Wynwood University
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 Quand le passé rattrape le présent c'est pour former un avenir? [Avec Delonte]

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MessageSujet: Re: Quand le passé rattrape le présent c'est pour former un avenir? [Avec Delonte]   Quand le passé rattrape le présent c'est pour former un avenir? [Avec Delonte] EmptyJeu 29 Aoû 2013 - 15:49

Quand j’étais arrivée ce matin je ne pensais pas que je ferais une rencontre de la sorte dès mon arrivée. On dit souvent qu’après de longues heures de vol on est fatigué, en partie à cause du décalage horaire, ça avait été vrai pour moi. En arrivant à 9h05 à Miami soit 1h05 à Saint-Pétersbourg j’avais été exténuée et donc avait dormi ensuite la moitié de la journée. Résultat des courses il était très tard dans la soirée et j’avais une pêche d’enfer. J’avais donc tout simplement décidé de faire la fête dans la meilleure boite de Miami pour fêter mon arrivée, ma nouvelle vie. Et voilà que je retrouve quelqu’un de mon passé. Et pas des moindres. Je repensais directement à ma famille restée en Russie en le voyant et surtout à ma dernière petite sœur Agata. Devais-je lui dire ? Tout ça faisait débat dans ma tête et je ne savais pas vraiment quelle attitude adopter. Enfin d’abord je devais être sûr que c’était bien et lui et je n’y passai pas par quatre chemins.

« Delonte, c’est toi ? » lui demandais-je.

Il me regarda de long en large, à mon avis tout aussi surpris que moi qu’on se retrouve ici. Il indiqua alors à son collègue qu’il prenait sa pause et m’invita à le suivre hors de la file. Je fis un signe à Kenzy et lui dit que je la rejoignais plus tard. Elle me regarda d’un grand air d’incompréhension mais rentra tout de même à l’intérieur de la boite de nuit. Je reportais alors mon attention sur Delonte et le suivais tandis qu’il répondait à ma question.

«Oui c'est moi Katherina. Mais toi, qu'est-ce que tu fais là ? T’étais pas en Russie ?»

Je cherchais les mots anglais qui correspondaient à ce que je pensais en Russe, à vrai dire je galérais un peu beaucoup avec la langue. Tandis que je réfléchissais aux meilleurs termes à employer pour répondre nous continuions d’avancer. Nous nous dirigions vers un muret ou Delonte s’asseyait, à l’écart de tout le monde avant de reprendre.

«T'as pas changé... t'es toujours aussi magnifique, mais comment ça se fait que t'es à Miami ?»

J’avais eu le temps de réfléchir à ma réponse et après encore quelques secondes à réfléchir je lui répondis le plus simplement possible.

«Merci, toi aussi ! Ma famille n’est pas très riche comme tu le sais, on m’a proposé un job en tant que mannequin et j’ai accepté… »

J’avais envie de dire plus du genre que j’allais avoir beaucoup d’argent et que c’est pour ça que j’ai accepté le job, pour aider ma famille mais je ne savais pas comment le dire alors je ne l’avais pas dit.

«Et toi ça fait longtemps que tu es à Miami ? » lui demandais-je.

Quand on s'est rencontré en Russie il m'avait dit qu'il voyageait beaucoup mais ne m'en avait pas dit plus sur sa vie et ce qu'il faisait. Je crois qu'il m'avait dit qu'il vivait à New-York mais je n'en suis pas sûre. J'étais sûre cependant qu'il ne m'avait pas parlé de Miami alors ça m'étonnait un peu qu'il est un boulot ici et loin de New-York.

Il fallait vraiment que je lui parle de la chose. Enfin je ne sais pas si après ce long moment d’absence c’était la meilleure chose à faire mais il devait savoir quand même non ? Et puis on n’était pas resté longtemps ensemble, à peine une semaine quand il était de passage en Russie. Malgré ça il se souvenait de moi c’est donc que je ne suis pas rien pour lui comme il n’est pas rien pour moi.  Bon il fallait que je lui dise. Et directement après qu’il m’est répondu, reprenant tout mon sérieux je le regardais.

