Sean Anders
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ÂGE : 18 DATE DE NAISSANCE : 5 février LIEU DE NAISSANCE : New York CLASSE: 12th Grade, Senior years CONFRERIE : Sigma Mu çu / Pi Sigma πσ / Alpha Psi αψ RICHE OU BOURSE D'ETUDE : Riche AVATAR: jamie campbell bower SCÉNARIO OU PI ? PI | Forum's buisness
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→ jamie Campbell Bower [color=red]ϟ[/color] Sean Anders
My physical is mine
- Papa, rappelle moi déjà pourquoi on doit faire ce shooting photo à Central parc ? dit Sean avec un air détaché et pas réveillé
- Enfin, mon fils c’est pour ce rappeler de l’allure que tu avais à 17 ans, comme chaque année c’est les photos de famille, souffla le père avec moins de conviction qu’il ne l’aurai voulut.
Le gamin pensant alors à quoi bon faire une photo de famille sans sa mère… A la place il y avait une brune au teint pale qui resterai pour 2 mois avec un peu de chance. La « copine » de son père, qui avait bien évidemment outre passé son rôle de manager.
Qu’est ce que son père cherchait à faire, figer la panoplie du beau gosse, le grand blond, aux yeux bleu. L’immortaliser pour la postérité, pour le souvenir d’une époque. Aller chercher ce qu’il se passer dans la tête de son cher père. Avec ses cheveux mi-long et totalement en pétard on aurai dit qu’il revenait d’une soirée bien arrosée avec la jeunesse dorée de New York qui avait duré toute la nuit. Il passa une main dans ses cheveux comme pour remettre de l’ordre dans sa crinière dorée. Ensuite il passa la main sur sa veste de costume pour la remettre correctement. Sean était sidéré par le costume noir qu’il portait qui lui allait si bien. Un nouveau se rappela-t-il, surement acheté pour aller voir l’orchestre de son père jouer. Sean voulait rentrer se changer remettre un t-shirt et portait son cuir dans lequel il se sentait si bien. L’habitude. Il avait prix grand soin de cacher ses tatouages que son père détestait voir, le vieil homme lui répétait sans cesse que c’était une honte. Qu’il était dessus que son fils est besoin de s’écrire à l’encre sur la peau pour avoir une identité.
Enfin le shooting commença une photo de famille, une photo avec son père, quelque autre photo. Des photos seul aussi. A la fin son père tint absolument à ce qu’il regarde le résultat, sans grande conviction il jeta un œil. Sur la photo ses yeux gris étaient glacials. Il savait bien maintenant, a force de se regarder dans le miroir, de se que lui disait les autres que la couleur de ses yeux changer du gris froid au bleu vert intense.
-La journée va être longue, souffla-t-il alors dans le vent… Ses yeux froids sur la photo, lui faisait bien comprendre…
Ideas in my head
-Sean, tu peux venir ici, me demanda la voix rassurante de ma mère.
- Oui ta mère et moi devons t’expliquer quelque chose, déclara mon père. Dans sa voix, il y avait une sorte de triste, comme une flamme qui s’éteignait quand j’y repense.
- Ton père est moi nous divorçons mais ca ne veut pas du tout dire qu’on ne t’aime plus tu sais, tu viendra vivre avec moi pendant un petit moment, mais tu verra ton père toute les semaines. Tu sais qu’on t’aime mon chéri…. Souffla finalement ma mère.
Voilà ce que je me souviens de se jour la de la triste que j'avais vu dans leur regard avec mes petits yeux d'enfant. J’avais 5 ans quand mes parents mon annoncé qu’il divorçait. A 10 ans ma mère est parti s'installer à Vienne et depuis on se voit a chaque vacances dans un nouveau pays on Voilà ce que je me souviens de se jour la de la triste que j'avais vu dans leur regard avec mes petits yeux d'enfant. J’avais 5 ans quand mes parents mon annoncé qu’il divorçait. A 10 ans ma mère est parti s'installer à Vienne et depuis on se voit a chaque vacances dans un nouveau pays on visite et passe du temps ensemble. Je comprenais rien à la situation à l’époque. Maintenant en y repensant cette conclusion semblait logique… Tout le monde me disait pauvre gosse, il est si jeune et dois faire face à cela en plus… Notre entourage avait pitié de moi. C’est surement pour ça que je suis devenu antipathique. Enfin, qu’est que je pourrai dire sur moi.
