Une arrivé, une rencontre [Lou Az]

Un peu de remords se lit sur son visage. Pourtant, je ne faisait que dire la vérité. Ce que j'avais au genou n'était rien.

- En effet, je ne suis pas Américaine, lui dis-je avec un léger sourire, mais je suis née en Russie. Je suis arrivé il y à peu à Miami, je ne connais rien ici, je n'y ai jamais vécu. Tu as la peau assez pal d'où viens-tu?

J'avais vu juste. Parfois, cela a du bon d'avoir un sens de l'observation. Elle m'observait avec intensité. Surtout le visage. Serait elle aussi pour les filles? En tous les cas, son regard se radoucit petit à petit. Au moins, je ne la mettais pas mal à l'aise.
La peau pale? oui je dois dire que cela était un soucis. Mais comment a t elle pu remarquer ma blancheur extrême alors qu'elle ne pouvait voir que mon visage. Il faut dire qu'avec un t shirt longue manche brun et un jean, je ne laissait filtrer que tres peu de parcelle de ma peau.

- Tu as raison, je suis belge. Je vis normalement dans un pays tempéré et non un pays aussi ensoleillé.

Je vérifiais que mes manches ne s'étaient pas relevée et regarda ves ce temps magnifique... Beaucoup trop pour moi. J'attendais qu'elle se révèle à moi. Je préfère laisser venir la biche, je n'aime pas me précipiter.

C'est une personne qui avait l'air très perspicace et observatrice, en quelque mot elle ne me discernait que trop bien. Cela me faisait un peur, mais pour une fois je me sentais comprise . Elle touchais juste encore une fois suite à sa prochaine question.

- Merci beaucoup. Ne t'inquiète pas, j'ai l'habitude. Je me nomme Lou Az. Je suis étudiante aussi. Je suis arrivée il y a peu. Ton accent n'est pas américain. Serais tu étrangère à l'anglais?

Elle disait qu'elle avait l'habitude, que voulais telle dire par la, qu'elle était maladroite, ou que les gens ne faisait pas attention à elle et qu'on lui faisait souvent ses coups ci. Si ma deuxième solution était la bonne réponse, je m'en voulais tout particulièrement d'avoir été une des personnes de plus qui ne l'avais pas remarqué ou lui avais fait mal. Mes yeux exprimais quelque remord, lavait elle vu sa aussi?

- En effet, je ne suis pas Américaine, lui dis-je avec un léger sourire, mais je suis née en Russie. Je suis arrivé il y à peu à Miami, je ne connais rien ici, je n'y ai jamais vécu. Tu as la peau assez pal d'où viens-tu?

Comme je le disait, elle avait une peau très lisse, à en rendre jalouse beaucoup de fille. Un peau très claire et t'en faire palpité les yeux. Son visage était serein. J'aimais beaucoup le faite qu'elle me parle, à ses côté le brouhaha avait disparu depuis peu, je l'avais oublié.

elle fut quelque peu étonnée de m'entendre. Pourtant cela n'était pas grand chose.
Je discernais un peu d'hésitation et son regard en disait plus long que ce qu'elle semblait vouloir partager. Elle répondit enfin:

- Oui, ne t'en fait pas tout va bien. Merci de t'inquièté, mais il n'a pas raison d'être. C'est juste... toute... cette foule qui me préoccupais et m'avais perturbé. Je suis vraiment désolé.

Bon ça c'était un joli mensonge mais n'en pris pas ombres. Chacun fait ce qu'il veut selon moi. Je mis mes mains jointe devant moi discretement dans l'espoir de cacher ma douleur à force de rester debout. j'attendis sa réaction. Je sais par expérience que l'on ne fonce pas de face une biche sauvage. Sinon elle s'enfuit. L'être humain est comme une biche sauvage et ses précipité n'apporte qu'une fuite.

Elle m'invita à marcher. Super... il ne me manquait plus que cela. Je faisait un effort surhumain pour ne pas boité. Je ne voulais pas non plus qu'elle s'en veuille de cette blessure alors qu'une fois rentrée, je demanderais à maman de regarder à cette rotule. Les animaux ou humain, c'est pareil. Encore une fois, je restais silencieuse. Je la laissai venir à moi.

