Wynwood University
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 « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish]

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MessageSujet: « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish]   « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish] EmptyLun 9 Juin 2014 - 22:17

Nastya Verbitzky




Id Card

ÂGE : 15 ans.
DATE DE NAISSANCE : 25 mai.
LIEU DE NAISSANCE : Saint Pétersbourg
CLASSE: Sophomore.
3 CONFRERIES AU CHOIX SM, lambda et RK.
RICHE OU BOURSE D'ETUDE : Riche.
AVATAR: Nastya Smakova.
SCÉNARIO OU PI ? PI.



Forum's buisness

CODE : Ok by Matt
SECRET ENVOYE ? : ✔️ | (à remplir par un administrateur) écrire.
SOUHAITEZ-VOUS UN PARRAIN / MARRAINE : Nop, j'en ai déjà une qui déchire  :love: .



Code:
→ Nastya Shmakova [color=red]ϟ[/color] Nastya Verbitzki



My physical is mine


« Ici, tu décris ton personnage physiquement. Son style, sa morphologie, s'il a les cheveux en pétard, ou raides, c'est toi qui choisis. Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de 300 mots.

Le jeune homme, pour la troisième fois depuis qu’il les a reçus, étale les photos pour les admirer. Elles sont magnifiques, toutes, il le savait puisqu’il connaissait déjà les moindres détails par cœur. Elles représentaient toutes une fille, de la naissance à son âge actuel. Une fille du nom de Nastya. Le russe était comme fasciné, obsédé par elle. Son père, qui le poussait depuis le début à se rapprocher d’elle, l’était tout autant. Mais il était impossible de savoir, sans entrer dans leur cerveau et sans pouvoir lire leurs réflexions, de savoir si cette obsession était vraie. Si elle ne cachait pas un but moins … appréciable

En tout cas, le garçon, de bientôt 17 ans maintenant, étudiait une fois de plus les clichés avec intensité. Puis, comme si ils lui donnaient de l’inspiration, il se mit à écrire :

Nastya Vierbitzky,
Londres, Angleterre

« Chère Nastya,

Je t’écris ce mot depuis Moscou, ou le soleil est chaud et l’atmosphère assez lourde. Je ne comprends pas pourquoi tu pars à Miami juste quand il y a du soleil au pays. D’ailleurs, je ne comprends pas pourquoi tu pars tout court. Toi qui m’avait confié en avoir marre de ces déménagements incessants et « insupportables », pourquoi continues-tu ? Tes parents étaient prêts à se baser à Moscou ou Saint Pétersbourg jusqu’à la fin de tes études, juste pour te faire plaisir.
Même si tu en crois le contraire, chaque détails, chaque indices, chaque choses que j’apprends sur toi obnubile mes pensées. Tu crois que je ne te connais pas soit disant par ce que je ne t’ai rencontrée qu’une unique fois, mais tu te trompes. Je sais que tu n’aimes pas avoir tort, ça je m’en souviens bien, oh oui, tout comme la jolie tarte que j’ai reçu le jour de notre rencontre.
Pour te prouver que je te connais mieux que quiquonque, je vais te décrire.

Tu te nommes Nastya, et tu as 15 ans. Pour ton âge tu es dans la norme, ni très grande ni très petite, avec ton mètre 64. Quant au poids qui s’affiche sur la balance, il n’est pas plus lourd qu’une plume, puisqu’il tourne autour des 45 kilos. Tu es donc fine mais bien proportionnée, en jouissant d’une silhouette élancée et d’une démarche élégante, grâce à la gym et au patinage. Toujours grâce à la pratique de ces deux sports, tu es musclée et très souple, ce qui te porte parfois avantage, mais surtout ce qui impressionne pas mal de gens, dont moi.

