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 La bible selon Kate [libre]

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MessageSujet: Re: La bible selon Kate [libre]   La bible selon Kate [libre] EmptySam 1 Oct 2011 - 20:50

"Mon coeur s'emballe et la mort s'infiltre.
Je suis sale laissez moi partir.
Je revois son visage me sourire
Puis l'eau distiller ses yeux.
Je suis sale laissez moi partir...."

La mort arrive et je n'y peux plus rien,
je ne vois plus rien,
ne ressens plus rien
Il n'y a même pas de lumière au bout du chemin....

"ne pleurs pas mon ange, maman va juste te donner un petit bain..." comment ais-je pu oser...

je suis sale laissez moi partir
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MessageSujet: Re: La bible selon Kate [libre]   La bible selon Kate [libre] EmptySam 1 Oct 2011 - 20:41

Affamé comme jamais en étant sortit de l’hôpital. Le médecin m’avait fait arrêté le traitement trop dangereux pour moi selon lui. Il m’avait simplement prescrit des antidouleurs et des somnifère. J’avais eu la chance que les ambulancier me sauve à temps enfin sauver c’est un bien grand mot vous me direz. Je n’était pas non plus sur le point de mourir. Mais d’après mon médecin si j’étais resté plus longtemps dans ma chambre sans voir personne cela aurait été plus critique d’après lui. Vous me direz que je suis con au lieu de sortir et tout ce qui s’ensuit j’avais préféré me noyer dans ma tristesse sans nom. Chase était passé me voir avec un bouquet magnifique. Je le remerciais de rester présent à mes côtés pendant mon séjour d’environ un mois à l’hosto. Le médecin m’avais permis de sortit d’être en permission pour une semaine pour ne pas que je loupe trop longtemps l’école. Alors aujourd’hui affamé comme jamais j’avais décidé de me précipité à midi au réfectoire du lycée. Le restaurant universitaire n’avait pas encore inauguré. Après tout cela faisait que quelques jours que les cours avait reprit donc et d’après ce que j’avais entendu il n’avait pas encore trouvé de chef cuistot. Je descendis en plutôt bonne forme de ma chambre. Tant mieux vous me direz. Assis à table, je ne fis pas toute suite attention au expression moqueuses qu’ont envoyait à quelqu’un qui sortait des toilette. Mais quand je tournais ma tête sur le côté en direction des chiottes. Le cœur l’emporta sur la raison et je me leva. Kate la jeune fille que j’avais rencontré quelques mois auparavant venait de se poignarder devant nos yeux. Une lettre à la main elle s’écroula. Mon téléphone sortit de ma poche j’appelais les urgences pour signaler une tentative de suicide. J’accourus après avoir passé ce coup de fil auprès de la brune. Et murmura:

- Kate! Mais qu’Est-ce que…

Je m’emparais de la lettre et fut monstrueusement choqué par les propos de cette fille. Elle était folle, folle à lié. J’en donnerais ma main à coupé. Elle avait tué son enfant dont le père était un enfoiré de première zone. Et à savoir qui était le père l’un des six violeurs. J’étais horrifié par ces mots. Une marre de sang s’éparpillait en dessous du corps de la jeune fille. Les ambulanciers n’arriveraient jamais à temps, c’était plus que certain. Je ne savait pas comment réagir, voir le corps d’une gamine, d’une enfant aux yeux de dieu était pétrifiant, je restais là debout avec cette lettre froissée par mes soins. Les gens préféraient se tuer plutôt que d’attendre leur fin. J’étais en colère, contre cette fille que je connaissais à peine. Mais j’étais outré d’un tel affront. On ne se suicidait pas devant des centaines de personne. C’étais quelque chose d’intime. Mais une mourir aussi atrocement c’était répugnant. Une nausée me prit mais je me retins. Des larmes inondaient mon visage sans vraiment savoir pourquoi. La frustration. L’envie de la tuer encore plus alors qu’elle avait décidé de mourir devant quelqu’un comme moi. Quelqu’un qui faisais tout pour s’en sortir pour ne pas mourir. Je repris contenance et cria aux personnes qui s’approchait d’elle.

- Laissez là souffler, vous ne voyez pas qu’elle à besoin de respirer.

