(Terminus) La jeunesse c'est le futur !

Id Card ÂGE : 26 ans DATE DE NAISSANCE : 20 juin 1986 LIEU DE NAISSANCE : Oxford CLASSE: directeur et prof de littérature CONFRERIE : Personnel   RICHE OU BOURSE D'ETUDE : Riche AVATAR: Milo Ventimiglia SCÉNARIO OU PI ? Scenario

Forum's buisness CODE : Ok by Sashette ! SECRET ENVOYE ? : Nate. SOUHAITEZ-VOUS UN PARRAIN / MARRAINE : non merci

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→ Milo Ventimiglia [color=red]ϟ[/color] Eden Y. Cobb

« Ici, tu décris ton personnage physiquement. Son style, sa morphologie, s'il a les cheveux en pétard, ou raides, c'est toi qui choisis. Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de deux cents mots.

Enfermé dans une pièce, Eden détaillait les lieux pour passer le temps. Un pot de fleur sur l'appui de fenêtre, des photos sur le bureau et meubles et même des peintures accrochées au mur. Pas de doute, il se retrouvait dans le bureau d'une femme. Il n'y avait qu'à voir la couleur des meubles. Qui choisirait de l'orange ? Lui, il aurait opté pour du noir ou peut-être du blanc ou tout simplement du brun. Eden s'installait dans le fond de sa chaise et patientait, quand la porte s'ouvrit et laissait entrer une dame d'une classe inestimable. Eden la regardait de haut en bas alors qu'elle prenait place dans son fauteuil. Elle le regardait, d'abord ses cheveux noirs qui étaient tantôt longs, tantôt courts qu'il relevait avec un coup de gel. Elle déposait ensuite ses yeux sur son visage. Des yeux bruns en été et plus ténébreux en hiver. Ses yeux dégageaient un charme fou, un regard perçant ou encore malicieux. Parcourant toujours les traits de son visage, elle détaillait son nez, un nez fin. Ils avaient presque tous le même dans la famille Cobb, aussi bien les trois garçons que leur père, d'ailleurs ce dernier ne cessait de dire que c'était leur marque de fabrique. Question de point de vue sans doute. La bouche du jeune britannique était assortie à son nez et pleine de finesse, rosée à souhait laissant souvent paraître des dents bien blanches et alignées grâce à un sourire qui ne le lâchait que rarement. La dame s'approchait d'Eden, s'appuyant contre son bureau, juste en face de lui. Elle portait un tailleur, elle avait de la classe, elle en imposait et son but était peut-être même de l'intimider. Il en profitait, il l'observait, peut-être même qu'il l'a dévorait du regard comme elle le faisait depuis 5 minutes maintenant. Pourquoi s'était-elle approchée au juste ? Etait-elle myope ? Peut-être même était-ce une technique pour « le voir de plus près » ? Elle baissait les yeux, observait son corps. Eden n'était pas super grand pour son âge, à peine 1m83, mais ça aussi c'était de famille. Il n'était pas gros mais le sport l'aidait à sculpter son corps. Des muscles : pas de trop, mais pas trop peu, juste ce qu'il fallait. Elle observait aussi sa façon de s'habiller, il portait un pull de marque à col châle et un jeans bleu foncé. Il lui arrivait de porter des costards, quand il s'agissait d'affaires ou de travail mais ce qui était sûr, c'est qu'il ne mettait jamais rien sans marque. Il avait grandi comme ça. En fait, Eden savait particulièrement que le physique, l'apparence faisait aussi la réputation d'un homme. Eden souriait à la dame qu'il avait devant lui et après plusieurs minutes, il se lançait « Il y a un problème ? »



« Maintenant, tu décris le caractère de ton personnage. Ses tics, ses manies, dépressif, ou alors super sociable, c'est toi qui choisis. Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de deux cents mots.

