Où que tu ailles, je te suivrais. [Fawn] (Terminé)

Id Card ÂGE : 16 ans DATE DE NAISSANCE : 11 novembre 1997 LIEU DE NAISSANCE :Québec, Québec, Canada CLASSE: Senior Year, à la rentrée 2 CONFRERIES AU CHOIX Nu Zeta & Lambda RICHE OU BOURSE D'ETUDE : Riche AVATAR: Lindsey Hansen SCÉNARIO OU PI ? Scénario

Forum's buisness CODE : Ok SECRET ENVOYE ? : | ✘ (à remplir par un administrateur) écrire. QUESTIONS RÈGLEMENT: 1) Comment je sais que je peux participer à un cours ? Ok 2) Quels conditions je dois remplir pour créer un Double compte ? Ok SOUHAITEZ-VOUS UN PARRAIN / MARRAINE : Beh … C’est pas que j’en veux un mais si, quelqu’un est désespéré, ça me gêne pas, au moins j’pourrai ennuyer une seule et unique personne avec mes question, mouahahah …

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→ Lindsey Hansen [color=red]ϟ[/color] Fawn Acacia Rivest

Naturelle. C'est surement ce qui définirait le mieux la jeune Rivest. Pas de surplus, pas de paillettes et ou de maquillage provocant. Juste son visage, sans rien. Juste ses taches de rousseur et son teint clairs. Juste elle. Peut-être que vous pourrez la croiser un jour ou deux, avec un peu de mascara ou d'eye-liners, mais ce serait tout. Ni plus, ni moins, elle n'en a jamais eu besoin, alors pourquoi cela changerait-il ? Elle est jolie, mais parfois, on dirait qu'elle ne le sait pas et ne s'en rend pas compte. Plaire n'est pas une de ses priorités. Loin de là. Elle est bien trop réservée pour ça. Se mettre en valeur ? Non, c'est à peine si elle sait ce que cela signifie, alors non, ce n'est pas dans ses habitudes, du tout. Grande et fine. Très fine. Une baguette, un peu. Deux longues jambes, très minces, un ventre aussi plat qu'une planche à pain. Pas de graisse, mais vraiment pas. Non, elle ne s'entretient pas plus que ça. C'est juste naturel, habituel. Elle ne mange pas énormément à vrai dire. C'est à peine si elle fait les trois repas par jour réglementaire en fait. Sa poitrine suit le reste. Elle n'est pas particulièrement imposante, mais pas non plus inexistante. Elle a tout de même un peu de seins. Juste ce qu'il faut. Mais parfois, à la regarder, c'est à se demander, si oui ou non, il y a quelque chose. Sa façon de s'habiller ne moule pas ses formes pourtant presque parfaites. Elle a pour habitude, bien au contraire, de porter des vêtements amples, comme des pulls assez larges et amples, qui lui donnent quelque fois cette allure de sac à patates. Les jupes, ce n'est pas pour elle, elle n'aime pas ça. Elle se néglige un peu, c'est vrai, on peut dire ça. Elle ne fait pas partie de ces filles qui ne regardent que leur physique, loin de là. Elle ne fait pas partie non plus des filles qui ne pensent qu'aux garçons. Elle s'en fout un peu, en fait ... Elle ne les supporte pas.

