Wynwood University
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 Victory Mc Fenry [100%]

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MessageSujet: Victory Mc Fenry [100%]   Victory Mc Fenry [100%] EmptyMer 31 Juil 2013 - 21:52

Victory « Vicky » Mc Fenry




Id Card

ÂGE : 16 ans.
DATE DE NAISSANCE : 22 juin 1997.
LIEU DE NAISSANCE : Reno, Nevada.
CLASSE: Junior Year.
CONFRERIE : Alpha Psy.  
RICHE OU BOURSE D'ETUDE : Riche.
AVATAR: Crystal Reed.
SCÉNARIO OU PI ? PI.

Forum's buisness

CODE : Ok.By hopy
SECRET ENVOYE ? : | (à remplir par un administrateur) écrire.
SOUHAITEZ-VOUS UN PARRAIN / MARRAINE : ça ira merci x).

→ Crystal Reed ϟ Vicky Mc Fenry



My physical is mine


Je me regarde dans le miroir et je vois une fille plutôt mince, voir presque trop. Je me force à sourire pour être plus jolie. J’ai la chance d’avoir un visage agréable mine de rien. Mes fossettes se creusent lorsque je découvre mes dents. Elles sont droites et blanches, un vrai sourire colgate comme disait mon oncle. Mes yeux marron descendent pour détailler mon corps alors que je suis en sous vêtement devant la glace. J’ai la peau claire, je doute qu’un jour je puisse être bronzée comme ces filles qui se font dorer la pilule au soleil. Quand à ma poitrine, j’ai déjà de la chance de pouvoir faire un bon bonnet B. Je tourne sur le côté, au moins j’ai des jolies fesses rondes, ça rattrapera le haut qui manque de forme. Je ne suis pas très musclé cela dit, je le sais, car je ne fais pas beaucoup de sport, ce n’est pas ma grande passion. Vous ne me verrez pas faire de footing par plaisir. Je soupire car ce que je regarde en ce moment, ce sont les cicatrices qui parcourent mon ventre et mes cuisses. Elles, elles ne s’effaceront sans doute jamais. Un cruel rappel de mon passé. Ce sont plusieurs brûlures qui prennent la forme d’un soleil, ma peau déjà blanche mais rosée, l’est encore plus à ces endroits. Je n’ai pas le cœur à les compter. Je passe mes doigts fins et soigneusement vernis dessus, légèrement boursouflés, elles sont déjà plus plates qu’il y a trois ans songeais-je. Celle près de mon nombril, la plus grande, doit faire environ 6 ou 7 centimètre de diamètre. Je me souviens encore de la douleur que j’ai ressentie à ce moment là. Elle est différente, car c’est LUI qui l’avait faite, pas mes camarades à qui ont a forcé la main pour faire les autres. C’était pour l’exemple disait-il. J’en perds mon sourire factice en me remémorant ses mots.

Soupirant en gonflant mes joues comme une sourie en colère, je vais chercher mes fringues soigneusement posé sur mon lit. J’enfile la robe en lin blanc que ma mère m’a offerte, heureusement qu’elle me vient jusqu’au genoux, autrement je ne l’aurais jamais mise. J’essaye de lui faire plaisir, mais je me sens nettement plus à l’aise dans un jean et un t-shirt. Parfois je fais preuve d’originalité en mettant un petit top avec un logo dessus. J’ai souvent l’air d’une gamine habillé comme ça, mais je n’aspire pas à être sexy ou élégante. Il m’arrive bien en soirée d’enfiler une longue blouse en soie ou un pantalon à pince, noir de préférence. Malgré ma petite taille, je renie toute forme de talon ! Ça me tue les pieds au bout de deux heures de port. Puis faut dire que ma démarche manque totalement d’assurance alors tenir sur des échasses me donne l’air d’un pingouin qui aurait oublier comment on fait pour marcher. Aujourd’hui il fait plutôt chaud, laissé ma tignasse brune et ondulé, tomber comme ça sur mes épaules me donne de sacré suer, je préfère les attacher dans un chignon simple à l’aide d’un bandeaux. Je reviens devant le miroir, me voila fin prête pour prendre l’avion jusqu’à Miami.


