→ Pousse-toi un peu que je m'incruste, on va devoir partager. [Tic tic ♥]

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Pousse-toi un peu que je m'incruste, on va devoir partager.

Masha se retrouva donc face à son colocataire, Ethan, qui paraissait surpris de la voir sur le pas de sa porte. Et bien sûr, aussitôt, l'esprit légèrement paranoïaque de la khi la fit imaginer le pire. Si bien qu'elle imagina Ethan, n'ayant pas été prévenu, qui lui claquait la porte au nez en hurlant qu'il refusait d'avoir une colocataire et elle se vit, les jours suivants, dans la rue, avec des vêtement crasseux, à faire la manche afin de pouvoir se payer une chambre d’hôtel. Elle aurait même juré avoir entendu un petit diable sur son épaule lui susurrer que sa vie était fichue. Elle, alarmiste ? Juste un chouïa. De ce fait, lorsqu'elle prit la parole, elle bégaya, ce qui lui fit penser que son colocataire allait la prendre pour une débile, incapable d'articuler. Et du coup, afin de ne pas aggraver sa situation, elle décida de ne plus bouger. Elle resta donc immobile à sourire, jusqu'à ce qu'il l'invite à entrer, ce qui lui donna évidemment l'air idiote, contrairement à ce qu'elle voulait.

Il sembla réfléchit pour ce qui sembla être une éternité à la khi, toujours immobile et qui n'avait plus qu'une envie : s'enfuir à toutes jambes. Il y eut même un moment ou elle se demanda s'il n'était pas autiste. Ce n'était pas normal de mettre aussi longtemps à réfléchir, si ? Enfin, d'après ce qu'elle avait lu sur le sujet, les autistes étaient des gens très intelligent bien que légèrement difficile à vivre et tant qu'il n'était pas plus difficile à vivre que son frère, elle devrait se faire à l'idée. Et finalement, alors qu'elle n'avait toujours pas fait un geste, il la regarda de haut en bas. Masha avait l'habitude de se genre de chose, mais en général, c'était plutôt les Eta Iota qui le faisait de leur regard dédaigneux, elle avait toujours pensé que les khi étaient trop sympas et intègres pour ce genre de comportement. Pas tous apparemment.

« J’étais au courant que j’allais avoir un colocataire… Là où j’ai pas été prévenu c’est qu’il s’agirait d’UNE colocataire. Bon bah entre, de toute façon je crois qu’on n’a pas le choix. » Fit-il, apparemment agacé de savoir qu'il allait partager sa chambre avec une fille. La bonne nouvelle était que contrairement à ce que sa paranoïa lui avait fait croire, elle ne dormirait pas dehors ce soir-là, la mauvaise était qu'elle n'était plus certaine que la close selon laquelle elle devait laisser son colocataire en vie soit toujours aussi facile à respecter. Il rentra dans la chambre, sans lui proposer de l'aider avec ses affaires incroyablement lourdes et elle soupira, en recommençant à tirer son sac derrière elle. En passant un peu trop près d'une table de chevet, elle rattrapa de justesse une lampe qu'elle avait failli faire tomber et laissa malencontreusement l'abat-jour penché. Elle s'arrêta à côté de la dite table de chevet alors qu'Ethan reprenait la parole.

« Ton lit c’est celui contre le mur du fond, moi je suis près de la fenêtre. Ton armoire c’est celle au bout de ton lit. » Lança-t-il sans lui laisser d'autre option. Évidemment, il était arrivé en premier, jamais elle n'aurait réclamé son lit s'il lui avait proposé d'échanger, mais elle trouvait cela limite impoli qu'il ne le fasse pas. Pour toute réponse, elle haussa les épaules et tira son sac sur les dernier mètres la séparant de son nouveau lit, sur lequel elle s'écroula. Elle rasseyait correctement quand son colocataire se retourna, montrant son sac d'un petit coup de tête. « Mais je suis pas sûr que tout rentre dans ton placard par contre… »

Elle observa son armoire d'un air septique, en effet, elle allai avoir du mal à ranger toutes ses affaires dans un si petit meuble, mais pour elle, ce n'était pas vraiment un problème, puisqu'elle n'était pas vraiment rangement. À ce moment là, elle pensait qu'elle pourrait aire comme elle avait toujours fait jusque là : laisser traîner ses affaires un peu partout en s'arrangeant pour mettre les sales d'un côté et les propres de l'autre. « Boh, c'est pas très grave, j'en laisserai sur mon lit ou mon bureau si j'ai pas assez de place. » Annonça-t-elle en souriant pendant qu'il refermait la porte qu'elle avait laissé ouverte, ses mains étant prises par son sac. « Bienvenue dans notre chambre. Installe-toi. » Elle lui lança un dernier sourire et il partit s'asseoir sur son lit, un livre dans les mains.

