[Terminé] Une soudaine envie de parler. (PV Elena. A Armstrong)

En fait je m’étais complètement leurrer sur ma vie sentimentale et l’amour. Oui j’étais amoureux, oui j’avais fait souffrir des gens et oui je me sentais mal en ce moment même. Apollo, pas que je ne l’aimait pas mais lui ne pouvait pas me voir. Ma tête ne devait pas lui revenir… Au moins mon amie était heureuse et cela me faisait un grand bien de voir quelqu’un sourire. Et être simplement heureux sans se poser de questions. Je me levais du banc et commença à marché bras dessus bras dessous. Je m’allume une cigarette.

- TU es réellement radieuse au moins l’amour te réussit. Et j’aime te voir comme çà.

Mes paroles étaient sincères, en fait cela ne me dérangeait pas vraiment qu’elle sorte avec Apollo, je ne ressentait pas un quelconque sentiment d’abandon ou de jalousie. Peut être était-ce du au fait que moi-même j’aimais quelqu’un. Ou peut être tout simplement maintenant elle était devenue une amie et je ne ressentait plus aucune attirance physique envers elle. Je regarde ma montre l’heure était avancé et je devait me rendre à une séance photo dans moins d’une demi heure. Alors je m’arrête en plein milieu du chemin et regarde mon amie dans les yeux. Je lui fait un baiser sur la joue.

- Pas que je n’aime pas être en ta compagnie mais je dois y aller j’ai une séance photo dans vraiment pas longtemps. Alors on se téléphone et si tu veux parler d’Apollo oublie pas que je suis là. A plus ma puce.

Je pars en courant jusqu’à ma voiture, j’allais encore me faire engueuler si j’arrive en retard ce qui ne m’étonneras pas.

Bon je pouvais me faire une raison que ce soit Polo son amoureux et petit ami. C'était bien pour elle et elle était plus que rayonnante et j'aimais voir mes amis ainsi. Je la regarda intensément pour répondre que cela ne me dérangeais pas qu'elle me parle d'amour. Je lui avais que moi je ne croyais pas en l'amour mais pas que l'amour me dérangeait chez les autres loin de là du moment que mes amis étaient heureux je l'étais légèrement de mon côté si je ne pensais pas à mon futur.

- Oh non ne te méprends pas sur mes paroles, moi je n'ai jamais voulu croire en l'amour mais c'est seulement moi, mais l'affection plus qu'amicale pour une personne de mes amis m'intéresse et surtout toi.

Oui j'étais très bon acteur je ne pouvais encore une fois le nier. Je peux vous dire que j'aime les dramaturge plus que je ne l'aurais cru. Je voulais savoir comment se passait son histoire, je ne connaissais pas très bien son gothique alors je ne pouvais porter aucun jugement sur lui. Mis à part que je ne pouvais supporter le fait est que quand il n'aime pas une personne il ne cherche pas à la connaître mais je ne pouvais rien y faire, après tout ce n'est pas à notre âge que l'on peut changer de caractère comme ça à moins de souffrir d'un dédoublement de personnalité et je ne pensais pas que l'amoureux de mon amie fasse partie de la classe des schizophrènes enfin je l'espérais. Si je ne pouvais pas apprendre à le connaître en faisant partie de son groupe d'amis et bien j'apprendrais à le connaître par les paroles amoureuses certainement beaucoup trop optimiste mais bon c'était toujours ça de pris. Je souris à mon amie.

- Parles-moi de lui je t'écoute. J'aime bien t'entendre parler cela m'aide en quelque sorte à me détendre. Alors parle moi de ton copain.

J'avais l'impression d'être un parent qui cherchait à savoir par n'importe quel moyen quels étaient les fréquentations de leur enfant. Et je pris en quelque sorte conscience que j'étais devenue peut être un peu trop mature pour mon âge. Était-ce dû au fait est que je connaisse déjà mon avenir et qu'il était tout tracé enfin presque? Allez savoir et là je ne voulais pas vraiment penser à tout ça, j'étais en compagnie d'une charmante demoiselle qui était heureuse et à qui j'avais accorder le plus ma confiance. Reviens donc à la réalité mon pauvre James ou tu risque de te perdre dans des sombres pensées et certainement sombré à ton tour dans les tréfonds des abysses. Je repris un sourire et attendis que mon amie me parle de son mec comme on pouvait si bien le dire dans le jargon des jeun's de nos jours.

