Séance d'essayage || Dylan

Invité

« Et si je te disais que t'étais beaucoup plus sexy comme ça ? Ça te donne un look très... décontracté ? »

Je poussa un pff, je ne vois pas ce qui est sexy dans cette coupe mais bon. Je ne répondis pas car je savais que ça ne server à rien. Kaira me tourné autour pendant très peu de temps. Je sais que entre moi est Kaira il n'y a rien de plus que de l'amitié, on est proche et on aime se cherché mais pas au point d'aller plus loin dans notre relation. J'aime le lien que nous avons . Puis quand je lui fis une pichenette sur la joue elle me répondit par un coup dans le dos. Je suis à mon tour surpris.

«Hé miss !»

Puis on commença à discuter elle me dit que elle va bien assez pour me supporter. Je rigole et lui souris et la regarde. Puis on va dans le salon elle me donne des sucres d'orge. Que bien sûr elle m'avait proposer. Qu'est ce que j'adore c'est sucreries surtout en hiver pendant la période des fêtes. Et j'adore aussi les fêtes de fin d'année qui sont toujours grandioses chez ma famille. Mais bon je n'étais pas là pour ça je devais essayer les créations de Kaira en faite je suis son model en quelque sorte. Mais j'adore vraiment lui rendre service et faire une expérience comme ça c'est pas très courant alors je suis tout le temps très content. Quand je lui demande où la sale de horreurs -j'aime la taquiner- elle me fourre un biscuit en me disant.

« Tiens, ça devrait te calmer. »

J'avale le biscuit puis tousse car les biscuits c'est sec alors on peut s'étouffé facilement. Je me lève ensuite du fauteuil et suis Kaira dans son antre. Quand j'entre dans la pièce je découvre son univers. Mannequins en plastique, rangé de vêtement, tissus de toutes les couleurs, machine à coudre et cabine d'essayage. Le top du top. Elle me sort du dressing un ensemble qui je dois l'avoué n'est pas mon style mais très beau.

« Alors, tu dois essayer touuuut ça en premier et si t'es parfait dedans, on regardera pour des extras. Tu me diras ce que t'en penses ou si t'as des suggestions, d'accord ? »

«Ok miss »

Puis elle m'indiqua la cabine d'essayage tout en me tendent mon ensemble.

« Bon, la salle d'essayage se trouve de ce côté, mais tu peux te changer devant moi si tu veux, ça dérange pas. »

Elle me fit un clin d'oeil. Bien sûr il fallait quelle perde son sérieux. Je la regardais puis autant mon haut je la regardais et lui fis un clin d'oeil. Avec une autre fille je serais plus gêné mais devant kaira he ne le suis pas car je sais que c'est pour rigoler.

«Pour le reste je vais dans la cabine»

Je lui sourit puis me dirige vers la cabine. Avant de rentrer dans la cabine je passe ma main dans mes cheveux puis entre et tire le rideau rouge. Je me déshabille puis enfile l'ensemble. Je remet tout en place pour ce qui ne les pas puis me regarde. Euh oui c'est pas moi mais ça me va. Puis je sors et m'arrête à mi-chemin pour lui laisser voir l'ensemble dans sa globalité puis avança .

« J'aime beaucoup c'est très bien fait par contre ce n'est pas mon style mais c'est juste un simple détail pas très important. Tu as autre chose ?»

Invité

« Eh, j'ai passé dix minutes ce matin à essayer de faire un truc pas mal »

Je roulai des yeux. Tournant mon corps pour qu'il soit directement en face de lui, j'utilisai mes deux mains afin de mélanger ses cheveux dans tous les sens. Je le toisai du regard avec un sourire moqueur sur le visage.

« Et si je te disais que t'étais beaucoup plus sexy comme ça ? Ça te donne un look très... décontracté ? »

Je tournais un peu autour de Dylan, cependant, ce n'était pas très sérieux. Je jouais souvent avec les hommes, certes, mais pas avec ceux comme lui. Il était trop mignon, trop calme et gentil pour mériter d'être traité comme un vulgaire objet. J'étais réellement amie avec Dylan et ne m'imaginais pas vraiment agir de cette manière avec lui. Je l'aimais bien, mais ne m'attendais pas spécialement à avoir une quelconque relation avec si ce n'était que de l'amitié. Mais bon, l'avenir nous le dirait. L'adolescent me fit une pichenette sur la joue et, faussement choquée, je le frappai dans le dos. Par la suite, nous nous installâmes dans la salle de séjour, puis j'entamai une discussion.

