Chauffons les cartes. [ Arizona]

[ Honte à moi, je n’avais pas vu le RP, vraiment, vraiment désolée °° ]

10h17.
Arizona sortit en quatrième vitesse de son lit à la vue de son portable. En apercevant le message de son amie Victoria elle se souvint qu’elle devait la rejoindre pour déjeuner et faire les boutiques. Elle enfila son peignoir et partit à la salle de bain. Elle donna un rapide coup de brosse à sa chevelure emmêlée et commença à se maquiller quand elle vit qu’elle n’avait même pas déballer la robe qu’elle comptait mettre aujourd’hui. Elle passa un coup de crayon autour de son œil et passe sur ses lèvres un gloss rouge pétant qu’elle avait acheté la veille. Tout en déballant la robe en mousseline blanche qu’elle c’était fait livrer devant sa porte, elle jeta de rapides coups d’œil à son miroir pour vérifier qu’elle n’était pas horrible à voir. Heureusement, ce n’était pas le cas. Elle enfila la robe rapidement et entreprit de se faire les ongles des pieds et des mains. Son vernis, qui était lui aussi rouge pétant, ne voulait vraiment pas rester sur ses ongles et elle désespéra. Heureusement qu’elle avait retrouvé le fixateur qu’elle pensait perdu au fond de l’un de ses nombreux tiroirs. Dire qu’elle allait bientôt quitter ce superbe appartement, dont le loyer était payé exclusivement par sa tante qui lui offrait tout ce qu’elle voulait. Mais cela en valait la peine, car elle allait bientôt habité en compagnie de sa meilleure amie, ce qui ne lui déplaisait en aucun cas. Ses ongles secs, elle recoiffa ses cheveux et enfourna son portable, sa brosse et son gloss dans son sac Dolce&Gabana. Elle sortit en hâte de sa chambre tout en envoyant un SMS à Victoria disant : « J’arrive, désolée pour le retard » quand elle s’arrêta net. Sa carte de crédit. Elle avait faillis oublier sa carte de crédit. Règle numéro une, ne jamais oublier sa carte de crédit. Elle remonta en courant dans son appartement, attrapa ladite carte et redescendit, encore plus en retard qu’avant. Elle attrapa un taxi et lui indiqua l’adresse de la boutique où elle devait rejoindre Victoria. « Merde ! Les embouteillages… » se dit-elle. Elle fit signe au chauffeur de s’arrêter. Elle continuera à pied, malgré la paire de talons aiguilles qu’elle portait. Elle sortit de la voiture et se fraya un chemin vers le trottoir. Elle courra pendant dix bonnes minutes avant d’arriver à l’entrée de la galerie commerçante, les pieds en feu. Heureusement, elle n’eut pas à marcher encore très longtemps car son amie arriva à sa rencontre.


Elle s’assit sur le banc que son amie venait de quitter pour venir à rencontre et souffla deux minutes. Elle se releva peu après, et entraina son amie vers les premières boutiques, les plus chères, mais surtout celle que les deux jeunes femmes préférait !