Mais mieux, visage est tout aussi beau que ton corps : des traits fins, légers, comme une poupée de porcelaine qu’on aurait peur de casser. Des cheveux lisses noirs corbeau, que tu laisses le plus souvent détachés, j’imagine que c’est pour symboliser ta « rébellion ». Tes cheveux, je les imagine doux et soyeux, parfaits. Si seulement tu m’avais laissé les toucher … Mais non, tu as préféré « m’attaquer » me menacer, mais c’est là que j’ai pu croiser ton regard si incroyable, profond. Des yeux gris, qui peuvent virer au bleu/gris quand tu es très heureuse, ou quand il fait beau. Tu les protèges souvent du soleil avec tes lunettes, mais moi je trouve ça dommage. Si j’avais été là à chaque fois que tu le mettais, j’aurais insisté pour que tu les enlèves. C’est vrai que ça te donne un style, mais ne pas voir les yeux d’une personne me dérange, personnellement. J’imagine que c’est pareil pour beaucoup de monde.

Ta peau est parfaite, sans imperfections, et parait extrêmement douce. Généralement, tu n’as pas l’air de bronzer des masses, je suis curieux de voir si tu prendras le soleil à Miami. Quant à tes habitudes vestimentaires, c’est facile. Le style urbain ça te connait, même si tu aimes aussi les mini shirt avec un petit haut imprimé ; des baskets, et te voilà prête ! Je suis sûr que ta fidèle casquette obey et tes lunettes de soleil feront partis de ton voyage !

Enfin, pour tes habitudes de maquillage, c’est généralement assez léger. Un peu de mascara, parfois du crayon ou de l’eye-liner mais tu aimes rester naturelle. Quand tu décides de mettre du gloss ou du rouge à lèvres, ta préférence va vers le pêche ou le rose pâle, pour rester discrète.
Alors, la rebelle, qu’en penses-tu ? Serais-tu capable d’en faire de même ?
Eh, oui, j’ai une bonne estime de toi, n’est-ce pas ? ♥️

Ton preux chevalier, love ♥️



Ideas in my head


« Maintenant, tu décris le caractère de ton personnage. Ses tics, ses manies, dépressif, ou alors super sociable, c'est toi qui choisis. Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de 400 mots.

M. Bolchakov,
Moscou, Russia.

«Ola la la, j’ai les larmes aux yeux. Venant de toi, en plus. Non mais sérieusement « mister le prince », dans quelle langue il faut te le dire ? Lâche l’affaire, je ne t’aime pas, point barre.

Je vois que tu t’es amusé à décortiquer toutes mes photos, c’est à ce point que t’as rien à faire dans la vie ? J’avais cru comprendre que tu avais un grand avenir, on voit que ça promet hein.

Et puis, c’est pitoyable ! Comment peux-tu prétendre me connaitre alors qu’on ne s’est vu qu’une seule fois ? Si seulement je pouvais, je te remettrais une autre gifle pour que tu me lâches enfin les baskets. Tiens, j’ai une idée : je vais te faire un petit portrait tout « mignon » de moi comme ça tu verras qui je suis vraiment et en échange tu ne m’écris plus. De toute façon ça devrait réussir à te faire fuir, il parait que les filles qui n’ont pas la carrure de princesse, c’est pas ton genre.

Je n’ai beau avoir « que » 15 ans, je sais me débrouiller toute seule dans cette grande jungle qu’est le monde. Partir, seule ou avec n’importe qui ne me fais pas peur. J’aime être libre, pouvoir prendre mes propres décisions. M’évader. La rue, c’est ma seconde maison. C’est là-bas que j’ai rencontré mes meilleurs potes, les vrais et pas les hypocrites qu’on trouve dans les écoles de gosses de riche que j’ai pu fréquenter. Ils m’ont appris à me démerder, à vivre au jour le jour. A être indépendante. Ils m’ont aussi appris à faire la fête, à m’amuser. A dépasser mes limites. A m’ouvrir aux autres tout en me méfiant des rivaux. Première cigarette, première virée en boite, c’étaient eux. Ils ont même développé ma sensibilité artistique, et c’est ainsi que j’ai fait mes premiers graf. Néanmoins, je me suis vite laissée de ça, préférant quand même dessiner sur une feuille.

A l’origine, je n’avais pas ce caractère rebel que j’affiche maintenant. J’étais une enfant obéissante, sage et bonne élève. La parfaite petite fille chérie à papa et maman. Comme dans beaucoup d’histoires, ça n’a pas duré : nos déménagements incessants commençaient à me devenir insupportables.
La proximité de la rue m’a littéralement transformée, j’y ai découvert un monde que je ne soupçonnais pas. Si on tourne le dos aux différents trafics, l’entraide et l’amitié qui y régnait était incomparable à ce que j’avais pu vivre auparavant, dans les quartiers riches.