« Oui et toi ? Ça va mieux depuis ce matin ? »

« Mmmh, assez bien pour être capable te supporter. »

Par politesse, je lui proposai quelque chose à boire ou à manger avant que je ne me rende dans la cuisine pour prendre le sac de sucre d'orge. On en avait acheté en tant que décoration lors d'un dîner, sauf que leur goût m'était insupportable. Je pris trois biscuits aux pépites de chocolat pour moi avant de revenir dans la pièce. Un silence s'installa le temps de quelques secondes, mais je m'adressai à Dylan une nouvelle fois, lui demandant s'il était prêt à essayer mes nouvelles créations. Il y a quelques semaines de cela, je lui avais sauté dessus et l'avais supplié d'être le modèle de mes nouvelles œuvres sur lesquelles je travaillais depuis des mois. Il avait accepté et pour le remercier, je lui avais spécifié qu'il deviendrait le premier homme de ma vie.

« Avec toi je suis toujours prêt ! Je te suis, c'est par où la salle aux horreurs ? Nan je plaisante. »

Je saisis l'un de mes biscuits et le fourrai dans sa bouche avant de me lever du fauteuil.

« Tiens, ça devrait te calmer. »

Je remis le bol de nourriture dans la cuisine. Au même moment, la gouvernante m'avertit qu'elle rentrait chez elle et j'acquiesçai pour montrer ma compréhension. Mes parents étaient absents, alors à part nous deux, la maison était vide. Je pris mon téléphone traînant sur la table à manger dans le but de prendre quelques photos. L'atelier se trouvait à l'orée de la mansion. L'intérieur était assez sobre, les principales couleurs étant le beige, le marron et le blanc. La pièce était jaugée de mannequins en plastique et les tablettes de rangement contenaient une tonne de tissus et de vêtements. Il y avait du matériel de dessin sur les tables du milieu ainsi qu'un ordinateur posé sur un bureau. La salle d'essayage se trouvait au fond de l'atelier et un genre de dressing où étaient rangées tous les modèles terminés étaient à côté. Cet endroit avait principalement été construit pour mon père, mais j'avais fini par l'utiliser à mon tour. Je me tournai vers Dylan.

« Bienvenue dans mon antre ! C'est un lieu sacré, alors un peu de respect s'il te plaît. » ajoutai-je sur le ton de la rigolade.

Je disparus dans le dressing, puis sortis le support en mental où pendaient sept tenues accrochées à des cintres.

« Alors, tu dois essayer touuuut ça en premier et si t'es parfait dedans, on regardera pour des extras. Tu me diras ce que t'en penses ou si t'as des suggestions, d'accord ? »

Je décrochai un ensemble contenant un pantalon noir, un haut de couleur et une veste grise, et le lui tendis.

« Bon, la salle d'essayage se trouve de ce côté, mais tu peux te changer devant moi si tu veux, ça dérange pas. »

J'accentuai mes paroles avec un clin d'œil, mais finis par perdre mon sérieux.

Invité

Je me réveille en sursaut, mon réveil avait sonné une deuxième, vous savez cet instant où vous avez envie de balancer votre réveil par dessus la fenêtre. Bah c'est exactement ce que j'ai envie de faire en ce moment prendre ce putain de réveil et le balancé contre un mur. Mais je ne fis rien je me contenta d'appuyer dessus et de râler comme chaque matins que le bon Dieu nous fait. Je me redresse et attrape mon iPhone,11 heures. Je me demande bien qu'est ce que je vais bien pouvoir faire aujourd'hui. Bien sûr je devais faire ma routine habituel et passer du temps avec Kathelyne. Mais je me rends compte que je n'ai rien de prévu ce soir et l'idée d'aller en boite ne me brancher pas. Alors je pris mon portable et envoie un message à ma chère Kaira.

