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 Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner)

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MessageSujet: Re: Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner)   Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner) EmptyLun 10 Oct 2011 - 3:07

    Allongé sur mon lit, je réfléchis. Une chanson d'Adele tourne en boucle dans mes oreilles depuis près d'une demi-heure. Je fixe le plafond sans le voir. Les paroles pénètrent mon esprit. Je pense sans cesse à elle. A ce qu'un "nous deux" pourrait donner. Je sens que la solution est là, toute proche. Comme une fin de tunnel, mais les secondes s'égrainent trop lentement. Je vois la lumière, mais elle est à distance égale de moi depuis des mois. Je ne vais pas dire que ma vie est compliquée. C'est loin d'être le cas, à bien y réfléchir. Je ne suis qu'un lycéen, jeune et riche, en bonne santé. Mon père est peut-être mort, mais il me reste une mère qui m'aime plus que sa propre vie ainsi qu'un fils adorable, qui a toute la sienne devant lui. J'ai des amis, deux amours. Beaucoup de connaissances, pas réellement d'ennemi. Le plus important est là.

    Dans ma poche, je sens soudain mon portable qui vibre. Je sursaute légèrement, le tire de ma poche. L'écran affiche "James". Une légère appréhension me noue l'estomac. Pourvu qu'il se porte bien. Mon Dieu, faites que ça ne soit pas une mauvaise nouvelle d'un médecin. Le rythme des battements de mon cœur va crescendo, je repousse les écouteurs coincés dans mes oreilles et me redresse en position assise. D'un geste, j'accepte l'appel.

    - James ?

    Espoir, crainte et joie se mêlent. J'appréhende. Est-ce bien sa voix qui me répondra ? Réflex : ma main décoiffe mes cheveux blonds, mes dents mordillent ma lèvre inférieure. Au bout du fil, un son. Rauque, brisé. Il faut que je m'y reprenne à deux fois pour reconnaître mon ami. Ce n'est pas une bonne nouvelle. Ses paroles m'échappent quelque peu, je me concentre.

    - Chase ! Viens … Viens me chercher s’il te plaît… J’suis chambre Sach… *PAF*

    - Que...? James ?

    Un cliquetis, un son métallique, une série de "bip" répétitifs. Le téléphone est tombé. Incrédule, je tente de remettre en ordre les pièces du puzzle. James me demande de venir le chercher. Mon corps se lève, tel un automate. J'ai l'impression d'avoir débranché mon cerveau et d'agir sans en décider. Réflexes ? Sans doute. Je réfléchis à toute allure. Chambre "Sach..." : il ne peut s'agir que de la chambre de Sacha. Mais que diable fait James là-bas ? Déjà, je pousse la porte qui débouche sur le couloir et quitte en trombe ma chambre, pour me rendre à l'étage de mon copain, pas copain, ex, pas ex, que sais-je au juste ? J'accélère, pour finalement courir comme un dératé, mu par un mauvais pressentiment. Une fois devant la chambre numéro 7, je ne prends même pas la peine de toquer. J'arrache à moitié la porte en l'ouvrant à la volée.

    Le spectacle qui s'étale sous mes yeux est navrant, totalement irréaliste. Sacha, clope au bec, a l'air furieux. Et James... Il est écroulé sur le lit, à l'agonie. Il n'y a pas d'autres mots. Son teint est cadavérique, comme s'il avait déjà commencé à rejoindre sa tombe. Mes yeux vont de l'un à l'autre, c'est l'incompréhension. Qu'attend Sacha pour relever James ? Pour appeler une ambulance, des secours, un médecin, merde ! J'ai l'impression que James ne se rend même pas compte de ma présence. Du sang inonde sa chemise qu'il ne remplit plus depuis trop longtemps, amaigri par la maladie. Il me faut quelques secondes pour réagir. Quelques secondes pour comprendre que je dois faire quelque chose. Aider James. Je suis son seul ami, et il a besoin de moi. Je me précipite à ses côtés et lui prends le pouls au poignet - très faible -, tout en l'installant correctement sur le lit. Pas en travers, comme si... Comme s'il y était tombé. Que quelqu'un l'y avait poussé... Le déclic. La rage m'inonde l'esprit. Lentement, je tourne mon visage vers Sacha. Mes yeux regardent ses pieds. La rage me submerge.