C'est à ce moment là qu'elle se rendit compte d'une chose qu'elle n'avait pas vu jusque là : l'état de la chambre. Tout ici avait l'air d'être figé dans une propreté presque effrayante, on aurait pu manger par terre, rien ne traînait, pas même une petite mouche pour perturber le silence, même pas un petit mouton de poussière pour venir salir le portrait. Tout était impeccablement bien rangé et propre et Masha compris que son colocataire avait quelque chose d'encore pire que l'autisme lorsque l'on cohabite avec elle, il était maniaque. Autrement dit, il allait forcément les détester, elle et son bordélisme chronique. Autrement dit, elle était dans la mouise et pas qu'un peu.

Elle observa un instant le garçon, toujours plongé dans sa lecture et soupira. La cohabitation allait être difficile et l’acclimatation longue, elle le sentait déjà. Enfin, elle se leva et ouvrit sa valise dont les coutures étaient prête à craquer tant elles étaient mises à l'épreuve. Dès qu'elle eut ouvert le bagage, des livres et quelques vêtements qui surchargeaient le sac en tombèrent. Elle ramassa les livres, attrapa les deux qui restaient dans son sac et les déposa délicatement sur son bureau. Trois des livres étaient des dictionnaires, un de français, un de grec et le dernier d'espagnol, les trois langues qu'elle étudiait, le quatrième livre était « les hauts de Hurlevent », un livre qu'elle avait déjà lu mais qu'elle relisait pour son cours de littérature de cette année et le dernier était une édition ancienne de « Alice au pays des merveilles », livre qui avait bercé son enfance, offerte par son père, le jour de son départ de Londres. Dans toutes ses affaires, ce livre était son objet le plus précieux, car s'était en même temps qu'ils le lui avaient offert que ses parents l'avaient autoriser à partir seule pour Miami avant que son frère ne la rejoigne. Ce jour-là, cette décision paraissait bien lointaine et en vu des inquiétudes qu'elle avait, elle se demandait si il n'aurait pas été mieux de repartir pour l'Angleterre... Et même à la nage s'il le fallait.

Elle retourna à sa valise en essayant de calmer sa paranoïa qui reprenait le dessus et attrapa quelques vêtements -non repliés- qu'elle plaça dans son armoire en boule. « Désolée, je suis pas très fan du rangement » Fit-elle, à l'adresse de son colocataire, en balançant de nouveaux vêtements dans l'armoire, au cas où il la regarderait faire. Quand l'armoire fut plaine, elle « rangea » quelques vestes sur sa chaise de bureau, posa d'autres vêtements sur son lit et mis même son pyjama -lui aussi en boule- dans le tiroir de son table de chevet. Elle plaça son sac sous son lit, le laissant à moitié dépasser et enfin, laissa le lit qu'elle avait défait en s’asseyant dessus pour aller s'asseoir sur sa chaise de bureau déjà encombrée de vêtement. Elle était là depuis quinze minutes et son côté de la chambre avait déjà l'air d'avoir été touché par une bombe. Mais selon sa vision des choses, l'endroit avait l'air beaucoup plus sain comme ça.

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Ethan était rentré depuis peu. En manque de lecture philosophique, il était passé par la bibliothèque de l’école en début d’après-midi, après avoir passé sa matinée à travailler sur ses cours. Sur le chemin du retour, il avait croisé sa petite asiatique et avait passé un moment bien trop court à son goût avec elle puis était revenu dans le bâtiment des Khi. L’administration l’avait prévenu au début de la semaine qu’on nouveau colocataire viendrait s’installer dans sa chambre ce dimanche après-midi et le garçon voulait être là pour l’accueillir et surtout pour le garder à l’œil le temps qu’il s’installe.

Ethan n’avait jamais eu à cohabiter jusqu’à maintenant et avec son goût très prononcé pour le rangement et l’ordre et son exigence autant envers lui-même qu’envers les autres, il redoutait un peu ce partage de chambre pour les quelques mois à venir avant les grandes vacances.

Il ne savait rien de ce fameux colocataire si ce n’est qu’il était évidemment lui aussi chez les Khi Omikron. Mais cette information lui paraissait bizarre. Il ne lui semblait pas avoir croisé un nouveau Khi Omikron ces derniers jours. Hors, jusqu’à maintenant, dans sa confrérie, ils n’étaient que deux à appartenir à la gente masculine : Zack, son meilleur ami, et lui-même. Mais peut-être était-ce un petit nouveau qui allait franchement débarquer le jour même de son installation. Il cessa de se poser des questions, il verrait bien de toute façon.