- Au fait, je m'appelle Zofia Ambroziak et je suis étudiante ici. Je t'ai fait mal? Asseyons nous un instant, histoire de reposé ta jambe.

ah bonne nouvelle. Je me dirigeais auprès du banc le plus proche et m'y assis un peu trop vite à mon goût. Je sentais encore le poids de son regards sur moi.

- Merci beaucoup. Ne t'inquiète pas, j'ai l'habitude. Je me nomme Lou Az. Je suis étudiante aussi. Je suis arrivée il y a peu. Ton accent n'est pas américain. Serais tu étrangère à l'anglais?

Je n'eus pas le temps de faire trois pas...
Cela m'avais choqué, je ne m'attendais pas à une réponse de sa part. Elle avait une voix si douce, remplis d'espoir et de compassion. Dans ces mots je pu comprendre que cette jeune femme était très observatrice. D'un autre côté, savoir se que je ressent n'est pas très dur, surtout dans ces instants de gêne énorme. Ce n'est absolument pas sa présence qui me dérangeais mais le fait que des le premier abord, elle osait me demander se que je ressentais. Elle avait touché mon point faible car en posant cette question, c'est ma vie entière qui s'écroulait sous mes yeux et sous les siens entrevu à travers un simple regard, le mien. En quelque trait de mon visage, elle avait pu apercevoir toute cette haine qui coulais dans mes veines, toute cette violence que je cachais pourtant du mieux que je le pouvais.

- Oui, ne t'en fait pas tout va bien. Merci de t'inquièté, mais il n'a pas raison d'être. C'est juste... toute... cette foule qui me préoccupais et m'avais perturbé. Je suis vraiment désolé.

Son visage devint encore plus doux, elle ne voulait pas me blessé, tout simplement, je pensais apercevoir de l'inquiétude dans ses gestes. Les mains en avant comme une sorte de protection envers sa propre personne, mais en même temps, une invitation à partager l'affection qu'elle m'offrait. Je ne pouvais pas refusé. Un fort sentiment de sécurité m'envahissait. Je voulais apprendre à connaître ses manières, son attitude. A croire qu'elle m'intriguait plus que prévus.

Nous nous mirent à marcher côte à côte, je pouvais voir qu'elle boitillait quelque peu.

- Au fait, je m'appelle Zofia Ambroziak et je suis étudiante ici. Je t'ai fait mal? Asseyons nous un instant, histoire de reposé ta jambe.

Aussitôt, elles s'installèrent dans un petit carré d'herbe au bord d'une de ses marres que je regardais quelque minutes plus tôt. Le soleil nous tapais sur le visage, s'était agréable. Une forte chaleur me réchauffait le cœur.

Je me décidais tout de même à m’accorder quelque instant dehors afin de voir un peu ce que nous propose cette chère école. La plage, pas pour moi… Je hais le sable et encore plus le soleil. Je me promène donc sous les ombres des arbres bordant les points d’eau du parc. Bien évidemment, mon imagination me perd dans le lointain lorsque je reçu un choc terrible qui me fit valser en avant et laisser tomber mon bracelet que je tripotais distraitement.

- Excuse moi, tout vas bien j'espère?

Lorsque je me remis du choc, je ne fus pas étonnée de voir ce relevé une jeune femme d’une carrure de sportive et assez grande. Je dois dire que l’on me tombe souvent car je suis quelqu’un d’assez discret pour ne pas être vue par les autres quelque fois. Comme tel fut le but principal, je me relevait, ramassait mon horaire.

Ce n’est qu’à ce moment là que j’entrepris de me relever. Et bien évidement, je sentis mon genou quelque peu bouger dans sa rotule. J’esquissais une brève grimace mais repris de suite le visage que j’affichais le mieux aux gens : un visage calme et placide. C’est ainsi que l’on obtient le plus de discrétion. J’entrepris d’observer cette jeune femme de plus près. Elle m’observait. Bon elle ne découvrirait pas grand-chose en faisant cela mais bon.
Son regards était aussi froids que les plaines d’alaska mais je cru discerné un petit quelque chose. Cela m’intriguait quelque peu, je dois l’avouer. Cela faisait seulement quelques jours que j’étais inscrite ici et mis à part un garçon, je n’avais encore parler à personne. Et elle avait l’air aussi perdue que moi.

Elle entreprit de faire demi tour. Je la rappelais donc :

- attend, je vais bien mais toi ? Est-ce que ça va ? Tu m’as l’air quelque peu… disons… préoccuper par quelque chose.

J’espère avoir vu juste dans son comportement.