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 The babuin roars like the lion [Elena]

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MessageSujet: Re: The babuin roars like the lion [Elena]   The babuin roars like the lion [Elena] EmptyMar 8 Nov 2011 - 22:31

    Le jeune homme haussa les épaules. Ne savait-il dont pas ce qu'il faisait ?

    On peut dire que la vie entière est un rêve, un rêve géant. Je n'aime pas cette affirmation, car elle sous entend un degré de masochisme élevé. Si c'était le cas, tout serait dans ma tête, et je ne serais pas le roi du monde ? Pourquoi ? Et je courrais le risque qu'une jeune beauté raconte que je rend sa liberté aux pantins du zoo ? Quel triste homme je serais, a me complaire ainsi dans le malheur... Non, ce ne doit pas être un rêve, ou alors pas le mien. Ou si c'est le mien, cela induit que vous serez pareille a une tombe, même si l'expression est mal trouvée pour une femme qui va donner la vie, et ne direz rien. Sinon 'histoire finit mal, et en ce cas, je refuse que la vie soit un rêve.

    Il avait un peu l'air de s'emporter dans les flots de paroles. La liberté. Qu'était-ce dont ? Elle est la faculté d'agir selon sa volonté en fonction des moyens dont on dispose sans être entravé par le pouvoir d'autrui. Elle est la capacité de se déterminer soi-même à des choix contingents. Elle est définie, et est perçue différemment selon la psychologie du sujet. Elle peut être perçue négativement, avec l'absence de soumission, de servitude, ou de contrainte. Ou bien, positivement, avec l'autonomie d'un sujet rationnel. On dit que les comportements humains se fondent sur la liberté et sont donc qualifié de libres. Mais pourtant, personne n'est libre. Pourquoi avancer de telles choses, jouer sur le sentiments libre d'autrui si personne ne l'est réellement ? On est comme entouré de mensonges en nous disant que nous sommes tous égaux, que nous sommes tous traités de la même manières avec les mêmes avantages, et que nous pouvons faire ce que nous voulons. Mais pourquoi déclarer un régime politique ? Pourquoi faire des guerres, si c'est pour envoyé des hommes dit « libre » au combat, sans que ça les concerne concrètement ? Pourquoi nous obliger à faire des choix, si nous sommes libre ? Pourquoi nous obliger à aller à l'école, à avoir un mode de vie européen ?

    Je reste muette, un peu choquée par l'attitude de cet homme. Même avec un sentiment de liberté très prononcé à pouvoir crier « LIBERTAAA ! » dans les rues, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit. Le gardien passa, l'homme le salua poliment, après avoir rangé la scie qu'il avait dans les mains quelques instants plus tôt.

    Attention, si vous me dénoncez je vous offre une glace ! Heu pardon, je vous en offre pas >.<

    Je fis un sourire, avec un petit rire. Boulet. Mais marrant. Il s'écria qu'il ne fallait pas que je le dénonce. Quel intérêt ça avait pour moi de le dénoncer ? Absolument aucun. C'était bien pour ça que je n'allai pas le faire, bien évidemment.

    Bah... Je sais pas si tu ne mérites, ou pas que je te dénonce...

    Mon ton était taquin, provocateur. Je me demandais bien ce qu'il dirait, ou ferait.
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MessageSujet: Re: The babuin roars like the lion [Elena]   The babuin roars like the lion [Elena] EmptyMer 2 Nov 2011 - 11:28

Je me suis retourné; la veille et mitée peluche géante c'est scratché sur les barreaux, ses veilles dents en avant, un vieux rugissement du tonnerre résonnant. Mon coeur manque tomber dans mes chaussettes. Je me retourne vers lui, qui peut m'éventrer d'un coup de patte, ou pourrait s'il était pas si con et qu'il se servait du pois chiche qui lui servait de cerveau et gueule aussi fort que ce qu'il m'a fait peur :

"OH CA VA HEIN !"

Le lion me regarde, semblant ne pas comprendre. Le bout de viande ne rugit pas, normalement. Il doit trouver ça bizarre. Il s'affale, l'air de ne plus trouver d’intérêt à la situation et m'ignore avec toute l'ostentation d'une femme outragée. c'est moi qui suis outragée ! Outragé ! Boude, voilà ! Et bien reste. Salaud. Moi qui ai tout fait pour toi ! On aurait pu avoir un avenir ensemble ! des souvenirs communs ! Des joies ! Des rêves ! Des enfants ! Le mariage ! Le... Quoi ?