La femme qu'il avait en face de lui le dévorait du regard, n'importe qui aurait pu succomber ou se sentir faible face à ce spectacle, d'autant plus qu'elle était jolie, mais Eden savait qu'il allait résister. Il n'était pas ce genre de personne, si facile à avoir avec seulement un regard de braise et un décolleté plongeant. Il avait beaucoup plus de caractère que ça. C'était un homme déterminé, il savait ce qu'il voulait et préférait l'inaccessible à ce qu'il avait sous les yeux tous les jours. Des femmes comme elle, il aurait pu en avoir plein et surtout quand il le souhaitait, mais ça voulait dire qu'il choisissait la facilité, qu'il était ordinaire et pourtant, lui, voulait rester dans l'extraordinaire. Toujours appuyée contre son bureau, elle le fixait et ensuite se déplaçait pour reprendre sa place initiale. Derrière son bureau, elle se sentait sans doute plus forte, pensant peut-être l'intimider ? Pourtant, l'ainé des Cobb restait de marbre, ne baissait pas les yeux quand elle le fixait, il restait de marbre et gardait son sang froid. C'était l'une de ses forces, maitriser son propre tempérament comme personne, ne jamais déraper, toujours tout contrôler, se connaitre par coeur, être sûr de lui. C'était une sorte de « règles d'or pour la réussite » à ses yeux. « Je sais qui tu es » Eden continuait à la regarder, haussant les sourcils. Il s'en fichait complètement de savoir cette information. Pourquoi lui disait-elle ça ? Devait-il s'inquiéter ? Il la regardait, passait ses mains sur son visage et s'enfonçait dans son siège. Il n'était pas je-m'en-foutiste, mais il avait des heures de vol à son actif et un quotidien qui lui demandait un minimum de repos. Il aurait pu être plus courtois, parce qu'au final c'est l'atout principal du jeune homme. La courtoisie. Mais non, ici il voulait simplement qu'on le laisse faire ce qu'il avait à faire. « J'en doute pas, mais sincèrement...C'est le cadet de mes soucis » Elle lui lançait un sourire, persévérant ses efforts pour paraître intéressante aux yeux de Cobb. « On a été dans la même fac', à New-York, ça ne te dit rien ? » Eden baladait son regard sur la totalité du corps de la dame avant de la fixer à nouveau. Il aurait pu être heureux de revoir une probable conquête dont il ne se rappelait absolument rien, mais ça c'était avant, quand il était à la fac'. Il avait mûri, il n'était plus ce garçon qui aimait plaire à n'importe qui, qui se faisait une joie d'être le mec dont toutes les filles rêvaient d'avoir, mais Eden avait bien compris qu'il y avait plus important que ça dans la vie, comme le business ? Le professionnalisme ? Ce qui fait la personnalité et la fierté d'autres. « Non. Si je devais me rappeler de toutes les filles de la fac, je risque de passer ma nuit ici, avec vous et c'est loin d'être ce dont j'ai envie, donc si on pouvait laisser de côté les banalités d'usage et entrer dans le vif du sujet, ça m'arrangerait ». Le visage de l'inconnue changeait radicalement, elle commençait à comprendre que peu importe ce qu'elle lui dirait, il resterait fidèle à lui-même. « Très bien Eden. Tu sais pourquoi t'es là, t'as aucun passeport. Tu crois qu'on va te laisser passer comme ça ? Pourquoi t'étais parti et pourquoi t'es revenu ? » Les questions que lui posait cette femme ne lui plaisait pas. Selon lui, c'était déplacé voir indiscret. Une femme du métier aurait utilisé la subtilité, mais là, ça ressemblait plus à de la curiosité mal placée, ce qu'il détestait. Eden mettait un point d'honneur sur sa famille et surtout, sur ses frères et mettait beaucoup d'énergie à protéger tout ce petit monde faisant partie de sa vie privée. Il s'était promis que s'il pouvait les aider, il le ferait, s'il pouvait partager ses expériences de vie, il le ferait également et au final, il avait parfois l'impression d'être un garde fou vis-à-vis des parents. Eden sortait de ses pensées. Elle voulait atteindre sa vie privée, sa famille, ses frères et il en était hors de question. La discrétion concernant son privé était probablement le maitre mot de sa personnalité, il répondait: « J'étais en Inde pour mon travail, je suis de retour mais j'ai perdu mon passeport. Tu ... Tu permets que je te tutoies ? Autant paraître sans gêne à deux. Tu dis toi-même que tu me connais, qu'on était à l'université de New-York, donc tu sais que je vis ici...Pourquoi tu perds ton temps ? » La dame le foudroyait du regard, pianotait sur son ordinateur et un papier sortait de son imprimante. Cette dernière l'invitait à signer ce qu'il faisait dans la minute même « Tu ne t'en sortiras pas comme ça, Eden ». Cobb lui rendait la feuille signée et le stylo et se levait, gardant toujours la même distance aussi bien physiquement qu'oralement « J'espère bien. Je te laisse ma carte, au cas où, mais rappelle-toi que de tous les clandestins que t'interroges à longueur de journée, je suis probablement le moins intéressant et je suis ravi de voir que tu ne peux pas t'empêcher de prononcer mon prénom dans chacune de tes phrases. Ca me flatte». Il se dirigeait vers la porte et reprenait le cours de sa vie américaine, avec la détermination et la classe qu'il dégageait.