Néanmoins, je ne me caractériserais pas comme un de ces dealers. Mais plutôt comme une jeune fille « rebelle », qui dit juste merde au système, mais surtout à ses parents. Une fille qui souhaite juste vivre librement et faire ses propres choix. Exister autrement que de part de ses origines au sang bleu. Oui, c’est ça exister.

Profiter de la vie, faire la fête. Avoir des amis, aussi compte énormément pour moi. Malgré mes airs d’ado en crise, je suis une fille sensible qui accorde beaucoup d’importance à l’amitié. Quand on me trahie, j’ai très mal bien que je ne laisse la plupart du temps rien paraitre.

Si je ne « réussis » plus à l’école, c’est plus par contradiction qu’autre chose. Pour donner un signal d’alerte à mes parents, pour leur rappeler que j’avais mon mot à dire. J’ai maintenant moins d’intérêts pour les cours, tout particulièrement pour les matières scientifiques, même si je maintiens un assez bon niveau dans les matières littéraires et les langues. J’aime beaucoup écrire, et lire aussi. Contre toute attente, j’ai une sensibilité artistique très développée, chose que je cache. En secret, j’adore lire de vieux poèmes et en écrire, à mon tour.

« La littérature » une passion cachée, le sport un passe-temps affiché. En effet, je pratique la gymnastique depuis que je sais marcher, tout comme le patinage. Très vite, le second sport s’est démarqué et a pris la plus grande place dans ma vie. Comme les deux étaient complémentaires et étaient même essentiels l’un pour l’autre, je les combinais, tout en sortant en compétition de patinage artistique. Mon entraineur disait que j’étais une future championne, ce qui, dans un premier temps, emballa mes parents. Puis, à la suite de nombreux déménagements, j’arrêtais, reprenais, ce qui freinait ma progression. Aujourd’hui, c’est le seul sport que je pratique, j’ai laissé tomber la gym. De temps à autre, je fais de l’atlé, mais pas de manière régulière. Par contre, mon skate est toujours dans le coin, puisqu'il est un de mes moyens de transport, n'ayant pas encore l'âge de passer le permis.

Mes parents me poussent de nouveau à devenir une patineuse professionnelle « au vu de mes résultats scolaires » comme ils disent, et continuer tout en l’intensifiant, l’entrainement était une des conditions pour partir à Wynwoodhs.

Le patinage artistique est pour moi un moyen m'évader, de montrer une autre facette de ma personne. Avec toutes ces années de pratique, j'ai appris à connaître ce sport, à l'apprécier, puis à en faire quelque chose d'indispensable. J'ai besoin de ma séance de patinage, c'est mon oxygène.

Ah, et, un dernier truc qui me parait important : je suis assez rancunière, j’ai du mal à oublier et pardonner.

Not in love, your future nightmare “♥️”»


Story of my life


« Pour terminer, il nous faut savoir ce qu'il s'est passé dans la vie de ton personnage. C'est totalement libre. Tu peux le faire sous forme de journal, de RP, avec des chapitres... Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de 500 mots.

Me voilà, enfin, dans l’avion pour Miami. J’observe, rêveuse les nuages à travers le hublot. Puis, dans un élan d’inspiration, je me lance et commence à raconter ma vie à ce bouquin, chose que je n’ai jamais faite.

Journal de Nastya Verbitky

Jeudi 12 juin 2014, Londres-Miami


« Tout d’abord, je veux préciser que ce journal n’est pas un journal intime. Je n’écrirai pas dedans tous les jours comme ces filles débiles en robe de cendrillons avec leur petit stylo pailleté argent. Ce journal, il servira à retranscrire les choses importantes de ma vie. Pas pour moi, mais pour les gens qui comptent à mes yeux.

Commençons par le commencement … Je suis née à Saint Pétersbourg, dans une clinique privée assez huppée, de mère et de père russe, et d’une grand-mère maternelle française.

