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 Please Not On My Shoes Sasha [PV SASHAAAA ♥ *_*]

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MessageSujet: Re: Please Not On My Shoes Sasha [PV SASHAAAA ♥ *_*]   Please Not On My Shoes Sasha [PV SASHAAAA ♥ *_*] EmptySam 31 Jan 2015 - 4:12

Please not on my shoes

« Si je devais mourir, je ne voudrais avoir aucun regret. » Phrase qui a du sans doute être ma ligne directrice toutes ces années, et pourtant des regrets, je n’en avais pas qu’un. Et ce soir-là en faisait parti, même si on m’avait évité le pire, et ça je ne le dois qu’à une personne : Eric.

C’était une journée de janvier, fin du mois, si mes souvenirs sont exacts, et je m’étais levé tard, très tard. C’était le week-end, et donc aucune raison de se préoccuper des cours, de quoi me permettre de faire une bonne grasse matinée comme je les aime. La veille, comme à mon habitude, j’étais allé festoyer la fin de semaine avec deux trois potes Sigma Mu qui m’avaient interpelés en chemin. Fêtards comme pas deux, on était rentré à six heures du matin, et je n’avais pas décollé de mon lit depuis. Mon réveil affichait seize heures, et il était grand temps que je bouge.  

Après des efforts surhumains, et trente minutes d’une douche bien chaude, j’étais fin prêt à entamer la journée, ou du moins ce qui en restait. Parce que bon à partir du moment où tu daignes t’activer en début de soirée, on peut dire que t’as foutu en l’air seize heures, où t’aurais pu faire autre chose. Mais bon à ce moment là, j’avais pas envie de grand chose, et j’étais pas en état de jouer à l’élève modèle qui se lève à huit heures même en week-end, et surtout pas quand j’avais ingurgité trop d’alcool pour pouvoir compter jusqu’à trois la veille. Ma seule préoccupation avait été de trouver un truc à grailler, parce que tout ça, ça creuse. Telle une âme en peine, j’errais dans la confrérie, et atterris dans la salle commune. Passage oblige pour moi, mais celui que j’essayais d’éviter au maximum, tomber sur mon frère était à ce moment ce que je craignais le plus. Il n’était pas dupe, et avait sans doute deux-trois mots à me souffler à l’oreille et rien de très flatteur. Je le savais, j’avais conscience que je fonçais droit dans le mur et que tout ce que je risquais de gagner c’était une bonne paire de torgnoles, et quelques leçons de morale de ci et là. Et encore, James n’était pas le pire pour moi à redouter. Eden était bien au-dessus, et après c’était les parents et l’annonce de ma pendaison sur la place publique en fin de semaine. Ce qui était le pire ? Je l’ignorais, et tentais au mieux de me fondre dans la masse, restant au maximum entouré, puisque j’étais intouchable. Les affaires de famille on les règle en famille, et je n’ai jamais aimé laver le linge sale en public. Et c’est toujours le cas maintenant. Nos affaires ne concernent que nous, pas besoin que tout le monde soit au courant, ça ne fait qu’alimenter les rumeurs et couler de l’encre inutilement. Enfin, toujours est-il que j’observais toujours en détail la salle commune, essayant d’apercevoir dans la foule si une tignasse mal coiffée en dépassait, mais ce jour-là, James n’était pas à la salle commune. Je poussais un soupir de soulagement et m’avançais l’air de rien.

Rien n’avait changé ici. Toujours les mêmes poufs, toujours la même télé et la même chaine qui passe en boucle. En l’occurrence ici, Next sur MTV, une émission plus-américaine-tu-meurs qui consistait à voir les meufs se faire jarter une à une si elle ne plaisait pas au mec. Un peu comme sur Chatroulette. Pas assez bonne, dégage. Vieux pédophile, SUIVANT. J’en riais, sans vraiment trouver ça drôle,  mais prenais plaisir à me joindre à eux malgré tout, ne sachant refuser la bière qu’on me tendait.