    - Qu'as-tu fait, Sacha ?

    Je suis moi-même étonné du ton menaçant que je viens d'user pour parler à celui que je pensais aimer au delà de toutes les épreuves, il y a de longues semaines. Je ne veux pas croiser son regard, je m'y refuse. J'y lirais la vérité et j'ai l'impression que c'est plus que ce que je ne pourrais en supporter. Je bride l'élan de colère qui brûle en moi, me fais violence pour ne pas le tuer, ici et maintenant. Attendre, attendre sa réponse. Calmement. Du moins, en apparence.



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MessageSujet: Re: Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner)   Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner) EmptyLun 10 Oct 2011 - 2:30

Lamentable, absolument palpable. Pitoyable, je pleurais comme un gosse. Premier chagrin d’amour, premières blessures au cœur. Une maladie qui me tue. Ni une ni deux, je ne comprend pas ce qui m’arrive que je reçois une gifle monumentale sur la visage, ma tête cogne contre le rebord du lit. Je me sens me faire soulever pour m’étaler comme une crêpe sur son lit. Je ne pleure plus, mais mon souffle est beaucoup plus lent et si cela continue je vais cracher mes poumons. Ma poitrine me brûle, ma tête se comprime. J’ai mal encore plus qu’avant… Je me sens physiquement pas bien. Sacha me crache son venin comme une vipère dont la morsure est mortelle. Sa tête est si proche de la mienne, son souffle si près de mon visage. Ses mots me blessent, mais pas autant que son excès de violence, son excès de folie. Il sert trop fort mon col, je perds mon souffler peu à peu, mes yeux se remplissent d’un liquide salé. C’est déjà la fin… J’vais mourir dans ses bras. Bras que je ne souhaite plus, odeur que je ne sens plus, corps qui me fait si mal. Tu veux m’achever c’est ça? Je te laisse faire et je prend tes mots en pleine figure, je ne réplique pas de toute manière je ne peux pas. Ma main se glisse jusqu’à ma poche de jean, je sens mon portable, j’en attrape le petit outil technologique. Tu me lâches mais moi je ne t’ai pas lâcher des yeux, je revois ton visage furieux emplit d’une colère sans nom à mon égard, les larmes précédemment retenues, je ferme les paupières les perles salées s’échappent de leur prison. Sacha tu m’as déçut. J’ai encore plus de mal à respirer, je tousse, vais-je perdre connaissance? Non je ne peux pas… Mes doigts sur mon portable j’appuis sur la touche qui appellera Chase, j’approche l’appareil à mon oreille, Sacha à le dos tournés il fume une cigarette. Première sonnerie d’attente, deuxième sonnerie enfin tu réponds j’entends ta voix grave, je t’entends au bout du fil heureux de m’entendre au téléphone. La voix sèche, rien qu’ouvrir la bouche me fait mal.

- Chase! Viens … Viens me chercher s’il te plaît… Je vois Sacha tourné sa carrure vers moi le visage encore plus furieux que jamais. J’suis chambre Sach…

Coupé dans mon élan je crache du sang pour la énième fois. Mon portable vient percuter le sol dans un fracas douloureux qui me vrille les tympans. Une quinte de toux sévère s’empare de moi, une douleur improbable me fait me tordre de douleur. Un point dans ma poitrine comme si on me martelait l’intérieur. Je ne pensais pas que je rendrais mon dernier souffle comme ça. Plié en deux je roule et tombe du lit. Pourtant tu ne fais rien Sacha tu me laisses hurler de douleur. Sois tu crois que je joue la comédie, soit je n’ai plus d’importance à tes yeux. Mon espoir brisé. Je sais qui je suis et je sais aussi que tous les sentiments que j’éprouvais pour toi se sont évaporés quand tu m’as giflé, quand tu m’as torturer par les mots et fait perdre mon souffle. C’est la fin… Mes sentiments ne sont plus. C’est un sourire qui vint fleurir mes lèvres. Il m’a fallut ça pour comprendre enfin que je ne t’étais pas destiné.
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MessageSujet: Re: Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner)   Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner) EmptyDim 9 Oct 2011 - 20:05