Ideas in my head


Je sais ce qu’on dit de moi. Je ne suis pas sourde, j’ai une ouïe plutôt bonne, alors ce qu’ils murmurent je le sais. Je  suis prise pour une folle, une traumatisée, un cas à part, une énigme impossible. Je leur parais lunatique, alors que je me considère entière et franche. Oui j’ai peut-être tendance à crier la nuit, à courir le plus vite possible en pleine nuit, hurler au milieu de nulle part, évacuer ma rage un eu n’importe comment. Je suis bourrée d’une colère refoulé, un poids tellement lourd à porter que rester impassible est impossible.


Je sais ce que vous vous dites, je suis fragile, je peux me mettre à pleurer ou exploser n’importe quand. Mais je suis plus discrète qu’on peut le penser. Avec ma mère j’ai pris l’habitude de taire mes sentiments, de garder au fond de moi ce que j’ai de plus noirs, de plus horrible. Car si j’ai bien gardé quelque chose de mon histoire, ce sont ces souvenirs. Souvenirs que je suis obligé de détaillé à chaque visite chez le psychiatre. Actuellement je suis sous bétabloquant et anti dépresseur. J’ai diminué les doses prescrites car je n’ai pas l’impression de vivre sinon.

Je suis douée pour le dessin et la musique. Mon imagination est fertile, je suis peut-être brisée comme ils se plaisent à me dire, j’ai un flot d’image et de mélodie qui envahis ma tête en permanence. Posé ces images mentales sur le papier m’apaise, me calme. Je me retrouve enfin, j’ai l’impression d’avoir un aperçu de ma vraie personnalité, celle que j’aurais été si tout ça n’était pas arrivé. Vous trouvez que j’en parle beaucoup ? Attendez de discuter avec ma mère, elle le rabâche sans cesse. Toute tourne autour de ça. Quand d’autre éviterait le sujet, elle me le renvoie en pleine face, comme une excuse pour m’empêcher de faire tel ou tel choix. Par lassitude j’ai pris l’habitude de la laisser faire et dire. A vrai dire Wynwood, c’était mon idée, si mon père n’avait pas soutenu mon projet, rien de ça n’aurait pu aboutir.

Je n’ai pas de petit-ami, je n’en ai jamais eu. Je n’ai même jamais embrassé un garçon. Dans mon quartier je suis catalogué de folle, croyez-vous vraiment que l’on m’approcherait après ça ? Du coup, je ne sais pas trop comment je serais si j’arrivais à aimer. Oui je ne sais pas si je peux aimer. Mes parents, qu’ils soient là ou pas, tout ça, c’est la même chose. Ils me sont utiles pour vivre. Je leur en veux, mais je n’ai aucun droit de les blâmer.

Mes nuits sont toujours très agitées. Je ne passe pas un soir sans me réveillé en sueur, en pleure ou me débattant. Je suis tellement lasse de tout ça. Enfant, j’étais terrorisée. Maintenant, c’est devenu un quotidien, un autre moment de ma journée, un acte naturel comme celui de prendre sa douche ou se laver les dents.

N’allez pas croire que je suis auto destructrice, j’ai envie de vivre, et si j’ai bien quelque chose de bien, c’est bien cette hargne de vivre. Mon instinct de survie est toujours à 200%. Je suis capable de faire les choses les plus dingues pour rester en vie. Mais ! J’ai la fâcheuse manie de ne pas éviter le danger. Je crois que j’ai besoin de me sentir insécure pour me sentir en vie. Faire battre mon cœur jusqu’à sentir la peur me secouer. C’est ainsi que ma mère m’a retrouvé plus d’une fois dans les quartiers dangereux, dans un arbre à huit mètre du sol, au bord d’un périphérique, traversant le bitume en courant.

Je me balade la plupart du temps avec des écouteurs dans les oreilles. La raison est simple, je vie un film en permanence. Je ne suis pas en train d’attendre le bus, je vis une incroyable aventure à des milliers de kilomètre d’ici. Je suis une espionne et mon ange gardien est beau comme un dieu. Il m’arrive même de n’être pas terrestre ou alors de ce temps. Mon imagination n’a aucune limite, et j’ai besoin de la musique pour la stimuler. Je peux passer des heures allongées en fixant le plafond et me racontant des histoires mentalement. Les plus grands films sont jouer dans ma tête et j’en suis toujours l’héroïne. Il m’arrive même de me retrouver face à mon ravisseur. De savoir soudainement me battre parce que j’aurai passé six mois au Tibet à apprendre les arts martiaux comme une déchainé. Enfin ça ce n’est qu’un extrait.

