Beautiful girl listen some beautiful music - PV Devis

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Jonhattan Ҩ Devis

« Les plus belles rencontrent sont les plus inattendue et souvent dans des endroits impromptu. »

Assise au bar, je me perds dans mes pensées. Tant de souvenir refait surface. Tant de choses oubliées volontairement. Je souris au barman, une question de politesse. Et non de séduction. Je regarde la scène et les danseurs. Ils s'activent et s'obstine à reprendre du Elvis. Mon père aurait râlé. Oui c'était un fan d'Elvis, enfin à ses heures perdues. Cela fait tellement de temps que j'ai refoulé tous ces détails. Que tout ce qui me revient en tête est presque nouveau. Comme si j'apprenais seulement ces détails que font les lient d'une famille une.

L'obscurité est présente dans toute la salle. Excepter sur la scène, que les spots éclairent. Il règne une ambiance stérile. Un peu comme dans les vieux films. Je ne sais pas vraiment à quoi je m'attendais en revenant ici après tant d'années. Peut-être simplement à me souvenir. Je balaye la salle du regard, une fois de plus. La salle était à moitié plaine seulement. Et j'avoue pas avec des ados amateurs de jazz. Mon regard se stop de une nouvelle fois sur ce jeune homme assis seul. Je l'observe sans trop oser bouger. Un jeune homme séduisant qui ne laisse pas les femmes indifférentes. La preuve faite avec la serveuse. Qui au passage ce vexe facilement. Ont ne pas plaire à tout le monde.

Je me laisse bercée par la musique, qui me fait quasiment oublié où je me trouve. Genre une machine a remonté le temps. La musique est universelle. Elle procure des sentiments différents chez chaque personne. C'est là tout son charme. Je suis une grande fervente de musique. Je passerais mes journées à jouer. Laissée libre court à mon imagination, mon instinct et exprimer mes sentiments masquer. Je trouve cet art envoutant.

Je me lève soudainement de ma chaise haute. Mon regard de nouveau sur ce bel inconnu. Je ne sais pas pourquoi, mais je trouve normal d'aller vers lui. Il me regard marcher en sa direction. J'adresse tout le long du chemin un sourire. « Un aussi séduisant jeune homme, seule. Ses rare ! »

Je ne sais pas pourquoi, mais ce jeune inconnu, me fait me sentir bien. Je ne sais trop si c'est ce qui dégage ou si c'est moi qui deviens folle. Il me montre le fauteuil devant lui. Où je mis assois. Voilà la question à cent mille dollars qui tombe. Je souris en réfléchissant à la réponse que je vais lui donner.

« Je renoue avec mon passé et toi ? » dis-je en lui adressent un sourire. Un garçon très séduisant. Je me répète je sais, mais ce n'est que la vérité. Il a un regard persans. Qui doit troubler plus d'une fille. Je me perds dans son regard et revient doucement à la réalité en regardant son doux sourire. C'est une sensation étrange, mais agréable.

fiche par century sex.

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Beautiful girl listen some beautiful music.