« - Alors quoi de prévu ce soir Cobb ?
- Boite, comme d’hab.
- Et bah, y en a qui chôment pas.
- Jaloux. »

Nous riions de bon cœur, et ça dura plusieurs heures, avant que je décide enfin à prendre la porte, m’excusant. J’avais la dalle, et d’ailleurs j’avais toujours super faim. A enchainer les soirées, les nuits courtes, et les gueules de bois, mon estomac ne savait plus où donner de la tête, et réclamait sans cesse de la bouffe, et n’ayant pas le cœur à bouffer le poison de la cantine, j’avais fini par atterrir dans un bon fast food. Le genre qui sert des hamburgers bien gras, bien gros, mais qui ont au moins l’avantage de plâtrer et te rassasier pour plusieurs heures.  

Un coca et deux sandwichs plus tard, j’étais plein comme un œuf, et regagnais la confrérie les mains dans les poches, sifflotant. Où j’irais ce soir ? C’était la question existentielle que je me posais, ne pouvant décemment pas me pointer là où on me connaissait. Ce ne serait vraiment pas bon pour moi. Et je n’avais pas envie de répondre à des questions. Vraiment pas. Concentré sur les lieux que je connaissais, je finis par être encore une fois interpelé par des gars qui rentraient à la confrérie, mais qui eux, avaient eu le droit au gratin de chou-fleur avarié. Ils tiraient la moue, et se réjouissaient déjà en pensant aux sachets de chips qui dormaient dans le garde-manger de la confrérie. Par la même occasion, ils me proposèrent gentiment si je voulais participer à leur petite before pour célébrer la centième heure de colle de Jonah, un gars qui était arrivé y a pas longtemps. Toujours partant pour s’en rouler un ou deux, et pour me torcher quelques verres, j’acquiesçais et nous finissions au King Place, heureux comme des papes. Alcool, musique, l’ambiance était au rendez-vous, mais très vite j’avais fini par décamper, la fête m’attendait ailleurs, et interagir avec leurs cadavres ne m’intéressait guère. Ils ne tenaient pas l’alcool, ou du moins n’en étaient pas arrivés à mon stade où il m’en fallait bien plus pour me faire de l’effet.

Une fois changé, j’errais dans les rues de Miami, la démarche chancelante, mais les idées claires. Ou du moins c’est ce que je me persuadais. Et c’est ce qui me fit faire ma première erreur. Au lieu de continuer, je m’étais arrêté à la première boite que je croisais. Grâce à un petit discours bien bâti, j’entrais dans l’enceinte de l’établissement. Ils étaient tous déjà bien, et je pus facilement m’intégrer à un groupe de filles qui me faisaient des clins d’œil bien suggestifs. Une seule d’entre elle pourtant attira mon attention. Une jolie blonde, yeux bleus. Si à l’époque ça n’était qu’une coïncidence qu’elle puisse ressembler à Jennifer, maintenant je me rendais compte, qu’inconsciemment je cherchais à trouver quiconque lui ressemblait. Mais hélas, personne ne lui ressemble.

Nous dansions collés serrés, tout en continuant à boire. Tequila paf sensuels et j’en passe, je finis par avoir la tête qui tournait et proposait à la jeune inconnue d’aller nous asseoir au bar où je m’affalais comme une merde, beuglant joyeusement à qui voulait l’entendre « Un verre, j’ai soif. » Et bien sur, il avait fallu que ce soir là le service soit assuré par Eric. Bien sur j’étais trop saoul pour comprendre la gravité de la situation, mais je me remercie d’avoir été con ce soir là, et surtout je remercie Eric d’avoir bien voulu s’occuper de l’épave Sasha toute une soirée, malgré la difficulté évidente de la situation.