«Il faut qu’on parle. »

Je sais bien que c’est une phrase que personne n’aime entendre. Quand on entend ses mots on a toujours peur de ce qu’on va nous dire et on repense à tout ce qu’on a fait. C’est souvent annonciateur d’une mauvaise nouvelle d’ailleurs. Et j’espérais qu’il ne prendrait pas mal ce que j’avais à lui dire, même si je pouvais comprend que ça le brusquerais…
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MessageSujet: Re: Quand le passé rattrape le présent c'est pour former un avenir? [Avec Delonte]   Quand le passé rattrape le présent c'est pour former un avenir? [Avec Delonte] EmptySam 10 Aoû 2013 - 23:45

" Dans l'affection que je te porte, il y a trop de passé pour qu'il n'y ait pas beaucoup d'avenir "
Quand le passé rattrape le présent c'est pour former un avenir?
Ca faisait maintenant un mois que j'avais posé mes affaires dans cette ville. C'était différent de tout, différent de mon passé, c'était une nouvelle vie. New-York ne m'apportait plus rien de bon, j'étais fiché, j'étais surveillé, j'étais recherché et ce, même pour des crimes que je n'avais pas commis. Sauf que voilà, quand on ne trouve pas le vrai coupable, il est plus facile de se retourner vers un homme à peine sorti de prison. Finalement, je passais plus de temps avec des flics et des gens représentant l'autorité qu'avec mon entourage. Ca devenait saoulant, lassant mais en même temps c'était une vie que j'avais cherché. J'avais préféré la vengeance à l'ignorance, j'avais préféré l'argent facile et sale à l'argent mérité, j'avais choisi le noir au blanc: des choix irréversibles actuellement. Ici, à Miami je ne pouvais que recommencer à zéro, ou presque. J'étais pas certain d'être blanc aux yeux de la loi. J'avais certes, changé d'Etat, mais le braquage qu'on avait effectué dans l'une de ces villas de riches me laissait sceptique. Nolan s'était fait chopé, j'étais pas sûr d'être dans le collimateur des flics ou pas. Je me disais que non, ça devait faire un mois que j'étais là et ils n'avaient toujours pas débarqués chez moi. Nolan avait compris le système de notre gang. Le premier qui se fait prendre, il ne dit rien et les autres tentent de le faire sortir. C'était comme ça et pas autrement.

Je ne m'attendais pas à une vie exemplaire, ni même une vie toute rose de lycéens comme beaucoup ici, je ne savais pas trop à quoi m'attendre, mais j'étais pas un prince charmant, je ne faisais pas la cour aux filles et j'étais loin d'être exemplaire. J'étais obligé de vivre au jour le jour et toujours rester sur mes gardes. J'avais appris à être méfiant, à calculer tout, à observer tout le monde les gestes, les mimiques, les traits, les gestes et même analyser les sous-entendus. Dans mon milieu, on était vite parano, mais c'était pour le bien de la "fratrie". On devait prendre soin de nous, soin des uns des autres et c'était précisément ce que j'avais fait avec Shayna. Cette fille était le joyaux de notre petite bande, celle qu'on devait protéger, qu'on devait surveiller et sur qui on devait veiller. J'avais échoué à ma tâche concernant mes parents, je m'en voulais et depuis j'étais encore plus prudent. Il était dangereux d'entrer dans ma vie, mais j'étais le premier à faire attention à qui y entrait. Aucune conquête ou amie proche n'avait subit quoique ce soit en rapport avec moi. J'étais bien trop discret, bien trop prudent pour ça. Parfois on me disait que j'abusais, mais je savais ce que je faisais, je savais qu'une fois une information filtrée, ça pouvait aller vite. Je ne pouvais pas me permettre une autre bavure, j'étais déjà fiché comme ça et pourtant Miami n'attendait que ça, c'était la seule chose que je ressentais en étant ici. Je devais changer et pourtant la noirceur de mon âme me criait le contraire, me forçait à retourner dans mes travers. Mine de rien, cette ville c'était le vice que ce soit pour les filles ou la drogue. Fallait pas se leurrer, c'était pas si beau que ça. Il suffisait de se balader la nuit pour apercevoir que cette ville n'offrait pas que le meilleur d'elle-même. J'étais sur que toutes ces demoiselles aux yeux pétillants devant les rues commerçantes, les palmier, la plage, le soleil ne voyait que la beauté de cet endroit. Et pourtant, moi je ne voyais que le mal, le travers et les taudis.