Ma mère me manque beaucoup depuis qu’elle a décidait de vivre en Europe. Faut dire que mon père voulait me garder au près de lui et que ma mère ne voulait pas rester sur New York. Elle devait partir… Je voulais aller avec elle quand j’avais 10 ans… Mais je ne pouvais pas choisir, et elle a décider qu’il valait mieux que je reste la ou il y avait mes racines, mes amis. C’est la cas eu lieu la première rupture dans ma tête. J’ai débarqué chez mon père chez qui je ne vivais que les weekends. Je ne le connaissait pas vraiment à cette époque toujours a faire des concerts dans tout les Etat-Unis ou juste a composer de la musique la ou il bossait. Le changement fut rude. Très rude, je ne mis suis pas habituer je me suis mis à faire des conneries, sortir seul dans les rues, voir mes potes, faire le pitre en cours. Faut dire que ca me changer, c’était la liberté pour moi, ma mère avait des règles stricte sur les sortie avec les potes, sur mes activités.
Je disais donc la liberté… C’est à ce moment la que la musique est devenu une chose vital de mon existence, exit le piano que mon père tenait tant à ce que j’apprenne avec ses cours interminables, je me suis mis à jouer de la guitare quand je trainais à Central Park avec mon meilleur ami.
La réalité cependant revient à mon visage comme un coup de poing, c’était un sentiment d’emprisonnement que je ressentais en vivant ici. Ma vie était rythmée par les représentations de mon père et les dîners mondains auxquels je devais assister pour jouer à la famille soudée. C’est donc vers mes 11-12 ans que j’ai développé une personnalité multiple. Que je m’explique, très relaxe et cool sans prise de tête avec mes potes, le premier pour les conneries. Faut sauté dans une fontaine, allons y les amis ! Puis une seconde personnalité devant les autres ce qui ne me connaissait pas ou j’étais une personne assez cultivé pour suivre une conversation, mais ou je joue à l’idiot, celui qui ne sait pas pour les ragots, qui n’a pas d’avis sur tel ou tel sujet. Je me suis adapté à ce monde de riche et j’y ai fait ma place maintenant que j’ai 18 ans, c’est deux personnes compose mon être à part entier, je ne suis ni tout l’un ou tout l’autre. Je m’adapte à ce que la personne en face de moi attend.
Cependant il ne faut pas croire que je n’ai pas de caractère. Si vous creuser un peu plus profond vous verrez que l’adaptation n’est qu’une solution pour avoir plus vite la paix. Je ne cherche pas a te plaire en m’adaptant, je cherche à savoir qui parmi toi et tes petits amis vos le coup que je mis intéresse.
Je suis un grand fêtard dans l’âme (alcools, cigarettes, drogues, tout y passe), et oui mon père m’a bien donné quelque chose, son gout pour l’alcool et les filles. J’aime à penser que je suis un dieu du sexe et il n’est pas rare que je prenne un idiote juste pour un soir. Les relations sérieuses très peu pour moi. J’aime à penser que les n’en valle pas la peine. Quel sont moins bien que moi ? Un brin prétention ? Oui aller peut être, mais surtout c’est que je ne trouve pas de filles avec un physique assez flatteur et une tête bien remplit.
Mes amis, c’est la chose la plus importante pour moi, après ma mère. La fidélité et la confiance sont les bases de ce que je recherche chez mes amis. Je laisse jamais personne derrière. C’est pour ca qu’il m’arrive aussi d’être impulsif. Heureusement que mon meilleur ami et la pour me calmer dans certaine situation. Emotionnellement, je suis pas sans cœur, mais si les gens qui ne me sont pas proche de moi pensent ça, alors ca m’arrange.
Avec mes voyages en Europe pour retrouver ma mère j’ai aussi développé un gout très prononcé pour les arts, littératures, théâtre et musique (mais en ayant des parents musicien c’est le BABA). Avec elle et les débats enflammés que nous avons j’ai développé un certain sens critiques des choses et j’aime me faire mon opinion par moi même. Cependant c’est l’année de mes 15 ans que j’ai découvert la littératures la vrai, et depuis je ne vie que pour écrire le livres parfait, utiliser les mots à mon avantage et créer une histoire qui touchera les gens dans la manière de la raconter. Je dois être fou comme type. Mais je pense que c’est normal.