Essaie de retenir la vague. Devient une digue et retiens là. Tu ne dois pas te laisser submerger, essais de faire barrage, arrache toi, le raz de marrée, stoppe le. Retiens toi, contrôle toi. Surtout ne te laisse pas aller a l'onde qui amérie en toi. Arrête la haine, arrêtte là. Tait toi. En as-tu la force? As-tu la force de te laisser soumettre une énième fois? Tu t'es épendue plusieur fois, tu as demander pardon, tu as chercher des solutions, tu as voullus qu'il comprenne, mais ce fou est sourd. Alors qu'importe, qu'importe ta honte, qu'importe sa peine, qu'importe ta maladie, tu n'est pas un chien, il n'est pas ton maître tu ne te courberas plus, tant physiquement que psychologiquement. Tu connais trop la soumission et le silence forcé pour te laisser encore faire. Andrew, c'est encore les marques qu'il a laissé en toi. Alors finallement, tu as décider de ne pas te taire et de te laisser inonder. Et bien soit! Laisse toi remplir, tu exploses, mais pas encore assez. Tu aurais du ressentir en toi une nouvelle perception un nouveau regard, tu aurais du rester de marbre et t'épendre à nouveau, mais tu ne le feras pas. Le liquide haineux s'infiltre dans tes veines, ton cerveaux répond, le sang te monte au joues, tes yeux se durcissent, de la pierre. Ton coeur se statufie, du granit. Un rictus mauvais de dessine sur ton visage déchiré de rage. C'en est trop, tu ne te contiendras plus. Tu te rappelle. Tu te rappelle. Il a raison. Il a tout à fait raison. Tu aurais dû le laisse crever dans le parc, tu n'aurais pas du t'arrêtter, tu n'aurais pas dû l'embrasser, tu n'aurais pas dû partager avec lui le délice de la chaire. Tu n'aurais pas du promettre. La maladie, la douleur, retirent tous le masque, tout comme la mort. Ces masques que nous passons notre temps à porter, on a beau dire qu'on est nous même, on ne l'est jamais, tout fardé que nous sommes, nous pronnons une personalité pure de tous secrets. Nous disons être honnête et montrer qui nous sommes, et nous y croyons, mais nous nous mentons. Nous ne sommes nous même que lorsque que nous perdons tout contrôle, et il as perdus tout contrôle. Il dit que tu n'es plus rien Alors pourquoi est-il venus. Il dit qu'il n'aurais mieux fait de ne jamais te rencontrer, que tu ne le mérite pas, alors pourquoi s'accroche-t-il autant à toi? Ses contradictions n'ont d'égale que sa cruauté et son injustice. Et ta rage n'as d'égale que le manque de logique de son raisonement. Elle n'as plus qu'à exploser, et elle explose. Ta main se lève, prend force, siffle de dans l'air et s'abat sur sa joue, violemment, il chute et tombe sur ton lit. Tu lui monte dessus, l'atrape par le col et approche son visage à quelques millimètres du tien. Il est totalement perdus et n'as rien compris à ce qui c'est passé. Mais il ne va pas tarder à comprendre.

_ Si tu regrette autant, pourquoi as tu grimpé ces marches en arrivant à ma porte avec le souffle d'un buffle asthmatique? Ta connerie m’exaspère, cesse de t’apitoyer sur toi même, cesse de faire l'enfant, j'ai été puérile, mais j'ai décider de changer, de réparer mes erreur, tu m'a giflé une fois, je l'avais mérité, tu m'as insulté. Tu marque des trucs sur ton foutu blog dans l'unique butte qu'on ai pitié de toi et de me faire culpabiliser, la pitié, tu dis que tu n'en veux pas, mais c'est la seule chose que tu veux. Qu'on ai pitié toi, qu'on se dise, le pauvre petit James. Tu veux me faire passer pour un monstre, mais tu n'y arriveras pas, tu veux me tuer, m'arracher a Chase, puisque que je ne suis pas à toi, je ne dois être à personne. La maladie et la souffrance, révèlent le vrais toi, celui que j'aurais dû voir depuis le début. Mais tes masques ne marchent plus. Alors je vais me tirer de ta vie. Oublie moi, si t'en est capable. Va courir dans les bras de Chase et dire à quel point je suis démoniaque. Mais tu surpasse ma patience, ma gentillesse, ma honte et ma compréhension. Alors écoute ce que je vais te dire. c'est simple, fait comme si je n'avais pas exister. A moins que tu ai la décence, ou l'intéligence d'avoir une conversation sensée. Parce que là, t'as vraiment besoin d'antidépresseur, tu frôle le cas psychiatrique, pauvre victime que tu es. N'éssais plus jamais de faire de moi ce que je ne suis pas, ne me soumet plus ni par les mots, ni par les gestes. pigé.

