Zacchary Michael Durden
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ÂGE : 18 ans DATE DE NAISSANCE : 16/02/1996 LIEU DE NAISSANCE : Sydney, Australie CLASSE: Senior Year 3 CONFRERIES AU CHOIX Pi Sigma, Sigma Mu ou Lambda RICHE OU BOURSE D'ETUDE : Beau-papa est un magnat du pétrole. AVATAR: Jay Ryan SCÉNARIO OU PI ? PI. | Forum's buisness
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→ Jay Ryan [color=red]ϟ[/color] Zacchary M. Durden
My physical is mine
« Ici, tu décris ton personnage physiquement. Son style, sa morphologie, s'il a les cheveux en pétard, ou raides, c'est toi qui choisis. Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de 200 mots. Il est facile de s’attarder sur le physique quand il n’y a rien dans une caboche. Mais heureusement pour moi, l’un et l’autre ne sont pas si nuls. J’ai une belle gueule, y’a pas à dire, une mâchoire carrée, des yeux sombres et des arcades proéminentes que j’ai hérités de mon père, ce fuyard que je n’ai jamais connu. J’ai les cheveux foncés, pour ne pas dire bruns, et une dentition toute neuve que beau-papa m’a offerte qui me permet de séduire à la pelle. J’ai toujours été plutôt grand (1m90), avec une carrure imposante, du fait que je pratiquais le foot US. Malheureusement, suite à un grave traumatisme du genou à cause d’un accident, ma carrière dans le foot US est complètement finie et enterrée. J’ai gardé des séquelles de cet accident, de longues cicatrices de part et d’autre de mon genou, et je boite encore légèrement. Je reste néanmoins fort bien construit, et suite à mon retour en Australie, j’ai ajouté un tatouage aux autres que j’ai déjà sur le bras et le torse, une phrase qui parle de mes rêves et de mon avenir : Breathe, fly, live, believe in. J’ai aussi une cicatrice dans le cou, une brûlure de mon enfance, souvenir des premiers instants de ma mère en tant que mère célibataire.
Ideas in my head
« Maintenant, tu décris le caractère de ton personnage. Ses tics, ses manies, dépressif, ou alors super sociable, c'est toi qui choisis. Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de 200 mots. Ce n’est pas tant ce qui a changé, mais ce qui devait changer qui me caractérise. La vie a toujours ce revers, celui qui nous empêche d’être heureux et nous amène plus bas que terre. J’y suis. J’étais un jeune homme à l’avenir tout tracé, un pied dans la Ligue de foot US en tant que défenseur pro, mais tous mes rêves ont été détruits il y a quelques mois. Suite à cela, mon caractère extravagant, dragueur et grande gueule se sont évaporés pour laisser place à un homme lunatique et dévasté. Un jour avenant, presque sympathique, le lendemain sous la couette, blindé de médicaments pour effacer la douleur. Tous mes rêves et mes espoirs se sont envolés dans cet accident, et rien ne me ramènerait ce que j’ai perdu. Voilà pourquoi je m’isole, cherchant à éviter les contacts humains, bien que ceux-ci me manquent parfois, après tant d’années de débauche et d’éclate dans des soirées sans fin. Mais comment faire face aux autres quand on se sent l’ombre de soi-même, un boiteux sans rêve ni avenir ? Je me déteste. Je déteste ce que je suis devenu. J’aimerais juste m’en sortir. Mais je le sais, je n’y arriverai pas seul….
Story of my life
« Pour terminer, il nous faut savoir ce qu'il s'est passé dans la vie de ton personnage. C'est totalement libre. Tu peux le faire sous forme de journal, de RP, avec des chapitres... Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de 300 mots. Sydney, le 16 Février 1997 :
- C’est un garçon, Madame, félicitations !
- Emmenez-le. Je ne veux pas le voir.
- Mais, c’est votre fils…
- Je ne suis pas prête, ALLEZ-VOUS EN !
Mes premiers cris n’ont pas couvert ceux de ma mère, quand elle a mis l’infirmière dehors, en ce jour du 16 Février 1996… Il faut la comprendre, elle n’a pas eu la vie facile. Ses parents venaient de la mettre dehors car elle est tombée enceinte à 17 ans, ce qui était une honte pour la famille aisée dans laquelle elle vivait. Mon père, un jeune de 20 ans, n’avait pas trouvé mieux que d’oublier mon existence dans l’alcool. Il était parti deux mois avant ma naissance, avec une nouvelle poule qui elle, avait la pilule. Normal qu’elle n’ait pas de suite voulu de moi.