Je m’agenouillais près d’elle. Essayant tant bien que mal de voir si elle respirait encore. Sa respiration devenait de moins en moins audible. J’arrachais mon haut pour faire des garrots autour de ses poignets.

- Qu’as-tu-fais Kate?

Je ne savais pas pourquoi mais j’avais enlever de ma mémoire ses dires dans la lettre. Lettre que j’avais laissé tomber à mes pieds quand j’avais accourus vers elle. Je demanda l’aide d’une personne pour qu’il m’aide à appuyer sur les plais de son abdomen. Je ne savais pas à qui j’avais demandé de l’aide mais mes yeux parcourait le corps de la brune et je tombais dans ses yeux qui respiraient l’agonie. Elle ne survivrait pas j’en étais persuader. Mais il valait mieux que je face tout même si s’était peine perdu. Je m’approcha de son oreille et lui chuchota quelques mots.

- Ton intention était de mourir, tu es jeune, mais au moins j’aurais tout fait pour que tu restes en vie. Je pensais que nous aurions pu approfondir une relation amicale.

Je ne m’attendais pas à ce qu’elle me réponde mais au moins elle saura que quelqu’un était là pour elle malgré sa fin qui arrivait à grand pas.
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MessageSujet: La bible selon Kate [libre]   La bible selon Kate [libre] EmptySam 1 Oct 2011 - 20:03

    Et Incarnatus est.
    De la génèse...

    Le premier jour, elle hurla
    Le deuxième jours, elle pleura
    Le troisième jour elle hais
    Le quatrième elle se hais
    Le cinquième jour, elle laissa son coeur mourir
    Et le dernier jour, elle tua son corps....

    à La Passion, selon Kate.

    La nuit, le froid, la peine, la mort, tout ça brulait, ça la brulait. Ca la remplissait, ses veines enflaient et ces choses prennaient possession de son coeur, le remplissait tant qu'il gonflait, gonflait, se frottait au paroie toraxique, déclanchant une vague de cris chez ce pauvre être torturé. Son coeur était devennue un parasite, completement détraqué, cet organe salvateur c'était transformé en une machine à douleur. Chaque battement qu'il produisait déchirait son hôte. Hôte qui aurait tous fait pour s'emputer cet horreur. Mais elle le savait, toutes ces choses, toutes ces douleurs sont immatérielles, onirique, ça se passe dans sa tête, et l'épicentre de son système sanguin n'y était pour rien, les seuls responsables sont son esprit, sa sensibilités, ces émotions. Mais on ne peux pas se battre contre, on ne peux pas se battre contre soi-même. Du moins pas directement. Il faut passé par la mémoire, notre chaine, et la purger, catharcis interne, purification des souvenirs, distilation des réminiscence, l'oublie, enfin... Mais comment peut-on oublier ce genre de chose, comment peut-on oublier qu'on est un monstre? Il est des gens qui oublie les choses au fur et à mesure, ou se trouve des excuses, il est des gens qui ne feront jamais face à leur vrais portrait, masquant ce qu'ils sont, même a leur propre personne. Acteurs antiques de la pièce de leur vie, ils dansent et chantent derrière des masques, préférant se caché, ne pas faire face. Mais elle, elle n'est pas de ces gens là, elle ne se voile pas, elle subit son reflet qu'elle appercois à travers les miroirs de ses yeux et ceux de ses souvenirs. Elle ne s'est jamais cachée à elle même, mais elle s'est toujours cachée aux autres. Préférant ne rien revelé de ce qu'elle est. La douleur est assez intense lorsque qu'on se juge soi même pour une telle atrocité, mais que cela peut-il vous faire lorsque c'est les autres qui vous jugent? Que savent-ils eux? Comment peuvent-ils comprendre? Leur cruauté n'auras beau avoir aucune limite elle n'auras non plus aucune base. Il diséqueront les dires de cette pauvre créature, et les transformeront, chirurgie plastique du verbe. Il en feront une arme. Et si c'était ça la vraie pénitence? L'incompréhenssion?