Calmé, tu t'allume une clope et attend qu'il ai repris son souffle. La conversation risquait d'être mouvementée.

_Réveille toi et cesse de pleurer sur toi même, t'es plus qu'une loque, regarde toi, c'est de ça que tu veux que les gens se rappelle?
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MessageSujet: Re: Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner)   Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner) EmptySam 8 Oct 2011 - 20:20

La porte s’ouvre sur lui. Bizarrement cela ne me fis rien. Si j’avais juste envie d’une chose lui foutre un gifle qu’il sentirait passé et à laquelle il se rappellerait. Mais je n’en avais pas la force physique, heureusement pour lui. Aucun son ne sort de sa bouche même pas un bonjour, un salut, rien du tout. Génial. J’attends qu’il me laisse entrer dans sa maudite chambre. Très bien j’viens de me taper un étage à pied je suis essoufflé comme un escargot à l’agonie. J’ai mis près de dix minutes à monter douze putains de marches, mais rien… Jusqu’à que je sente sa main sur mon épaule, main qui m’attire dans cette chambre j’aurais voulut lui faire retirer mais rien à faire j’avais mal de partout, j’en pouvais plus, j’voulais juste me poser cinq minutes sans qu’on ne me parle. Le temps que j’me reprennes c’est bien sûr sur Sacha que je peux compter pour avoir un mal de casque pas possible. Premières paroles hésitantes, certes… Mais il parlait, un bruit tonitruant me fait mal au crâne je veux l’arrêter mais il me dite de me taire d’un geste. Mais j’veux juste que tu fermes ta gueule deux minutes. C’est trop demandé, apparemment oui puisqu’il enchaîne avec une tirade qui me ferais mourir de rire si je n’avais pas mal à la tête rien qu’en ouvrant la bouche. Désolé… blablablabla…comportement… blablabla…pitié…blablabla injure… blablabla… respect… blablabla …. Nous unissait… Reblabla , je t’aime… Blablabla… un enchaînement de mots que je ne comprenais pas. Souffrance, j’suis désolé. La seul chose que je comprend à peu près après avoir essayer de me concentrer sur ses mots. Une tâche bien difficile… Je peux vous l’assurer. Tête qui tourne, migraine, affolante, le moindre bruit, sa voix ses gestes, me donnaient des nausées. Pas bon pas bon du tout.

- Alors dis moi ce que je peux faire, ce que je peux faire pour que tu m'excuse, ce que je peux faire pour essayer de te guérir de moi. Dis moi.

Fermez les yeux, faire abstraction de tout, ne plus penser… Essayer de parler… J’inspire, j’expire… J’ai rien compris de ce qu’il m’a dit. Mais je ne le montre pas. Alors j’veux bien répondre mais à quoi? À sa putain de phrase qui ne mérite aucune réponse puisqu’il sait ce qu’il pourrait faire. Mais bon abstraction de tout, de mes sentiments, de ma maladie, de ma douleur qui ne part toujours pas. Je prends ma tête dans mes mains et je souffle avant d’encrer mes yeux verts dans les siens, je ne baisse pas la tête pourquoi le ferais-je. Il m’a fait souffrir, il m’a fait espérer, il m’a fait croire, il m’a fait pleurer, il m’a détruit, et en plus il me détruit encore plus en parlant. Je finis par prendre la parole difficilement coupée par ma respiration haletante…

- Tu crois que c’est facile de dire de simple mots d’excuse? Me coupes pas quand je parles bien sûr. Tu crois que c’est facile pour moi d’être ici? Des mots pour me remonter le morale, pour me faire croire que tu es là? Mais va plutôt rejoindre Chase…Et je ne doute pas que tu y es déjà allé. Tu sais quoi Sacha je n’aurais jamais dû te rencontrer… Pourquoi es-tu venu à cette saloperie d’exposition? J’vaux bien mieux. Enfin bien mieux que quoi? Qu’un malade condamné… J’aurais aussi préféré ne jamais avoir c’te maladie qui me brûle de l’intérieur. Comme j’aurais préféré aussi que tu ne m’aides pas dans le parc. J’aurais dû te rayer de ma vie la toute première fois. J’aurais même carrément dû ne jamais te connaître ainsi je ne serais pas un obstacle dans ta vie. Un poids lourd. Après pour c’que tu peux faire? Jusqu’à preuve du contraire tu n’es pas médecin. Et je ne veux pas de ton amitié si c’est pour que j’en souffre.