Je m'égare. Pas d'enfant avec toi, tu pue de la gueule. C'est ce qui arrive a force de lécher le sol morcelé de crasse de ta prison pour en récupérer le morceau de viande déjà tuée, congelée et décongelée qu'on te sers. Tsssk, en plus d’être moche et vieux, tu te fais entretenir ! Ah, c'est propre ça peut être ? Hein ? Et je me marierais jamais, plutôt crever. Et elle, elle est mariée au moins ? Elle m'a l'air bien jeune pour s’être transformée en ballon. Et si jolie. Ses cheveux noirs sont magnifiques, on dirait un personnage de Burton, aux jointures dé;licates, blanche comme un fantôme, fragilement maintenue en l'air, et avec cet imposant et improbable coussin de cher tout gonflé et palpitant d'une vie à elle mais qui ne lui appartient pas. C'est alien en version bisounours, et mes gênes de femme que je ne suis pas se réveillent à cette vue. Sur, un jour je serais papa. Je la détaille quelques secondes avec une sale insistance. C'est sale, parce que c'est le genre de regard qui vous foutent mal a l'aise. Mauis comme c'est sale, j'aime ben ca. Je regarde l'heure qui s'affiche sur le vieux cadran rouillé accroché au mur du batiment de manutention. Le gardien sera là dans 5 minutes. Je remet le vieux scotch qui cache mes noirs desseins en place soigneusement, tout en faisant aller et venir mon regard de mon dur labeur à la dame baudruche. Je quitte le devant de la barrière, regagnant le lieu normalement usité. Le rugissement aurait bien pu le faire accourir, et de toute facon, impossible de continuer ma besogne alors qu'elle me regarde. Et pyuis je pourrait essayer de mentir et faire comme si j'étais pas en train d'essayer de libérer un vieux lion sur le point d'en finir. Je pourrais. Mais j'ai pas envie, et c'est tellement fklagrant que c'est inutile. J'hausse les épaules.

-"On peut dire que la vie entière est un rêve, un rêve géant. Je n'aime pas cette affirmation, car elle sous entend un degré de masochisme élevé. Si c'était le cas, tout serait dans ma tête, et je ne serais pas le roi du monde ? Pourquoi ? Et je courrais le risque qu'une jeune beauté raconte que je rend sa liberté aux pantins du zoo ? Quel triste homme je serais, a me complaire ainsi dans le malheur... Non, ce ne doit pas être un rêve, ou alors pas le mien. Ou si c'est le mien, cela induit que vous serez pareille a une tombe, même si l'expression est mal trouvée pour une femme qui va donner la vie, et ne direz rien. Sinon 'histoire finit mal, et en ce cas, je refuse que la vie soit un rêve."

Tout cela dit sur un ton léger, un peu enjoleur, comme si je parlais du temps. Je vais pas bien, je crois. Je dis de la merde. Le pire, c'est que je pense la merde que je dis. Remuez la, elle sentira de plus en plus mauvais. Je m'enlise au fur et a mesure que je parle. Et j(observe. C'est le premier spécimen vivant qu'il m'est donné de voir. Moi les femmes enceintes, j'en ai jamais vu. Ma mère grand, elle &était déjà toute fripée que j'étais un nourrisson. Les vieux corps ravagés par le temps, parcourus de sillons morcelées, ça, je connais. J'ai appris a aimer les rides et les histoires qu'elles transportent. La fin de vie qu'elles annoncent aussi. Rien ne m'avait préparé a la fraîcheur d'une femme enceinte. Cette Dame là est Maman. Moi qui n'ai jamais eu de maman et n'ai eu que très rarement l’occasion de voir cette race étonnante en action, suis sur le cul. Est-ce qu'elle va me dénoncer ? Je range ma limer. Le gardien passe et je le salut poliment, l'air de rien, grinçant, à voix basse :

"Attention, si vous me dénoncez je vous offre une glace ! Heu pardon, je vous en offre pas >.<"

... Je suis un boulet.

"Me dénoncez pas !"
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MessageSujet: Re: The babuin roars like the lion [Elena]   The babuin roars like the lion [Elena] EmptyMar 1 Nov 2011 - 17:05

    Une petite journée au zoo. Nous étions encore le matin, et il faisait frais. Une bonne température pour aller dans ces réserves. En pleine chaleur, le zoo, ça pue, mais quand il fait froid, ou frais, c'est mieux. L'odeur est moins présente, mais présente quand même malheureusement.