Terrible sentiments qui m'oppressent pourquoi avoir fait couler mes larmes devant elle, devant quelqu'un. Elle attendait maintenant une explication. Et je ne savais pas quoi lui fournir comme excuse. Je tombe dans ses yeux et cherche à paraître sincère cela n'étais pas vraiment difficile étant donné que j'étais très bonne acteurs. J'arrivais à dissimuler les chose et faire paraître quelque chose d'autre à la place. J'inspire un bon coup pour trouver une excuse de mon côté mais de son côté était certainement un dose de courage pour me lancer.

- Je ne sais pas, j'ai toujours cru que l'amour ne m'étais pas destiné que je vivrais seul, un vieillard aigri. Mais apparemment pas. C'est pour ça de m'avouer que ce n'était que des illusions me fiche un coup mémorable en pleine figure. Désolé de t'avoir inquiéter pour rien. Alors et toi pourquoi es-tu si joyeuse?

Bon mon ton n'avait pas défaillit et tremblait juste un peu mais ça passait pour quelque chose de normal. Merci au inventeur du théâtre et des mots. Au moins ça me servait à quelque chose les cours que mes parents m'ont fait prendre. Enfin à mon avis c'est plutôt pour que je puisse rester froid, distant, fier mais tout à la fois gentil et à l'écoute, et aussi certainement pouvoir manipuler les gens. Et oui dans le monde des riches on ne laisse pas ses sentiments à découverts, on se ferait si facilement marché sur les pieds. Je retourne à la réalité et regarde droit dans les yeux ma charmante amie.

- Alors racontes!

Voilà qu'Elena confirmait ce que je ne voulais pas m'avouer, j'étais amoureux et ça je ne pouvais pas y changer, même si je le voulais bien. Mon cœur avait rater un battement quand elle avait prononcer le mot amoureux, je ne voulais pas l'entendre, je ne voulais pas avoir d'attache, je voulais que personne ne s'attache à moi cela rendrait mon départ encore plus douloureux qu'il ne pourrait l'être. Je regarde mon amie droit dans les yeux, elle non plus ne connaissait pas mon secret. Je ne pouvais pas le dire j'étais lâche. Je ne pouvais pas leur dire, je ne voulais pas qu'ils me prennent en pitié et qu'ils me considèrent comme un infirme. Je voulais rester le même à leurs yeux. Je m'étais fais une raison pour ce qui était de ma vie future. Mais comment pourrais-je me faire une raison de les quitter, de quitter ceux qui m'entourent et de les abandonnés. Je ne pouvais pas, voilà pourquoi je ne voulais pas créer de lien entre moi et les autres, mais c'était fichu. J'avais dérogé mes propre règles. Je ne pu contenir mes larmes. Ma amie en fut alerter.

- C'est rien désolé, je sais pas ce qu'il me prend, j'ai pas contrôler ce flots de larmes. Excuse moi. Et sinon et toi qu'est ce qu'il se passe dans ta vie?

Mes larmes continuaient leur route dans le creux de mon cou, je les essuyaient de mes mains et fit un sourire à ma vis à vis

Elena était ravissante vraiment apparemment chez certain l’amour rends très heureux. Et j’eu très vite la confirmation alors comme ça elle sortait avec l’autre gothique j’y crois pas. Pas que je ne l’aime pas, mais lui il ne peut pas m’encadrer, même s’il avait une peinture de moi il devait certainement jouer aux fléchettes avec. Enfin j’étais heureux pour mon amie. Une amie qui me connaissait bien plus que je le pensais, parce qu’elle se rendit bien vite compte que quelque chose clochait. Quoique je devais bien avouer que mon comportement n’étais pas vraiment moi. Aller au foyer moi qui n’aime pas ça et la chercher partout ce n’étais pas pour un simple bonjour. Elle finit par me demander ce que je racontais et elle précisa bien pas de mensonges. Elle me connaissait vraiment bien même un peu trop je trouve. Nous étions sortis du foyer et nous marchions bras dessus, bras dessous dans une direction inconnus et je lui répondis.
Sans trop me poser de questions du tac au tac.

- Je crois que je suis amoureux! Mais je sais pas vraiment ce que ça veut dire. Alors je n’en suis pas sur. Je sais je sais tu vas me dire que je suis un handicapé des sentiments quand ça concerne les gens. Je connais ton discours par cœur maintenant Elena.

Elle réfléchis un long moment et je finis par rompre le silence, un peu trop pesant à mon goût.

- Je ne suis plus moi-même en sa présence, la timidité reprend le dessus et arrêtes pas de penser à elle.

Elle parut surprise, elle me dévisagea presque. Qu’Est-ce que j’avais pu bien dire?
Je me rendis compte alors que quand je lui parlais de mes problèmes sentimentales je parlais exclusivement de garçons et pas souvent de filles même jamais enfin je crois bien je ne me souviens pas réellement. Je ris devant le visage de mon amie.