Je n’ai cependant pas parlé de mon frère, c’est un sujet tabou dans mes maisons ( mère et père). C’est interdit d’en parler, alors avec le temps je mis suis mis à ne plus y penser avec le temps les choses s'en vont d'elle même…
Story of my life
Vendredi 11 septembre 2013, Ce soir c’est grande soirée pour fêter… ? Oh… je sais plus encore une idée de Clara qui nous sert d’excuse comme toujours pour organiser une soirée. Clara est entrain de se préparer, il lui faut au moins 2h comme à chaque fois qu’elle se retrouve dans sa salle de bain… Une vrai femme, enfin heureusement que ca vaut le coup qu’elle passe autant de tant car même si elle est très belle au naturel, cette demoiselle c’est aussi très bien mettre en valeur ses atouts. Sa chevelure blonde, ses yeux vert, et son corps ni trop fin, ni trop épais… C’est juste un régale pour les yeux. Disons le nous, je me la taperai bien un jour. Quand notre cher meilleur ami Maxime aura compris qu’elle ne veut pas de lui. Maxime, mon plus vieil ami, malheureusement amoureux à sens unique de Clara, qu’on a rencontré à l’âge de 14 ans. L’âge bête comme on dit, enfin notre trio a fait un bout de chemin maintenant on a 17 ans. Clara a su s’imposer entre Max et moi, avec son caractère bien trempé et son impulsivité. Des fois je vous avoue qu’elle fait peur quand elle s’énerve mais bon, on l’aime comme ça notre petite Clara. Ce qui est beau chez elle c’est quel est douée dans tout ce quel commence. Ca va de l’exposé en cours à la méga soirée branchée. Une fille en or cette petite toujours la pour aider ses amis.
Max est enfin arrivé je lui et ouvert la porte avant de me remettre à écrire, pendant se temps la lui il est sur la batterie, oui on est plutôt musicien dans notre bande de pote, Max à la batterie, Clara joue de la basse. Et moi guitare et piano. On a pas fait de groupe c’est juste pour se détendre de temps en temps qu’on joue ensemble. Bref reprenons Max joue de la batterie et il a l’air hyper énervé, je me demande ce qui s’est passé. D’habitude c’est le genre de personne à être hyper calme, serein et posé pour toute situation. Même si c’est le premier à m’accompagner dans mes conneries.
… Il m’a dit que son père avait décréter qu’il devait allait plus tard à Harvard… Sauf que lui bien il ne veut pas. C’est comme ca dans le monde des riches ont dirai que tes parents planifie la moindre minute de ton existence. Et même si ses parents sont cool il n’empêche que des fois il a pas trop le choix.
Clara est sortie de sa salle de bain pour nous demander de sortir les paquets de cigarettes et autre substance verdâtre ou blanche de sa planque, et si est de suite renfermer. Comme je suis entrain d’écrire c’est Max qui s’en occupe. Il mets aussi une bonne musique électro histoire de bien commencer la soirée. Quoi on est des jeunes bons vivants non ? L’alcool et les drogues font partie de notre quotidien même si je ne suis pas non plus accro, j’essaie de faire gaffe. Avec Max on surveille surtout Clara car c’est elle qui en prend le plus. Je me fais du souci pour elle.
Enfin on en parlera une prochaine fois faut bien que je quitte ce journal pour parler et faire la fête avec mes potes non ?
Novembre 2013,Cher journal, je repense à mon frère, faut dire que c’est la période, ca fait combien de temps maintenant 10 ans, je sais même plus, surement un peu plus…
Je me demande quelle aurait été ma vie si on était resté ensemble. Si les parents serait encore ensemble…
Je suis plutôt un type hors des rangs, je ressens un peu trop les choses, je me fais passer pour un idiot, c’est plus drôle de voir les gens penser qu’ils sont plus intelligents. J’aime profiter de la vie, il n’est pas rare que je sois soul avec mes amis, que je prenne de la drogue. Je suis un fumeur accro à la caféine. Pourtant y a aussi cette autre part de moi qui vaut mieux que ca je pense, cette part qui connaît bien les vins, les grands chefs d’œuvre classique. Cette part de moi qui aime lire les plus grand livre.
Hier soir y avait une fille dans mon lit, une de passage encore…
J’espère qu’un jour j’arriverai a atteindre mon rêve, je veux devenir écrivain, écrire et décrire la vie comme je la vois. Avec toute la médiocrité que possède les gens tout les défauts et la mocheté du monde. Alors je vis à 100 à l’heure, je me brule les ailes, j’expérimente tout, je m’adapte. C’est ca mon monde… L’adaptation pour écrire tout ce que je vois.
