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 'Cause it's a bittersweet symphony, this life. Ki.

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MessageSujet: Re: 'Cause it's a bittersweet symphony, this life. Ki.    'Cause it's a bittersweet symphony, this life. Ki.  EmptySam 25 Jan 2014 - 4:50

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MessageSujet: Re: 'Cause it's a bittersweet symphony, this life. Ki.    'Cause it's a bittersweet symphony, this life. Ki.  EmptySam 30 Nov 2013 - 16:04

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Dernière édition par Ki beom Lee le Lun 15 Déc 2014 - 14:50, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: 'Cause it's a bittersweet symphony, this life. Ki.    'Cause it's a bittersweet symphony, this life. Ki.  EmptyDim 24 Nov 2013 - 18:12

Une fois les trois coups donnés sur la porte de bois, l’hésitation s’empara de moi. Et si ce n’était pas une bonne idée ? Non, ça n’en était pas une. Je le savais. Alors, qu’est-ce que je faisais là ? Est-ce que mon prétexte tiendra la route… ? Est-ce que je dois lui parler de ce SMS ? Ou alors… alors, utiliser le tragique événement du soir d’Halloween. Lui dire que je voulais juste voir s’il allait bien. Ou… simplement, faire demi-tour tant qu’il en était encore temps. Adam m’avait vue, s’il disait à Ki que j’étais passée pour le voir, de quoi est-ce que j’aurais l’air ? Mais en fait, est-ce que c’était important, puisque de toute façon, il s’en foutait de moi ? Sauf que, peut-être, comme me l’avait dit Aya, il était juste pudique concernant ses sentiments. Alors, si je prenais la fuite avant même qu’il n’ouvre cette porte, je ne le saurais jamais. Mais, si je restais, est-ce que je le saurais pour autant ? Qu’est-ce que je lui dirais ? Coucou, je voulais juste voir comment tu allais ? … non, trop banal, invraisemblable au vu des semaines passées à l’éviter. Coucou, quelqu’un m’a envoyé un message sur toi, c’est quoi ce délire ?! … non, je ne venais pas pour l’agresser. Salut, Ki, tu m’aimes finalement ? … tu parles, je rêvais de lui poser cette question, autant m’avouer la vérité, à moi-même. Mais jamais je n’aurais osé lui dire ça, il me prendrait pour une cruche. Mais, attends, c’est pas déjà comme ça qu’il me voyait ? Comment est-ce qu’il pouvait bien me considérer, dans sa tête, au plus profond de lui ? Est-ce qu’il me trouvait jolie… attirante ? Repoussante, oui, sans doute. Mais alors, pourquoi m’avait-il embrassée ? Par pitié ? Par… par quoi, je ne voyais que cela. Sûrement pas par envie, Salma passait tout son temps libre à me rappeler ô combien j’étais grosse, moche, et tout un florilèges d’adjectifs tous aussi agréables les uns que les autres. A moins que Ki ne soit complètement fou. L’était-il ? Et moi ? Oui, de lui, sans aucun doute. A cause de lui, certainement. Pour lui ? Peut-être. Qu’aurais-je pu faire pour lui, s’il me le demandait gentiment ? Ou pas besoin d’être gentil, n’étais-je pas à un stade aussi lamentable que le moindre de ses ordres aurait été du pain béni pour moi ?

Mes mains étaient moites… et en l’espace de quelques secondes, mon cerveau se posa un nombre effroyable de questions, idiotes pour la plupart, importantes pour d’autres. Au final, cela faisait une espèce de soupe de pensées, où tout était mixé de manière indistincte et où plus aucun goût ne ressortait. Je n’en pouvais sincèrement plus, qu’est-ce que je n’aurais pas donné pour un instant de répit. Un cerveau d’homme lambda, pitié. Qu’est-ce qu’on mange, ce soir ?, comme question principale, et rien d’autre en tête que « porc ou poulet ? ». Je fis un pas en arrière, les yeux rivés sur la porte. J’avais entendu du bruit, derrière celle-ci. L’instant de répit que je réclamais se produisit lorsque la porte s’ouvrit sur Ki. L’espace de quelques secondes, je n’eus plus rien d’autre en tête que la joie de le voir.

« Rubi » souffla-t-il d’une voix qui me sembla étrange.

Le temps de rebrancher mon cerveau – dont les plombs venaient de sauter –, je l’observai en essayant de rester un minimum discrète. La première chose qui me frappa fut son air fatigué, et le léger creux de ses joues. Il avait maigri, ce qui le rendait encore plus grand, plus squelettique. Il portait un training, ce qui ne lui ressemblait pas du tout, lui qui était toujours si soigneusement vêtu et coiffé – là, ses cheveux étaient dans leur état naturel, pas de coiffure savamment étudiée en vue –… quelque chose n’allait pas.