    Dans ce genre d'endroit, on peut trouver de tout. Rhinocéros, éléphant, girafe, perroquet, singes, lion, tigre, baleine, dauphins et encore pleins d'autres. Mais ce que je préférais par dessous tout regarder, c'était les tigres. Elles étaient magnifiques ces bêtes. Des espèces de gros chats pleins de poils. Lorsque j'étais petite, mes parents et moi étions partis au zoo. Ma mère était enceinte d'Aurélien encore, et malgré mon père qui disait qu'il fallait qu'elle se repose alors qu'elle était à son cinquième mois de grossesse, elle disait qu'il fallait qu'elle bouge, au risque de passer ses nerfs de femme enceinte sur nous. Du coup, nous étions partis tous ensemble. Mon père lui demandait toutes les cinq minutes si elle allait bien, si elle était pas trop fatiguée, si elle voulait se poser, manger, boire, si elle avait des nausées ce genre de choses. Mon père était si protecteur avec ma mère qu'il ne me regardait pas, et ma mère non plus trop occupée à lui dire que tout allait bien. Je m'étais approchée de la cage du tigre. Un magnifique tigre, par ailleurs, je m'en souviens comme si c'était la veille. Il me regardait. Me fixait. Je me demandai ce qu'il pensait, à ce moment là en me regardant. Si j'étais pour lui, un bon petit repas, ou s'il voyait la manière que j'avais de me sentir transparente. Il était allongé sur un rocher, comme un gros paresseux. Puis, je fis un pas en avant, il se leva, et s'approcha des grilles, en même temps que moi. Je le regardais dans les yeux, il me regardait dans les miens. C'était qu'un animal. Était-il capable de penser ? D'agir par lui-même ? Avait-il des sentiments ? Pouvait-il avoir de la peine, de la tristesse ? Pourquoi avions nous eu la capacité, nous les hommes, de parler et pas eux ? En quoi étions nous si différent ? Nous aussi avions un côté animal caché, et on ne nous enferme pourtant pas dans des cages. Je m'étais rendue compte en l'espace d'un instant que les animaux présents dans un zoo était comme des tueur en prison. Sauf qu'eux ne le faisait que pour se nourrir ou se protéger. Dure réalité. Le tigre me fixait, de ses grands yeux verts et marrons. Timidement, je passai ma main à travers les barreaux. Mes parents se chamaillaient toujours derrière moi. L'animal baissa la tête, comme pour me laisser le caresser. Mes doigts touchèrent son pelage épais, et doux. Un sourire vient s'installer sur mon visage. Je ne montrais pas les dents, peut-être que pour lui ça signifierait que je voulais me battre avec lui. Il releva la tête, et me laissa lui caresser le museau. Je le vis qui fermait les yeux, comme pour apprécier les caresses. Dans ma tête, j'avais appelé secrètement ce tigre Grou, car c'était les bruits qu'il émettait quand je le caressais, comme des ronronnements de chats, mais en plus grave et beaucoup plus forts. Soudain, mon père me retira le bras violemment de la cage du tigre. Grou releva sa tête, et me regarda avec des gros yeux, je pouvais lire de la tristesse sur le visage du tigre, du moins je pensais que c'était cela. J'implorai mon père de me laisser, que ce tigre ne me ferait pas de mal. Mais il ne m'écoutait pas. Il me criait dessus, et moi je protestai. Grou se mit à grogner, puis à rugir. Mon père se tut, et regarda dans sa direction. Il relâcha la prise, et je pu courir dans la direction de la cage. Ma mère avait essayé de m'en empêcher, mais je voulais aller voir Grou, et j'avais ce que je voulais. Le tigre se calma en me voyant devant lui, je repassai ma main à travers les barreaux de fer, lui touchant la tête. Un air de satisfaction s'installa sur son visage. Je ne savais pas si je voyais ça, j'espérais voir ça. Je doutais qu'un animal puisse exprimer ce genre de choses. Mes parents, effarés, n'osaient même pas s'approcher, il préférait me crier que j'étais inconsciente et qu'il allait me bouffer la main. Je ne les écoutait pas, m'asseyant sur le sol, et cherchant la consolation dans les yeux du tigre. Il s'assit en face de moi et colla son visage contre l'acier froid, je fis de même et je sentis sa langue rugueuse me lécher la joue. Je souris. Grou était différent. Je l'aimais ce tigre. Mon père m'avait désormais emmenée avec lui, par le bras, mon animal comme moi n'avions aucune réaction, nous regardions l'autre partir, sans rien dire.

    Il y avait des tigres dans ce zoo, mais aucun de ressemblait au mien. Je me demandai si Grou était encore à San Francisco, et s'il me reconnaîtrait si j'y allais. Je continuai ma balade, et vit un homme, grand, une scie à la main devant la cage d'un lion. Il avait l'air malade. Mais que faisait cet homme avec cette scie sur les barreaux ? Je fis des grands yeux, ma main gauche posée sur mon ventre. L'homme se retourne, la scie à la main, et me fait un signe comme pour me dire bonjour. Moi aussi j'ai des gros yeux.

