il y a quelque chose dont tu voudrais me parler?

Le jeune homme vint se placer près du lit et me prit alors dans ses bras. Nous prenons une douche tous les deux. Je restait appuyé contre lui j’avais envie de dormir.

- Ça… ça va oui!

Alors que l’eau chaude parcourait nos deux corps je me remémorais cette soirée, le début de cette soirée, un fiasco, son envie encore de me quitter, alors qu’une petit heure plus tard il me dit être tomber amoureux de moi, son je t’aime le mien. Tout semblait tellement parfait que j’avais peur qu’on me retire ça. Je souris au jeune homme et je me rapprochais de lui au plus près, voulant sentir son corps contre le mien. J’humectais son odeur qui m’envoutait réellement. Il finit par me savonner, je ne remarquais même pas qu’il le faisait.

- Je, je ne prends pas la pilule non, nous irons demain à la pharmacie chercher une pilule du lendemain. Et je ferais un test de grossesse aussi d’ici quelques jours comme ça nous verrons s’il y a quelque chose. D’accord?

Dis-je d’une voix plus calme et posée pour la fin de ma phrase. Je retournais dans la chambre vêtu du peignoir que le brun avait passé autour de moi. Il me berça j’aimais sentir sa chaleur rassurante et son emprise quand d’un coup le noir complet. C’est alors que le j’ouvris les yeux sur une lumière aveuglant ce qui me les fit fermer automatiquement.

- Baisse la lumière s’il te plaît dis-je dans un chuchotement.

Il s’appliqua à le faire et il me demanda m’affublant d’un petit surnom que j’appréciais à sa juste valeur ce que j’avais. Oui qu’est-ce que j’avais. Une très bonne question. Je souris au brun et il allait certainement me réprimander pour ma négligence.

- Je n’ai pas manger aujourd’hui et j’crois que la chaleur et tout le ce qui s’ensuit ne m’aide pas vraiment. J’ai entendue les mots fraise et chocolat on nous les monte? J’ai un p’tit peu faim.

Elle me fit rire quand elle me demanda de la porter jusqu'à la salle de bain. Je lui souris en lui embrassant le sein et je me levais, allant sur le côté du lit pour la soulever. Sentir son corps nu contre le mien, après ce moment si intense, me rempli de bonheur, je l'installais alors dans le bac de douche cette fois, la gardant contre moi, j'allumais le pommeau de douche et c'est directement de l'eau chaude qui vint nous tomber dessus. Je m'occupai des réglages tandis qu'elle était comme assoupie contre mon dos. L'eau chaude me fit du bien, mes cheveux tombèrent sur mes yeux, les gouttes de sueur qui envahissaient mon corps ne tardèrent pas à s'enlever, tandis que la jeune femme était comme inconsciente contre mon dos, je me tourna alors pour la prendre contre moi, relevant son visage vers le mien, elle semblait épuisée, je lui demanda alors doucement:

- Ca va au moins?

Il espérait vraiment l'avoir satisfaite, il avait voulu que ce moment soit parfait, pour lui ça l'avait été, mais qu'en pensait-elle, elle n'avait rien dit après leur acte, alors même si ses agissements durant leur ébats étaient assez explicites, il pouvait toujours y avoir du doute. Le jeune homme laissa la jeune femme se placer sous l'arrivée d'eau et prit soin de lui savonner le corps entier par ce savon moussant qui trainait dans la douche.

Il tâcha de répondre à ses interrogations:

- Je n'ai aucunes maladies, je me suis toujours protégé quand je le faisais, sauf cette fois ci, j'espère que prends la pilule au moins?