Comme on s’en doutait, il refusa de me servir, justifiant mon état de trop catastrophique, ce que je niais avec force. « Comment ça quel état ? Beuh non, j’suis pas mort. » Absurdités quand tu nous tiens, l’alcool ça aide pas à rendre intelligent, croyez-moi et déjà que j’étais pas bien fut fut… Je commençais alors à gueuler, jugeant qu’on n’avait pas à discuter et que le client était roi, ce qui fit rameuter le service des enfers, je nomme Cerbère et sa bande. Eric s’en occupa, m’attrapant par le bras, me demandant de bien vouloir le suivre. « Ou est-ce qu’on va ? Dans ta réserve ? » Si ça avait un sens, je l’ignorais, mais je croyais sans doute qu’il voulait me montrer mieux que tout un bar rempli d’alcool. La pouf qui me servait de cavalière tenta de suivre le mouvement, et rien qu’à repenser aux paroles d’Eric, je ris encore. Se faire remballer avec classe, ce n’était pas donné à tout le monde, elle pouvait lui être reconnaissante. « Oh Eric, pas content ! De toute façon c’est pas grave, elle était même pas belle. » Superficielle, c’est tout ce qu’elle était.

Eric me tira alors dehors, avec difficulté, et m’attira un peu plus loin de l’entrée du bar. Il me fit m’asseoir par la même occasion, et je m’écrasais au sol comme si je portais tout le poids du monde sur mes épaules. Il me rejoint dans ma misère et me tendit une bouteille d’eau. « C’est quoi ? Une fabrication maison ? » Sans réfléchir je tournais le bouchon et but une bonne gorgée avant de me rendre compte que ce n’était que de l’eau. Dépité, je refermais la bouteille, et la posa à côté, boudeur. Puis, c’est là que commença l’interrogatoire, qui au début était calme et ne semblait être qu’une blague de la part d’Eric.

« Quoi ? Elles ont quoi ces meufs ? » Au début je ne comprenais pas ce qu’on me reprochait, et je lâchais la première chose qui me restait sur le cœur. « Au moins elle, tu sais que c’est qu’un soir, pas de promesses, et pas de promesses, pas de douleur. Toi, t’es dans la merde jusqu’au cou. » Le mariage, c’était pas pour moi, c’était comme m’enfermer derrière des barreaux tout en me disant que ma liberté s’arrêtait là. Et où s’arrêterait ma liberté, commencerait celles des autres… Philosophie du soir, bonsoir. « Eden ? Pitié ne l’appelles pas. S’il me voit comme ça je suis mort. Et mes parents, appelle pas mes parents non plus, où ils vont me garder enchainé à mon lit. Comme quand j’étais petit, ils vont m’enfermer dans ma chambre. » Je ne répondais clairement pas à sa question, en fait je ne la comprenais pas, ou du moins pas jusqu’à ce qu’il hausse le ton, et que ça m’affecte particulièrement. Il voulait que je crache le morceau, et je n’étais pas tout à fait prêt, ou du moins pas tout de suite. « Ca doit bien te faire rire pas vrai ? Le pauvre petit gosse de riche qui se bourre la gueule. Qu’est-ce qu’il a à se plaindre, il a tout ce qu’il veut lui. » Et j’éclatais de rire, mais le rire très faux, très nerveux. « En quoi ça t’intéresse d’ailleurs ? Hein, qu’est-ce que tu peux en avoir à foutre que je me fous à l’envers ? Et si je fais ça pour le plaisir, que veux-tu que je dise d’autre ? »

Personne, vraiment personne ne goberait ce mensonge, pas même une fillette de cinq ans, si celle-ci devait avoir à assister à cette misérable scène. « Te mêles pas de ma vie, c’est la mienne et je fais ce que je veux… » Tentais-je de me défendre, bien que j’en fus incapable dans l’état déplorable dans lequel j’étais. Mais malgré toutes ces protestations, qui auront mis longtemps à se transformer en aveux, je tenais à te remercier Eric. De ne pas avoir pris la mouche, et de ne pas m’avoir laissé là, sur ce trottoir, parce que qui sait, j’aurais peut-être passé ma soirée à vider mes boyaux, seul, dans une rue déserte, sans savoir ce qui m’arrivait. Mais en attendant, je voulais voir comment tu allais réagir, parce qu’à ce moment précis, je ne voulais qu’une chose qu’on me foute la paix.