Clair net et précis… Voilà à quoi se résumait mon monologue. J’étais plus que franc mais de toute manière je pouvais plus parler. Je il fallait que je m’assois toute suite. J’avais mal au crâne, je commençais à tousser comme un vieux qui à fumé toute sa vie. Je m’assois au sol sans rien demander… Je ne pouvais plus tenir debout. J’étais faible mais bordel… J’en ai marre de ma vie, j’en ai marre de tout. J’en ai marre de ma putain de maladie. J’aimerais être un artiste, j’aimerais avoir des gens qui m’aiment. J’aimerais aussi que mon chien soit encore en vie. J’avais aussi envie de dormir. Simplement dormir pour ne plus avoir mal. Ne plus souffrir comme un rat au bord de l’agonie. Comme si j’étais en stade terminal d’un cancer. Mes yeux se voilent, des perles salées s’étalent sur mon visage déjà si pâle. J’suis triste oui, mon cœur est éclaté en milles morceaux, qui pourra me le réparer? J’viens de perdre la personne qui m’était si cher en une fraction de seconde. Tel un rêve immuable, immatérielle que je ne peux toucher. Il s’évapore pour me renvoyer à ma triste réalité. Je pleure j’suis pas bien et la personne qui est responsable de ce tourment est là en face de moi… Je ne veux pas qu’il s’approche… je ne veux pas qu’il me touche. J’veux juste l’oublier. Et j’veux juste pleurer et qu’on me foute la paix. Pitoyable n’est-ce pas? Moi aussi je trouve. J’ai essayé d’oublier, j’ai essayé d’aller au delà de mes faiblesses. J’ai tout fait pour ne pas être dans un état lamentable. Le traitement n’a pas marché.
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MessageSujet: Re: Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner)   Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner) EmptySam 8 Oct 2011 - 14:43

Thème Musical: Seemann (Nina Hagen Cover)

    Sens le. Sens le venir. Sens là. Sens là t'assaillir. Cet horreur, cette torture, qui doucement embrûme tes sens. Sens ces choses, trésaillir dans ton sang et bouillonner dans tes veines. Mord toi les lèvres, et laisse tes yeux crevés vômir le trop plein de ces choses qui te remplissent. Laisse tes larmes cristaliser dans tes sanglots l'essence de tes douleurs. Attrape ton coeur et cache le, qu'ils ne parviennent pas à faire le siège de ton bonheur. La culpabilité, la haine envers toi même, la rage et la peine. Tu ne dois pas les laisser faire, car il déchiquettrons ton coeur, et tu seras impuissant, tu te verras sombrer peu à peu dans les ombres et tu ne te relevras plus. Tu as détruis James, mais ce qui est fait est fait, tu ne peu pas revennir en arrière, tu peu juste essayer de penser ses plaies, ça tu en as le pouvoir, alors trouves le ce don et sert t'en. Tu dois le sauver du poison que tu as insulfer en lui. Ce seras ta seule chance de rédemption. Mais pourtant tu sais que tu n'en useras pas, tu sais que tu ne peux plus t'offrir à James. Tu sais que tu appartiens à Chase pour les siècles des siècles. Alors fouille en toi et trouve autre chose. Cherche dans tes souvennirs et dans ta force le pauvoir de l'aracher au ténèbre. Tu n'as plus beaucoup de temps, la mort s'est suspendue à ses lèvres, les baisers de la maladie vont bientôt l'arrache à nôtre monde. Et comme le Commandeur à Dom Juan, il viendras te hanter pour te punir. Tu auras beau fuir, tu sombreras, alos concentres toi et soigne son coeur à défaut de soigner son corps. Mais avant toutes choses commence par l'écouter, car là seulement tu mesureras l'étendue de ton travail. Travail que tes erreurs t'ont imposé. Mais avant confesse toi à ses oreille du regret que tu as des fautes que tu as commises. Dis lui à quel point tu regrette. Ces mots qui paressent inutiles prennent tous leurs sens, car ce seront les première note de tes Requiem personnels. La mort s'agence comme l'héroïne dans son sang, tu n'as plus beaucoup de temps, tu ne peux plus le sauver, tu peux juste le soulager, comme la morphine tenter de l'éxciser au bras de la douleur, pour le greffer à ceux de langueur. Sa vie explose, tu en étais le centre magnétique mais tu n'es plus là, tu n'es plus rien, il a perdus les chaînes qui l'accrochaient à l'espoirs. Comme Judas à Jésus, tu l'as jeter sur le chemin de la croix, tu la trahis. Mais toi tu l'as trahis pour la plus noble des raisons: L'Amour, qui par définition fait mal. Ce sentiment offert à l'un déchire forcèment un autre. Mais quand la raison se perd dans l'Amour et méle les destinataire de cette malsaine bénédiction, alors la souffrance vient orner l'onirisme étherée de ce sentiments de complétude, pour nous jeter dans une arène cruelle, des jeux antiques, remontant plus loin que la mémoire des hommes. Mais tu as trouver le chemin dans ce labyrinthe noir. Il est d'y retourner pour guider James. Mais si les murs avaient changé de place, si le chemin s'était éffacé? Te perdrais tu à nouveau ou ton étoile arrivra-t-elle à te guider malgré tout? Sauras-tu quand même trouvé une issue? Fadaise! Tu le sais, tu n'as pas le choix, tu dois le sauver...