Je fais face aux commérages des voisins, des camarades, des autres, depuis mon sauvetage. Alors il est normal que je ne réagisse même plus quand un mensonge sur moi se propage. Certains ont même colporté la rumeur que je me serais nourri des cadavres des deux autres petites filles pour survivre jusqu’à l’arrivée des secours. Ce qu’on pense de moi m’insupporte, mais ça fait longtemps que j’ai renoncé à leur donner ce plaisir de me voir offensée. Les enfants son cruels, surtout quand leurs parents leurs soufflent à l’oreille.

Les gens sociables m’intimident. J’ai tellement l’habitude qu’on m’évite que je ne sais pas quoi faire quand on s’intéresse réellement à moi. Je suis un peu parano et ça se comprend je pense. Mais du coup, dès que quelqu’un est gentil, malgré toute ma reconnaissance, j’imagine qu’il y a toujours une idée derrière ça.


Story of my life


Je m’appelle Victory Mc Fenry. Vous connaissez sûrement vaguement ce nom, surtout si vous venez de l’Est de la Californie. Mon nom vous revient peu à peu en mémoire, vous vous souvenez l’avoir déjà lu quelque part, vous le prononcez à haute voix et le son vous dit également quelque chose. La mélodie des syllabes est familière et vous vous écriez, mais où donc ai-je entendu ce nom bordel ! La vous regardez mon visage et vous taper dans vos mains avec un air victorieux, content d’avoir retrouvé pourquoi je vous étais si familière. Puis les détails revenant, votre sourire s’efface, vous baissez même les yeux, vous vous demander si mon regard morne et mon sourire absent ne sont pas le résultat de ce que vous savez. Car oui, c’est bien moi qui étais  la une du journal télévisé local, c’est bien moi qui suis devenu tristement célèbre il y a 6 ans de cela.  Je regarde alors ailleurs, comme d’habitude quand on me reconnaît. Les images de mon passé reviennent à la surface et du plus profond de moi, je vous hais pour m’avoir regardé avec une telle pitié.

Mais qu’ai-je bien pu faire ou subir pour être ainsi célèbre me demanderiez-vous ? Moi rien du tout, absolument rien ! Je n’ai rien fait de volontaire cela dis. Il y a 6 ans de cela j’ai été retrouvée  au milieu de deux cadavres me ressemblant, il paraîtrait, que cela faisait presque un an que j’étais portée disparue… Voilà, ces yeux à nouveaux, ne me regardent pas comme ça, je vous en prie…

**************************

Je suis dans le noir, j’entends le bruit de l’eau qui tombe dans la marre de boue dans le fond de ma grotte. J’ai froid, j’ai faim, j’ai peur, j’ai mal aux mains car j’ai essayé de creuser avec mes petits ongles. Maman dit toujours qu’une fille doit avoir des beaux ongles, si elles voyaient les miens. Ils sont tous cassés, tous noirs, certains saignent. Je me remets à pleurer parce qu’elle me manque. J’ai tellement froid. D’habitude, Lucy, Marie et moi, on se tenait chaud en restant collés contre les autres. Mais maintenant elles sont mortes, leurs corps sont totalement gelés, je n’arrive pas à regarder le visage inanimé. J’étouffe, je veux sortir de la, je hurle, mais ma petite voix ne traverse même pas les murs de cette grotte souterraine. J’entends le bruit métallique situé en haut, celui par où IL passe. Je me mets à courir dans le fond, je me cache derrière un vieux meuble en bois moisi. Je tremble encore mais cette fois, c’est la peur qui m’agite. Des fuseaux de lumière s’agitent vers moi et j’entends une deuxième voix, puis une troisième. Oh non que va-t-il me faire. L’échelle est restée sur le sol, c’est étrange, il ne la laisse pas d’habitude. C’est ma chance, je me mets à courir aussi vite que mes petites jambes me le permette. Un bras m’attrape par le ventre, il me parle mais je ne comprends rien, j’hurle, je me débats, il est trop fort, il me soulève, me bloque, je le mords et j’entends « Victory ! Calme toi ! » dans un grognement masculin de douleur.