« Pour terminer, il nous faut savoir ce qu'il s'est passé dans la vie de ton personnage. C'est totalement libre. Tu peux le faire sous forme de journal, de RP, avec des chapitres... Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de trois cents mots.

Eden inséra la clé dans la serrure. La porte en bois de son appartement s'ouvrait dans un grand espace design et moderne. C'était donc ça, l'appartement qu'il avait acheté d'Inde ? Il avait fait une bonne affaire et son agent immobilier était, à ses yeux, un des meilleurs. Il avait même réussi à rendre cet endroit cosy et accueillant tout en restant dans le classe. Le jeune homme n'avait pas vraiment eu le choix pour la disposition de chaque meuble, mais c'était un risque à prendre quand on prenait des décisions à distance, mais il en était satisfait. En entrant, il déposait ses sacs et se dirigeait vers la baie vitrée qui donnait sur un paysage magnifique. Ca changeait de l'Inde, ça changeait de New-york, ça changeait d'Oxford. Eden avait devant lui une étendue de sable blanc, des vagues venant s'échouer sur la rive, le soleil se couchant petit à petit, c'était tellement paradisiaque et tellement différent. Il se rendait compte que l'Inde et l'Amérique étaient deux mondes totalement opposés et pourtant, riches de cultures. Il avait de bon souvenirs comme des moins bons, mais au final sa vie devait se passer en Amérique, c'était son pays à présent. Cobb se dirigeait vers la salle de bain, profitant de l'équipement sanitaire haute gamme pour se doucher et peut-être même se ressourcer. Il avait l'impression d'être un homme sortant de prison, il avait l'impression que la pauvreté lui collait à la peau, qu'il était sale. Il n'était pas le genre d'homme à juger les classes sociales, mais il avait grandi dans le confort et la richesse, forcément les pays comme l'Inde le touchaient et l'Amérique le rassurait. En sortant de la salle d'eau, il se dirigeait, torse nu, les cheveux mouillés vers son salon où il s'installait toujours face à ce paysage que lui offrait dame nature. Il se sentait bercer par la beauté du spectacle et pensait, ressassait sa vie en boucle, jusqu'à maintenant :