    Dieu donne les blessures comme un châtiment à nos péchers, mais dieux donne aussi le bonheur en onguent au-dites blessures, parfois, l'onguent se voit être brulant, et parfois on ne le reconnais pas comme tel, on l'interprette mal, on le voit comme une énièmes scariphication. Et souvent, cet incompréhenssion nous mène à l'érreur. Il arriva une jour que dieu donna la beauté à une enfant, une beauté insondable, insoutenable, une beauté noble et pure. Cette beauté éclos, mais la femme la gacha, elle l'utilisa dans le péchers et non dans la vertue, alors, elle fut punie, mais la punission outre-passa les prévision divine de l'être supérieur si impuissant. Cet être qui ordonne mais ne contrôle pas ses ordres. Alors ronger de culpabilité, Le Très Haut décida d'offrir à la beauté un comprensation pour les douleurs qu'elles avait subit à cause de son érreurs, mais la filles avait été brisé, et elle ne compris pas que cette graine était un présent, et non pas une malédiction. Brisé, elle s'en débarassa et crut quelques temps avoir vaincus ce salaud à la brabe blanche, mais elle s'était trompée, son erreur ne lui éxplosa à la figure que quelques années plus tard, et son coeur se brisa une nouvelle fois encore, maudissant les dieux, les diables, les anges et les démons, vouant son âme à la géhenne en voulant offrir son coeur aux elysés. Elle recracha chaque présent de réconfort que l'on voulu bien lui offrir, préférant se torturé, pensant que c'était ce qu'elle méritait. Et aujourd'hui, elle a décidé de signer l'acte finale de sa tragédie, elle a décidé de mettre un terme à ce que l'on peux appeller la Passion selon Kate.

    Crusifixus

    Le jour pâle se levait, lentement, langoureusement, inondant la pièce déchiqueté qu'était la chambre de Kate. La nuit avait été courte pour elle, rongée par le cauchemar. Elle se leva et se placa devant son miroir, regardant son reflet dans le miroirs avec ses yeux gonflé par les les larmes, elle avait lu l'article du journal hier, cet article immonde, elle savait, elle savait que son secret n'allait pas tardé à être revelé, qu'elle n'allait pas tardé à être démasquée. Elle savait que sa vie allait en être boulversée. Le monde allait la punir, mais le punition ne caresserait jamais l'aune de celle qu'elle c'est elle même prodiguée. La mort, c'est ce qui l'attendait, qu'elle ce la donne elle même on que l'on lui la donne. La mort pourtant ne seras qu'un échapatoire, elle mérite de vivre pour toujours dans la peine, mais ils la tueront, alors elle n'a plus qu'à ce tuer, chose qu'elle c'était longtemps refusé, mais aujourd'hui, aujourd'hui elle a compris, elle a compris que le temps est venu de partir, de mourir, de mourir et d'affronter ce qui ce passe de l'autre côté, si tant est qu'il se passe quelques choses. Les vers qui boufferont son corps seront-ils eux aussi dégoutté par ce qu'elle a fait, par ce qu'elle est?

    Tournant et retournant ces sombres pensées, elle pris de nouveau cet article de journal qui sonnait pour elle le glas de la mort et le relus pour la dernière fois:
    "C'est un crime horrible" déclare l'inspécteur McSweet de la brigade criminel. "Le bébé avait à peine quelques jours".
    Horrible... Si seulement ce n'était que ça...
    "Aujourd'hui, autour de 21H, un couple de jeune étudiants on retrouvé le squettes d'un enfant lors d'un glissement de terrain. Selon le medecin légiste, l'enfant avait à peine quelques jours, au maximum une semaine lors qu'il a été jeter dans les eaux. "c'est un miracle qu'il ne se soit pas retrouvé en pleine mer", déclare ce même medecin. Selon les enquêteur, l'enfant portait un médaillon rouillé dans lequel était inscrusté un mêche de cheveux noirs. Toujours selon le medecin légiste, la mort remontrait à plusieur années. "
    Souvennez vous, il y a 4 ans...

    Kate déchira violement le papier, ne pouvant en lire plus, cela n'était qu'une question de jours avant que la chose soit revellée. S'habillant rapidement, elle pris sa guitarre et se mit a chanter, chanter pour la dernière fois. Il est temps de mourir, chantait elle, il est temps de dire adieux et de ne pls souffrir. Au moment au elle sentit les larmes affluées, elle se mit à rire... rire encore et encore, les yeux révulsé, elle se riait d'elle même, elle se moquait de ce qu'elle était, hilarante créature qu'elle était dans ce pathétisme affligeant dont elle se couvrait, elle était pitoyable, si pitoyable... Se posant devant son bureau, elle prit une feuille et décida de coucher sur papier ce qu'elle était, car, son secret allait être revelé, alors autant que ce soit elle qui le fasse.