Mes parents sont des accros aux voyages, et travaillent d’ailleurs dans le milieu : ils cherchent les meilleurs endroits à visiter, les meilleurs hôtels, tout ça pour un milieu plutôt aisé, ce qui leur assure un très bon revenu. De plus, la famille de mon père est une « grande » famille russe, donc nous avons récupéré beaucoup d’héritages, de relations …

Tellement blogue-trotter que 15 jours après ma naissance, nous sommes partis direction le Canada. Nous y vécûmes moins d’1 an, si bien qu’il ne m’en reste aucun souvenir, mis à part la tonne de photos qu’on put prendre mes paternels. Ensuite, nous revîmes habiter pour 1 an à Saint Pétersbourg, pour la naissance de ma petite sœur, Diana. Prénom de princesse pour un caractère de princesse, une vraie peste caractérielle et égocentrique. Sans oublier ses innombrables caprices, que mes parents ne manquaient pas d’exécuter.

Comme à ma naissance, nous déménageâmes très peu de temps après l’arrivée de Diana, pour nous rendre cette fois-ci en Suisse. 2 ans plus tard, j’avais fait ma première rentrée en petite section, et alors que je devais rentrer pour la seconde année de maternelle dans cette école privée suisse, nous changèrent radicalement de genre, pour aller nous installer en Afrique du Sud, dans la capitale Johannesburg. J’y poursuivis mon apprentissage pendant 2 ans encore, tandis que ma petite sœur grandissait et m’avais rejointe à l’école. Plus elle grandissait, plus son visage d’ange transpirait l’hypocrisie et les manières de diva. Entre nous, c’était généralement des disputes incessantes, et malheureusement le temps n’a pas calmé les choses. Au fond, je l’apprécie, bien que je doute qu’il en soit de même dans l’autre sens. De plus, elle est d’un naturel extrêmement jalouse, et depuis que l’autre imbécile me court après, c’est de pire en pire. Pour tout arranger, je crois bien qu’elle en est amoureuse, et bien soit, qu’elle m’en débarrasse.

Bref, après ces deux ans en Afrique du Sud, notre petite famille changea de cap pour l’Inde, ou nous ne restâmes qu’un an. Mes résultats scolaires étaient toujours excellents, et le fait de changer de pays et de culture aussi souvent m’apportait beaucoup. Aujourd’hui, je parle le Russe, l’Anglais, le Français l’Espagnol, et je baragouine un peu d’Allemand et d’Italien. Je connais même quelques mots dans les langues des peuples. Après cette unique année chez les Indiens, j’entrais en CE1, en Australie cette fois-ci. Je m’y plaisais bien, c’est même un pays que j’avais adoré. Nous y séjournâmes 2 ans, comme la plupart de nos destinations.

A force de changer de pays, de donc de climats, je suis totalement habituée à toutes les températures de la Terre. Chaud, froid, je n’en ai absolument rien à faire. J’ai déjà croisé ses tornades, et je dois dire que c’était impressionnant, mais maintenant au moins je sais comment gérer.

Après la Russie deux fois la Suisse, l’Afrique du Sud, l’Inde et l’Australie, on mit les voiles direction la Norvège. C’est juste le temps d’une année qu’on s’y gela les orteils, étant donné que ce n’était pas un pays très touristique. Néanmoins, j’ai beaucoup apprécié la simplicité des norvégiens et leur façon de travailler, à l’école.

10 ans, entrée en CM2, dernière année avant le collège. De la maternelle au primaire, les enfants n’étant pas encore trop influencés, je m’entendais bien avec tous, malgré les manières de bourgeois de leurs parents. C’est plus tard, dès mon entrée en 6e plus précisément, que cela se corsa.

Mon année de sixième, je l’effectuais en France, à Paris plus précisément. Comme tous les établissements que j’avais fréquentés auparavant, c’était une école privée et très réputée, avec les gens et les manières qui vont avec. Ça m’a très vite insupportée, et c’est à ce moment que je commençais à me « rebeller », doucement mais surement. Mes notes ne baissèrent pas tout de suite, mais je tenais tête à mes parents, trainais plutôt avec les gens pas fréquentables selon mes parents. Pendant 2 ans, jusqu’à mon entrée en 4e, je commençais enfin à ouvrir les yeux et à faire la part des choses, à chercher des moyens pour me sortir de ce milieu dans lequel j’étouffais.