Une fois sa chambre regagnée, Ethan posa son livre sur son bureau et jeta un coup d’œil à la pièce. Tout semblait à peu près en place dans la chambre. Il avisa cependant une de ses vestes posée sur le dossier de la chaise de l’autre bureau qui serait bientôt occupé. Il attrapa le vêtement et le rangea soigneusement dans son armoire. Profitant au passage pour redresser l’abat-jour de sa lampe de chevet légèrement incliné. Lui maniaque ? A peine…

Finalement il se déchaussa, rangeant aussi ses tennis dans son armoire, récupéra son livre et s’adossa au mûr, assis sur son lit, commençant sa lecture : Critique de la faculté de juger. Grand ouvrage de l’un de ses auteurs préférés : Kant.

Plongé dans son livre, il ne vit pas le temps passer et 15h s’afficha rapidement sur son radio-réveil lorsqu’il leva les yeux des pages imprimées qui semblaient l’absorber depuis plus d’une heure. Le bruit de pas lourds montant les escaliers, marches après marches, l’avait sorti de sa lecture.

Qui est-ce qui monte aussi lourdement un escalier ? Il me semblait pourtant que les éléphants c’était au zoo qu’on les trouvait…

Le jeune homme leva les yeux au ciel et alors qu’il s’apprêtait à se replonger dans son livre, trois coups frappés à la porte de la chambre l’en empêchèrent.

Le garçon soupira et ferma son livre. Il avait la sainte horreur qu’on le tire de ses moments de détente philosophique. Il se leva de son lit, laissant son livre sur son matelas et traversa la chambre en chaussettes, jusqu’à la porte.

Peut-être que finalement l’éléphant va dormir avec moi à partir de maintenant…

Cette pensée l’amusa et un sourire ironique comme il en affichait beaucoup apparut sur ses lèvres tandis qu’il s’apprêtait à ouvrir la porte.

En ouvrant ladite porte, il se retrouva face à face avec une jeune demoiselle brune, vêtue d’une robe bleue et de converses de la même couleur, qui mesurait presque sa taille. A ses pieds un énorme sac. Ethan comprit immédiatement de quoi il s’agissait, mais il fut tout de même surpris de la voir débarquer et ne sut quoi dire si bien qu’elle prit la parole en premier, affichant un grand sourire, tentant de bafouiller le moins possible :

« Bonjour ! On se connaît vaguement... On s'est vu, entres autres à la fête dans la chambre de Cassie et Zack, je suis Masha la chef de la confrérie et... Euh... Je ne suis pas certaine qu'on t'ait prévenu mais... On m'a attribué cette chambre donc... Bah euh... Je suis ta nouvelle coloc' ! »

La fête de Cassie et Zack ? Le jeune homme repassa tous les gens qu’il y avait croisés – c’est-à-dire à peine une petite dizaine, car la confrérie de Khi ne comptait pas tellement de membres – et le visage de la jeune fille finit effectivement par se dessiner dans son esprit. Mais de là à mettre un prénom ? Si la jeune fille n’avait pas attirée son attention pendant la soirée, son prénom était passé aux oubliettes. Quant à savoir que c’était la chef de la confrérie, le garçon en apprenait tous les jours ! Du moins Zack lui avait en effet parlé d’une certaine Masha avec qui il gérait la maisonnée, mais ça s’arrêtait là. Au moins à présent il pouvait associer le visage de la jeune fille à son prénom et surtout à son poste. Mais ce qui fit le plus tiquer Ethan c’était ses toutes dernières paroles : « Je suis ta nouvelle coloc’ ! ».

Elle ? Une fille ?! L’administration lui avait annoncé un colocataire et non pas une ! Il allait devoir partager son antre avec … une fille ?! La seule fille avec laquelle il aurait accepté de partager sa chambre était Shin. Mais il n’avait pas vraiment le choix. Si jusqu’ici il était resté seul, c’est parce qu’il y avait suffisamment de chambres pour tous les membres de la confrérie sans qu’il y ait besoin de les partager. Mais cela était aprioris en train de changer. Une bonne chose ? Pour la confrérie oui, mais pour lui, surement pas…

Ethan, toujours dans l’encadrement de la porte, dévisagea la jeune fille de haut en bas, sans gêne avant de prendre la parole à son tour :

« J’étais au courant que j’allais avoir un colocataire… Là où j’ai pas été prévenu c’est qu’il s’agirait d’UNE colocataire. Bon bah entre, de toute façon je crois qu’on n’a pas le choix. »

Agacé de cette (mauvaise) surprise, il finit par tourner le dos à la jeune fille et rentrer dans la chambre, lui laissant le passage libre pour qu’elle entre à son tour, la laissant se débrouiller toute seule avec son sac bien trop gros à son goût.

« Ton lit c’est celui contre le mur du fond, moi je suis près de la fenêtre. Ton armoire c’est celle au bout de ton lit. »

Il s’arrêta se retourna et montra le sac de la jeune fille d’un petit coup de tête avant de reprendre :

« Mais je suis pas sûr que tout rentre dans ton placard par contre… »

Il retourna fermer la porte que la jeune fille avait laissé ouverte. Ça commençait bien … Puis il retourna s’asseoir sur son lit et jeta un dernier regard à la demoiselle plantée au milieu de la chambre.