Quelques jours plus tard, néanmoins, elle comprit qu’elle n’avait plus que moi, et notre vie à deux commença. Elle fit de son mieux, même si elle était maladroite et un peu jeune pour comprendre mes besoins. C’est ainsi que je me brûlais avec une casserole de lait à 3 ans, une brûlure au second degré qui marqua mon petit cou à jamais. Elle s’améliora cependant et devint une mère attentionnée et parfaite, bien qu’elle dût prendre 2 emplois pour m’élever. Elle rencontrait parfois des hommes, dont un qui lui fit un enfant avant de mourir dans des circonstances dont je n’eus jamais connaissance. C’est ainsi que mon frère, Liam, vint au monde. Il y eut d’autres hommes, mais il y en a un qui me marqua à tout jamais.
Je n’avais que 4 ans quand il commença à frapper ma mère. Elle ne dit rien, mais je voyais sur son visage le dégoût qu’elle avait d’elle-même. Je protégeais mon petit frère, mais un jour, toute ma colère m’enflamma et quinze minutes plus tard, nous nous enfuyions, mon frère ma mère et moi, de notre camping-car en feu.
Je n’étais pas un gamin sage, j’étais même plutôt turbulent. Je ne voulais pas être pompier ou policier, je voulais être plus. A 8 ans, je fis une fugue et errai longtemps dans la ville avant de LE voir. Un panneau publicitaire, montrant un homme fort, puissant et presque indestructible. Je devais devenir ça, et sauver Maman.
Je suis rentré et j’ai commencé à me « modeler », si je puis dire. Beaucoup de sport, de motivation… Un corps d’athlète, qui n’a pas tardé à me faire remarquer par les filles de mon lycée. Et c’est ainsi que j’ai commencé l’alcool, les filles, la drogue… Une longue débauche d’un an et demi, stoppée par l’arrivée de mon beau-père. Ma mère n’avait pas choisi n’importe qui. Un magnat du pétrole, millionnaire, bien dans ses chaussures de luxe en cuir de buffle en voie de disparition.
Dès son entrée dans ma vie, j’avais compris qu’il allait me mater. Et c’est ce qu’il fit. Il m’envoya en école militaire, où j’appris la discipline et la rigueur, mais aussi le foot US, ma passion. Après être sorti de l’école avec les honneurs, je me suis adonné à ce sport jusqu’à atteindre un niveau que je n’aurais jamais imaginé. C’est ainsi que je suis arrivé à Wynwood. Mais l’histoire n’est pas finie.
Après quelques mois à Wynwood, je m’étais fait quelques potes (notamment Trey) et des ennemis (Nathan McCoy), mais mon tempérament fougueux eut raison de moi…
Wynwood, le 14 février 2014 :
- Zaaac, laisse tomber on est raides mort, tu vas pas prendre la voiture…
- Laisse-moi conduire, j’te dis, j’suis pas saoul.
- Non, moi je monte pas !
- Tant pis, tu rentreras seule, p’tite garce !
Je roulais beaucoup trop vite, surtout avec quelques verres dans le nez. C’était la saint-Valentin, j’avais accompagné une fille dans un bar, en espérant l’inviter dans mon lit. Elle avait refusé de rentrer avec moi. Avec du recul, elle a bien fait. Parce que 14 minutes et 27 secondes plus tard, c’était le trou noir.
Je me suis réveillé dans un bruit insupportable. Je voyais des choses, des gens en blouse blanche bouger autour de moi, crier… J’avais envie qu’ils se taisent, mais je n’arrivais même pas à ouvrir la bouche pour leur parler. J’avais froid, et mal, beaucoup trop mal. Mon corps ne répondait plus, je n’entendais que les cris autour de moi… Je sombrai.
Quelques heures plus tard, ou ce que je croyais être des heures, je me réveillai dans un lit d’hôpital, des bandages sur tout le corps. Ma mère était à mon chevet, les yeux rougis par les larmes.
- Arrête de pleurer, ça te fait des rides…
- Zac ??
Elle m’expliqua que j’avais perdu le contrôle de ma voiture, que j’avais percuté une barrière par-dessus laquelle ma voiture était passée avant de finir sa course dans un arbre. J’avais deux côtes cassées, le tibia fracturé, l’épaule démise et le genou en miettes. Sans compter l’hémorragie cérébrale qui m’avait mis dans le coma pendant quatre jours. Ma vie entière s’arrêta en entendant ces mots. Plus de foot. Rien n’avait plus de sens. Des mois de rééducation, aucun avenir puisque plus de bourse universitaire. J’étais fini.
Elle me ramena en Australie où je restai comme un légume des mois entiers, avant de me renvoyer en Amérique où elle pensait que je pourrais me guérir de mes blessures, mentales comme physiques…Ca reste à voir.
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Prénom/Pseudo : Ely. Âge : 21 ans. Où as-tu connu le forum ? : Je sais plus. Une remarque particulière? : Je suis trop contente de revenir <3.
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(c) Suika