* Tenue de Sasha


© Sashette

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MessageSujet: Please Not On My Shoes Sasha [PV SASHAAAA ♥ *_*]   Please Not On My Shoes Sasha [PV SASHAAAA ♥ *_*] EmptyJeu 29 Jan 2015 - 19:20


Not On My Shoes Sasha (With Sasha *_* ♥)
Travail à la con qui m'occupe tout mon week-end alors que je pourrais me reposer et passer du temps avec Haven, bien sûr on se voit bien plus souvent maintenant que l'on habite ensemble et que nous avions réglé certains détails, mais nos cours à l'un comme l'autre, le fait de devoir gérer la Confrérie et de passer pas mal de temps chez Eden à étudier, raccourcissait considérablement le temps que je pouvais passer avec elle. Le week-end devrait être synonyme de repos pour tout le monde mais non, moi je n'avais pas vraiment eu le choix que de prendre un boulot le week-end. Vu mon passé et mes rares expériences professionnelles, on m'a envoyé paître plus d'une fois alors j'ai redoublé d'efforts. Je ne court pas derrière la richesse mais ma bourse d'étudiant ne me suffit pas à vivre et je voulais aider Haven a payer notre appartement, il me fallait donc un job. Ce job je l'ai trouvé l'année dernière, barman dans une boîte. Y'a pire, servir à boire  des gens, il m'arrive de finir dans un état pire que mes clients, mais j'évite ça maintenant. Le seul truc c'est que l'ambiance des boîtes c'est pas vraiment ça, la musique est horrible et globalement les gens sont chiants, mais je suis payé et je ne vais pas me plaindre. Le plus énervant c'est que je ne profite pas de mes week-end, en journée je suis généralement trop crevé par le boulot pour faire quoi que ce soit de constructif. Haven, généralement attend que je rentre du travail pour s'endormir, c'est adorable de sa part, peu de gens ferait çà. Je rentre à quatre heure du matin et pourtant elle m'attend, je suis tellement heureux qu'elle soit de retour, même si ça a pas mal chamboulé ma vie, je ne regrette pas une seule seconde passée auprès d'elle.

Il est sept-heures du matin je crois ce samedi matin, Haven dors encore, moi je suis attablé à mon bureau à travailler pour Eden, j'ai cour avec lui lundi, on doit parler de mon avenir professionnel. Quelques mois dans le passé, j'aurai gueulé à cette perspective, mais aujourd'hui je voyais ça d'un œil peut-être déjà parce que je savais ce que je voulais faire. Il m'avait donné le contact d'Isobel McCoy pour que je puisse demander un stage, ce que je devais faire dans les semaines à venir. Le temps passe alors que j'étudie, le manque de sommeil se fait ressentir, mais je n'ai pas trop le choix d'étudier, oui je suis bien le chef des Sigma Mu, non non vous ne vous êtes pas trompés de personne. Je pose mon livre et regarde ma main, à l'annulaire gauche, un simple anneau d'or qui me fais sourire. Je me lève et vais vers la cuisine, le café est chaud, je le met sur un plateau, avec des toasts et je reviens dans notre chambre pour poser le plateau sur la table de nuit, je dépose un baiser sur son front. « Bonjour Haven... Bien dormi ? » demandais-je en souriant. « Je te laisse te réveiller, je suis à étudier si tu me cherche. » Après un autre sourire je me dirigeais à nouveau vers le bureau pour me replonger dans des bouquins d'histoire, matière qui allait m'accompagner longtemps pour les années à venir.

Je passe ma journée avec Haven, heureux de pouvoir avoir un peu de temps avec elle. L'heure approche pour moi d'aller au travail et ça me rend morose, comme si ma mauvaise humeur s'amplifiait plus le temps passait. En fin de journée, je dois passer par la Confrérie pour chercher deux trois trucs, en en sortant, je passe devant chez les Pi Sigma, je regarde brièvement leur bâtiment en pensant que ça faisait longtemps que je n'avais pas de nouvelles de Sasha, même si on était pas les meilleurs amis du monde ce silence de sa part m'étonnais, lui qui généralement était le premier à m'inviter à ses soirées. Haussant les épaules je repassais à l'appartement me changer, je déposais un baiser sur les lèvres de Haven avant de partir au travail, en enfourchant mon vélo.