« Je… salut » répondis-je, sur le même ton étonné.

Pourtant, c’était moi qui avais frappé à cette porte. N’étais-je pas supposée savoir ce que je faisais là ? Mais en réalité, j’étais surprise de le voir… comme ça. Le coréen me sembla fragile, tout à coup. Bien plus que moi, perchée sur mes talons. Je retrouvais presque notre position relationnelle des débuts. Et pourtant, il n’en était rien. La suite me le prouva.

« Entre ».

Ce n’était même pas une question, et je ne songeai pas une seconde à m’en étonner. Je fis simplement ce qu’il me disait. J’entrai, à sa suite. J’essayais de ne pas regarder autour de moi, mais j’avoue que j’étais curieuse de voir l’endroit où il vivait. Sa… chambre. Le rose me monta aux joues. Sa chambre ! Son… seigneur, son lit, quelque part derrière ce paravent. Je me détournai de celui-ci, et croisai son regard. Il me souriait.

« Assieds-toi, je t’en prie. Tu veux boire quelque chose ? » me dit-il, d’un ton étrangement naturel alors que ma voix à moi semblait plus aigue que d’habitude.

J’attrapai une mèche de cheveux et l’enroulai autour de mon index, avant de la lâcher, quand je me rendis compte que je devais avoir l’air d’une adolescente idiote. Ce que j’étais, mais passons.

« Non, non merci » lui répondis-je en m’étranglant à moitié.

Je tirai une chaise et pris place à table, tandis qu’il débarrassait. Je le regardai faire, sans faire attention à la lettre qui se trouvait à quelques centimètres de moi. J’avais envie d’ajouter quelque chose. Pourquoi pas de lui dire pourquoi j’étais là… mais Ki me prit de court, en parlant avant que je ne me décide à le faire.

« Je suis content de voir que tu vas bien malgré l'agitation de la fête d'Halloween. J'avais peur qui te soit arrivé quelque chose ».

Cette simple phrase fit battre mon cœur plus vite, mais j’essayai de garder la tête froide. S’il avait vraiment eu peur, pourquoi n’était-il pas venu s’assurer lui-même que j’allais bien ?

« Je… j’étais à la Confrérie, je suis contente de n’avoir pas eu le cœur à la fête ce soir-là » lui répondis-je d’une voix plus posée.

Ki tira une chaise et s’assit face à moi, tandis que je l’observais. J’étais tiraillée entre l’envie de le prendre dans mes bras pour le réconforter, en lui demandant ce qui n’allait pas… et celle de me lever et de partir, parce que je me demandais de plus en plus ce que je faisais là, au final. Pourquoi avait-il fallut que je craque la première ? Lui aussi, il aurait pu venir me voir. Mais bon, il était trop tard pour reculer. L’impulsion m’avait jetée jusqu’à sa porte, je devais assumer le fait qu’à présent, j’étais à sa table. Je me pinçai les lèvres. L’Alpha Psi soupira. Il passa une main lasse sur son visage, dans ses cheveux. Un tableau qui devait valoir le coup d’œil, de l’extérieur.

« Je suppose que tu n'as pas fais le déplacement pour rien mais pour me parler de quelque chose ? » me demanda-t-il, en me fixant soudainement avec une certaine insistance.

Je soutins son regard que je trouvais fatigué, vraiment.

« Non, tu supposes bien… » commençai-je par dire, mais sans parvenir à poursuivre.

Quel monstre aurais-je été pour parler de moi alors qu’il me semblait aller mal ? Je posai mes mains sur la table, afin de résister à la tentation de les poser sur les siennes ou de tripoter mes cheveux. L’inquiétude se peignit sur mon visage, je me pinçai une fois de plus les lèvres.

« Ki… comment vas-tu ? » lui demandai-je finalement, sans parvenir à le lui demander d'une façon banale et pas inquiète. « Tu n’as pas l’air en forme. Est-ce que… est-ce que ça s’est bien passé, à New-York ? »

New-York… je savais qu’il y était, parce que le soir d’Halloween, j’avais croisé Ayase sur le parking et elle m’avait dit que Ki allait bien, qu’il était dans la Grande Pomme et par conséquent pas dans l’école avec tous les autres, en danger. Face à son regard, je me sentis obligée de préciser d’où me venait cette information.

« C’est… Ayase qui me l’a dit, tu sais, le soir d’Halloween, sur le parking… je m’inquiétais pour toi. Je m’inquiète, en fait » lui dis-je, en corrigeant ma phrase au présent au vu de ses traits tirés.

