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 Après le rp... l'écriture ? Galerie d'Eris.

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MessageSujet: Après le rp... l'écriture ? Galerie d'Eris.   Après le rp... l'écriture ? Galerie d'Eris. EmptySam 12 Fév 2011 - 1:50

Voici ma galerie !

Bon, moi, je suis nulle en graphisme. En revanche je suis musicienne et je me débrouille pas trop mal en écriture...

Mais comme je ne peux pas vous faire entendre ma voix, voici un texte que j'avais intégré dans un rp par le passé, qui me plait vraiment ! (j'vous jure qu'il est de moi !)



    Poème pour une Princesse.


    Trouver les mots justes. Pencher la tête. Des cheveux bruns et flottants, lisses et doux. Une couverture de poésie. Il flotte un parfum d'affection. Quelque chose de voilé, dans un léger flou artistique. Une main caressant des draps chauds, douce torpeur. Près d'elle, le sommeil. Une pointe de poison doré, la lumière du soleil éclairant la blancheur du coton. Il fait beau, aujourd'hui. Regardant à travers la fenêtre, on admire un pan de ciel bleu. Des doigts blancs caressent le verre froid, glacial même. Un souffle léger frôle la vitre et la décore avec tendresse d'une buée tiède. Perles d'eau, sensation de froid. Le tissus sur sa peau. Elle frissonne. En elle la volupté, la plénitude, comme si autour d'elle tout changeait, formes, couleurs, modelant le monde à sa guise dans un espoir ténu de réaliser ses désirs. Décor blanc, meubles pâles. Ses yeux parcourent la pièce et en admirent les formes. Tout est moderne, ou presque. Au bord de la fenêtre, des roses blanches, pureté divine, caresse, frisson. Un bouquet frais, réfléchissant la lumière du soleil, extérieure, avec élégance. Elle s'est levée, démarche souple, légèrement voilée de sommeil. Elle a quitté la chaleur de son nid pour rejoindre l'extérieur. Libre qu'elle est, comme un oiseau, battre des ailes et s'envoler, petite reine, petite princesse. Un corps si svelte, une finesse naturelle, comme ses yeux caressant le ciel en une douce étreinte. Rien ne peut altérer son bonheur, rien ne peut l'empêcher de poser ses yeux d'abord sur le dehors, les roses, le lit, ce corps qui est allongé, là, assoupi, sur le ventre, tenant l'oreiller comme un enfant, cette position lascive, ces draps qu'elle a écarté, dévoilant un dos sculpté avec la grâce des nymphes. Des amours. Eros. Elle frôle son habit de soie, remonte la douce bretelle sur ses épaules. Blanches. Rien qui puisse l'effrayer, cette petite bille de femme. Elle a avancé dans l'incertitude. Comme un chaton qui ignore qu'il se mouillera la patte s'il la plonge dans l'eau. Candide, en soif de découverte. Elle a vu les joies et les peines, le monde et ses secrets. Avec tendresse elle a traversé les âges sans faire attention au temps qui est passé, se contentant d'observer avec le stoïcisme d'un philosophe les évènements, jaugeant, notant. Plus de famille, juste la prison, la peau fraîche et blanche, de la porcelaine. Elle séduisit et tua. Aima puis haït. Elle apprit à vivre en pleine évolution. Le monde changeait, elle non. Figée au paroxysme de ses trente ans, une nostalgie si rare pour des gens comme elle. Qui regretterait une existence immortelle ? Arrivant au présent elle se prit pour une érudite. Mais nota bien vite qu'elle se trompait. Elle n'avait rien retenu. Rien, que dalle, nada. Elle y songeait, sa tête dodelinant sur son épaule, pour se détendre, encore une fois. Encore une fois, ses mains passent sur sa propre peau, une main, un geste. Si pâle. Si blanc. Le désert qui avance, le fracas assourdissant du silence, l'amour d'un geste, un seul. Pousser le romantisme jusqu'à la passion, des notes d'une violence sans pareille, des trilles, des triples, du mineur à chaque étape, la, sol, ré, puis prendre sa relative, monter en tons voisins, et sentir la légère et candide accalmie. Tout doit se terminer dans une réconciliation. Classique. Si classique. Des milliers de fibres incandescentes l'ont traversée, embrasée, de part en part, elle a dansé comme une princesse puis chuté lourdement sur le sol, en proie à un espoir de bonheur. Et elle a espéré. Tant espéré, avant de trouver. Son bonheur, il est là, étendu et paisible, les cheveux légèrement emmêlés, les bras au-dessus de la tête, au-dessus de ce dos musculeux. Baroque. Si proche