    Toc Toc.
    "Serais-ce l'Ankou?"
    Toc Toc?
    "Serais-ce Charon?"
    Toc Toc,
    "serais-ce la Mort?"


    Tu ouvre la porte et tu éxpire, il est là, leur fils à tous, ce pauvre être qu'il ont adopté. Tu soupire et ravales les larmes que son aparition à fait naître en toi. Il est là pâle, cadavérique, comme une statue de sel. Il est là informe et amorphe. Pantin de porcelaine pendus à la lune de tes yeux. Il est là, pantin de haine, jouet de peine. Il est là. Que dois-tu faire? Le feras-tu bien? Que dois-tu faire? Dois-tu attendre demain? Une main sur l'épaule, l'attirer dedans ta chambre, Charlie n'est pas là, elle devrais rentrer plus tard. Tu as une tache à accomplir, mais tous doit commencer par des mots. Ces mots, sauras-tu les dire? En auras-tu la force? Ou ne serais-ce qu'un nanomètre de celle qui ta faut pour l'affronter? Tu savais que ce jour allait arriver. L'équilibre était trop précaire, le silence trop lourd, l'ingorance trop dure, les souvennirs trop pesant. Tu savais que tu devrais lui faire face. Tu pensais être prêt mais l'est-tu vraiment. De toute façon que tu le soit ou pas, tu ne peux plus reculer l'échéance. Il est là, échec au roi. Saura-tu bouger tes pions et te sauver en le sauvant? Ouvre les lèvres, détend le larynx, laisse corde vocale vibrer et concentre toi sur le sens. C'est pourtant si simple de parler.

    _ Je... James. Je ne sais pas comment te dire. Je...

    Tu le vois qui commence à parler et lui fait signe de se taire.

    _Je suis désolé. C'est facile à dire je sais. Mais... Je n'ai aucune excuse pour mon comportement. Mais une chose que je n'accepterais James, c'est que tu ose dire que j'ai fait preuve de pitié envers toi. Je n'ai pitié de personne, car la pitié est un injure, un manque de respect, et je te respecte. Je respecte ce tu es. Ce qui nous unissait, ce qui nous unis encore. Et sache que je t'aime. Peut-être pas de là façon que tu aurais voullu. Je me suis tromper sur mes sentiments, et mon erreur t'as conduit à la souffrance, pour ça, je n'aurais aucune rédemption. Je suis désolé pour tout, pour ce que je t'ai fait croire, pour la souffrance que je t'ai causer. Je suis désolé de mon silence ces derniers mois. Je suis désolé, mais être désolé ne change rien n'est-ce pas. Alors dis moi ce que je peux faire, ce que je peux faire pour que tu m'éxcuse, ce que je peux faire pour essayer de te guérir de moi. Dis moi.