Je sais que beaucoup de gens la voient comme une fille manipulatrice qui séduit très facilement. Ils n'ont pas tort mais ils ne savent pas qui elle est réellement, ils n'ont pas choisie de voir comme moi. Moi je la vois sous ses qualités, car elle en a malgré tout, elle est...euh, en faite nan je vois pas mais si on oubli ses défauts on voit quand même quelque chose qui ressemble à de la qualités. Elle est ambitieuse et ça c'est une qualités si on a pas d'ambitions dans la vie je vois pas qu'est ce que on peut faire de nos journées. Elle a quand même une joie de vivre et elle est gentille, oui oui je vous l'assure du moins avec moi. Elle est généreuse et attentionner. Alors c'est qui maintenant qui a tort c'est pas moi mais vous, ne jugez pas trop vite la prochaine fois, je ne penses pas que vous soyez mieux ! Par contre une chose que je ne comprends est pas pourquoi elle ne m'utilise pas comme victime ou pantin. Mais je suis bien content que l'on s'entende bien tous les deux. Une autre qualité ? Elle est belle et ça je ne peux pas le nier. Oh que non !
Mais passons là je lui envoie un message

« Hey ;) t'es occupée ce soir ? »

En attendant la réponse. Je vais prendre ma douche en vitesse et m'habiller. Pour la tenu je mis un jeans bleu simple avec un tee-shirt à fond vert bleu foncé et des feuille de palmier verte. Pour mes cheveux je mis dix minutes a avoir la bonne coupe. Je fais mon lit et prend mon téléphone, avant de descendre. En descendant je rencontre la gouvernante Lucile , qui est aussi le professeur particulier de ma soeur qui prend des cours à domicile. Bien sûr je la salut

« Bonjour Lucile !»

Elle me répond aussi et on s'échange un sourire

« Bonjour Dylan, votre soeur est en bas si jamais vous la cherchez»

Je la remercie d'un signe de tête et descend les escaliers pour rejoindre ma soeur chérie. Je prends les pancakes restant et me sors un jus d'orange. Avant de faire un énorme bisou sur le front de ma soeur. Tout en mangeant mes pancakes je parle avec ma soeur. Entre deux gorgées je lui dis

« Alors puce, tu as bien dormis ? Tu comptes faire quelque chose aujourd'hui?»

Elle me regarde le bol devant son visage mais je devine bien que elle va me dire quelque chose par rapport à ce que je viens de dire.

« Je t'ai déjà dis mille fois que je veux que tu arrêtes de m'appeler "puce". Et merci j'ai bien dormis et toi ? Pour mon programme de la journée, je te l'ai déjà dis je vais chez une amie tu n'as pas oublier quand même ?»

Ah oui mince ! J'avais oublié...

« Bien, merci et non je n'avais pas oublié. Et je dois t'accompagner ou le chauffeur le fera à ma place ?»

Je croqua à nouveau dans mon pancakes.

« Euh je vais choisir Alfred, je vais te laisser tranquille pour aujourd'hui »

« Euh ok Kathe»

Elle pros son sac, me fit un bisous et appela Alfred notre chauffeur Irlandais, fort sympathique, tout comme Lucile mais elle est française car mes parents voulaient que ma soeur apprend le français. Des ordres sont des ordres.
Tout en buvant mon jus je lu les messages de Kaira.

« Malade»

Oh zut, la pauvre je me demande bien ce quelle a pu attraper. Mais le message suivant .

« J'ai des trucs pour toi, tu peux passer chez moi ce soir ? »

Je lui répondis aussitôt

« Oui bien sûr vers 17h je suis là »

Le reste de la journée fut banale j'avais regardais la suite de ma série et avait discuté avec Alfred et Lucile de tout et de rien. Quand 17heures arriva je pris ma veste en jeans et pris ma voiture décapotable, direction villa Jacobs. Quand j'arrive c'est sa gouvernante qui m'ouvrit. Puis Kaira apparut avec une robe beige qui la met en valeur avec une ceinture brune et elle a ses cheveux détachés . Puis comme habituellement on se fit la bise et elle me décoiffa en passant sa main dans mes cheveux, elle faisait toujours ça mais je m'en lassais pas .

« Eh j'ai passer dix minutes ce matin à essayer de faire un truc pas mal »

Je lui fis une pichenette à la joue. Puis je m'assis sur un fauteuil tranquillement. Attendant qu'elle me parle. Car j'aime quand on fait le premier pas.

« Tu vas bien ? »

-« Oui et toi ? Ça va mieux depuis ce matin ? »

-« T’as faim ? T’as soif ? Oh, j’ai un paquet de sucre d’orge si tu veux, je sais que t’aimes ces horreurs. »

-« Soif et faim,non. Mais je veux bien un sucre d'orge par contre, s'il te plait »

La belle brune alla chercher mes horreurs comme elle dit si bien et me rapporta un bocal remplit de sucre d'orge, jaune, rouge et vert. Parfait . Un fauteuil, des sucres d'orge et elle avec moi. Je ne pouvais pas rêver mieux. Elle s'assit près de moi sur, sur l'accoudoir plus précisément. Elle me regarda et je fis de même.