et à la fois si loin. Une fugue. Elle se redresse et son regard quitte le firmament. Elle s'approche, calme et mesurée. L'aube aux doigts de rose qui se profilent, à travers les fins rideaux de la fenêtre, la pièce illuminée de couleurs chaudes, la rendant belle, si belle, cette nymphe aux jambes blanches. Lentement elle l'atteint, lui, cet enfant endormi, se rapproche de lui. Un détail. Son visage appuyé contre les plumes, ses si beaux yeux couleur océan invisibles, cachés derrière ces paupières closes, de légères rides à peine marquées autour de ces derniers, et ces cernes, toujours ces cernes, qui dessinent un croissant de lune ombragé derrière son visage rude. Cela lui donne un certain charisme, cet air ténébreux qui à la fois l'effraie et la fascine, perle de passion et curiosité feinte. Amant aux mains d'or, tu as façonné son corps comme les dieux ont façonné Lilith. Tragique destin, n'y en a-t-il pas d'autre ? Elle se perd, de sa main blanche s'allonge sous les draps et caresse avec tendresse à l'air paisible, les traits adoucis et calme comme le plus pur des anges. Un nez fin, des sourcils sombres. Un dos musclé, dépassant du drap blanc jusqu'à l'achèvement de sa raie dorsale. Sa main dessine du bout des doigts le tracé langoureux de ce chemin. Son corps est frais. Après l'ivresse, le refroidissement. Un divertissement et une joie inespérés. Trouver autre chose que le chagrin et se tourner vers la félicité. Tout est une question de calcul, oui, de calcul, si tout était terne, elle mourrait. Mais ici, ça et là, des explosions de lumière. La Terre qui s'arrête. Que dire de plus ? Trouver les mots ? Elle l'a aimé, plus que de raison, et à présent elle caresse ce visage apaisé, enfin, comme si là, son enfant l'attendait, pleurant à chaudes larmes. Elle cherche mais ne trouve qu'une volupté apaisée. Tout a son temps, même l'amour. Des jambes qui se serrent contre un bassin en extase, des gouttes de sueur perlant sur ce corps brûlant de désir. Elle ferme les yeux et se laisse aller au souvenir de la nuit. Rien de compliqué, non. Tout s'est passé si vite. Elle n'a rien vu venir, cette reine. Par la main il l'a entraînée. Ils ont franchi, ensemble, paume contre paume, des notes de musique plein la tête. Des escaliers en grès sombre, ses pas résonnant lorsqu'elle montait les marches, et si elle avait eu un coeur il aurait battu à la chamade. Une transe de joie et d'amour, en fait. Elle, robe noire, masquant ses pieds, dos-du et décolleté à dentelle. Pour ajouter la beauté à l'élégance, elle avait mis en plus, avec pudeur, une parure noire, collier et boucles d'oreilles à feuilles noires, motif métallique aux allures de naturel, dire que tu étais jolie, princesse, était une évidence. Il t'a entraînée, là-bas, dans une danse équivoque et pleine de charme. Vos corps ont virevolté, dansé au rythme d'un bal effréné. Vos doigts enlacés, plus peur de l'interdit. Des lustres, musique, carrelage de verre, lumière des merveilles, digne d'un bal princier, toutes ces tenues et ces couleurs. Elle, elle était la reine du bal, la princesse des mille et une nuits. Rien ne pouvait faire offense à sa joie. Tout concordait si bien, son costume crème, son visage empli de douceur, ses mains, fraiches et divines dans les siennes, florilège de sensations, ambiance festive. Elle, le clou du spectacle après le feu d'artifices. La joie non contestée, tout était fait pour elle. Ses cheveux en bataille, ses yeux de chat dans les siens, océan. Baiser sur la terrasse, à l'abri des regards. La pureté et l'empressement. Son visage s'embrasant sous les étoiles. Jusqu'à ce que ce bal se termine, s'achève dans un décor somptueux, et que prince et princesse décident de quitter l'assemblée à pas furtifs, sans être découverts. Offre lui un baller, une danse. Fais-lui découvrir la passion et l'amour, montre-lui les astres et explique leurs formes. Aime-la et elle t'aimera, avec pour compagne ces airs bondissants de musique chassant flagornerie. Sonate, symphonie, aria, amore, rondo veneziano. Elle te montrera la poésie de ces notes qui défilent, te fera chanter, allemand, russe, italien, ces cantates et ces cantiques, ces lieds et ces récitals, de toute tailles et de toutes expressions, n'importe quelle époque. Si tu pleure. Romantisme. Si tu l'aimes avec ardeur puis apaisement. Classicisme. Tout. Tout, elle