    Tu ne dois pas pleurer tu n'en as pas le droit, seul lui en as le droit, tu as juste le droit de subir ta peine et ta honte. Tu as juste le droit d'écouter et de fermer ta gueule, par ce que ta gueule, tu ne l'as que trop ouverte. Fermes là et écoute, écoute la mort siffler dans son souffle et souffre, car la maladie le blesse mais tu le sais, c'est toi qui vas le tuer...
    [ Marche à l'ombre
    ferme là
    Marche devant
    Ferme là
    Marche derrière
    ferme là
    Marche
    ou pas... ]
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MessageSujet: Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner)   Confrontation Oblige (Pv Sacha Farmer and Chase Turner) EmptyMer 21 Sep 2011 - 13:23

Thème musical ici

Qu’est-ce que Sacha voulait me tuer encore plus monter dans sa chambre, déjà qu’être au troisième étage est une tare pour moi mais encore monter un étage. Ouais c’est ça il voulait me tuer encore plus que je n’étais mourant. Il voulait me parler alors soit j’irais le voir même si un étage me tue. J’avais maigris, je ne dormais presque plus. Le traitement ne marchait plus, ou n’a jamais marché au choix. Enfin bon ce que je savais c’est qu’il avançait ma mort plutôt que de la ralentir. Les marches n’étaient pas nombreuses, mais à la quatrième je m’arrêtais essayant de reprendre mon souffle rapidement. Une fois fait je montais d’une traite le reste des marches non pas sans mal bien au contraire. J’était enfin arrivé au quatrième étage. Cherchant la chambre de Sacha j’avançais pas à pas lentement essayant de me persuader que c’était le bon choix à faire d’aller le voir. Une fois arrivé devant la porte, je m’installe contre. Je respire à peine. Pourquoi Est-ce que je viens le voir? Je ne sais pas, je ne sais même plus pourquoi la vie est si injuste. Les moments de bonheur passer avec Sacha me percutent de plein fouet. Son baiser dans la voiture, ses pleurs les miens, mon aveu sur mon secret devant l’hôpital alors qu’il répétait inlassablement James et je t’aime. Mon retour de l’hôpital alors qu’il attendait devant ma porte de chambre notre nuit ses je t’aime. Je revois encore son esprit être martelé entre deux âmes celle de Chase et la mienne. Je le vois encore réfléchir à un possible avenir avec Chase et moi dans sa vie. Mais ce qui me fait encore plus mal c’est à l’hôpital quand il me dit qu’il m’a choisit. Mon incompréhension face à son geste. Mais le plus perturbant c’est une phrase qui me reviens quand je lui avait demandé pourquoi m’avoir choisit:

Citation :
- Parce que mes yeux te rêve. Parce que mes lèvres invente les tiennes quand tu n'es pas là. Parce que c'est toi que j'aime et que j'ai toujours aimé. Je me suis foutu de la merde dans les yeux. Je me rattraperais. Je suis à toi James. Et ce jusqu'au jour de ma mort. Je t'aime parce que tu existe. Je t'aime parce que tu m'aime. Je t'aime parce que tu es James.

Des larmes inondent mon visage, mais cela me fait rire intérieurement quand je repense à ce qu’il m’a dit pour la raison de son suicide.

Citation :
- Mon suicide... Je ne sais pas comment t'expliquer, j'ai sentis que la vie était quelques choses que je ne méritait plus; ça à été une pulsion, je savais qui j'aimais: toi. Mais je ne voulais pas te faire souffrir, je ne te méritait plus, et quand Chase est venu me parler, j'ai compris que je perdais mon meilleur amis. Et quand il m'a embrasser le coup et que je n'ai pas ressentis ce que je ressentais lorsqu'il m'avait embrassé avant, je me suis sentis inhumain. Alors c'est venu tout seul. J'ai sauter. Au fond je ne voulais pas mourir, je voulais dormir et oublier. Si seulement j'avais pu naitre sans le besoin d'aimer, j'aurais pu vivre sans avoir besoin de mourir.

Ce qui me force un sourire c’est aussi sa réponse quand je lui ai dit de vivre pour deux si je venais à perdre la vie.