A cette pensée, il faiblit un peu, il espérait quand même que la jeune femme ne tomberait pas enceinte maintenant, c'est tout ce qu'il désirait. Ce n'était vraiment pas le moment, c'était beaucoup trop tôt. Le jeune homme prit soin de bien nettoyer le corps de la jeune femme puis, la fit sortir en l'asseyant au bord de la baignoire, qu'il vida par la même occasion. L'enroulant dans un peignoir, il enfila le second puis embrassa sur le front Helinä avant d'aller dans la chambre pour commander quelque chose à manger. Fraises & Chocolat, espérant que ça plaise à la jeune adolescente. D'ailleurs il y pensait, c'était du détournement de mineur qu'il faisait en sortant avec la jeune femme! Il n'en loupait pas une apparemment!

La jeune maman finit par revenir dans la chambre et il alla la prendre dans ses bras, la berçant doucement. C'est à ce moment précis qu'elle manqua de tomber, heureusement qu'il la tenait dans ses bras. Il s'en rendit compte et essaya de dégager son visage, elle avait les yeux clos, mais respirait toujours. Merde, une perte de connaissance peut-être?

Il l'appela et l'allongea sur le lit, allant chercher un verre d'eau il s'approcha d'elle, relevant ses cheveux et lui caressant la joue:

- Heli ? Heli réveille toi...

Elle cligna des yeux et il la redressa légèrement avec son bras pour la faire boire un peu. Il ne savait pas d'où venait ce petit malaise: la faim? le sexe? autre chose? Il finit par lui demander:

- Bah ma chérie qu'est-ce qu'il t'arrive? Tu te sens bien?

Alors qu’il avait inversé la situation et avait accentué la cadence plus rapide plus sec. Quand dans un dernier soupir il se déversa en moi. Le souffle court il se mit sur le côté. Un vrai bonheur était affiché sur mon visage. Je vint me coller à lui alors que mon corps était parcourut d’une fine pellicule de sueur. Il vint m’embrasser délicatement avant qu’il ne vienne caresser doucement mes seins ainsi que mon ventre. Ses yeux noirs s’ancrèrent dans les miens dans une sincérité déconcertante il me dit aussi les trois mots que je rêvais d’entendre un jour. « Je t’aime Heli… »J’avalais ma salive un sourire béat sur le visage je vins prendre possession de ses lèvres. Enfin je pouvais voir un avenir réel dans ma tête pour notre couple et pour mon bébé. J’étreignais alors plus fortement . J’étais épuisée par tout ça. Mais j’avais aussi bien besoin d’une douche là tout de suite maintenant. Pas que la sueur me dérangeait mais plutôt le liquide qui s’écoulais de ma fente, poisseux et collant oui ça me dérangeait quelque peu. Mais avais-je seulement la force de me lever, j’en était même pas sûr. Mes jambes se déroberaient sous mon poids. Je vint chuchoter alors à son oreille.

- J’ai besoin d’aide pour aller jusqu’à la salle de bain. J’suis pas sûr de pouvoir tenir sur mes jambes.

Il pouvait bien faire ça pour moi n’est-ce pas. Pour sa petite Heli chérie. Pour la femme qu’il aime. Un sourire s’empara de moi à cette idée. Il m’aimait vraiment. J’étais soulagée, heureuse, comblée. Je pris alors conscience que nous n’avions pas mit de protection. Je m’affolais quelque peu j’avais confiance en Alfred mais tout de même.

- Je tu n’as rien j’espère? J’veux dire une maladie grave?

J’pouvais aussi être de nouveau enceinte mais les MST me faisaient d’autant plus peur.

Elle s'était mise sur moi et ça n'était pas pour me déplaire. Ses coups de reins étaient magistraux et je sentais ses parois se serrer le long de mon sexe. Se collant contre moi, le sentait tout son corps chaud sur le miens. Il n'y avait pas une seule partie de mon corps qui n'avait pas droit au plaisir. Je levais les hanches pour onduler davantage ses mouvements afin de la sentir plus présente encore. Mon corps s'alourdissait dans le lit moelleux et quand elle vint poser son visage près de mien, ses souffles et ses gémissements étaient décuplés. Elle me mordait le cou, parfois c'était douloureux, mais je ne pouvais pas dire que j'avais mal. Elle s'agrippait à moi comme si son corps entier était en ébullition et qu'elle ne pouvait pas se retenir autrement. Quand elle me dit qu'elle m'aimait, je ne pus m'empêcher de sourire. Mes lèvres vinrent toucher sa peau et je l'embrassais autant que je pouvais, sentant un nouveau plaisir s'emparer de mon corps. Elle l'avait enfin dit.