Mes dernières années jusqu’à aujourd’hui, je les vis en Angleterre, à Londres. Comme presque toujours, la capitale. Age de 13 ans, je traversais la ville et errais dans les rues en cherchant quelque chose à faire d’intéressant. C’est ainsi que je rencontrais la bande à Walid, avec qui j’ai passé les meilleures années de ma vie jusqu’à présent. On faisait des conneries, mais on s’amusait, on sortait en boite, en soirée, on faisait des petites réunions. Mes parents, exaspérés par mon attitude, me proposèrent tous les chantages du monde pour m’empêcher de me rendre dans la banlieue. Peine perdue, j’avais trouvé le lieu où, enfin, je me sentais à ma place.

Ce qui leur faisait le plus peur, je pense était surement la drogue. J’y ai goûté, quelque fois mais je préfère la cigarette. Eux doivent surement imaginer que je deale ou quelque chose du genre, mais c’est pas le genre de notre bande, nous, on ne fait que s’amuser, et ça ne va jamais plus loin qu’une petite connerie de jeunes de quartiers, on cherche pas les ennuis.

Un « beau » jour, mes parents voulurent me faire rencontrer ce gars, dont j’ai parlé précédemment. Celui qui me harcèle avec ses lettres bidon et ses pseuso-sentiments. Mais moi je n’y crois pas, je ne veux pas. On est retournés, le temps d’une semaine, en Russie mon pays d’origine. Je dis « le temps d’une semaine », mais si je n’avais pas pété mon câble, j’y serai restée bien plus longtemps. J’adore la Russie, mais pas ma vie là-bas. Tout ce que je veux, c’est être libre.

Nous (mes parents, ma sœur et moi) rencontrâmes donc le fameux garçon et sa famille. A vrai dire ça me fesait plus que chier, ça me mettait hors de moi. L’après-midi spéciale coincée passa, ma sœur bouillonait de jalousie sur place parce que « mister le prince » me dévorait des yeux et était trop attentionné. De mon côté, je répondais froidement aux questions et me contentait de ne pas parler, de manger les petits gateaux qui étaient servis. Juste avant de partir, j’eus un petit tête à tête avec le fils des copains à mes parents, qui finit, par s’abréger très rapidement en une bonne claque dans sa tronche de ma part.

Rentrée « à la maison » , ou plutôt « à la maison de Russie », je n’ai pas parlé jusqu’au diné, moment ou ça a éclaté. Pour faire court, mes parents m’annonçaient qu’on n’allait pas renter à Londres, qu’on y avait « déjà passé trois ans ». Je me suis levée, et est déballée d’une traite toutes mes pensées, puis je leur ai posé un ultimatum : soit « je me casse », soit « vous me laissez choisir ». J’étais en position de force, parce que pour eux, grands bourgeois, avoir une fille émancipée c’est pas la classe. Après moultes négociations et conditions, je réussis à négocier un billet pour Miami et Wynwoodhs, ou je commencerai les cours dès la rentrée prochaine. J’avais bien essayé de négocier Londres, mais impossible, ma liberté étant plus forte que tout, j’ai opté pour les USA.

Là, maintenant, je suis dans l’avion pour Miami. Je respire le bonheur et la liberté, et pour me combler ma sœur n’est pas à mes côtés. Mes paternels ont acceptés que j’arrive à Wynwoodhs en avance pour repérer les lieux, et étant en pleine période d’examens, je n’y serai que pour faire jolie.

Enfin libre et heureuse, même si ma bande me manque, je m’aperçopis que j’ai gribouillé plus que ce que je pensais sur ce carnet. Mais avant de clore ce premier épisode, je voudrais rajouter la raison de ce geste, écrire ma vie sur ces petits bouts de papier.