Je me réveille en hurlant, mes draps sont trempés, mes vêtements et mes cheveux aussi. J’ai le souffle cours, et mon lit est pourtant là, les murs de ma chambre aussi, ma fenêtre est fermé, ma porte aussi. Je mets quelques minutes à réaliser que j’ai rêvé du passé. J’ai des frissons partout, je sers mon oreiller contre moi en me balançant doucement, chantonnant une berceuse pour me calmer….

****************************
Mère de Victoire :

C’était une petite fille si souriante avant ! Quand il me l’a enlevé j’ai cru que j’allais m’effondrer, que ma vie était finie. Je ne sais pas comment j’ai fait pendant ces mois entier à imaginer le pire. Les policiers l’ont trouvé dans un bunker, vous vous rendez compte ! Personne n’aurait pu entendre sa petite voix d’ange. Elle qui chantait si gaiement *Pleure* Oh mon dieu, comment vais-je faire pour la rendre heureuse maintenant !

Elle portait les mêmes vêtements du jour de sa disparition, il la laissé vivre dans la crasse et le froid pendant si longtemps, dieu sait ce qu’il a pu lui faire. Vicky ne parle jamais de ce qui s’est passé, c’est comme si elle occulté obstinément ce passage de sa vie. Pourtant tous les psy disent la même chose, il faut qu’elle affronte ce traumatisme. Je ne sais pas quoi faire, je suis une pauvre femme divorcée, son père ne s’occupe d’elle qu’une fois par semaine, comment pourrait-il se sentir concerné !

Victory :

Elle c’est ma mère. Victime numéro 1 de mon enlèvement. Je ne lui parle pas de ce que j’ai vécu, car à chaque mot elle pleure. J’ai l’impression de lui faire tellement mal, que j’ai pris l’habitude de me taire en sa présence. La plupart du temps, je l’écoute se plaindre, sur ses fringues, ses amis, mon manque de dynamisme, mon manque de communication. Depuis que je suis toute petite, ma mère était un cyclone, dévorant tout sur son passage, y compris ma personnalité. J’étais sa poupée, chaque vêtement, préparé par ses soins, choisi avec minutie, et je me pliais à ses désirs, car ça la faisait sourire. C’est notamment ces vêtements qui ont attiré mon ravisseur à s’intéresser à moi. C’est en me questionnant sur l’origine de cette robe que j’ai approché de ce vanne, c’est également par ce que ma mère m’a toujours dis de ne pas manquer de respect au adulte que je n’ai pas ignoré cette homme chauve, qui me demander de venir près de la porte de son fourgon.

Le père :

Pauv ‘ gosse. Si je pouvais attraper ce mec, je lui ferais bouffer ses couilles ! Comment il a pu toucher à ma fille, comment a-t-il pu s’en prendre à de si petites choses ! Ils ont beau dire qu’il ne les a pas violé ces gamines ! Je suis sûre que ces des conneries ! Regardez ma Victory, c’est une épave depuis qu’elle est rentrée ! Elle dessine que des trucs glauques, elle parle de mort très facilement, elle me pose des questions qui me font flipper. Puis vous avez vu ces cicatrices ? Comment on peut torturer une si petite fille ! C’est à peine si elle dépassait le mètre ! Pourquoi j’ai quitté sa mère ? Arf, non ce n’est pas à cause de notre fille, mon ex-femme à changer vous savez, déjà qu’elle traitait Vic comme sa poupée, depuis qu’on l’a retrouvé en vie, on ne faisait que se disputer sur l’éducation de notre fille ! Cette femme lui apprend d’abord à savoir mettre du mascara au lieu de la prévenir des dangers que sont les inconnus ! Regardez ou ça nous a menés ! Victory, je doute qu’elle soit un jour heureuse ! Et pourtant, je fais tout pour !

Victory :

Cet homme optimiste ? C’est mon père. Il ne le dit pas, mais lui aussi n’arrêtait pas de pleurer quand il m’a vu à l’hôpital. En fait, il ne me l’a jamais dit, mais ça l’a toujours perturbé que je ne me jette pas désespérément dans ses bras à mon retour. C’est vrai que je lui sautais dessus tout le temps avant. Mais il fallait comprendre, les dernières mains d’homme qui m’ont touché, m’ont salis, meurtrie, détruite ! Son visage était ancré dans chaque trait masculin que je pouvais croiser ! J’ai même mordu le policier qui m’a secourue de ce vieux bunker boueux. Je ferme les yeux et j’entends encore cette voix de loin qui ne peut s’empêcher de commenter « Mais c’est une petite sauvage ma parole ! ».
 