Il fixait la scène où les danseurs et chanteur s'entêtaient à reprendre une chanson d'Elvis Presley. Sa vodka était arrivée quelques minutes avant, et par habitude, quand il avait pris son verre, il ne l'avait reposé qu'une fois vide, quelques secondes seulement après l'avoir pris. Plusieurs minutes après, la serveuse revint vers lui et reprenait le verre en faisant bien exprès de se pencher histoire qu'il puisse bien admirer son décolleté, au début il n'avait même pas remarqué, mais il redirigea assez rapidement son regard sur le visage de la rousse plutôt que sur ses – faux – seins. Qui comprit finalement assez vite qu'elle ne l'intéressait pas, dommage joli rousse ! Il lui commandant cette fois une bière, histoire de ne pas avoir à commander toutes les cinq secondes, la jeune femme – qui était irrévocablement vexée – nota vite dans son carnet la commande du jeune homme, fit volte-face et s'en alla à grandes enjambées pour se faire voir de tous le monde. Quand on la regardait partir, on pouvait voir son dernière se dandiner sous petite jupe noire moulante, certes c'était l'uniforme, mais personne ne l'obligeait à rouler ainsi ses hanches pour qu'on y voit quasiment un bout de cher qui dépasse. Il se reposait alors sur son dossier de siège confortable et regarda autour de lui.
Balayant la salle du regard, il découvrait plus loin la jeune femme qu'il avait remarqué un peu avant. Il lui sourit a nouveau mais cette fois-ci, au lieu de rester dans son pied de chaise haute, ses jambes bougèrent pour déambuler calmement, sûrement vers lui. Elle lui adressai un joli sourire tout le long de son chemin et lui, il la regardait se mouver vers lui, se demandant ce qu'elle allait faire. Elle arriva à sa hauteur et lui leva la tête, se décollant le dos du cuir rouge. La vois de la jeune inconnue tinta dans les oreilles de Jonhattan. Jolie, légèrement aiguë, commune. « Oui, répondit-il, je suis tout seul ». Il lui adressait un sourire avenant en acquiesçant à sa seconde question et en montrant le siège qui se trouvait en face de lui dans un large geste. La jeune femme obtempéra, elle viellait que quand elle s’asseyait, sa robe se mettait bien, comme font les grandes dames qui jamais ne mette de basket, et qui sont toujours e robe même quand elles ont plus de soixante-ans et que, malgré tous les lifting, leur peau devient fripée. Mais elle, son geste paraissait moins classieux, moins narguant.
C'est vrai que même s'il était riche maintenant, Jonhattan ne l'a pas toujours été. Au contraire. Il vivait en dessous le seuil de pauvreté avant que ses parents de meurent. Et il n'avait pas perdu ses valeurs et sa vision des choses, jugeant les riches de bonne famille un peu trop vite parfois, comme il l'avait avec Charlott, par exemple. Il essayait de ne pas devenir comme ces grands messieurs que son père critiquait tant quand ils dînaient et qu'il était présent en bout de table, comme pour régner sur la tablée.
Il se concentrait alors à nouveau sur la jolie brune qui se tenait en face de lui, il l'avait lâchée au détriment de la scène. Il allongeait son bras sur le dossier recroquevillé et vide de l'étendu qui était à côté de lui. Il restait une place à ses côtés, et la place qui lui faisait face était maintenant prise alors que quelques secondes auparavant elle était libre. Il se décidait à faire la conversation, histoire qu'ils ne restent pas bouche cousu pour le temps qu'elle resterait avec lui. « Alors, que fais-tu dans un endroit pareil ? » lui lançait-il avec un sourire en coin qu'il arborait toujours. Elle ne devait pas bien percevoir ses yeux noisettes, un joli marron clair, avec une étincelle au milieu de la pupille, la même que son père, que l'on voyait mieux dans l'obscurité, bizarrement. En tout cas, lui percevait bien les siens, et comme il l'avait vu de loin, ils étaient clairs, mais ils étaient aussi bizarrement foncés en même temps. Ils étaient verts émeraude, très joli vert au passage, et ils accrochaient le regard. C'était une jolie fille, du moins il ne l'avait pas bien vu debout, mais de visage c'en était une. .

©Didi Farl pour Never-Utopia

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Jonhattan Ҩ Devis

« Les plus belles rencontrent sont les plus inattendue et souvent dans des endroits impromptu. »

L Je marche dans les rues pleines de vie de Miami. Quand mon regard s'arrête sur l'enseigne d'un club. Un club de jazz pour être précise. Mon regard s'y arrête pour la simple raison que des années au par avant. Je devais avoir quoi, 4ans. Mon père, ma mère et mon frère somme venue dans ce club. Je ne pensais pas qu'il existait encore. Mes parents étaient très porté sus la musique, c'est certainement de là que je tiens cette passion et ces don comme on dit souvent.

Des souvenirs me reviennent en tête. Des souvenirs que je m'efforce jour après jour de cacher. Non pas de les oublié, simplement de les enfermer dans une malle que je ferme à clé. La dernière fois que nous y sommes venu c'était deux jours avant l'incendie. C'est pour cette raison que je me force à ne pas y penser. Tous les bons souvenirs me font revenir à la nuit tant redouter du 24 décembre 2001. Et cet incendie destructeur.