Je ne savais pas s’il avait envie de parler de ses problèmes avec moi, mais il m’était tout bonnement impossible de ne pas lui proposer de le faire. Je venais certes pour discuter, mais pas vraiment de choses joyeuses, et je n’avais pas envie que ça le rende encore plus malheureux. Et quand bien même cela serait mon cas, quand bien même l’absence de réponses m’aurait rendue triste : et bien, soit. Qu’il en soit ainsi, je commençais à m’habituer à cet état végétatif de mes sentiments, de toute façon.
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MessageSujet: Re: 'Cause it's a bittersweet symphony, this life. Ki.    'Cause it's a bittersweet symphony, this life. Ki.  EmptyMer 6 Nov 2013 - 11:48

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Dernière édition par Ki beom Lee le Lun 15 Déc 2014 - 14:49, édité 1 fois
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MessageSujet: 'Cause it's a bittersweet symphony, this life. Ki.    'Cause it's a bittersweet symphony, this life. Ki.  EmptySam 19 Oct 2013 - 16:10

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Pourquoi fuir une personne qui, de toute façon, s’obstine à se rappeler à nous toutes les deux minutes ?

J’avais beau, depuis notre entrevue au Cooking Club il y avait de cela un mois, faire tout mon possible pour éviter Ki… soit je le croisais aux ateliers du Club – avec tout le monde autour de nous, ce qui était presque encore plus gênant –, soit on me parlait de lui – et ça aussi, c’était vraiment embêtant… Ayase était maintenant au courant de tout, et je me demandais toujours si cela me soulageait ou pas – ou alors la moindre petite chose me faisait penser à lui. Mes pantoufles roses qu’il avait vues à la laverie. La coupe de cheveux d’un garçon de ma classe. Une veste un peu rock. Ayase et ses jolis yeux bridés. Vicky, parce qu’elle était une Alpha Psi. Des clips à la télévision, parce que je me disais que peut-être, un jour, lui aussi passerait sur les petits écrans en vivant son rêve. La nourriture coréenne que je m’étais mise à adorer – on se demande bien pourquoi – et même jusqu’au tube de rouge à lèvres, celui que je portais lorsque je lui avais laissé la trace sur les lèvres… Alors, ça c’était du point de vue des pensées chastes. Parce qu’à côté de cela, tous les couples que je croisais dans la rue me faisaient penser à Ki. Les films d’amour me faisaient pleurer comme une madeleine, je me disais que vu la façon dont il avait pris la fuite, Ki ne murmurait jamais des mots aussi tendres à mon oreille. Les chansons tristes me plongeaient dans la mélancolie… Pensées d’amoureuse transie. Parce que oui… je pouvais affirmer avec certitude à ma pauvre petite conscience que j’avais des sentiments pour le jeune homme. Je ne sais pas ce qui était le pire. M’en rendre compte, ou ne pas pouvoir les lui avouer clairement. Ou encore : savoir que de toute façon, ce n’était pas réciproque. Et enfin, la troisième et dernière catégorie. Celle qui me consumait, celle qui me faisait imaginer ses lèvres parcourant ma peau de baisers incandescents… celle qui hantait la plupart de mes nuits et m’empêchait parfois même de trouver le sommeil. Et quand, enfin, j’y parvenais… Mes rêves me jetaient dans les bras de Ki, nos corps s’aimantaient, nos langues se mêlaient et nous finissions par ne plus former qu’une entité faite de chair, de plaisir, de vices ! Je me réveillais bouleversée, avec une envie atroce de pleurer parce que je savais que jamais tout cela n’arriverait. Pour deux raisons. La première : Ki ne voudrait jamais de moi, quoi que je fasse. Nous étions trop différents. La seconde : Adam m’avait brisée. Je savais que c’était psychologique… il m’aurait peut-être suffit de voir un psy – c’est ce que plein de filles dans ma situation disaient avoir fait, sur les forums qui traitaient du sujet –, mais je n’étais pas prête pour cela. Seule, je savais que je n’y arriverais pas. Je n’en avais même pas l’envie : à quoi bon ? Je pouvais bien rester… inaccessible. Personne en s’en verrait dérangé, personne d’autre que moi n’en souffrait. Façon de parler…