Un policier :


Je n’oublierai jamais cette affaire. Le plus horrible de toute ma carrière ! J’avais déjà de la bouteille, j’ai déjà vu des choses atroces, mais là ! Non personne ne pourrait sortir sain d’esprit de cette merde ! Le ravisseur l’a enlevé, la séquestré et la torturé. Et après enquête, on a découvert qu’il forçait ces pauvres gamines à se torturer entre elle. Si elle ne le faisait pas, il les laissait mourir de faim ! Comment on a su ? Ce fils de pute à tout filmé ! Regarder des gamines maniées des câbles électriques contre le ventre de leur camarade c’était gerbant ! Mon subordonné a vomi ses tripes devant la première scène.  Si elle m’a mordue ? Oui, mais en même temps je la comprends, elle n’a pas du comprendre après tout ce temps. C’était la première à s’être fait enlever, donc elle est restée 9-10 mois dans ce bazar ignoble. Il les a attrapé toute à un mois d’intervalle, les a foutus toute les trois dans ce bunker, et leur ordonner des choses via un micro. Quand elle désobéissait, il descendait et s’occupait d’elle. Les tests ont révélé que l’homme était impuissant, alors on sait qu’il ne les a pas violé, du moins directement ! Les deux filles mortes étaient encore vierges, ce qui laisse espérait qu’il n’en avait pas après elles pour assouvir ses envies sexuelles. Victory a subi beaucoup d’examen. Elle n’a pas été touchée non plus, mais affamé, torturé, battu, traumatisé, ça c’est sûr ! Quand on est arrivé, ça faisait une semaine qu’elle croupissait dans ce trou avec le cadavre des gamines. Comment on a su les trouver ? Bah en fait, on n’en est pas fière au bureau, mais ce con s’est fait arrêter pour excès de vitesse. Quelques indices nous ont permis de remonter la trace, mais ça a mis une semaine. Elle n’avait pas mangé depuis tout ce temps-là. Elle était énergique, mais elle était dans un état lamentable, maigre, les vêtements à moitié déchirés, on voyait les plaies mal soigné qui avait guérit à l’arrache et d’autre plus récente. Elle était en état d’anémie et de déshydrations. Elle a survécu en buvant de l’eau boueuse qui coulait dans le fond.

Victory :

Je relis encore et encore les lignes de ce bouquin qui est censé raconter mon histoire. Aucun passage de ce livre ne porte mes paroles, et je n’ai eu aucun droit de protestation. Mes parents se sont portés volontaire, je n’ai eu qu’à me taire. Je lis les détails croustillant que le shérif du comté balance à mon sujet, et je souris, mon sourire est rempli de haine et de colère à son égard. Sur la couverture de livre à mille pages, on y voit les yeux accablant de mon ravisseur. Je jette le livre au fond de ma chambre en poussant un lourd sanglot. Je hais la parution de ce livre ! Je hais mes parents, je hais ces flics ! Pourquoi ne me laissent-ils pas oublié, ne me laissent-ils pas tranquille ! Ma main tremble, et très vite je me rends compte que c’est tout mon corps qui tremble. Je pousse un rire sarcastique et je me lève de mon fauteuil de bureau. Tout en descendant les escaliers, j’hurle à travers les murs « MAMAN, t’a préparé ma valise ? Le taxi sera bientôt là ». Je trottine jusqu’au salon, ayant pris soin de nettoyer le mascara sous mes yeux à cause de mes larmes. J’enfonce mes mains entre mes côtes et mes hanches, à défaut d’avoir des poches à cause de cette robe ridicule. « Maman je suis obligée de mettre ça ? », elle s’approche de moi et remets en place le col et époussette une tache inexistante, les larmes aux yeux. « Oui mon bébé, il faut bien que tu fasses bonnes impression pour ton premier jour ! » Elle mets ses mains devant sa bouche, l’air triste et émue, tout en soupirant « Oh… J’y crois pas, mon bébé va me laissez, tu es sûre de vouloir y aller, ce n’est pas… un peu trop… tôt ? ». Je soupire en levant les yeux aux ciels, je veux partir de cette maison, de ce quartier, c’est le même depuis dix ans, si on compte l’année ou j’ai été enlevé. Tout le monde me connaît et pas pour les bonnes raisons, je n’ai rien à perdre ici, à part la pitié des autres. A part le souvenir constant de ce qui s’est passé. « Maman, tu voudrais pas venir avec moi plutôt ? » « M’enfin Vicky… Tu sais bien que non, la maison est un héritage de famille voyons ! Toi aussi tu viendras l’habiter avec tes futurs enfants, tout comme ta grand-mère la fait, et sa mère avant elle !! » Mes lèvres s’étirent sur le côté sans pour autant affiché le sourire que j’essayais de lui faire. Pour moi, ce n’était qu’un fantasme de bonne femme au foyer. J’étais persuadée de tout autre chose. Mais pour l’instant, je devais profiter de ce que la nature ma octroyé, un cerveau bien fait ! Miami m’ouvre ses portes, une chambre m’attend dans l’école de Wynwood. A l’autre bout du pays, j’exultais d’appartenir à un monde où l’on me demanderait mon prénom et pas si j’étais bien la fille du livre !