- QUOI? Je sais c’est inhabituel que je te parle d’une fille mais dès qu’elle me touche même sans le faire exprès mon cœur s’emballe, quand je crois ses yeux bleus je me sens fondre, et quand je vois ses lèvres j’ai une irrésistible envie de l’embrasser. J’avais réussis à me contenir mais j’y suis pas arrivé dernièrement. Je sais plus quoi penser.

Nous étions arrivé près d’un banc et je me posa sans délicatesse dessus. J’espérais au fond de moi qu’Elena m’aide.

Elle m'avait remarqué et elle commençait à se diriger vers moi, je me lève et dépose mon ordinateur sur le fauteuil que je venais de quitter. Je n'eus pas le temps de savoir ce qu'il se passait que mon amie était dans mes bras en train de me faire la bise du siècle. Elle était certainement heureuse de me voire. Et certainement heureuse tout cours au vu de son visage illuminé. Elle sortait avec quelqu'un j'en était sûr. Espérons que ce ne soit pas Apollo, pas que je ne l'aimais pas mais c'était lui qui ne pouvait pas me blairer. Alors déjà que je ne voyais pas Elena souvent mais si elle était avec lui je ne la verrais plus jamais. Mais bon si après tout Apollo faisait son bonheur, je peux me priver de la voire. Je l'aime beaucoup trop pour la faire souffrir.


-Ça va depuis le temps !?

Je ne savais pas vraiment quoi répondre, est ce que j'allais bien? Je pense qu'on peut dire que je vais moyennement bien et moyennement mal. Alors pour ne pas l'inquiéter je répond:

- Je vais bien et toi? Tu es rayonnante? Bien plus que d'habitude.

Si elle me parlait d'Apollo je ne lui dirais rien pour mes problèmes je préfère qu'elle ne s'inquiète pas pour moi mais plutôt qu'elle soit heureuse. Je la regardais de haut en bas. Je range mon pc et lui tend la main pour qu'on aille ailleurs qu'ici. Ce n'était pas mon endroit préféré et j'aimais bien marcher en parlant. Elena le savait, elle ne dit rien quand je passe mon bras sous le siens.

- Alors qu'est ce que tu racontes mademoiselle?

J’avais en ce moment besoin de voir Elena, cela faisait un petit moment que je ne l’avais pas vu. Mes discussion avec elle me manquaient. Elle était de très bon conseil mais j’avais pas spécialement envie d’aller la voir pour qu’elle me donne des conseils sur ma vie. Surtout ma vie sentimentale, ça en ferait pâlir certain à mon humble avis. Ça faisait combien de temps que je n’avais pas… Arrêtons d’y penser parce que j’vais vraiment finir par être dépressif. La musique sur les oreilles pour ne pas changer, en fait si je voulais parler de ma vie sentimentale. Quand est-ce que je vais trouver quelqu’un qui m’accepterais comme je suis, et surtout qui me supporterait. J’étais chiant quand je m’y mettais mais j’étais de ces quelques personnes qui étaient beaucoup trop gentil et bonne poire quand j’accordais ma confiance aux gens. Je ne voulais pas de quelqu’un qui me marcherait sur les pieds. Et de plus qu’il ne devienne pas accro au point de me regretter une fois que je disparaitrais. Je sais, je sais ce que je demande c’est quelque chose d’improbable, je peux pas demander à une personne de m’aimer pour ce que je suis et que si je venais à disparaître soudainement qu’il passe à autre chose. J’en demandais trop même un peu beaucoup. Mais bon il fallait bien être exigeant en amour parce que bon si c’est pour me trimbaler je ne sais quel genre de personne. Enfin bon la pour le moment je cherchais mon amie, que bien sûr je ne trouvais pas, comme à chaque fois que je cherche quelqu’un, je mets toujours des heures. Je suis vraiment nul je ne suis même pas capable de savoir où mes amis squatte quand il n’y a pas cours. Bon et si j’allais faire un tour au foyer, j’aurais peut être de la chance. J’entre et vais prendre place sur un fauteuil ayant vu ma chère Elena qui n’est pas toute seule, j’attendrais qu’elle finisse ce qu’elle a à faire. Je change de musique à mes oreilles et regarde droit devant moi. Dans la direction où est Elena, elle est vraiment belle comme jeune fille, elle me ferait presque penser à une star de la chanson. Aller savoir pourquoi je pense à ça. Je fredonne la musique et prend mon ordinateur portable. Je regarde les photo que j’ai prise ces derniers jours. Il y en avait des pas mal et comme à chaque fois il fallait que je fasse le tri. Ce que j’aimais ça. Je deviens ironique maintenant moi. N’importe quoi. Je crois qu’Elena m’a repéré.