    Je rêve ou.. Vous êtes en train de couper les barreaux ?
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MessageSujet: The babuin roars like the lion [Elena]   The babuin roars like the lion [Elena] EmptyLun 31 Oct 2011 - 17:45

[Hrp : Quoi ! Comment ? On a des lieux pour boire, on a des lieux pour baiser on a des lieux pour chanter dessiner pisser mourir dormir et on a... PAS DE ZOO ?! C'est sale, sachez-le ! Je proteste ! :suspect: ]

Le Zoo ! La joie, le soleil qui c'est fait la malle mais c'est quand même le matin ! Un beau matin bien frisquet, bien tout nu, un beau matin bien tout vide ! Un beau matin au zoo, un beau zoo bien désert ! Le grand air ! Ca sent bon la faune et la flore on l'oublie ! C'est tellement bien ! C'est trop bien ! Ca pue !

Vive le zoo ! J'aime le zoo. Surtout celui là. Il ressemble pas a une prison, ça non, avec son manque de pelouse et ses cages ou on tente de copier pallement des lieux, des situations, ça a tout d'un camp de concentration. C'est trop bien ! Uenr econstitution qu'on peut aller visiter a tout moment, réductions incluses pour les moins de 18 ans. Qui espérez vous trompez, hein ? Pas les animaux, vu la viande toute dégueu et déjà mourrue que vous servez au lion. Les gens alors ? Ah oui, les gens ! Les gens qui donnent des sous pour se repaitre du paraitre. Ils sont drole les babuins faméliques, engraissés aux produits chimiques mais affamés, tout vides de grands espaces ! Ils sont droles, il poussent des cris ! C'est trop bien ! Les gens paient, et on nous joue la mascarade; Les gens paient, ils aiment ca. Le babuin, le lion, les cris d'agonie des bêtes dans leur cages déguisée. Mais moi, moi on ne me floue pas, moi je vois, moi je sais, parce que moi monsieur, moi je suis Dieu je suis un jardin. Les plantes en carton pâte, ça monsieur, ça ça ne prend pas avec moi. J'aime bien le zoo. Les âmes écharpées c'est pas mon grand délire, mais celles là, elles ont pas choisies, et je lime les barreaux de la cage de lion depuis trop longtemps pour abandonner. J'ai toujours ouvert la porte de la cage des oiseaux chez mamie, et quand j'aurais libéré le lion, je lâcherais les babuins.

Je parle avec le lion qui s'emmerde, qui meurt lentement dans sa cage même pas déguisée pour le coup. Le lion, on l'a mit à l'écart, il a plus droit au joli petit parc vert et esquiché entre quatre vitres ou sont parqués ses compagnons. Il est dans une sale cage branlante et mituese, avec rien sur le sol. Le lion il s'emmerde, et qui cause avec le babuin que je suis, et il a pas a aller loin, a deux pas de la cage, vu que j'ai passé depuis longtemps la barrière de sécurité. Avec un peu de chance il me mange la main, je fais une hémorragie toute dégueulasse, je finis a l'hopital, Samantha accourt, on se marie et tout est beau qui finit bien ! Non, c'est caca. On rembobine. Il me bouffe la main, je meurre dans d'atroces souffrances, contaminé par un mal atroce que j'aurais refilé à tout le monde avant. C'mieux comme ça.

Et je dis de la merde. J'aime pas le zoo, il fait gris je me pêle mais j'avais un rendez vous avec le lion que voulez vous ? J'aime pas trop le lion. Mais lui il est vieux, il va creuver et il est tout seul. Et personne devrait être tout seul, surtout quand ce personne va creuver. Personne devrait être en cage non plus. Surtout pas le lion. J'ai rien pour le royalisme, mais ce roi là a emmerdé personne, il a rien à fair een cage, c'est du lèse majesté. L'abcès qui se situent sur sa cuisse moitié pelée a grossi, sa crinière est vieille, ses yeux rougis et ternis sont voilés par la veillesse, sa peau pend. C'est la fin, et il s'emmerde en plus du reste. Tu sera libre un jour, mon tout beau. Tu seras libre, et avant de mourir si possible. On se pêle trop pour penser clairement par ici, et ça, c'est bien. L'abcès est énorme, inopérable, et on dirait qu'il va éclater. Quelle idée de choper ça, moi qui n'est pas fini de scier la serrure mais qui suis pas si loin... Crève pas avant que je te sorte, c'est pas cool.

Un petit bruit derriere moi, un bruit de souris. Je me retourne a demi, adossé que je suis a la barriere rouillée, tout contre la cage du lion. C'est une dame. Une Dame pas vieille, et toute pleine de vie, enceinte jusqu'au yeux. Elle aussi, on dirait qu'elle va exploser. Mais c'est pas une lionne. Je lui fais un coucou de la main armée de la lime en faisant les gros yeux.
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