« Prêt à essayer des nouveaux vêtements ? C’est à cause d’eux que je suis malade en fait, je suis restée tard pour les finir. »

Je lui souris

« Avec toi je suis toujours près ! Je te suis c'est par où la salle aux horreurs ? Nan je plaisante»

Je rigole puis lui tire les cheveux comme à mon habitude. J'adore la taquiner.

Invité

Mes yeux s'ouvrirent à la douce mélodie qu'était mon réveil-matin. C'était samedi, certes, seulement je ne m'autorisais pas à dormir plus tard que 9 heures et demie. Avec la tonne de choses que j'avais à faire, mes journées devaient être suffisamment longues. Habituellement, je réussissais à me réveiller de mon ~~plingré~~ plein gré, sauf qu'en ce moment, j'étais exténuée. La nuit dernière, j'avais veillé tard afin de compléter mes derniers modèles, du coup je devais avoir dormi quatre ou cinq heures maximum. Après une grande inspiration relâchée sous forme de soupir, je m'extirpai du lit. Seulement, une fois sur mes jambes, un mal de tête me terrassa et m'obligea à me clouer au lit et à ne plus bouger. Oh non, ce n'était pas le bon moment pour tomber malade. Il était prévu que je me rende à l'entreprise afin de superviser la confection de nouveaux vêtements. Je fermai les yeux, espérant que cela réussirait à réduire la douleur.

La porte de ma chambre s'ouvrit, laissant entrer mon père dans la pièce. Il avait décidé de rester dans la maison familiale pour quelques semaines avant d'entamer son voyage à Madagascar pour son travail. Ce matin, nous avions prévu de prendre le thé - mes habitudes londoniennes étaient toujours apparentes - toutefois j'arrivais à peine à sortir du lit. Marc s'approcha de mon baldaquin, puis se pencha afin de déposer un baiser sur mon front.

« Ça va ? Tu te lèves pas ? Ça fait 30 minutes que je t'attends. »

« Mmh, j'ai un mal de tête atroce... »

L'inquiétude s'afficha sur son visage et je le convainquis que ce n'était pas si grave. Je tentais une nouvelle fois de me redresser, mais il m'ordonna aussitôt de me recoucher.

« Bouge pas, je vais demander à ce qu’on t'apporte un plateau. »

J'humais en guise de réponse et mon père quitta la pièce. Quelques minutes plus tard, Maria, l'une des gouvernantes, me transmis mon déjeuner ainsi qu'un médicament contre le mal de tête. Après n'avoir avalé que le quart de mon assiette, je me forçais à retourner dans les bras de Murphy.

Je me réveillai à midi, mon mal de tête toujours présent mais moins oppressant. J'hésitais entre une douche et un bain et finis par conclure qu'un bain nécessitait beaucoup moins d'énergie. Ma toilette terminée, je pris mon téléphone traînant sur mon bureau. L'écran affichait un appel manqué de la part de Dylan, suivis d'un message texte de la même personne.

« Hey ;) t'es occupée ce soir ? »

Je roulai des yeux, puis lui écris :

« Malade »

Je déposais l'appareil afin de pouvoir sécher mes cheveux, mais l'utilisai rapidement avant même d'attendre une réponse.

« J'ai des trucs pour toi, tu peux passer chez moi ce soir ? »

Je lançai mon iPhone sur le lit, puis fouillai dans ma garde-robe pour un habit simple à enfiler, vu que je n’allais sûrement pas mettre mon nez dehors de toute la journée. Par la suite, je me rendis dans la salle cinéma pour regarder un film qui me permettrait de faire passer le temps. Après cinq minutes de recherches, je portais mon choix sur The other woman. Vers 17h, la sonnerie résonnait dans la maison et je présumais que c’était mon homme qui venait d’arriver. Le temps que j’arrive dans la salle de séjour, Dylan était déjà accueilli par la gouvernante. Je fis de même en lui faisant la bise. Je passais une main dans ses cheveux, gâchant un peu sa coiffure par la même occasion.

« Tu vas bien ? »

Je l’invitai à s’installer.

« T’as faim ? T’as soif ? Oh, j’ai un paquet de sucre d’orge si tu veux, je sais que t’aimes ces horreurs. »

Je me posais sur la manche du fauteuil où il s’était installé.

« Prêt à essayer des nouveaux vêtements ? C’est à cause d’eux que je suis malade en fait, je suis restée tard pour les finir. »