La soirée se passe relativement bien, jusqu'ici, il y avait pas mal de monde et si on mettait à part la musique ça allait, je bossais et ne pensais à pas grand chose d'autre, je faisais attention à ma propre alcoolémie, certes les quelques verres bu avec les clients me réchauffaient quelque peu, je savais refuser quand il fallait. C'est alors que débarqua quelqu'un que je n'avais pas remarqué auparavant. Enfin débarquer, il s'écroulait à moitié sur le comptoir. Sasha Cobb. Je ne l'avais jamais vu dans un pareil état et pourtant j'avais quelques soirées avec lui. C'était au delà de çà, certes il était saoul comme un Polonais mais il n'était vraiment pas bien. Sa coiffure déjà pas brillante en temps normal se barrait dans tout le sens, son regard semblait perdu quelque part, loin, des cernes se trouvaient sous ses yeux comme si il n'avait pas connu de sommeil réparateur depuis longtemps, il avait du mal à se tenir. Il ne fallait pas être devin pour voir qu'il n'allait pas bien et que quelque chose pesait sur lui. Un air inquiet passa sur mon visage, regard inquiet qui se mua aussitôt en une exaspération prononcée en voyant la pouffe qu'il se trimbalait.  »Qu'est ce que tu fous Cobb ? » me demandais-je, alors que ce dernier me braillais vaguement qu'il voulait boire quelque chose. Je soupirais, il devait manquer au moins toutes les voyelles dans sa phrase, pas question de le resservir.

Sasha et moi ça n'a jamais été le grand amour mais ça reste un pote et je ne suis pas du genre à laisser un ami dans la merde, il a l'air totalement paumé et quel ami serais-je si je le laissais dans cet état, mais d'un autre côté j'étais furax qu'il se mette dans de tels états. « Parce que tu crois que je vais te servir dans cet état Sasha ? » Je voyais les gars de la sécu l'approcher, sûrement pour le foutre à la porte, je leur faisais signe que ce n'étais pas la peine, mon service était bientôt terminé, autant que je m'occupe de Sasha. Prenant mon sac à dos, je saluais mes collègues et j'empoignai Sasha par le bras le passant par dessus mon épaule pour le soutenir. « Allez viens dehors, faut qu'on parle, punaise tu te verrais tu fais peur Cobb. » Je saisissais une bouteille d'eau sur le comptoir et me tournais vers la pouffiasse, lui décochant un regard noir. « Casse toi toi, allez bouge ! » lâchais-je sèchement en traînant Sasha dehors.

Je l'emmenais dehors, l'emmenant un peu plus loin. Le soutenant toujours je dis. « Si tu veux gerber tu sera gentil de viser autre part que mes pompes. » Un peu plus loin, je le fis s'asseoir sur un trottoir et je fis de même, je lui tendis la bouteille d'eau. « Tiens avec tout ce que tu as dû t'enfiler ça peut pas te faire de mal. » Je le regardais, j'avais envie de l'engueuler, mais d'un autre côté, je n'étais pas un exemple sur le terrain de l’éthylisme et quelque chose me disais qu'il avait pas vraiment besoin de quelqu'un qui lui fasse la morale. « Punaise Sasha, tu as vu dans quel état tu es et puis traîner... avec des meufs comme çà, je te reconnais pas mec. » dis-je en le regardant. Je laisse passer un peu de temps et je reprends. « Bon crache le morceau Sasha, je vois qu'il y a un truc qui coince, je vais pas te faire la morale, si je le voulais j'aurai déjà appelé Eden. » Je continuais à le regarder, comme si je cherchais un élément de réponse. « Tu as conscience que je vais pas te lâcher jusqu'à ce que tu me parles ? Je suis peut être chiant mais je suis un pote qui va pas te laisser dans la merde, alors crache le morceau Cobb avant que je devienne vraiment très chiant... »  

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