« Bienvenue dans notre chambre. Installe-toi. »

Il se replongea finalement dans son livre. Il restait assez froid et distant. Ce n’était pas vraiment volontaire. Il était naturellement comme ça avec les gens qu’il ne connaissait pas ou peu et de plus, il était agacé que l’administration ne lui ait pas précisé qu’il s’agissait d’une fille !

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Pousse-toi un peu que je m'incruste, on va devoir partager.

Le grand jour était arrivé et Masha en était un peu inquiète. Ce jour-là, elle avait fait un grand pas vers son indépendance et cela la stressait au plus haut point. En effet, le matin la khi avait rendu les clefs de l'appartement qu'elle avait partagé durant quelques mois avec son frère pour rejoindre la chambre qu'on lui avait attribué à Wynwood. On lui avait dit qu'elle serait avec Ethan, un garçon de sa confrérie qu'elle connaissait peu mais qu'elle avait déjà croisé une ou deux fois en compagnie de Zack, son ami et adjoint au sein de la confrérie. Comme elle n'avait jamais vraiment eu de conversation avec le jeune homme, elle espérait que tout se passerait bien et qu'elle ne regretterait pas de ne plus habiter avec son frère, ce qui avait peu de chance d'arriver, vu qu'elle se disputait à longueur de journée avec son frangin.

Vêtue d'une robe bleue et de converses de la même couleur, elle arriva au lycée, avec la voiture de son frère. Comme prévu, elle se présenta d'abord à l'un des bureaux, où on lui fit signer tous les papiers nécessaires à une bonne cohabitation avec ses camarades. Ainsi, elle éviterait de mettre le feu à sa chambre et/ou au bâtiment de sa confrérie, elle ferait en sorte de ne pas écouter du métal à fond en pleine nuit, elle ne vomirait pas sur le paillasson des autres sans nettoyer et elle essayerait de ne pas tuer son colocataire, même sans le faire exprès. Sans trop connaître Ethan, elle se disait que toutes ces règles allaient être assez facile à respecter et, au pire, si elle le tuait vraiment que se soit exprès ou pas, elle pourrait toujours balancer son corps à la mer et se débarrasser des preuves, non ?

C'est en revenant du bureau, ses nouvelles clés à la main qu'elle reprit la direction de la voiture, pour en sortir sa valise et un sac en bandoulière à l'intérieur desquels, en vrac, se trouvait toutes ses affaires. Elle n'avait jamais été très douée en rangement, si bien que lorsqu'il avait fallu faire sa valise, elle y avait simplement balancé ses vêtements, elle les avait ensuite dispersées pour homogénéiser un peu son bazar et s'était assise sur le bagage pour parvenir à le fermer. Toute une technique, en somme, cependant le résultat était là, elle avait réussi à fermer la valise, même si elle menaçait d'exploser à tout moment.

Elle monta tant bien que mal les escaliers jusqu'à l'étage des chambres, en priant pour ne rien faire tomber. Et enfin, à force de d'efforts et de pauses à rallonge, elle arriva en haut des marches. Bien qu'elle fasse du sport en dehors du lycée, la valise avait gagné haut la main cette bataille et Masha fut obligée de s'asseoir quelques minutes afin de reprendre son souffle. Ainsi, après ce dernier arrêt, elle se retrouva enfin devant la porte de ce qui serait sa chambre jusqu'à la fin de ses études à Wynwood. Elle prit une grande inspiration et frappa trois coups à la porte, pour ne pas prendre son nouveau colocataire au dépourvu si jamais il était là.

Et elle fit bien, car après une poignée de seconde, la porte s'ouvrit, laissant apparaître le fameux Ethan. Un grand brun, vraiment mignon, mais qui n'avait pas l'air de beaucoup parler. Masha lui fit son plus beau sourire avant de parler. « Bonjour ! On se connaît vaguement... On s'est vu, entres autres à la fête dans la chambre de Cassie et Zack, je suis Masha la chef de la confrérie et... Euh... Je ne suis pas certaine qu'on t'ait prévenu mais... On m'a attribué cette chambre donc... Bah euh... Je suis ta nouvelle coloc' ! » Fit-elle, en bafouillant un peu. En fait, elle ne savait pas du tout si le garçon avait été mis au courant, ni comment il prenait le fait de devoir partager une chambre qu'il avait jusque là eu pour lui tout seul. Mais au final, ce qu'il en pensait ne changerait que la façon dont se passerait cette colocation, puisque l'ancien appartement de la khi avait été rendu, elle ne pouvait plus faire marche arrière.