Invité Invité
| Sujet: Tires toi de là! finis Sam 2 Avr 2011 - 10:19 | |
| table> • feat Amy Lee
| Carte d'Identité
Nom : Evanesco Prénom : Kate Âge/Date de naissance : 17 ans Classe : Junior Year Confrérie : alpha psy Riche ou Bourse d'étude ? Bourse
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Description du Physique My immortal
« Sa peau s’étend comme une toile de nacre tendue sur son squelette. Son visage ressemble à la pleine lune, ronde et brillante, auréolée d’une rivière nègre et lisse. Ses yeux sont tracés avec finesse, leurs couleurs sombres subliment la peau diaphane qui les entoure ; ils sont surlignés de longs cils épais et de sourcils fins. Son regard taillé dans l’orbe de ses yeux est emplis d’une telle peine qu’il est impossible de le soutenir. Ce regard fort. Ce regard puissant. Ces deux lances noires qui vous percent et vous traverse. Destructeurs. Fatals. À l’aune des ses lèvres mortelles et séductrice. Épaisses et belles. Sublime invitation aux plus sadique pâmoisons. Ce trait noir posé comme par magie sur la peau ivoire de ce visage parfait. Elle est belle. Les traits de son visage semblent être taillés avec perfection dans ses os de cristal. Son corps est fin et harmonisé. Sa peau toujours aussi pale coule comme une rivière de lait le long de ses formes parfaites. On y voit danser les anguilles bleutées de ses veines. Sa peau est douce comme le poil d’une louve. Elle invite les mains à la caresser avec voluptés. Ses jambes sont fines et longues, trempées dans l’ivoire le plus pur. La courbe de ses hanches sous le joug de sa démarche gracieuse, invite à la peur, de mes même que ses yeux, elle traine derrière elle un aura de mort. Sylphide glacée, Ô douce déesse de la nuit. Enfant de la terreur. Enfant de la lune… La beauté n’as pas d’autre visage que celui qui intrigue. La beauté n’a pas d’autre visage que la terreur. La beauté n’as pas d’autre visage que le miens. »
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Histoire 220 mots minimum
« «Naitre. Vivre. Mourir. Vivre… ha ! La bonne blague. Les mots sont si mièvres pour décrire la pourriture. Si faibles pour décrire le néant. La vie est vide, une palette de néants qui se succèdent. Aussi vide que la mort. Qu’est-ce qu’être un homme ? Être gentil ? Compatissant ? Généreux ? Bon chrétien ? Pitoyable. Être un homme c’est être pitoyable. Un amas de chairs infâme et de tuyaux graisseux qui toussent et suintent. Vivre c’est être en perpétuelle digestion. On avale là vie, on digère nos souvenir et on chie ceux qu’on ne veut pas garder. Je dois être constipée. Vivre c’est se suicider à petit feu. Perpétuelle scarification. Laissez-moi-vous raconter ma pourriture, ma digestion de constipée. Laissez-moi-vous raconter ma vie.