Lundi 10 février 2014,Cher journal, on dirai bien c’est pour de bon cette fois, mon père en a marre, il m’envoie chez ma mère à Vienne. Qu’est ce que je vais aller faire à Vienne loin de mes potes, loin de ma ville, loin de ma vie. Je l’emmerde pas pourtant, il fait ça vie tranquille, il gère son orchestre et moi je fais ce que je veux. Il ramené qui il veut dans son lit et moi je sors faire la fête c’était ça le contrat. Pourtant c’est dernier temps il a remarqué que mes périodes d’absence était bien plus longue que je ne rentrait plus tout les nuits à la maison. Et me faire virer de deux écoles à causes de mes absences et de mes impertinences envers les profs n’ont rien arrangé. Il s’est mis à jouer au père une nouvelle fois… Ca fait bien longtemps. Peut être veux-t-il se donner bonne consciences, ou alors il a peur de se qu’il pourrai m’arriver comme ce qu’il s’est passé avec George, mon frère… Je n’y avais pas songé depuis longtemps à lui… Enfin.
Comme je vais bien pouvoir vivre moi sans mes amis. Et vivre à Vienne non mais sérieusement je ne sais même pas quelle langue il parle la bas. Le viennois ? Aucune idée… Au moins je passerai du temps avec ma mère si elle est pas trop occupé avec son violoncelle et ses répétitions pour l’orchestre de la bas. J’aurai toujours ma guitare… C’est déjà ca de prix. Avec deux parents qui travaillent tout les deux dans des orchestres il valait mieux que je joue d’instruments. Peut être même que dans l’appartement de ma mère il y aura un piano, pas comme chez mon père ou à part sa baguette de maestro on ne trouve pas un instrument… Ah oui ma guitare passe souvent chez lui, mais à chaque fois il me dit que c’est n’est pas un instrument digne de moi, d’une famille de musicien… Que s’est un instrument pour les pauvres… Blablabla. C’est généralement le moment ou j’arrête de l’écouter.
Quoi qu’il en soit si ca ne réussit pas à Vienne il m’a promis de m’envoyer très loin de New York et de mes mauvaises fréquentations… Et bien on voit qu’il me connaît celui la… Sachant que mes meilleurs amis sont premièrement le fils d’un des rédacteurs en chef du plus célèbre journal de New York et ensuite la fille d’une des stylistes les plus en vogue… Toujours à coté de la plaque ce vieux. Dans tout les cas je ne sais pas ou j’attirai si je ne reste pas à Vienne.
Ma mère, ca va me faire du bien de la revoir ca fait quoi 1 an qu’on ne c’est pas vu depuis l’été dernier qu’on avait passé à Paris. Je suis triste pour elle, elle souffre beaucoup, faut dire qu’elle ne s’est jamais vraiment remise de toute cette histoire d’enfance. Pour moi aussi c’est douloureux mais je ne me souviens plus alors bon je continue de vivre ma vie.
Aller cher journal à demain, la je prend l’avion pour Vienne.
Avril 2014, Cher journal, ma mère, a eu un accident de voiture… C’est en roulant trop vite sur la route pour aller me chercher au lycée, c’est ma faute, à moi et mes conneries. Elle était convoquée chez le directeur à la suite d’une de mes conneries. A ce qu’il parait j’ai amené des feux d’artifices à l’école… Bon certes c’est pas une rumeur, je voulais montrer de quoi l’américain était capable, j’aurai eu toute les filles à mes pieds si j’avais réussi le soir juste avant la sortie des élèves de cours, à déclencher c’est feux d’artifices. Vous imaginez la classe d’avoir fait ça ? Et pour le fun en plus… J’aimerai tellement quel soit fière de moi… Mais même au lycée je suis incapable d’être sérieux.
Faut dire que je n’ai pas de trop de mauvaise note malgré cette langue de viennois, de me**e, que je ne comprends pas. Je parle l’anglais bordel, je viens de New York j’ai nullement besoin d’apprendre d’autre langue. Passe encore le Français quand j’étais au lycée ça faisais toujours son petit effet au près des filles. Alors je me permets de m’éclater un peu en cours je suis arriver ici je connaissait personne, et maintenant je connais quelque personne, un gars qui fait de la photo, et sa petite amie. Je m’entends super bien avec le type sauf qu’il faut qu’il arrête de me dire qu’il veut que je sois son modèle. Rien à faire moi de ses histoires de shooting. Je suis beau pas besoin de m’exhiber partout. Ensuite y a qui dans mon petit groupe à oui il y a Luisa Wegner. Cette fille magnifique qui ne connaît pas du tout son potentiel et totalement inaccessible car elle préfère ses mathématiques et sa physique, au vernis et autres accessoires de mode. Un avion de chasse un beauté à l’été brut, un fille brune, grande, fine, et surtout intelligente et cultiver. Je l’ai connue car c’est la fille d’une amie a ma mère avec qui elle joue dans l’orchestre et on est dans le même lycée c’est d’ailleurs elle qui m’a fait rencontrer les deux autres.
