1, 2, 3, 20 verres plus tard. [James Stanford]

La pénombre et l’air frais du soir était parfait, je regardais ma nouvel
amie ou pas à voir. Elle hésita pendant un petit moment avant de me
répondre qu’elle n’avait pas de passion j’en fus presque révolté je ne
sais pas vraiment si la solitude était une passion mais à mon avis c‘est
carrément pas une passion. Alors oui j’étais révolté comment ne
pouvions nous pas avoir de passion rien que moi j’en avais déjà trois.
Sacha, la photographie et le théâtre… Je buvais encore dans ma bouteille
et une fois que le cône était terminé après que je me soit étouffé avec
et que Zofia s’est foutu de ma gueule je pris une cigarette dans mon
paquet et en proposa une à la jeune fille rousse. Je l’alluma et pris
une bouffée de goudron, vraiment je fumais de la merde. Je finis d’une
traite ma bouteille. Et voilà que je me trouvais à court de boisson ça
n’allait vraiment pas cette histoire. Zofia elle n’avait pas finit la
sienne, je me tourne vers et en faisant les yeux de chats je lui demande
de me passer un peu la bouteille. Et coupé dans mon élan elle me dit
que finalement elle aime bien le Whisky c’était pas ma vaine, je
pourrais pas boire dans sa bouteille. Bon je me lève un peu
difficilement et beaucoup trop rapidement ma tête me tourne et je me
rassois comme j’étais quelques secondes auparavant. Et le rire de la
jeune fille s’éleva et je pouffa de rire avec elle.

- C’est pas de ma faute je me suis levé trop rapidement et pouf je suis tombé, dis-je en finissant ma phrase en riant.

Je
me rendais bien compte que finalement j’avais déjà pas mal bu et en
plus je montrais ce côté-là à ma nouvelle amie. C’est vraiment pas cool.
Et sans vraiment savoir pourquoi je m’effondre en larme. Est-ce que
c’était à cause de Sacha que je pleurais? Non je ne pense pas mais
plutôt du à mon attitude vis-à-vis de Samus et Chase. J’étais vraiment
un gros salaud. Mais non pas l’alcool triste. Je reniflais bruyamment
toujours ma clope à la main.

- Excuse moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je suis désolé…

Bon apparemment, cette jeune fille ne buvait pas, et ne fumait pas non plus. Mais bon il faut bien une première fois à tout. N’Est-ce pas? Bon je sais c’était peut être pas très légal mais quand on trouve que notre vie n’est pas terrible ça nous détends royalement et je ne savais pas vraiment pourquoi mais au moins cela me faisait fuir quelque temps la vie que je pouvais mener. J’avais déjà pas mal bu. Mais je ne voulais pas encore m’arrêter, je n’avais pas vraiment l’impression que ça me faisais vraiment, peut être est-ce du à l’habitude. Elle me dit son prénom, d’après son nom elle venait d’Europe. J’appris qu’elle était aussi à Wynwood quelle coïncidence. Au moins on pourra se revoir si l’envie nous prend. Je pris la bouteille de Whisky et bu un très grande gorgée. Pourquoi j’allais aussi mal déjà? Parce que j’avais ruiner la vis sentimentale de deux personnes pour un seul homme. J’étais vraiment un briseur de cœur. Je me maudissait intérieurement mais d’un autre côté j’avais réussit à reconquérir l’être aimé. Son visage apparut dans ma tête. Oh! Sacha, tes baisers, tes caresses m’avaient tellement manqué. Mais pauvre Chase et Samus, j’étais tellement navré pour eux, je n’aurais jamais du m’attacher autant à ses gens. Cela ne m’aurait pas fait souffrir aussi longtemps. Je soufflais à ma pensée et repris une nouvelle gorgée et m’alluma une cigarette pendant que Zofia elle fumait le joint. Je la vit vacillé.

- Vas-y pas trop vite c’est pas de la merde qu’il y a dedans. Tu n’as jamais fumer.

Elle était comment dirais-je légèrement défoncé, elle ouvrit une nouvelle fois sa bouteille pour en boire énormément. Et me dit:

- Merci de partager cette soirée avec moi. Je pense que dans le fond, tu es quelqu'un de bien malgré toute ces choses pour pimenté ton quotidien, entrepris-je de dire.

- Ce n’est pas quotidiennement que je bois, juste dans les moments difficiles. Et ce soir la remise en question et de mise. Alors l’alcool m’aide à oublié, au moins pour quelques instants. Je ne veux pas vraiment penser ce soir. Et toi alors tu es venue dans un endroit que tu n'apprécie pas vraiment et en plus tu commandes le remède le plus fort. Je suppose que quelque chose est arrivé. Mais je ne veux pas vraiment savoir si tu veux en parler je suis là.

Je regarde les lumières de la ville. Et ferme les yeux et tire sur ma cigarette et recrache la fumée. Ça présence m’apaisait quelque peu et un silence s’installa, pas oppressant, pas gênant, non c’était juste un silence apaisant. Et je pris la parole doucement.

- Alors quelles sont tes passions dans la vie?