te montrera tout en musique. Montée des marches, tapis rouge. Dans la lueur de la lune, il a plongé ton regard dans le sien avant de déposer sur tes lèvres la fleur d'un baiser, pur et docile, avant la brise. Avant que tout s'enflamme, avant que leurs deux corps se mettent à parler la même langue. Des baisers du même nom, des caresses sensuelles, vêtements presque déchirés, en lambeaux. Pureté, calme, de l'ambiance étouffante, les corps sous les draps dans une une étreinte longue et folle, le bien-être et la chaleur, le plaisir et la plénitude, pas de douleur, juste le reste. Lui, elle, deux êtres enveloppés dans le feu ardent du bonheur, des soupirs et des cris, bruits étouffés. Son visage à lui dans on cou à elle, ses mains dans ses cheveux, leurs yeux clos, la bouche légèrement ouverte pour y accueillir sans peine ses lèvres. Des mouvements tendres et doux, pas de crainte, pas de peur, juste un attachement sensuel et sincère, des mains moites sur des corps brûlants, se lever, se rallonger, fermer les yeux et les rouvrir, regarder son visage amoureux, pâmé d'une forte ambiance, une attirance plus qu'équivoque. Elle veut toucher le ciel en caressant son être. Pas d'animalité, juste de l'humanité. Tout en eux célèbre leur union, leur passion. Ils se sont aimés, cette nuit, avec plus d'amour que de raison. Pas d'autre solution. Ils n'ont pas réfléchi, leu raison s'est perdue. Pas de philosophie. De son tempérament de feu naît l'attirance et les sentiments, pour lui, son ange. Et ce matin l'aube est belle. Elle contemple son visage apaisé, plongé dans une morte agonie. Elle est là, cette muse. Elle l'observe, et ouvre les yeux, pour voir cette lueur, là. Si seulement elle pourrait le voir le voir sourire. Calme. Tranquillité. Silence. Juste une respiration. Son dos qui se soulève puis retombe, ces légers soupirs après chaque inspiration. Différents à chaque fois. Ce visage, doux. Ces yeux, clos. Cette expression, paisible. Elle songe à la danse. A ses pieds maladroits, en contraste avec ses mains pleines d'assurance et de tranquillité. Oh oui, que cette duchesse était malhabile, une petite pouliche à côté du noble lion. La peur l'avait prise. Mais non. Mais si. Dualité. Amour. Sa main qui le caresse. Il ouvre lentement les yeux. Prunelles bleutées. Une ébauche de barbe mal rasée. Une longue main qui, sortie de nulle part, attrape faiblement l'autre pour s'y accrocher. Il ferme les yeux, les ré-ouvre, mais elle est toujours là. Aucun doute. Pas de sourire, pas de mots doux. Juste les lumières qui brillent. Elle l'avait prévu. Pression plus forte contre sa paume. Faut que tu comprennes. Qu'elle te veut, et ce pour l'éternité. Il n'y aura personne d'autre que toi. Tu es sa part d'ombre, destructrice et salvatrice à la fois. Tu es son coeur, si timide et si pur en même temps. De quoi fais-tu preuve, lorsque ton regard croise le sien ? Dans ses pupilles, elle chante un duo amoureux. Plein d'espérance. A croire que cette nuit elle aporté le nom de Vespucci, pour être ainsi fascinée par son visage, et sa découverte. En tout cas, elle parcours ta joue du bout des doigts, t'espérant heureux. Mais tes yeux maintenant éveillés ne montrent rien. Et aucune surprise ne se lit sur son visage. Aucune déception non plus, elle savait que ça se passerait comme ça. Elle a juste été trop conne pour croire aux fables. Elle se lève avec lenteur, sa tenue virevoltant derrière elle comme pour exprimer la paix. Sa bouche jette des mots, froids, et sans pitié. Sa main lâche l'autre presque violemment. Elle sait que maintenant le conte de fées est fini et bien fini. Des solutions, il n'y en a plus. D'amour, il n'y a sans doute jamai eu. La magie ça n'existe pas. T'aurais dû le savoir. Avant de lui donner ton corps. Tant pis, c'était sympa. Vraiment. Non, ne te retourne pas c'est pas la peine, il apprécie le spectacle de ton dos presque nu. Il redresse son corps, coudes sur le matelas un peu dur. Et son visage prend une toute autre forme, lorsque tu esquisses un pas pour t'enfuir. Un mot, juste un. S'échappe de sa bouche, rauquement mais de la manière la plus puissante qu'elle puisse être. Jeté dans la foulée, un ton sûr de soi mais angoissé, suppliant. Passe la barrière de ses lèvres après avoir frôlé ses cordes vocales. De l'air qui s'échappe. Mais de l'air avec tant de poids.