Qu'est-ce qui attire chez elle, sans qu'elle le sache ? Sa bouille d'ange, ses yeux bleus. D'un bleu dans lequel on se noie, d'un bleu dans lequel on perd pied, dans lequel on se perd tout court. D'un bleu qui vous ensorcelle, vous déstabilise. D'un bleu qui vous fait tomber sous le charme, d'un bleu que vous admirez et que vous enviez. Sa bouche prononcée, pulpeuse et claire. Complètement sans artifices. Une bouche que les hommes, les mecs, ont envie d'embrasser, ont envie d'avoir pour eux, parce que ses lèvres sont douces et délicates. Ses taches de rousseur qui recouvrent ses joues, ses tâches qui l'accompagnent depuis sa naissance, qui lui donne ce côté mignon qui fait d'elle tout ce qu'elle ait. Et enfin, ses longs cheveux roux. Oui, parce que ses cheveux ! Parlons-en ! Lisses et soyeux, châtain roux, long, vraiment long. Elle peut faire ce qu'elle veut avec, mais non, madame préfère les laisser banalement retomber sur ses fines épaules. Qu'est-ce qu'elle peut être stupide ... Vraiment. Elle qui pourrait être encore plus jolie qu'elle ne l'est déjà ... C'est vraiment dommage. Mais ça ne l'importe que très peu. Et ça ne dérange pas son entourage, bien au contraire. Ses parents préfèrent bien évidemment avoir une fille banale plutôt qu'un pot de peinture ... Normal, non ? Oui, c'était mieux.

Fawn, contrairement à ce qu'on pourrait croire, ne ressemble que très peu à sa sœur. Elles sont jumelles, mais pas tout à fait. Bien évidemment, il y a des similitudes, mais ce n'est pas frappant comme dans certaines fratries. Et ce n'est pas plus mal. La jeune fille n'aurait pas préféré ressembler traits pour trait à sa sœur. C'est mieux ainsi. Chacune à son physique, son identité. Elles ne sont pas une copie de l'autre. Heureusement, sinon, comment faire la différence hein ? Là, c'est possible. Leurs yeux, bien qu'ils soient clairs tous les deux sont différents, leurs sourires le sont également.
Fawn, elle a cet air rêveur, qui lui vaut la paix, et c'est tant mieux. Elle a cette tête qui donne l'impression qu'elle est inoffensive, craintive, fragile, et qui écarte d'elle les problèmes. Personne n'a vraiment envie de l'embêter, pas elle, pas avec le visage tranquille qu'elle a.
C'est une fille qui a l'air triste, et joyeuse à la fois. Parfois, elle sourit, et d'autre fois jamais, elle a un sourire craquant. Charmant et charmeur. Et des fossettes. Deux petites fossettes, carrément irrésistibles. Tellement mignonne qu'il est dur de ne pas les voir, qu'il est dur de les louper.
Et regardez, regardez bien, attentivement. Vous ne le voyez pas ? Non, évidemment ? Vous ne pouvez pas le voir ... Ce petit grain de malice et de séduction dans son regard. Vous ne le voyez pas, mais vous n'êtes pas les seuls, elle non plus, ne le voit pas. En se regardant dans le miroir, elle ne l'aperçoit pas, elle ne sait pas qu'il est là, et pourtant, c'est le cas, il suffit d'y regarder de plus près et vous verrez, mais pour ne rien, vous cachez, ça risque d'être fatal ... Ça risque de retourner votre cœur, de vous rendre bizarre, ça risque de vous donner envie de ne plus le quitter, de ne plus le perdre. De toujours le voir, et de le garder pour vous. Ça peut vous tuer un homme. Et elle ne le sait même pas ...

Retenez bien ce bruit de métal. Aussi longtemps qu'il résonnera dans votre tête, il prouvera que vous n'êtes pas fous ...

Craintive, peureuse, renfermée. Les principaux traits de son caractère sont ceux-là. Parce que oui, Fawn a peur. Elle a peur du monde qui l'entoure, des gens qu'elle croise dans la rue, des gens qui s'approchent d'elle, des gens qui lui parlent. Des gens qui sympathisent avec sa sœur, avec sa famille. Des gens qui lui demandent des choses, qui veulent son bien quand elle ne les connait pas. Parce qu'elle a déjà entendu ça. Elle craint. Elle craint qu'il lui arrive encore quelque chose, qu'il arrive quelque chose à sa sœur encore, qu'il arrive quelque chose à ses parents à cause d'elle. Elle n'aime pas les gens. Fawn n'aime plus les gens, elle en a peur alors elle s'est renfermée, elle s'est crées sa propre carapace, sa propre protection, son propre bouclier parce qu'elle en avait besoin. Parce qu'elle ne voulait plus de ça. Elle ne veut plus souffrir, elle ne veut plus revivre ce qu'elle a vécu. Elle ne veut plus que ça recommence parce que c'est trop dur. Trop dur de le subir, de le porter, de se taire, de le garder pour elle et de vivre avec, dans le silence. Elle ne veut plus de ça. Non. Elle n'en veut plus.