Citation :
- Pour ce qui est de rester après toi. Je ne pourrais pas. Je ne pourrais pas vivre sans toi. Tu va penser que c'est du romantisme bidon à la Roméo et Juliette. Mais sans toi, je ne vois aucune utilité à vivre. Tu va dire que ce sera vivre pour toi, vivre la vie que tu n'auras pas eu le temps de finir, mais sans toi, je n'en aurais pas le courage, je suis lâche et peureux, l'idée même de te perdre me retourne le cœur. Je t'aime et je pourrais pas vivre sans toi, tu me connais par cœur et tu sais que quoi tu dise je ne te survivrais pas.
Mais le pire je pense c’est quand je lui ai proposer de vivre avec moi dans un appartement. Pour moi le plus tôt serait le mieux mais pour lui aussi je le savais-je l’avais compris quand il m’avait demander quand Est-ce que l’on prend cet appart’. Je le vois encore sourire quand il me demandait ça. Je me souviens aussi très bien des minutes qui suivirent ses dires quand il m’avait demandé ce qui me chiffonnait. Ce qui me chiffonnait Chase… On pourrait presque croire que ma raison à pensé à Chase tout au long de nos ébats et de nos sourire à Sacha et moi. Si j’était extérieur à tout ça on pourrait croire que j’ai des sentiments plus fort qu’une simple amitié envers Chase. Non impossible… Enfin je ne pense pas. Je souris non c’était improbable. Et donc pour en revenir à ce qui me chiffonnait Chase une partie de ses dires me font rire mais aussi pleurer.

Citation :
- J'ai eu un choix à faire, je l'ai fait, on ne peut aimer sans blesser quelqu'un d'autre. Je suis seul fautif de cette histoire, je t'ai volé, tu as résister mais je t'ai forcer, tu n'as rien à te reprocher, tu n'as trahis personne. Chase compte toujours pour moi, j'aimerais tant ne pas lui faire de mal, j'espère ne pas perdre son amitié. James, ne dit pas que tu as été égoïste parce que c'est faux, j'ai été égoïste, perdu dans le cercle vicieux des sentiments. J'ai abusé de ton amour pour te récupérer, je t'aime et tu m'aime, ce sont les seules choses qui importe, Chase aussi m'a trahis, c'est surement ça qui m'a décider ou plutôt qui m'a permis de me rendre compte que c'est toi que j'aime, et personne d'autre.
Et après ça tu oses me dire que tu pensais à Chase quand tu étais dans mes bras. Oh c’est sûr que vu cette réponse c’est-ce que tu ressentais mais que tout ce que tu ressentais était pour Chase. Je n’en crois pas un mot. Enfin si je crois à tout. Je suis naïf n’est-ce pas. Avoir cru qu’il me choisirais, pourquoi l’aurait-t-il fait. Je ne serais bientôt plus qu’un infirme. Une personne fantôme et qui hanterait ou pas d’ailleurs les souvenirs de mes amis. J’avais besoin de Sacha, j’avais besoin de lui pour tout, pour m’aider, pour m’aimer mais pour me soutenir dans ce lourd fardeau qui est ma vie et ma maladie. « tu devras m’honorer dans la vie et dans la santé ». Jamais il n’a tenue sa promesse. Il n’est pas rester auprès de moi préférant crier son amour à Chase plutôt que m’aider quand j’en ai eu besoin. Il m’avait promis qu’il resterait auprès de moi que ce soit en tant qu’ami ou amant. Je ne suis ni son ami, ni son amant, ni celui qu’il aime aujourd’hui. Il n’est jamais venu. Je ne l’ai plus jamais revu depuis le bal des anarchiste. Et quel bal je n’aurais pas dû y mettre les pieds. Mais je n’aurais certainement pas dû abandonner comme ça. À croire que je ne fais plus partis de la vie de Sacha. Ce n’est pas lui qui me disait qu’il ne pouvait concevoir la vie sans moi. C’est facile de cacher ses sentiments. Mais c’est toujours plus dur de les affronter. C’est donc sur cette conclusion que je me lève et que je frappe déterminé à la porte de Sacha.


Dernière édition par James Stanford le Lun 10 Oct 2011 - 3:10, édité 1 fois
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