Prénom/Pseudo : Lila/Lulu.
Âge : 24 ans.
Où as-tu connu le forum ? : Par Kenny.
Une remarque particulière? : Nope.




(c) Suika



Dernière édition par Vicky Mc Fenry le Lun 26 Aoû 2013 - 18:06, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Victory Mc Fenry [100%]   Victory Mc Fenry [100%] EmptyMer 31 Juil 2013 - 22:02

Je suis pas avec le bon compte mais :evy: 
Rebienvenue !
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MessageSujet: Re: Victory Mc Fenry [100%]   Victory Mc Fenry [100%] EmptyMer 31 Juil 2013 - 22:26

Rebienvenue maîtresse

Hâte de lire la suite!! C'était franchement intéressant, je me demande comment elle va évoluer en rp . :ola:


Dernière édition par Ki Beom Lee le Mer 31 Juil 2013 - 22:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Victory Mc Fenry [100%]   Victory Mc Fenry [100%] EmptyMer 31 Juil 2013 - 22:36

OMG :evy: Rebienvenue!
RÉSERVES MOI DES SUPERS LIENS
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MessageSujet: Re: Victory Mc Fenry [100%]   Victory Mc Fenry [100%] EmptyJeu 1 Aoû 2013 - 0:07

Re-bienvenue ♥
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MessageSujet: Re: Victory Mc Fenry [100%]   Victory Mc Fenry [100%] EmptyJeu 1 Aoû 2013 - 15:47

HAN, rebienvenue Lila :beuh:
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MessageSujet: Re: Victory Mc Fenry [100%]   Victory Mc Fenry [100%] EmptyJeu 1 Aoû 2013 - 19:20

Merciiiiii vous êtes chou <3
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MessageSujet: Re: Victory Mc Fenry [100%]   Victory Mc Fenry [100%] EmptyJeu 1 Aoû 2013 - 19:26

Rebienvenue Lila !
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MessageSujet: Re: Victory Mc Fenry [100%]   Victory Mc Fenry [100%] EmptyJeu 1 Aoû 2013 - 20:08

Wynwood High School



congratulations !
Tu es Validée;
« Avatar magnifique, mais bon ça... Tu le sais déjà ! Histoire passionnante et intrigante. J'adore ce perso et je comprends pourquoi tu l'aimes tant. Des peurs, des cauchemars, des souvenirs, des fantômes... Tes rps promettent d'être super intéressant. Rien que pour ça, je veux des liens !
Tu l'as compris, tu es validée. Encore une fois ! Bon jeu ♥ »

Tu peux dès à présent faire ta fiche de liens et puis aussi celle de tes RPSs. Pour être plus à l'aise avec les diverses choses qui te sont proposées sur le Forum, je t'invite à aller consulter le Guide complet de WHS. Et si tu as le moindre soucis, ta marraine ou ton parrain, ainsi que chacun des membres sur le forum (surtout du Staff) reste à ta disposition !
Tu es en Junior Year A. Et... Voilà ! (:



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