C'était compliqué, surtout quand elle les a perdus, qu'ils se sont éloignés. Surtout quand ses parents ont consacré tout leur temps à Bambi. Mais elle sait. Fawn sait que c'était pour le bien de sa sœur. Et elle était là, elle aussi, pour elle. Parce qu'elle l'aime. Oui, elle l'aime énormément. C'est sa moitié, c'est elle. C'est sa vie. Son autre. Sa sœur. Elle l'aime de toutes les façons, tellement fortes qu'il lui ait impossible de le décrire. Elle l'aime vraiment, beaucoup. Alors pendant la période, elle ne lui en a pas voulu. Elle ne le devait pas. Elle a appris à vivre avec, à supporter, à ne pas jouer l'égoïste. Parce que Fawn n'est pas comme ça. Elle n'est pas égoïste, elle n'est pas personnelle, elle ne pense pas qu'à elle, elle n'y arrive pas, elle ne peut pas. Il faut qu'elle s'occupe des autres, de sa sœur, de sa mère, et même si ça a été compliqué pendant un temps, de son père.
La jeune fille n'est pas rancunière, alors elle ne leur en veut pas. Pourquoi le ferait-elle ? Elle aurait aimé qu'il fasse pareil pour elle, alors quoi ?
Non, elle n'est pas rancunière.

Discrète. Très discrète. Trop discrète. Oui, beaucoup trop. C'est à peine si on la remarque. Si elle est avec sa sœur, c'est rare que les gens s'y intéressent. Et c'est dommage, parce qu'elle s'en fiche aussi. Comme de son physique. En fait, elle se ferme les portes toutes seules parce que dans ces situations-là, elle ne cherche même pas à se montrer, à se mettre en avant. Elle ne le veut pas, elle n'y pense même pas. Ce n'est pas son truc d'être là, d'être celle qu'on regarde. Elle aime bien passer inaperçus, elle faisait ça au Québec. Et pour être honnête, elle est plutôt douée, vachement douée même. C'est son truc, on pourrait dire. De toute façon, les "humains", elle n'aime pas plus que ça, elle, ce qui lui plait, c'est la nature, les bois, les forêts, et par-dessus tout, les animaux. Oui, leur compagnie est bien plus agréable que celle des gens, celle des adultes ou des jeunes de son âge. Et cette passion prononcée pour la faune et la flore ne l'aide pas à se sociabiliser, malheureusement. Non, la rouquine est loin, très loin d'être sociable. Les relations, ce n'est pas son truc, l'amitié encore moins, et l'amour, c'est inutile d'en parler. Elle ne l'a jamais connu et ne souhaite pas le connaître, ce n'est pas ce dont elle a le plus envie. Pas du tout. Pas après ce qui lui est arrivé. Non, vraiment.

Sinon, Fawn est quelqu'un qui, malheureusement pour elle, se laisse avoir facilement. Elle est quand même particulièrement naïve et peut croire n'importe quoi. Elle essaie toujours de faire en sorte de se renforcer, mais elle n'y parvient que très mal et fini toujours pas faire ce que les autres lui demandent. C'est exactement ce pourquoi elle évite les gens. Le fait qu'elle accorde sa confiance facilement ne la rend que plus vulnérable et ce n'est pas le top, pour l'aider à avancer. Et elle le sait. Elle sait parfaitement qu'elle ne doit pas être si gentille, qu'elle ne doit pas laisser faire, mais quand quelqu'un arrive à percer sa carapace, s'en est fini pour elle. Et si sa sœur n'est pas là pour la protéger, dieu seul sait jusqu'où elle pourrait aller ...