Ce soir je devais bosser. C'était pas que je manquais d'argent, non, avec le casse qu'on avait fait j'avais de quoi être heureux longtemps, mais c'était une couverture. J'étais fiché à New-York et pas à Miami, bien que mon casier judiciaire était le même partout. En fait, j'étais obligé de faire attention, j'étais obligé de me tenir à carreau mais je ne pouvais rien promettre. J'étais pas un drogué, mais j'étais addict au statut d'hors-la-loi. Pourtant, je me suis juré de revenir sur le droit chemin, un jour. J'avais trouvé un boulot qui consistait bêtement à veiller sur la sécurité d'une boite de nuit branchée de la ville, accueillir les jeunes festifs et fouiller les gens plus louches. Les gens « louches ». Ca me connaissait, j'en faisais partie avant et cette fois, c'était à moi de les reconnaitre : un vrai jeu d'enfant. Ces gens louches, on devait les écarter et les fouiller. En général c'étaient eux qui foutaient la merde et une fois qu'une bagarre éclatait à l'intérieur, et bien encore une fois, on devait agir. Ce soir là, c'était full. A croire qu'il se passait quelque chose de spécial ce soir, j'en savais rien ça ne m'intéressait pas. En fait, je venais juste là pour avoir mon argent et m'acheter ma conduite et basta. Les gens, les soirées à thèmes et le boom boom, c'était pas pour moi ce soir. Plus vite c'était terminé, plus vite j'étais content. Je restais planté devant la porte d'entrée avec un collègue, vérifiant l'âge de chacun, faisant reculer d'autres pour mauvaise conduite. J'avais le sang chaud et j'avais pas la patience de mes collègues. J'avais aucun mal à remettre les gens à leur place et j'étais surement pas là pour copiner avec X ou Y inconnu(e)s. Le temps passait quand une voix féminine m'interpellait. Avant même de redresser la tête, je me demandais comment elle pouvait connaitre mon nom alors que je ne connaissais – presque – personne ici. Je relevais la tête et vis une jolie blonde, élancée, ravissante plantée devant moi. Cette blonde je la connaissais. J'étais parti une semaine en Russie ce qui m'avait valu sa connaissance. On avait fait connaissance, on avait passé du temps ensemble, du bon temps, même et ensuite, j'étais reparti. Certes, comme un voleur, mais j'étais pas fait pour les relations longues et puis ma vie, c'était à New-York qu'elle se trouvait, pas ailleurs. Ma respiration se crispa un instant et mon regard ne quittait pas celui de Katherina. Elle n'avait pas vraiment changé, elle était encore plus belle qu'avant, mais n'avait pas vraiment changé. Je me doutais qu'ici, c'était pas vraiment le moment pour discuter du passé alors que j'étais sensé travailler. Je me tournais vers mon collègue et lui fit un léger signe.

Hey mec, j'prends ma pause.

Je m'écartais de la file, invitant la blondinette à me suivre avant de répondre à sa question.

Oui c'est moi Katherina. Mais toi, qu'est-ce que tu fais là ? T'étais pas en Russie ?

J'avançais un peu plus loin afin d'aller m'asseoir sur un muret, à l'écart de tout ce monde.

T'as pas changé... T'es toujours aussi magnifique, mais comment ça se fait que t'es à Miami ? 



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MessageSujet: Quand le passé rattrape le présent c'est pour former un avenir? [Avec Delonte]   Quand le passé rattrape le présent c'est pour former un avenir? [Avec Delonte] EmptyJeu 8 Aoû 2013 - 18:19

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J'avais pris l'avion à Saint-Pétersbourg à 12h01 exactement, après de longs au revoir avec ma famille et un dernier "Я люблю тебя моя дорогая" de ma mère, soit "je t'aime ma chérie" que j'entendais si souvent à la maison. Je m’étais habillée simplement avec un jean slim blanc et un tee-shirt rose pâle, des ballerines roses elles aussi c’étaient cependant des habits confortables. J'avais ensuite affilé 13 heures d'avion, c'était la première fois que j’en prenais un, la grande marque de lingerie m'avait payé le billet, on ne m’avait pas dit le prix mais c’était cher, très cher. Les premières heures j'avais lu des bouquins sur les Etats Unis d’Amérique, j’étais mal barrée, je n’y connaissais rien du tout, leur culture, leurs coutumes, les gens, le climat, tout était différent qu’en Russie. Les heures suivantes j’avais dormis et quand je n’y parvenais pas je me remettais à lire mes livres, j’en avais bien finis deux ou trois. Mlle Kenzy m’avait avertie qu’elle m’attendrait à l’aéroport. Depuis qu’elle m’avait dit, deux semaines plus tôt que je partirais pour Miami nous étions toujours très proches et tous les jours elle m’appelait pour avoir de mes nouvelles. J’avais annoncé la nouvelle à mes amis, enfin que je serais mannequin mais je ne leur avais pas dit en quoi, de peur qu’ils me jugent, déjà qu’en Russie, être mannequin c’est plutôt mal vu.
L’atterrissage se fit à 1h05 du matin heure de Saint-Pétersbourg mais là-bas à Miami il était 9h05. Mon agent Mlle Kenzy m’attendait à l’arrivée comme c’était prévu. On ne s’était jamais vues avant ce jour-là, on ne s’était que parlé par téléphone. Elle était vraiment très jolie, grande, brune aux yeux noisette, fine et charismatique et son point fort, elle parlait russe. Ensuite nous sommes allés chez elle avec mes quatre valises, en attendant que j’aie une chambre au lycée. Elle avait une très grande maison et elle était jolie. Elle était jeune elle n’avait ni de mari, ni d’enfants, je crois qu’elle avait à peine 25 ans, elle m’installa alors dans une chambre d’ami. J’avais ensuite dormi toute la journée, enfin jusqu’à 15h30.