Né un 20 juin 1986 à Oxford, Eden est le premier garçon de la famille Cobb. Ses parents étaient heureux, il était le premier petit homme de la famille. Ce bébé grandissait bien, aimé de ses parents et plus tard, entouré d'un premier frère. Il s'entendait bien avec, ils jouaient ensemble, comme le feraient deux frères jumeaux. A l'école, il était heureux, il aimait ça, se faisant de plus en plus de copains au fur et à mesure qu'il poussait. A ses 10 ans, le dernier frères des Cobb naquit, Sasha. Eden prenait son rôle de grand-frère déjà très à coeur. Il était déterminé et savait que plus tard, il travaillerait dans les affaires, comme son propre père. Qu'il serait son propre patron et qu'il vivrait dans une grande maison rien qu'à lui. Il savait aussi qu'il serait proche de ses frères. L'ainé des Cobb avait la chance de pouvoir aller à l'école, de continuer à voir ses amis alors que ses parents parlaient déjà que Sasha, lui, devrait suivre les cours à la maison. A ses 18 ans, Eden partait pour les Etats-Unis. New-York, plus précisément. Il voulait entrer dans le monde des affaires et avait opté pour un cursus en coopération internationale. Son côté drague et populaire ressortait de plus en plus, les filles le voulait lui et pas un autre et pourtant, jamais il n'avait  laissé ses études de côté pour ces demoiselles. Il voulait être quelqu'un, pas quelque chose. Il s'amusait, mais travaillait aussi. Il enchainait les années pour enfin sortir au bout de 5 ans d'études et une année de spécialisation en managing. À 23 ans, l'ainé des Cobb avait son diplôme en poche et commençait à travailler. Il travaillait pour des boites les plus célèbres de New-York, pour des grands cabinets d'avocat et même pour des sportifs. Il aimait ce qu'il faisait jusqu'au jour où à ses 25 ans, on lui proposait un travail différent, un travail riche en culture, un monde parallèle : l'Inde. Ne connaissant pas trop les cultures ni le pays, Eden était sceptique, mais finit par accepter. Il fut engagé pour un riche homme du pays. L'américain avait du mal à s'habituer à la pauvreté de certaines villes d'Inde et pourtant, lui était bien nourrit et logé à Pondichéry. Il résidait dans une espèce de villa pas loin du bord de mer. A force d'y passer des semaines et d'y faire des rencontres toutes plus intéressantes que d'autres, Eden comprenait qu'il devait faire un effort et laisser l'Amérique de côté. Il devait se fondre dans le décor, apprendre les moeurs du pays pour s'y sentir comme chez lui.

Un jour, lors d'une semaine touristique à Bombay, Eden fit la rencontre d'une jeune indienne : Jaya. Cette fille était tellement belle, avec ses grands yeux bleus, ses longs cheveux bruns et pourtant, il ne la prenait que pour une fille du pays. Une fille pauvre avec qui il passerait juste une nuit avant de reprendre la route pour Pondichéry. Finalement, Eden restait plus longtemps que prévu, préférant le bon temps avec cette jeune femme à son travail. Il passait de chouette moment avec tout en gardant en tête que c'était loin d'être une relation éternelle. Il savait, contrairement à elle, qu'il devrait retourner en Amérique, il savait qu'il n'éprouvait aucun sentiment, qu'il allait la laisser, qu'il devrait mettre fin à ce conte des milles et une nuit.

Un jour, Jaya lui proposait de rencontrer ses parents. Eden ne voyait pas ça d'un bon oeil, se méfiant toujours un peu des habitants de ce pays, mais fini par accepter. Au final, tout s'est passé si vite, il n'eut pas le temps de réfléchir, pas le temps de refuser que les parents de la jeune fille organisaient déjà des fiançailles. L'américain essayait à plusieurs reprises de refuser, d'arrêter la machine qui était déjà bien lancée. Il participait à des réunions de famille, parlant de ce mariage auquel il ne voulait pas être le principal acteur...

Eden se réveillait d'un coup, passait à nouveau ses mains devant son visage et regardait autour de lui. Il était dans son nouveau chez lui, à Miami. La sonnerie du téléphone l'avait sorti de son rêve...

- « Monsieur Cobb ? Maintenez-vous toujours notre rendez-vous de demain afin que vous puissiez prendre vos marques avec le lycée ? »
- « Oui, naturellement, j'y serai »

Il déposait le téléphone sur son meuble et repensait à son rêve... Mais était-ce vraiment un rêve ? Aujourd'hui en tout cas, il se trouvait à Miami, il allait retrouver sa famille, ses frères et un nouveau job l'attendait. Une nouvelle vie s'offrait à lui.

Prénom/Pseudo : Kimberlay / Ninou Âge : 23. Où as-tu connu le forum ? : sur Google je crois. Une remarque particulière? : Je sais que j'avais supprimé Ryan, mais je me suis dit qu'un membre du personnel me prendrait moins de temps qu'un étudiant

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