Parce qu'au fond, Fawn est adorablement gentille. Trop gentille. Et bien qu'on le lui ait assez dit, elle n'a pas l'air de comprendre ! Et ne fait rien pour s'arranger. Ou du moins, c'est ce qu'elle croit, sauf que sa protection et son renfermement la couvrent de ces conneries et des gens malintentionnés. C'est déjà ça, hein !

Parfois, on a l'impression que la vie est injuste, mais rien n'arrive pour rien. Il y a toujours une raison à nos malheurs.

Canada, Québec, Québec.

Le onze novembre mille neuf cent quatre-vingt-dix-sept, ont vu le jour deux adorables petites filles. Deux sœurs presque jumelles. Fausses jumelles. Deux poches différentes, font toute la différence. L'une est plus vieille de quelques minutes tandis que l'autre devient la cadette. À quelques minutes près. Ce n'est pas grand choses hein, quand on y pense vraiment. Mais c'est comme ça. Une naissance, ça fait toujours le bonheur des parents. Un énorme bonheur. Une joie incommensurable. Ça leur procure tellement de choses. C'est bon, c'est beau, c'est la vie. C'est le cycle, en fait. La suite logique. Tandis que certain meurt, d'autre naisse et ainsi de suite. Et cette fois, ce fut le tour de Bambi et Fawn. Les demoiselles Rivest étaient nées et c'était ça, le commencement.

Les deux jeunes filles grandissaient toutes les deux au même rythme, ce qui en y réfléchissant, n'était pas très étonnant. Mais très vite, des différences apparurent. La couleur de leurs yeux, celle de leurs cheveux. La forme de leurs visages, de leurs bouches. Elles étaient toutes deux, très jolies, l'une n'avait rien à envier à l'autre, mais de toutes façons, ça ne leur traversait pas l'esprit. Pas du tout. Elles n'avaient ni l'une, ni l'autre cette mentalité. Elles étaient du genre simple, et elles s'aimaient beaucoup. C'était comme fusionnel. Oui, vraiment. L'une ne pouvait pas vivre sans l'autre. En tout cas, c'était à le croire, quand on les voyait. Si l'une n'allait pas bien, elle pouvait toujours comptait sur l'autre et inversement. Toujours, de leurs premières années à leurs adolescences. Surtout, surtout à leur adolescence. Là, ça se confirmait, c'était clair. Quand Bambi avait besoin de soutien à cause de ça, Fawn était là, et quand la rouquine a eu besoin d'aide aussi, sa sœur n'était pas bien loin. Parce que oui. Même si elles avaient chaque chose que leur parent pouvait leur offrir, tout n'était pas tout rose. Des choses leur sont arrivées, des choses horribles. Des choses qui sont en mesure de détruire des familles, de détruire ceux qui les vivent, de détruire des filles, jusque-là si joyeuses. Si l'une avait eu de la chance côté émotionnel, ce ne fut pas le cas de l'autre. Non. Ce ne fut pas le cas de Fawn. C'était trop dur, trop pénible, trop éprouvant. Revivre cette horreur, encore et encore. Y penser encore et encore. Le voir encore et encore. Devoir en parler était compliqué, c'était une torture, une véritable torture. C'était la détruire encore un peu plus, chaque fois. La forcer à se rappeler quelque chose qu'elle voulait oublier. La forcer à avoir peur à cause de ça. La forcer à se renfermer sur elle-même. La forcer à ne plus vivre qu'entre quatre murs de peur de mettre le pied dehors. C'était dur. Et pas que pour elle, pour sa sœur, pour sa mère, mais plus fortement sans doute pour son père.