Mes mains vinrent enlever ses cheveux alors qu'elle plaçait son visage au dessus du mien, je la regardais et son expression me plut. Les yeux fermés, elle gémissait de plus en plus fort et ses coups de reins étaient de plus en plus vifs, faisant alors grincer le lit. Je me mis à rire d'excitation, la retournant alors pour être de nouveau au dessus d'elle, je replaça mon sexe dans le sien en quelques secondes, préférant finir de cette façon. Je sentais que ça allait arriver d'ici peu de temps. Je m'allongeais alors sur elle, devenant plus lent et tendre, embrassa délicieusement sa peau, je pris sa cuisse assez violemment pour l'empoigner alors que mon visage vint se placer dans son cou, mes coups étaient de plus en plus rapides et secs. Nous allions à une vitesse folle, je l'entendais gémir à mon oreille de plus en plus fort. Elle prononça mon prénom dans un gémissement semblable à un cri et quelques secondes plus tard je sentais mon membre se vider en elle.

Je ne bougeais plus, laissant aller cette sensation d'ivresse remplir mon corps et embrumant mon cerveau. Je donnais quelques derniers mouvements avant de me retirer de son corps humide et brûlant. Je la regardais avant de m'allonger sur le dos, où elle ne tarda pas à me rejoindre. Passant un bras sous son cou, elle vint se nicher contre mon corps chaud, dégageant son visage de ses cheveux rebelles, je la regardais, exténuée mais heureuse, avec ce magnifique sourire sur le visage.

Je lui souris et me mit à l'embrasser d'une façon qui m'était inconnue, me plaçant sur le côté, appuyé sur un coude, je fis glisser mes doigts sur ses seins et son ventre, plongeant mon regard dans le sien. Je voulais le lui dire et je me dis que le moment était plus que parfait. Nous nous fixions, des sourires gigantesques sur nos deux visages et avant de l'embrasser passionnément je lui dis, d'une voix totalement audible, sur un ton rauque et sensuel:

- Je t'aime Heli...

Le jeune homme me pénétrait délicatement, sans être brutal et j’aimais ça. Preuve en est mes soupirs et gémissements se faisaient plus fort et prenaient en volume. Alors que je n’appréciais pas vraiment cette position, j’voulais être au dessus et j’exécutais ma pensée poussant doucement Alfred contre le matelas afin qu’il soit allongé et moi assise sur son sexe dressé. Je vint prendre possession de ses lèvres et commençait à me déhancher lentement sur le brun. Lentement peut être même trop vu les coup de reins qu’Alfred donnait.

- Patience

Venant reprendre possession de ses lèvres je souris dans le baiser, et je vins mordiller son cou gentiment d’abord puis plus fortement et je passais ma langue dessus. Je me remis plus confortement sur lui afin de me déhancher un peu plus rapidement. Je posais mes mains sur ses épaule afin qu’il vienne près de moi et que je sente son corps chaud contre le mien. Les mains d’Alfred se posèrent sur mes hanches pour m’aider à rythmé plus rapidement mes vas et viens sur la virilité du brun. M’accrochant désespérément à sa nuque. Je vint nicher ma tête dans le creux de son épaule ma bouche contre celle-ci. Un coup de rein bien placé, je mordis fortement l’épaule du brun. Me délectant de ses soupirs aussi légers soient-t-ils près de mon oreille. Bruit exquis et aphrodisiaque puissant. Ce que je ressentait en ce moment même était tellement bon. Je me perdais dans les méandres du plaisir. Il était vrai que plus rien n’avait l’air réel ni mêmes ses touchés. Tout était perçut différemment.

