Sasha B. Cobb - Terminé.

My physical is mine

Tombeur. Voilà le physique de Sasha, un physique de tombeur. Du moins, jusqu’à présent personne n’a osé nier ce fait. Ou peut-être parce qu’il est lui-même persuadé d’être le plus beau. Oui vous l’aurez compris, Sasha est quelque peu narcissique. Sasha est plutôt grand, mais pas trop, 1m70 en réalité. Jambes fines, silhouette élancée, et très beau corps. Le sport, la muscu, voilà qui donne de beaux abdos, ce qui a don de faire fureur auprès des filles.
Et il n’y a pas que le corps qui fait de notre Dom Juan celui qu’il est. Il faut avouer que son visage, qualifié d’angélique, ne laisse pas indifférent. Sourire de charmeur, yeux bleus-verts, et beaux cheveux bruns et bouclés. Un petit mouton. Ce côté de son physique lui donne parfois un air plus jeune qu’il ne l’est. 14 au lieu de 16, par exemple. Rien de bien dramatique, direz-vous. Mais quand on connaît le personnage.
Quand on voit Sasha, on voit un jeune homme qui semble joyeux, enjôleur même. Son regard en dit long, tout comme son perpétuel sourire en coin à la vue d’une jolie demoiselle.
Pour ce qui est de son sens de la mode, on ne peut pas dire qu’il ne sache pas s’habiller. Ses moyens le lui permettent en même temps… Toujours vêtu de vêtements de marque, il avait une classe indéniable. Des chemises, des chaussures hors de prix… Il savait s’y faire. Sa montre, et sa gourmette en argent pur ne sont que des détails sur lesquels il n’est pas apparemment nécessaire de s’y attarder.
Quelques signes particuliers font de lui un « mauvais garçon », du moins si c’est comme cela que vous qualifiez les garçons lorsqu’ils portent un ou plusieurs tatouages. Il a en effet un tatouage au niveau du poignet, ou il écrit en italique et une écriture enjolivée : Born To Die. A méditer.
En résumé, Sasha est le stéréotype du mec parfait, faisant tomber les filles comme des mouches. Ce qui correspond parfaitement à la confrérie dont il fait parti.

Ideas in my head

Egoïste, dragueur, narcissique, têtu, chanceux, malin, lunatique, mystérieux, imprévisible, impatient, menteur… Tant d’adjectifs qui le qualifient, ou du moins les adjectifs récurrents quand on entend les gens parler de lui. Ce qui n’est pas tout à fait faux en vérité. Sasha a un caractère des plus complexes, il est loin d’être agréable à vivre, et pourtant il s’intègre vite, la timidité, il ne connaît pas.  Toujours bien entouré, dans le groupe des populaires adulé, c’est sa nature, être mis en avant, sur le devant de la scène. Trop de confiance en soi, sa certitude de toujours avoir raison et que tout marchera comme il le veut… C’est un peu sa conception du monde, et il ne connaît malheureusement pas ses limites.
Auprès des filles, il passe pour un vrai goujat, un profiteur, mais pourtant, elle ne refuse pas ses avances, ce qui fait de lui un mec envié d’avoir tant de chance auprès de la gente féminine.
Auprès des garçons c’est un pote cool, qu’il faut avoir dans ses contacts, un peu prétentieux, mais à ne pas trop défier. Cependant, malgré les apparences, même si Sasha n’a pas de vraies amies, il a par contre pas mal de potes sur qui il peut compter.
Sasha a un tic qui n’est pas hors du commun, beaucoup en souffrent : le tic de remettre ses cheveux en place sans arrêt.