Comment faire ? Comment sourire, et rester heureux ? Comment affirmer que tout va bien quand son enfant, sa propre fille, la chair de sa chair, le sang de son sang, hurle, se débat, crie, pleure, s'échappe chaque fois qu'on essaie de s'en approcher. De la prendre dans ses bras. De l'embrasser. De la chérir en lui murmurant des mots doux, en la rassurant, en lui disant que ça va aller. Comment faire ?
C'était dur, pour lui, très dur. Mais il ne le montrait pas. Leur père était un homme, un vrai. Celui que rien n'affaiblit, celui qui résiste à tous les coups durs, celui qui continue toujours à rassurer et rassembler les troupes. Celui qui rassure sa femme et son autre fille, en disant que ça passera tout en se demandant "Et si jamais, ça restait toujours ainsi ?" Mais non. Il fallait y croire. Il fallait se dire que tout irait bien, il fallait l'aider. Le psychologue semblait être une bonne option, et ça l'était vraiment. Ça l'était puisque peu à peu, Fawn retrouvait sa vie normal, sa vie à la maison, sa vie avec ceux qu'elle aimait en arrêtant de voir le mal partout, en arrêtant d'avoir peur de son père, en arrêtant d'avoir peur des gens. Et puis, elle n'était pas seule. Même si pendant un temps, Bambi captait toute l'attention, elle avait droit à sa part d'affection elle aussi. Elles s'en donnaient mutuellement, ensemble. Elles faisaient les choses ensemble, vivaient les choses ensemble, appréciaient les choses ensembles, jusqu'à ce qu'elle parte. Jusqu'à ce que Bambi déserte le Québec pour partir s'installer à Miami, au soleil, loin de sa vie d'avant, loin de ses problèmes d'avant. Sans forcément mesurait la conséquence de son acte. En tous les cas, c'était ce que Fawn se disait.

Délaissée. Voilà, ce qu'elle était. Abandonnée par sa moitié. Laissée seule, avec sa façon d'être, sa façon de vivre, son problème psychologique toujours présents en elle. Et c'était horriblement dur à vivre. Mais elle ne pouvait pas lui dire. C'était bien pour Bambi, c'était bien qu'elle soit partie, qu'elle soit allée là où elle se trouvait à présent, qu'elle change de mode de vie et Fawn savait que de lui dire ce qu'elle ressentait, revenait à jouer à l'égoïste. Et non, elle n'était pas comme ça. Du moins, pas avec sa sœur. Alors elle s'était tût. Elle n'avait rien dit, pour le bien de sa sœur. Juste pour ça. Mais c'était pas à ses propres parents qu'elle allait faire croire que tout allait bien. Avec les épreuves qu'ils avaient traversées ensemble, ils n'étaient plus dupes et puis bien trop attentionnés et aimants pour passer à côté des problèmes de leur fille. Donc, il avait fallu en parler. Il avait fallu qu'elle raconte les fois où elle pleurait le soir, quand elle pensait aux énormes kilomètres qui la séparaient de sa sœur, les fois où elle pensait et se sentait seule, les fois où elle n'entendait plus le rire de Bambi. Il avait fallu qu'elle vide son sac. Et heureusement. C'était une bonne chose, au final. C'était parfaitement parfait. Ça avait été le déclencheur, le signal d'alarme. Ce qui avait fait réfléchir ses géniteurs, ce qui les avait poussé à envoyé leur second enfant, loin. Loin d'eux, loin de leur maison, loin de leur câlin et loin de leur amour. Mais c'était pour elle. Pour leur fille, pour les deux. Ils savaient, que de les avoirs séparés leur faisaient de la peine, alors ils étaient heureux. Heureux et triste à la fois. Heureux de revoir Fawn sourire, et triste de la voir, la regarder monter dans cette avion, destination Miami. Angoissés de sa nouvelle vie, de son arrivée. Ils savaient que Fawn était une jeune fille très renfermée, discrète et timide, ils savaient que cela risquait d'être compliqué pour elle, mais ils savaient aussi, que là-bas, là où le soleil brille constamment, quelqu'un l'attendait et ce quelqu'un prendrait soin d'elle, ils en étaient certains.

Prénom/Pseudo : Carrybou, ou infection dentaire pour certain Âge : 15 ans Où as-tu connu le forum ? : La, c’est trop m’en demander, j’me souviens plus :3 Une remarque particulière? : J'vous aimes, et wesh !