J’avais décidé ensuite de visiter la ville. Il faisait une chaleur à mourir, je décidai donc de me changer avant de sortir. J’optai pour un short beige et un débardeur blanc avec des sandales couleur or puis j’avais attaché mes cheveux en une queue de cheval haute. Je me rendis en ville avec Mlle Kenzy, elle me fit le tour en m’expliquant que j’aurais un chauffeur pour moi car je devrais beaucoup de déplacements dans le futur pour mes shooting. Elle me présentant chaque partie de la ville, les bons restaurants, la piscine, les boites de nuit, les bons coins shopping enfin tout ce qu’une jeune fille de mon âge devait savoir. On passa devant la grille du gigantesque lycée Wynwood qui m’attendait d’ici les prochains jours, mais malheureusement nous ne nous y sommes pas arrêtées, j’y ferais un tour dès le lendemain. Nous somme rentrées à sa villa vers 20h après un bon dîné au restaurant, elle avait payé, malgré mes protestations.

Il était 21h30 maintenant et je ne savais toujours pas quoi faire, en partie à cause du décalage horaire je n’étais pas fatiguée.  Je me sentais effroyablement seule, certes il y avait Mlle Kenzy mais à la maison nous étions huit et là que deux. Je n’avais rien à faire, ici je n’avais rien, pas d’amis, pas de famille strictement rien. Quand je m’ennuyais à la maison, je faisais à manger ou alors je jouais avec les deux petites dernières, je lavais le linge, allait faire des courses ou tout simplement je sortais avec mes amies ou allait faire du sport. Bon c’est vrai, je pouvais toujours trouver une salle de sport mais ouverte à cette heure-ci ? Non ça m’étonnerait, quoique on était aux USA ici ! Enfin non je n’avais pas envie de faire du sport ce soir-là. J’avais envie de fêter mon arrivée, de me faire des amis, c’est tout simplement que je décidais de faire ma deuxième activité préférée : faire la fête. J’étais habillée d’une petite robe très moulante noire, avec de grands escarpins bon marché, je mis de gros bracelets couleur or, ainsi que des boucles d’oreilles assorties. Pour ma coiffure je laissai mes longs cheveux blonds aux naturels, je les décoiffais un peu cependant et pour mon maquillage j’optai pour mon trait d’eye-liner préféré : celui qui me faisait de grands yeux de félines, avec lequel je mis un fard à paupière or et un gloss transparent. J’étais prête à m’éclater, enfin !

La villa de Mlle Kenzy était un peu éloignée de la ville alors je lui demandai de m’y emmener, je n’avais pas encore mon chauffeur, logique je venais seulement d’arriver. Elle m’y emmena tranquillement, la boite était en centre-ville. Elle se gara dans une rue à côté, et nous nous y rendîmes. Il y avait beaucoup de monde à l’entrée si bien que je ne voulais pas attendre toute seule dans cette foule mais Kenzy me rassura, elle avait un pass VIP. Surprenante cette Mlle Kenzy.  Arrivées devant le videur, je laissais Mlle Kenzy s’exprimer, tandis que j’attendais sur le côté pendant qu’ils discutaient j’observais le jeune-homme, il me disait quelque chose. Il faisait très noir et je ne le voyais pas très bien, il était noir de peau, très grand, baraqué, un beau jeune-homme, sa façon de parler, son attitude, ses mouvements tout me rappelait quelqu’un. Mais qui ? Il dit à Mlle Kenzy que nous pouvions entrer, il remarqua enfin ma présence, je m’étais toujours tenue derrière Kenzy et il ne m’avait sans doute pas remarquée. Il me regarda, mes yeux croisèrent les siens, c’est là que je le reconnu. Il sembla me reconnaître lui aussi car il plissa le front et son regard s’éclaira de surprise. Je baissai la tête je ne savais que penser, non ce n’était pas possible, je devais rêver ou bien cauchemarder. Pour bien m’assurer que c’était lui avant de rejoindre mon agent je lui demanda.

« Delonte, c’est toi ? »

Je n’avais pas envie de me lancer dans diverses formules de politesse tu genre « Excuse-moi comment t’appelles-tu ? » je préférais être cash, surtout devant l’homme que je soupçonnais d’être celui qui avait une grande place dans ma vie. Je m’étais exprimée avec mon accent russe très prononcé mais sans mal, cette phrase était basique. J’attendais sa réponse ne savant comment être intérieurement. Contente ? Énervée ? Calme ? Chamboulée ? Oui, ça c’était certain, je l’étais. Toute fois je le regardais, bras croisés sur ma poitrine impatiente de savoir ce qu’il allait me répondre. Sa réponse allait surement tout changer, tout.
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