« Ce n’est pas sur un coup de tête que j’ai décidé de faire ce que je suis en train de faire, écrire les moments marquants de ma vie. Lorsque je suis allée acheter ce carnet, mes idées étaient parfaitement claires : je voulais imiter ma grand-mère maternelle, « la française ». A l’anniversaire de mes 15 ans, c’est-à-dire le 25 mai, mes parents m’ont offert son « journal intime ». Elle y avait écrit toutes ses pensées, mise toutes les photos qui représentaient ce qui avait marqué sa vie, réécrit tous ses poèmes préférés. Même décédée, grâce à ce journal elle m’a appris à apprécier la littérature française, à chercher le sens de chaque chose qu’écrit le poète. C’est quelque chose que je garde parfaitement secret, et que même ma petite sœur ne sait pas, mon petit monde à moi. »

Je pose mon stylo, satisfaite, tandis que le pilote annonce au même instant l’attérissage de l’appareil. M’y voilà, je descends vers ma nouvelle vie !









Prénom/Pseudo : Jenny
Âge : Un petit bout de siècle
Où as-tu connu le forum ? : Par une amie
Une remarque particulière? : Il love you so much ♥️♥️♥️





(c) Suika





Dernière édition par Nastya Verbitzky le Jeu 12 Juin 2014 - 20:16, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish]   « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish] EmptyLun 9 Juin 2014 - 22:32

Comme je l'ai sans doute déjà dit, rebonjour à toi. Joli avatar au fait, et bonne chance pour le reste de ta fiche :D
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MessageSujet: Re: « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish]   « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish] EmptyMar 10 Juin 2014 - 4:08

jennyyyyyy *-* rebienvenue et bon courage pour ta fichette !
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MessageSujet: Re: « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish]   « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish] EmptyMar 10 Juin 2014 - 10:33

Filleule d'amour *-* :coeur2:

Rebienvenue à toi, et courage pour ta fiche, hâte de découvrir ce nouveau perso :dans:

(Super avatar au passage *-*)
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MessageSujet: Re: « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish]   « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish] EmptyMar 10 Juin 2014 - 13:43

Cousiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiine :bighug: J'adore ton vava, bonne chance pour ta fiche et... Je veux un lien ^^
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MessageSujet: Re: « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish]   « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish] EmptyMar 10 Juin 2014 - 13:55

OWA! Moustache!  🐱 

Re bienvenue! Courage pour ta fiche, j'adore ce magnifique vava *.* et en plus j'ai vu que tu postulais pour les SM, très bon choix  :smile1: 
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MessageSujet: Re: « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish]   « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish] EmptyMer 11 Juin 2014 - 19:09

Re re rebienvenueeeeeeeeeeeeee :)
Un lien je penses sera OBLIGATOIRE !!  :calin: 
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MessageSujet: Re: « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish]   « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish] EmptyJeu 12 Juin 2014 - 20:15

Merci vous tous ♥️♥️♥️

(Ah ah mon vava à du succès  8) )

Joy : Evidemment :)
Elena : Ehh ouais, je postule chez les rouges, ya que les cons qui changent pas d'avis  :P 

A y'est fiche enfin finie :D
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MessageSujet: Re: « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish]   « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish] EmptyJeu 12 Juin 2014 - 20:57

Wynwood High School



congratulations !
Tu es Validé(e);
« Et voilà Jenni, t'es validée !

Tu te retrouves donc en sophomore, Nastya sera chez les sans confréries: Il va falloir tu participes à au moins 2 rp dans lesquels tu devras répondre deux fois minimum. Une fois chose faite, tu pourras envoyer un mp à un membre du staff qui se chargera d'ouvrir ton conseil qui permettra aux chefs de choisir la confrérie qui te correspondra le mieux. De toute façon, tu connais ! Bref, amuse toi bien avec ce nouveau compte ! Bon jeu !

P.S : N'oublie surtout pas de faire ton choix de cours ici ! »

Tu peux dès à présent faire ta fiche de liens et puis aussi celle de tes RPSs. Pour être plus à l'aise avec les diverses choses qui te sont proposées sur le Forum, je t'invite à aller consulter le Guide complet de WHS. Et si tu as le moindre soucis, ta marraine ou ton parrain, ainsi que chacun des membres sur le forum (surtout du Staff) reste à ta disposition ! Bon jeu (:




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MessageSujet: Re: « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish]   « Vivre c'est changer du temps en expérience. » ~ Nastya [finish] Empty

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