    « Attends ! »


    Impossible. Le seul mot qui lui vient à l'esprit. Limite si elle ne se marrerait pas. C'est du foutage de gueule. Il enfonce le couteau. Ne te retourne pas. Ne lui fais pas face. C'est tout ce qu'il veut, et il aura gagné. Tu veux qu'il gagne ? Contre toi ? Ce serait si facile, tu es si fragile. Comme une goutte d'eau avant de s'écraser. Avant de toucher le sol. Admire. Ces espaces. Ce calme plat. Cette étendue, ce monstre de cauchemar. Il a joué, mais tu n'as rien vu, et pourtant tu n'es pas étonnée. T'es space, comme nana, c'est clair. Et t'as pas d'humilité. En fait, t'es out. Tu es prisonnière. Mais cet appel ? Et ce silence, après ? On entend le piaillement d'un oiseau, sous le toit. Le grattement des loirs. Les bruits de cette humble Nature, qui veut combler le vide. Mais certaines choses ont des limites. Alors, pourquoi elle se retourne ? On peut savoir ? Ô cruelle, ô Eris, ô Discorde. So far Away. Près de lui. Il fait tout ce qui était prévu. Il attrape sa main, regard suppliant. Assumes, à présent, car ton choix est fait, l'option inéluctable. Tu essaies, pourtant. Ce regard durci. Mais il ne mène à rien, il est presque risible, aboli, si triste. Peu de choses, si peu. Et pour le coup elle est surprise, en croisant son regard. Pas du tout ce qu'elle attendait. Il l'attrape, oui, l'oblige à se rallonger. Entoure son corps svelte de ses bras puissants Son odeur, si délicieuse, partout autour d'elle, la chaleur de son être, délicieux. Mais ces mots n'en sont que renforcés lorsqu'elle les écoute. Elle sent le bonheur revenir. L'illusion est passée. Grâce à une seule phrase. Il n'y a pas à dire, ses mots ont du poids. Ils montrent tout son attachement. Tout son besoin de l'avoir là, ici, et maintenant. Et elle écoute sa berceuse en fermant les yeux, ses lèvres qui murmurent, si près de son oreille, à l'en faire frissonner.

    « Je t'en prie, reste près de moi. »


    Achèvement.



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MessageSujet: Re: Après le rp... l'écriture ? Galerie d'Eris.   Après le rp... l'écriture ? Galerie d'Eris. EmptySam 12 Fév 2011 - 2:21

Voici mon humble avis, Eris ! Mais il faudra quand même que je le relise quand je serai moins crevée ! :D

Pour moi, super début. Tu écris très bien, même si parfois les phrases toutes aussi courtes les unes à la suite des autres m'ont perturbée. Pas de fautes d'orthographe, ça aussi c'est important ! Peut-être juste un "séduisit" quelque part qui ne me semble pas très correct, mais à part ça, impec' ! Sauf qu'à un moment, le mot "conne" se pointe et je trouve personnellement que ça vient casser toute la poésie du texte. Idem pour la fin, où langage actuel un peu plus "léger" se mélange aux belles phrases pleines de mots savants :D (D'ailleurs tu as beaucoup de vocabulaire, c'est impressionnant :D)

En fait, je ne suis pas sûre d'avoir compris qui elle est... Mais j'ai bien aimé ! Ah, et je trouve que ça ferait un super texte de slam... Ne me demande pas pourquoi, mais j'ai déclamé quelques passages et ça donne vraiment mieux écouté que lu :D

Voilà, c'était l'humble avis de Pollo, partie un. La partie deux, ça sera pour quand je serai éveillée et au top de mes capacités ! x) J'aimerais beaucoup maitriser la langue française aussi bien que toi ! :) Chapeau bas, m'dame !
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MessageSujet: Re: Après le rp... l'écriture ? Galerie d'Eris.   Après le rp... l'écriture ? Galerie d'Eris. EmptySam 12 Fév 2011 - 20:35

Merci pour les conseils Pollo ! Et pour les compliments aussi ^^' c'est adorable !
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MessageSujet: Re: Après le rp... l'écriture ? Galerie d'Eris.   Après le rp... l'écriture ? Galerie d'Eris. EmptyDim 5 Juin 2011 - 20:14

Bon allez, je passe aux images ! J'ai fait quelques petits montages grâce à des tutoriels... bon, évidemment ça atteint pas des sommets, mais je suis assez fière de certains résultats.

Évidemment il y a des images personnelles, je vous demanderai de ne pas les prendre, ça serait cool =)

Eric Saade :

Spoiler:

Hugh Laurie :

Spoiler:

Parfaites inconnues :

Spoiler:

Et quelques signa'

Spoiler:

Ne soyez pas trop sévères ♥
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MessageSujet: Re: Après le rp... l'écriture ? Galerie d'Eris.   Après le rp... l'écriture ? Galerie d'Eris. EmptyLun 21 Nov 2011 - 23:41

Autres images.

Emilie Autumn :

Spoiler:

Sharon Den Adel :

Spoiler:

Anne Hathaway :

Spoiler:

Kate Beckinsale, pour Dream sur un autre forum :

Spoiler:

Voldemort ♥

Spoiler:

Johny Depp :

Spoiler:

Ezio ♥

Spoiler:

Autres :

Spoiler:
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