Mon père a pété les plombs en apprenant la nouvelle, il a largué la nouvelle fille avec qui il était, la pauvre après 6 mois, soulignons que c’est un exploit, elle se voyait surement déjà a bague au doigt. Je me rappelle de l’avant dernière assistante/manager de mon père elle avait quoi 22 ans si je me souviens bien et moi seulement 16, c’était chaud au lit entre nous. Elle était sortie avec mon père par naïveté et puis bon après 2 mois de passion folle il commençait déjà à la délaisser et comme le gentil mec que j’étais je l’avais réconforté à ma manière. Le bon vieux temps des conneries. Bref, il a pété le plomb lâché sa copine, et pris l’avion… Oui il vient à Vienne, il a dit que c’était fini qu’il avait honte, que j’en arrive même à mettre la vie de ma mère en jeu. Que j’étais un enfant pourri gâté, qu’il avait raté mon éducation, que finalement c’était sa faute. Et surtout il a dit que je rentrerai aux Etats Unies avec lui mais que je ne rentrerai pas à New York avec lui que je partirai pour une école à Miami. Loin très loin de sa vie, et de ma mère, qui selon ses mots ne méritait pas un pauvre gamins paumé à qui la vie avait tout donné. C’est faux la vie ne m’a pas tout donné, l’amour d’un père elle me l’a pris, elle m’a aussi pris ma famille avec le divorce de mes parents, ou encore mon frère.
Avec ma mère je ne suis pas comme ça, elle souffre depuis tellement longtemps, alors je veux juste quel soit fière de moi, elle est du genre mère poule, surprotectrice. Toujours à vouloir savoir ce que je fais avec qui, à quel moment, quand je rentre… Heureusement, ce n’est pas comme mon père qui lui me juge et me fait la moral, si j’ai seulement le malheur de sortir une fourchette d’un tiroir… Non avec ma mère ce n’est pas comme ça, le soir, je peux sortir avec mes amis, mais je sors aussi avec elle au théâtre, on va voir des concerts à l’opéra. On partage nos gouts de la musique et la même conception de celle ci, que c’est un partage qu’on joue pour nous mais d’abord pour les autres pour donner un peu de bonheur à un certain moment, d’ailleurs elle était enchanté que je sorte de l’avion ma guitare sur l’épaule. Oh moins une qui fait partie de mon fan club, pas comme mon crétin de père.
Malheureusement, j’écris tout cela assit sur un siège de la salle d’attente de l’hôpital, j’écris dans ce journal pour me changer les idées ne pas voir le temps passer je ne veux pas la perdre. Je l’aime trop pour ça c’est la seul avec mes amis New Yorkais qui me connaisse mieux que moi même. Un médecin arrive…
… J’ai parlé avec le médecin, elle a une grosse commotion, mais une grande période d’observation et une attention constante devrait suffire. Elle n’a rien aux mains. Heureusement je ne me serai jamais pardonné si elle ne pouvait plus jouer. J’irai la voir dans une heure comme le médecin ma dit, elle a besoin de se reposer.
Je vais donc partir loin d’elle, loin de ce partage vital que j’ai avec ma mère, de ce lien indescriptible qui nous unis. Loin de la seule réel femme de ma vie… C’est peut être la meilleur solution. Au moins elle sera fière de moi si je réussis dans cette école à Miami. Si je me range, dans la boite beau mec qui fait pas de grosse connerie. Si je me souviens bien, ma mère vient de Miami… Elle doit bien connaître cette école de gosse de riche alors. Peut être même qu’elle y a été, qui sait. Je vérifierai ça.
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Prénom/Pseudo : Lili Âge : 20 ans Où as-tu connu le forum ? : sur internet Une remarque particulière? : Ca fait longtemps que j'ai pas fait de RP en tout cas j'espère m'éclater ici
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(c) Suika