- Ah, Alfred! dis-je au creux de son oreille.

Mes hanches ondulaient toutes seules alors qu’Alfred m’aidait toujours dans ma tâche. Mes bras entouraient toujours sa nuque, m’agrippant toujours fortement à lui j’embrassais toutes les parcelles de son corps qui se présentait à ma bouche. Je finis simplement par parler au creux de son oreille dans un chuchotement presque inaudible.

- Je t’aime Alfred!

Le jeune homme sourit à la réponse de la jeune femme. Elle venait de lui faire beaucoup de bien, c'était certain. Le jeune homme se plaça alors au dessus d'elle, à bout de bras. Il la toisa, elle avait l'air heureuse. Les cheveux encore humides, le visage un peu rougit, le regard pétillant. Elle était tellement belle, le jeune homme ne pu s'empêcher de lui sourire tendrement avant de venir l'embrasser. Tendrement aussi. Il déposa juste ses lèvres sur les siennes, jouant avec, les suçant sans lui faire mal. Il se sentait réellement bien à ses côtés, il avait envie de faire de cet instant quelque chose de magique. Il prit alors appuie sur un de ses coudes alors qu'il prit son sexe dans sa main afin de le mettre devant celui de la jeune femme. Il la regarda alors et ne tarda pas à trouver l'entrée humide. Il commença alors à y faire entrer son sexe, en douceur, ne voulant pas lui faire mal. Le jeune homme regarda attentivement le visage de la jeune femme, pour y voir s'il lui faisait mal ou non. Il continua a faire entrer son sexe dans cette intimité humide et chaude, alors qu'il reprenait appuie sur ses deux bras, de chaque côté de la jeune femme. Leurs visages étaient près l'un de l'autre, leur corps étaient collés l'un à l'autre. Il finit par faire entièrement entrer son sexe à l'intérieur de la jeune femme, faisant ça lentement pour qu'elle s'habitue à lui. Puis, il commença des vas et viens calmes et lents, avant d'accélérer petit à petit.

La jeune femme avait l'air d'apprécier cela, en vu de ses gémissements et de sa respiration saccadée. Alfred n'était pas du genre à gémir ni souffler comme un boeuf lors de ses ébats. Il était silencieux, mais ça n'en demeurait pas loin jouissif. Le jeune homme continua alors ses mouvements, collant son front à celui d'Helinä. Il plongea ses yeux dans les siens alors qu'elle passa ses mains derrière son cou, le retenant contre lui.

Ne t'en fais pas Helinä, il ne comptait pas repartir, ni maintenant, ni demain, ni jamais. Une de ses mains vint de poser sur la cuisse de la jeune femme, la ramenant vers eux. Il se redressa alors, couvrant son corps de baisers, tandis qu'il était à genoux, remontant le bassin de la jeune femme avec ses mains pour qu'elle reste à hauteur. Se pinçant la lèvre supérieure, il continua à lui faire l'amour de cette façon, ne voulant pas changer de position pour ne pas la destabiliser. Il espérait qu'elle aime ça, tout autant que lui.

Alfred se sentait plus que bien dans cet intérieur chaud et serré, c'était si tentant, si délicieux. Il ne comptait pas s'arrêter pour le moment, voulant faire de cet instant, toute une nuit. S'il pouvait seulement arrêter le temps pour continuer ce moment à l'infini. Ressentir cette chaleur dans tout le corps, sentir son membre s'enivrer de tous ses délices, de cette douceur, chaleur, humidité... Il retomba alors sur ses bras, d'un seul coup, tout près de la jeune femme, lui embrassa le cou, la mordillant alors pour lui faire perdre pied.