    Ayant finis d'écrire la lettre, elle se releva, s'habilla, midi venait de sonné, la cafétéria devait être bondée, une chance... Prennant son poignard dans sa main, elle décendit les marches sous les yeux éffrayé de ces camarades qui se demandait que faisait cette folle a la chevelure hirsute, robe sale et poignard en main? Par chance, elle ne croisa aucun proffesseur. Arrivant à l'entrée de la cafétéria, elle pénétra dans les toilettes qui était à sa gauche, s'ouvrit consciencieusement les veines, laissant la douleur se diffusé dans sa chairs, et sa peine s'envoler avec ce sang pour ensuite traine sa caracasse mourante jusqu'au réféctoire. Des cris éclataient autour d'elle, tout le monde voyait ses poignets saigné abondamant, elle se mit à rire, puis pris le couteau et se l'enfonca à trois reprise dans la poitrine avant de tomber à terre. Les quelques secondes de vie qui lui restaient lui permirent de voir un jeune homme qu'elle connaissait s'emparer de la lettre...

    C'est ainsi que kate sombra dans le noir et commenca à mourir, et par la même occasion à vivre.



    La lettre:

    "Alors, je vais vous raconter une petite histoire, l'histoire d'une princesse qui s'ennuyait, et qui pour s'envoler avait décider de se droguer, mais les choses en amenant d'autres, elle finit par ne plus avoir de quoi voler, alors elle fit l'impossible pour pouvoir voler, vous comprennez? Non? Bon je vais m'éxpliquer.

    La princesse c'est moi (pourquoi vous souriez? J'ai pas l'air royale?), donc j'était (et suis encore, enfin plus trop maintenant hein?) droguée, et puis un jour j'avais plus rien a me foutre dans l'sang. Despespérée, je décidai de trouver une solution. J'avait une amie qui m'avait filé une ptite adresse en cas de dêche complette. Je m'y rendit donc, et oh surprise, il y avait quand même un prix à payé! Et quel prix! Je me fit violée, par six homme, pendant plusieurs jours. N"ayez pas pitié de moi, car je ne mérite aucune pitié. Toujours est-il que je réussi a m'enfuir, et tous ce passa bien dans le meilleur des mondes, jusqu'à ce que je remarque que je n'avait plus mes regles, que je grossisait et que mes seins gonflait! Quel belle surprise, mes monstres m'avaient foutue enceinte! J'ai attendue, accoucher, j'aurais peut être du avorter c'est vrais, mais je l'ai pas fait. Aurais-je du mettre bas sous X? Peut-être, mais ça non plus je l'ai pas fait, j'était conne hein? Je lui surement encore (quoi que, je ne suis plus grand chose maintenant). Ce petit ange, était pour moi à ce moment là une monstre, une véritable monstre. C'était le fruit de mon enfer. Alors vous savez ce que j'ai fait? Non, pourtant vous le savez, suffit de lire le journal. Je l'ai balancer par dessus un pont. Vous savez plouf, ouin, et puis plus rien. Dead. Oh j'ai bien cru que j'était délivré, mais je me suis rendu compte que cet petite chose ne méritait pas de mourir, qu'il m'aurait aidé, aidé a revivre, mais que voullez vous, je suis conne, et folle. Alors j'aia git comme telle, j'ai tuer mon fils, et s vous saviez comme je m'en veux, je ne demande pardon à personne, cette lettre et ma mort sont juste là pour que ce soit moi et pas un inconnu qui révèle qui je suis, je suis une putain d'infanticide, une salope de la pire espèce, alors pissez sur mon corps, crachez dans ma gueule, chiez moi dessus, je mérite que ça, salissez ma mémoire, revelez à tous ce que je suis, un monstre. Et surtout, dites au vers qui me boufferont que je suis vraiment dégeulasse.

    Bon je crois que tout est dit, so... a la revoyure, mais le plus tard possible. Bisous!
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