Quelques jours plus tôt, je m’étais dit que j’allais me prendre en main et agir pour passer à autre chose. A quelqu’un d’autre. Je m’étais inscrite au SN’s Secrets, le Club de mon amie Nina et de ma connasse de colocataire, Salma. Les filles avaient organisé une soirée sur la plage, où les membres du Club devaient séduire le garçon qui leur avait été imparti. Je m’étais retrouvée avec John, un Sigma Mu. Un garçon sympathique, agréable, pas vraiment mon genre – mais après tout, Ki m’avait prouvé que ce n’était pas si important que ça – mais en d’autres temps, ce fameux John aurait pu me plaire. Sauf que… plus la soirée passait, et plus je pensais au coréen. Je me sentais coupable vis-à-vis de lui, ce qui était vraiment idiot, je ne lui devais rien. Et pourtant, j’avais l’impression de le trahir. Je comparais sans cesse le Sigma Mu à l’Alpha Psi… et au final, cette soirée ne m’avait  pas du tout aidée, bien au contraire. Elle avait juste achevé de me convaincre que j’étais pitoyable. Plus le temps passait, et mieux je comprenais pourquoi j’avais toujours méprisé les bons sentiments, les couples et leurs petites manies ridicules… l’amour. L’amour rend con. Aveugle. Enfermé dans une bulle créée par l’être aimé. Une bulle dont on ne peut s’enfuir, une bulle qui nous ramène sans cesse à lui. Je me sentais mal, et je ne savais pas quoi faire pour me sortir de là. J’y avais réfléchi, pourtant. J’avais fait des essais, en participant notamment à la soirée du SNSC. Mais rien à faire. Rien à faire, c’était lui et pas un autre. Je ne voyais que la lobotomie, qui n’était probablement plus pratiquée en Amérique depuis des années. Dommage. Il m’arrivait parfois d’envie Ashlyn, qui avait perdu la mémoire. Je l’enviais… mais je me rendais compte qu’elle n’avait pas choisi les personnes, les choses, les évènements qu’elle allait oublier. Si cela avait été le cas, peut-être me serais jetée contre un mur au volant de ma voiture. Je ne sais pas. Je ne sais plus.

Ce samedi, je paressais à la Confrérie des Pink Ladies, installée dans la salle commune avec mon mac et mes cours. J’essayais tant bien que mal de faire l’exposé que notre professeur de sciences nous réclamait, mais ce n’était vraiment pas mon truc. Quand tout à coup… mon téléphone vibra. J’y jetai un œil discret et remarquai qu’il s’agissait d’un texto d’un numéro inconnu, ce qui m’intrigua. Je posai le mac sur le côté et me penchai en avant pour prendre mon téléphone qui était sur la table basse. Je l’ouvris et mon regard fut tout de suite attiré par le prénom du coréen qui me hantait depuis plusieurs semaines. Mon sang ne fit qu’un tour. Je ne savais pas qui me parlait de lui, mais quelqu’un devait connaître des choses le concernant et s’empressait de me les envoyer. Je ne comprenais pas. Et le sens du message, et pourquoi on m’envoyait ça à moi. Enfin, plutôt : qui savait que des informations sur Ki faisaient toujours battre mon cœur à tout rompre ?! A part Ayase, il n’y avait personne… et je savais qu’elle ne l’aurait pas répété. Alors, qui ?! Excédée, je posai une main sur ma poitrine et soupirai. Calme toi, Rubi, ce n’est rien… Mais non, je ne pouvais pas me calmer. Je n’en pouvais plus de cette situation. Je n’en pouvais plus de me morfondre dans mon coin ! Il me fallait des réponses. Et j’avais le prétexte idéal pour aller me prendre un râteau magistral. Merveilleux. Je me relevai, rangeai rapidement mes affaires et les montai dans ma chambre. Je fis une petite vérification face au miroir. Mes cheveux lisses avaient bien poussés, ils étaient toujours blonds et tombaient un peu plus bas que mes épaules. Je tirai un peu sur le pan de ma robe à manches longues et soupirai. Elle était jolie, même si elle ne me mettait pas en valeur, elle ferait l’affaire. Elle ressemblait un peu à celle que je portais lors du premier atelier du Cooking Club. J’étais maquillée. Pas trop, juste assez. J’enfilai une paire de talons hauts bleu marine, en daim – parce que sans eux, je me sentais toujours ridiculement petite face à Ki –, et quittai le Bâtiment des Eta Iota, direction celui des Alpha Psi. Adam m’ouvrit la porte, je le saluai gentiment et lui demandai si Ki était là.

« Oui, dans sa chambre » me répondit-il.

Je lui demandai si je pouvais monter, le cœur battant. Le Chef des Alpha Psi m’indiqua le numéro de la porte et me laissa rentrer. Je ne le connaissais pas beaucoup, mais je lui offris un sourire en guise de remerciement puis montai les escaliers menant aux chambres. Je ne venais jamais ici, même pour voir Aya ou Vicky. D’habitude, je passais mon temps à éviter Ki, alors… Et voilà que je me retrouvais devant sa porte. Je pris ma respiration, et toquai trois coups un peu timides. Le plus dur était fait, non ?
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