Je prends une grande respiration et je me décide à entrer. À l'intérieur rien à changer ou presque. C'est encore exactement comme dans mes souvenirs. L'obscurité gagne sur la lumière. La musique jazz me replonge dans une ambiance que j'avais oubliée. Je fais un tour d'horizon, je balaye la pièce du regard. Et je vois un jeune homme assis à une table seul.

Je me dirige vers le bar. M'assois et observe le spectacle. J'avais quatre ans quand je suis venue ici pour la toute première fois. Il m'aura donc fallu presque douze ans pour trouver le courage d'y remettre les pieds. Mon regard s'arrête de nouveau sur le jeune homme assis. Un flash. Je suis une personne spontanée et je crois qu'il le remarquera rapidement.

« Salut, tu es seule ? » Demandais-je sourire aux lèvres.

Je ne suis pas une personne mal polie. Enfin j'aime à croire que ma spontanéité n'est pas vue comme de l'impolitesse. Car ce n'est guère ce que j'ai envie de montrer.

« Je peux ? » demandais-je en montrant le fauteuil à coter de lui. Dans le fond je ne risquais rien. Enfin rien excepté un refus. Je ne sais pas trop pourquoi ce garçon m'attire. Enfin je m'exprime mal. Je lui adresse un sourire.

fiche par century sex.

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Beautiful girl listen some beautiful music.

Club de jazz. C'était une pub, dehors sur la rue qui avait emmené le Sigla à rentrer dans le club. Les chanteurs qui y passaient reprenait des chansons des Années 60's, 70's, 80's, et 90's. Des années que Jonhattan écoutait souvent quand il était petit, Prince, Elvis Presley, et le fameux auteur de la chanson "Sex Bomb" qu'il aimait beaucoup. Même si c'était rare qu'il aille dans ce genre d'endroit, quand il était passé devant ça lui avait donné envie.
Ses yeux mirent un temps à s'accorder a l'obscurité quand il passait le pas de la porte. La musique envahissait la pièce et faisait vibrer les murs. Ce devait être une chanson des années soixante, le tout début de la soirée. Il alla s'asseoir dans un des luxueux fauteuil. Le club n'était pas plein, loin de là mais d'autres gens continuaient encore à rentrer. Une jolie serveuse vient lui demander ce qu'il prenait, il commandait une vodka et comme elle lui jetait un regard charmeur il lui renvoyait sans même attendre une seconde.
Tout en écoutant la musique et en attendant son verre, il regardait les allées et venues du monde hors et dans le club. C'est alors que rentra une jeune demoiselle, elle devait avoir à peu son âge. Elle avait la peau blanche et des cheveux noirs ondulés. Ses yeux étaient d'un bleu/vert révolutionnaire. Elle rentrait dans le bar et lorsqu'elle tournait la tête vers le jeune homme, il lui sourit gentiment avant de ne tourner la tête et de regarder à nouveau la petite scène où dansait cinq dineuse dans de jolies tenues courtes et deux danseurs, tous les sept étaient menés par un chanteur à une voix d'or, jazzy, une touche de rock, grave, bref cocktail explosif.
Jonh se souvenait bien quand il venait dans ce genre quand il était plus petit, son père aimait bien les trucs vieillots et vintages. Même si quasiment, les groupes reprenaient tous les mêmes chansons, c'était agréable d'y aller avec son père entre deux avions. C'est vrai qu'il ne voyait pas beaucoup son père, et sa mère restait avec lui, elle travaillait aussi, de jour, de nuit, elle faisait son possible pour gagner suffisamment d'argent histoire de compléter le salaire de son mari.
Le jeune homme retira sa veste qu'il posa sur son dossier en cuir derrière lui. Les sièges étaient rouges, tout comme la lumière des spots, c'est d'ailleurs elle qui faisait qu'on pouvait y voir quelque chose, parce que sinon, la pièce était plongée dans l'obscurité totale.