Story of my life

C’était un certain huit septembre mille neuf cent quatre vingt seize. C’était un lundi, je crois, ou bien un vendredi, je ne sais plus. On ne me l’a jamais vraiment dis en fait, de plus je ne me suis jamais vraiment posé la question.  C’était à Oxford, la ville où je vivais jusqu’à y a quelques années encore. Mes parents ont décidé d’appeler le nourrisson que j’étais : Sasha. Rassurez-vous tout de suite, ce n’est pas en s’inspirant du célèbre animé Pokémon, ils ne sont pas du tout branché japonais. Ils aimaient juste ce prénom. Mon deuxième prénom, tout de suite moins banal : Benedict, aurait été choisi par d’autres membres de ma famille, ils auraient préféré me voir porter ce nom. Par chance, mes parents avaient le pouvoir.
C’est donc lors de cette année que je suis né, le dernier de la famille. Après deux fils, mes parents auraient espérés une fille, mais me voilà, un garçon encore.
A vrai dire, ma petite enfance reste relativement compliquée à raconter, les seules informations que j’ai concernant cette partie de ma vie sont conservées dans la mémoire de mes parents et les photos. Mes frères n’ont que peu de souvenir également, ils étaient bien trop jeunes à cette époque, et surtout bien trop insouciants pour noter quoique ce soit de mon avancement dans la vie.
Mes premières années furent particulièrement calmes, je grandissais dans une ambiance parfaite, sans moyen de se plaindre quant à l’argent que possédait ma famille. C’est une vie luxueuse, sans soucis, sans questions à se poser. Une vie facile, où l’argent est un peu la solution à tout. Un moyen de faire pression. C’est donc ainsi que j’ai acquis une éducation digne de ce nom. Une éducation des gens de la « haute » comme on dirait. De plus, en Angleterre on forme tout jeune homme à devenir un parfait gentleman. Vous voyez l’enfance. Confiné dans un « manoir » à ne pas aller à l’école, vu que celle-ci vous est faite à domicile. Matières enseignées par des enseignants privés. Bref, une belle vie de prince, toujours chouchouté, toujours gâté, rien de refusé… J’étais tout ce qu’il y avait de plus normal. Sage, cultivé, poli, bien élevé…
Mais tout ça n’était que vie de paillettes, de luxe, et aucun contact avec le monde extérieur, que du haut de mes dix ans je rêvais d’atteindre, je rêvais de rencontrer des gens de mon âge, parler et jouer avec eux, comme mes frères qui ont le droit d’aller à l’école. Eux n’ont jamais été aussi surprotégés que je ne l’étais.
Oui, mon rêve était celui-là, être libre et vivre ma vie sans qu’elle ne soit dictée. Oui, à dix ans je voulais déjà cela.
C’est ainsi que j’ai réussi à entrer au collège pour mes onze ans après de maintes négociations, des crises de nerfs, des pleurs, des supplications, et c’est là que ma vie a changé, tout a changé, ma vision du monde a changé. La vie, l’amusement, le monde extérieur était devenu mon territoire, mon terrain de chasse.

Il m’en a fallu peu pour tourner mal, et perdre tout ce qu’on avait eut du mal à m’inculquer en onze ans. Influençable, voilà ce que j’étais. Trop heureux de découvrir de nouvelles choses, j’écoutais les mauvaises personnes et prenait les mauvaises décisions, qu’au final je ne regrettais jamais. J’éprouvais un certain plaisir à devenir peu à peu un anarchiste, profiteur, et ce que mes parents appellent : un délinquant. Bon vous me direz, au collège ce n’est pas vraiment impressionnant. Que peux-t-on faire à notre âge ?
Mes années de collège m’ont en tout cas transformé, mon style, ma personnalité… tout. Et plus je vieillissais, plus je goûtais aux nouveaux sentiments. Vous savez, jusqu’à un certain âge, on ignore tout de l’amour de toutes ces conneries là, les filles on y fait pas vraiment attention, on les trouve jolies, sympas, puis ce n’est pas du sérieux, il n’y a même pas de gestes concrets, mais quand on vieillit on prend conscience de tout ça. Et cela devient plus intense avec le temps.
Ma rentrée au lycée fut le début d’une succession de problèmes. Non pas scolaires, mais dans le domaine du social. J’avais beau trainer avec les pires canailles, je finissais toujours dans le top cinq des meilleurs de la classe, autant dire que la chance est de mon côté, comme toujours.
Mais surtout, je savais que je plaisais, que j’attirais, que j’étais beau. Et j’ai commencé à toucher à la passion, au désir, et à ce que je dirais cash, car ne nous le cachons pas c’est ainsi, la baise. Les filles, mon unique divertissement. Les filles étaient comme des jouets. On finissait toujours par me traiter de goujat, de salaud même, mais la faute devrait être rejetée sur toutes ces filles qui n’ont jamais dis non, et se précipitaient sur moi.
Histoire sérieuse ? Je ne connais pas, pour moi l’amour est un concept, une idéologie, quelque chose de totalement inutile. Du moins personne n’a réussi à me prouver le contraire.
Alors que ma première année de lycée était entamée, mes parents, pensant bien faire et pensant que cela me changerait, m’ont inscrit, pour ma deuxième année à Miami. Ils devaient tout deux s’y rendre pour le boulot : mutations. C’est ainsi que j’ai déménagé, laissant l’Angleterre derrière moi.
Mais une autre vie m’attendait, amplement plus excitante, attirante et paradisiaque. Miami me voilà.

congratulations !

Tu es Validé(e);
« Yop Yop Sasha ! Chouette fiche, ton perso me fait un peu penser à Noah Price, un autre PS. Je sais pas trop pourquoi :P. Bref, te voilà validé et ton perso se trouvera en Junior A. Sur ce, je te souhaite la bienvenue et un bon jeu parmi nous ;). »

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