Le jeune homme avec qui je buvais silencieusement mon verre entrepris d'acheter deux bouteilles vieillis de Whisky. Jusque ici, je buvais par passion, pour le plaisir du gout. Jamais je n'avais connu cette adrénaline qui te monte doucement mais surement à le tête. Je buvais par simple envie qui ne me prenais que très rarement.
Une fois fait, celui ci me proposa de sortir prendre l'air. En un sens je prenais cette acte pour une proposition. Mais en vain, j'avais la certitude que se n'était pas le cas, se qui me plaisait chez cet homme.
Je le suivi donc dehors, une part de moi me disait que je devais le suivre, quitter cette endroit sordide. Nous nous installâmes derrière la boîte. On pouvait toujours discerné la musique qui tournais a chaque ouverture de porte. Quelque minutes plus tard, il me tendit une des deux bouteilles. Je ne pouvais pas refusé, mais je ne boirais jamais toute cette substance. Il se mit à rouler ce qui dans mon vocabulaire est illégal. Je n'avais jamais fumé une tel chose. Après tout pourquoi pas essayer. Cette ville est le pécher. Se long silence fut interrompu.

- Au fait je m’appelle James, James Stanford, je suis étudiant à Wynwood. Et toi quel est ton nom?

- Moi.. Je me nomme Zofia, Zofia Ambroziak et se qui est étonnant c'est que je viens aussi d'arriver à Wynwood, enchanté, dis-je tout en ouvrant ma bouteille.

Je n'avais même pas imaginé une seconde que ce James aurait pu être lycéen, surtout lycée de Wynwood. D'un autre côté un profond sentiment me soulageais, cela me permettais de me sentir un peu moins seul. Je savais pourtant qu'une fois cette soirée fini, je ne le reverrais peu être jamais.

Nous trinquâmes à notre réussite, et commença a boire une ou deux gorgés, du moins ma petite gorgé en était en réalité 4 pour lui. Il avait une puissance d'engloutissement hors du commun. Il alluma son cône et tranquillement fuma latte après latte. Je sentais l'odeur me remonter au plus profond de mes narines. Finalement se n'était pas si désagréable. De son long bras fin, il me le tendit avec une délicatesse très prononcé. Mes yeux s'aventura de droite à gauche, je me sentais en même temps gêné. Mais je décédais de me lancer une bonne fois pour toute. Je tirais royalement un longue latte ne pensant pas à l'effet que cela pourrait faire. Mon cœur pendant un instant se resserra. Une douleur profonde s'installa mais finalement il s'avérait que cela me plaisait. Je pris tout de même mon temps sachant vaguement les effets que cela produirais sur mon subconscient. Une épaisse et longue fumé me sortais tout droit des poumons délaissant un léger soupir de ma part.

- Merci de partager cette soirée avec moi. Je pense que dans le fond, tu es quelqu'un de bien malgré toute ces choses pour pimenté ton quotidien, entrepris-je de dire.

Je m'étonnais moi même, depuis quand parlais-je autant. D'habitude je suis plutôt pensive mais rien ne sort de ma bouche à se sujet. Jusqu'où allais-je aller se soir la. Seul Dieu le savais, malgré ma non croyance à se sujet la, ce dicton était parfait en cet instant.

Je n’étais pas vraiment dans mon assiette. Je m’étais retrouvé dans cette boîte sans vraiment savoir comment. Mais ce qui était sûr c’est que j’avais besoin d’un verre. Et peut être pas qu’un non plus. Ma vie était compliquée même beaucoup trop complexe. J’étais assis au bar et la musique me vrillait les tympans, des tubes de maintenant pas vraiment mon style de musique. Mais au moins j’étais presque sûr de ne pas croisé des gens que je connaissais. J’étais assis au bar un cocktail dans la main, l’un des meilleurs et surtout assez fort pour que je puisse fuir les problèmes que j’avais en ce moment. J’en étais à mon troisième verre et j’étais toujours dans un état dit normal, cela ne m’avais pas vraiment fait quelque chose. Je soupirais longuement et ferma les yeux et quelle ne fut pas ma surprise quand je vis débarqué une ravissante jeune fille qui avait l’air autant perdu que moi. Elle s’installa à côté de moi, et ne me calcula qu’une fois que je pris la parole pour lui conseiller le B-52. Je me tournais vers la jeune fille et tandis mon verre vers elle pour trinquer, nos verres "aux gens qui n’ont vraiment rien à foutre dans ce genre d’endroit". En même temps c’était le seul endroit ou les jeunes pouvaient se rendre sans réellement se faire contrôler par les forces de polices. J’observais plus en détail la jeune fille, elle avait un visage parfait, un corps parfait. Si j’étais célibataire je lui aurais sauté dessus. Mais non je ne pouvais en aucun cas tromper la personne que j’aimais le plus au monde. Et j’étais parfaitement combler avec lui. Mais aujourd’hui je n’étais pas avec lui et je ne savais pas vraiment pourquoi d’ailleurs. Une fois la fille eu finis son verre je me pencha à son oreille et lui demanda;

- Et si on sortait quelques minutes?

On aurait presque dit que je voulais l’emmener pour un plan cul sur ce coup là. Ce n’était pas du tout le cas. Je voulais juste sortir de cette atmosphère beaucoup trop pesante et je commençais à avoir chaud. Nous sortons du bâtiment après que j’ai payé deux bouteilles de Whisky. Je l’avais peut être payé cher mais après tout n’étais-je pas riche? Nous contournons l’établissement, nous pouvions encore entendre la musique mais ce n’était que des boum boum boum. C’était pas plus mal. Je me laisse tomber comme un sac à patate au sol et commence à rouler un joint.

- Je ne peux décemment pas fumer un joint devant l’établissement ou dans l’espace réservé au fumeur.

Une fois le bedo roulé je l’allume et ouvre ma bouteille de Whisky une chacun c’était plutôt pas mal si on voulait se bourrer la gueule et en plus c’était du pur. Une bon Jack Daniels, tout était parfait.

- Au fait je m’appelle James, James Stanford, je suis étudiant à Wynwood. Et toi quel est ton nom?