Je suis née un jour de plein soleil… Cherchez l’Erreur… Ma mère était un prostituée unijambiste et aveugle des rues de Miami… Non je déconne, mais j’aurais préféré. En vérité elle était une junkie. Mon père s’est tiré quand j’étais mioche. M’abandonnant à l’autre hystérique. J’ai grandis dans un appart en mode aquarium. On aurait pu nager dans les émanations de cannabis et de crack qui emplissait la différente pièce. Après on se demande pourquoi j’ai une case en moins… J’arrivais à l’école défoncée. Tellement qu’au bout d’un moment, je fus mise en foyer, et ce fut le début de véritable enfer. Ma mère mourut d’overdose dans la semaine. Sa mère me pinçait le jour de l’enterrement pour que je pleurs, sur le corps disloqué de ma mère qui suintait la drogue et puait encore le cannabis à plein nez. La drogue est une sacrée saloperie, mais je m’y étais habituée. Le manque toxicologique à commencer à se faire sentir peu après. La mort. Ma grand-mère ne voulant pas de moi, je du rester dans le foyer. Scolarisée, je rencontre une amie, enfin une amie… une fille quoi : Laina. Non sombrâmes ensemble plus profondément dans la drogue que nous l’avions imaginé. Au fond, je ne valais pas mieux et ne vaut toujours pas mieux que ma ***** de mère. Petit à petit, a force de drogue, mon visage se creuse, mes pupille digère en continu les litre de drogue que j'ingère. Je ne vis pas, je erre et me traine, suant les toxines qui 'm'inonde. Un jour, une soirée me transforma. Comme d'habitude, je dansais, mais cette fois si j'étais sobre. Je n'avais plus de fric, plus rien pour me payer mon hasch. Désespérée je erre. Puis je me rappelle ce petit bout de papier dans mon portefeuille, ce numéro de tel qu'on m'avait donné si jamais je ne pouvais pas me procurer mes « bonbons » Je ne savais pas dans quelles conneries je me lançais , trop naïve, je pensais qu'on me ferais crédit. Avec les portes de ce hangars s'ouvrirent les portes de l'enfer... Six hommes était là, chemise ouverte, sales et vulgaires. Je n'oublierais jamais cette lueur dans les yeux , cette sauvagerie mêlée à la lubricité. Cette sensation dans mon ventre. Le peur qui m'étreins. Comprendre enfin quel sera le prix à payer. Les portes ses referment, aucun retour en arrière possible pourtant ma voix s'élève quand même, toute faible. Comme un pucelle que l'on viole. « Je... Je veux partir... Je vous en supplie » La terminaison de cette phrase à signer ma perte. Ils s'avance cruels, leur bas tombe, et moi avec. Ils me salissent, je nais d'autre solution que d'avaler ou m'étouffer. Puis ils glissent entre me cuisses, entre mes lèvre. Mon corps s'empale dans un sauce de martyr. Je hurle et écorché mes ongles sur la boite marbrée de ma douleur. Je supplie, cela ne fait qu'attiser leur fougue. Mon corps suspendus aux leurs se déchirent et mes tuyaux régurgite leur marque. Leur dents s'approprient mon corps et me tatouent. Je suis une chienne un putain de catin. Je suis un trou, un tuyaux. Indigne d'exister. Je suis une horreur. Sale. Et le supplice dur trois jours. Trois jours mise au fer et traité comme un sex toy vivant. 3 jours a suinter le sang. Trois jours a souffrir. Si seulement... Si seulement je m'en étais doutée... Puis les portes s'ouvre. Aveugle je me rue sur mon bourreau, mes dents s'enfoncent dans sa chair. Ma haine s'invente un nouveau sort. Couvert de sang, je fuis... La vie reprend son cours. Mais je ne suis plus la même, brisée et déchue je suis morte à l'intérieur. Inexistante, je suis une salissure, un larve immonde. Chaque foi que je ferme les yeux, je revois leur regard... Puis les portes de wynhood s'ouvrent, avec elles un nouveau cauchemars. Une nouvelle foi déchirée avant même d'entrée... Je le revois, sa cicatrice, il m'a retrouvée et terrifiée, je ne peu pas bouger. Il est là, dans ma caisse. Le matin se lève à peine. Il recommence, mon corps à nouveau violer. Puis il s'en va, me laissant nue et déchiré, je le vois tituber puis tomber. Je n'ai même pas pus le tuer. Vous méritez tous de mourir, vous, lui, tous ceux qui me désire. Tous ceux qui me veulent. Vous crèverez de mes propres mains. La mort n'est pas toujours visible. Je suis morte depuis longtemps. Et je ne revivrais pas. Ainsi débute mon lycée, trainée par ma rage, n'attendant que la vengeance, haïssant le sexe pointus.
Alors ma vie vous a plus. Mes souvenirs, coincés dans mes intestins? Vous êtes vous repus de mes fantômes? Avez vous appréciez de connaître la triste histoire de Kate Evanesco. La Morte-Vivante?
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Un peu plus ...
Code : Code Ok. T. Comment avez vous connu le forum ? DC Une remarque ? J'aime la confiture de fraise =D
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