Kovu McLean × Hear me roar

Id Card ÂGE : 18. DATE DE NAISSANCE : 21-03-1996. LIEU DE NAISSANCE : Miami. CLASSE: 12th Grade. 3 CONFRERIES AU CHOIX : Pi Sigma (de préférence) / Sigma Mu / Rho Kappa RICHE OU BOURSE D'ETUDE : Riche. AVATAR: Mariano Di Vaio. SCÉNARIO OU PI ? PI.

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→ Mariano Di Vaio ϟ Kovu McLean

« Ici, tu décris ton personnage physiquement. Son style, sa morphologie, s'il a les cheveux en pétard, ou raides, c'est toi qui choisis. Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de deux cents mots.
Kovu éteignit l'arrivée d'eau, ouvrit la porte opaque et sortit de la douche. C'était l'été, il faisait chaud, alors le jeune homme ne prit pas la peine de s'entourer d'une serviette. Il attrapa sa brosse à dent et croisa son propre regard à travers l'immense miroir de la salle de bain.
Il sourit. Ses yeux, un étrange mélange améthyste et de saphir, examinèrent son reflet avant de s'arrêter sur le sourire qui s'étendait sur ses lèvres, dévoilant une rangée de dents blanches comme une publicité de dentifrice. J'ai de la chance, pensa-t-il, et ceux qui me voient en ont tout autant. Il se laissa à rire tandis qu'il observait une goutte d'eau rouler sur les muscles de ses bras. Il était svelte , ses bras étaient finement musclés mais pas très gonflés. Son torse, par contre, il n'en était pas peu fier. De bons pectoraux, et des abdos parfaitement sculptés. Mais ce qu'il préférait, c'était sa mèche. Tantôt brune, tantôt teinte en blonde, il avait des cheveux que les filles ne pouvaient s'empêcher de trifouiller. Il gardait en plus de cela, une petite moustache pour l'effet "fashion victim vintage". Kovu passa une main dans ses cheveux – un tic récurrent chez lui, et détourna enfin son regard de la glace. Faudrait peut-être qu'il arrête de poser devant la glace comme lors des shootings photos qu'il faisait. Oui, car il aimait autant poser en tant que modèle que de prendre lui-même des photos.

-Kovu bouge ton cul ! brailla la voix de sa sœur derrière la porte de la salle de bain, une voix qui le tira de ses pensées.



« Maintenant, tu décris le caractère de ton personnage. Ses tics, ses manies, dépressif, ou alors super sociable, c'est toi qui choisis. Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de deux cents mots.
Kovu McLean en avait entendu des vertes et des pas mûres à propos de lui. Chacun donnait un avis bien tranché sur lui. Pour la plupart, ce n'était qu'un gosse de riche prétentieux, exaspérant, et indomptable. Oui, il est vrai que pour le décrire rien ne vaut l'image d'une bête sauvage ; Un prédateur, qui saute sur toutes les occasions de se faire remarquer. Il chasse les filles – et même une fois un garçon lors d'une soirée (très) alcoolisée. Son tableau de chasse est plutôt impressionnant mais ol répertorie surtout les sanctions. Professionnel dans l'imagination de conneries pour défier l'autorité, il est néanmoins pas discret. Il préfère se vanter de ses exploits auprès de tout le monde. Lorsqu'il n'aime pas quelqu'un, cette personne va vire un enfer jusqu'à ce qu'il se trouve une autre tête de turc. Quant aux personnes qu'il aime, il va les aimer et les défendre coûte que coûte. Avec eux il installe rapidement une relation fusionnelle. C'est donc un meneur, quelqu'un qui aime être vu, respecté, et aimé par ce qu'il considère comme l'élite de la population.
Kovu, au lieu d'étudier, d'aider les gens ou une activité culturelle, préfère jouer avec la vie en séchant les cours, frauder pour choper de l'alcool, ou tout autre projet dans le seul but de s'attirer des ennui. Il réfléchit des fois, en fait il est même carrément conscient qu'il fait quelque chose de mal, et alors ?



« Pour terminer, il nous faut savoir ce qu'il s'est passé dans la vie de ton personnage. C'est totalement libre. Tu peux le faire sous forme de journal, de RP, avec des chapitres... Nous te demandons juste à ce que cela fasse plus de trois cents mots.

Kovu entra dans le grand salon. A l'image de toutes les pièces de la grande maison, le salon était immense ; et surtout immensément vide. Le silence régnait dans la demeure des McLean. Depuis tout petit, Kovu vivait dans cette maison des quartiers huppés de Los Angeles. Même après le décès de sa mère, son père avait décidé de garder l'immense maison. Parole de Kovu, on pouvait même faire des soirées à boire et fumer sans que son père qui était à l'autre bout de la maison ne s'en aperçoive. Son père. Lorsqu'il y pensait, le jeune homme se demandait bien comment sa mère, cette artiste rêveuse, avait bien pu se marier avec ce trader coincé. D'ailleurs, pensa-t-il, lorsqu'il va rentrer je vais me faire allumer.

-Kovu ! l'interpella une voix féminine qu'il reconnut immédiatement.

Le garçon soupira et s'assit en tailleurs sur la table basse – normal selon lui, et écouta ce que lui voulait sa sœur.

-Papa va te tuer tu sais. Faut que t'arrête tes conneries. Franchement, coucher avec ta prof de maths puis lui faire du chantage … T'es content d'être viré de Perton High School ? Papa n'aime pas qu'on lui fasse gaspiller son argent et qu'on marche sur ta notoriété. Enfin, je dis «on » mais c'est toi le seul coupable. Il t'as inscrit à Wynwood et j'espère pour toi que tu ne fera pas de conneries.

Kovu ne dit rien, il se contenta de rire et de réajuster sa mèche. Sa sœur Asha s'exaspéra.

-Et arrête avec cette manie de princesse. Tu es prétentieux et inconscient.

-Ta gueule, rétorqua-t-il.

-Kovu !

Ce n'était pas la fille qui avait parlé mais une grosse voix grave. Kovu se retourna et vit son père dans l'encadrement de la porte. Ce dernier marcha d'un pas vif et se planta devant son fils.

-Est-ce que tu te fous de ma gueule ?! Et enlève ce sourire de ta bouche ! Tu n'est qu'un petit con. Silence ! ordonna-t-il alors que son fils allait répondre. Ce n'est pas comme ça que tu deviendra quelqu'un. Non, il ne te suffira pas de sourire et de profiter de mon argent.

-Tu m'ennuies, bailla Kovu.

Kovu se leva de sa position assise et quitta la pièce malgré les ordres de son père. Juste avant de disparaître du chant de vision de l'adulte, il se retourna et dit :

-Je deviendrais acteur, ou simplement je me marierais avec une femme riche. Je ne suis pas stupide, je sais bien que je ne suis pas un surdoué. Mais ce qui réussissent le mieux ne sont pas les plus intelligents. Je réussirais, et je m'en fiche de ce que tu penses. Maman, elle, elle avait plus d'ouverture d'esprit. Elle aimait comme moi la photographie, et comprendrait mon ennui pendant les cours de maths ! Franchement, l'économie c'est pur les gens chiants !

Prénom/Pseudo : Patrice Âge : 16 Où as-tu connu le forum ? : Google est mon ami Une remarque particulière? : Un manque atroce de licornes !

(c) Suika