(X) Demasiado jugando con fuego, lo quemamos. [Ninouche & Diego]
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Sujet: Re: (X) Demasiado jugando con fuego, lo quemamos. [Ninouche & Diego] Ven 27 Sep 2013 - 16:26
“Demasiado jugando con fuego, lo quemamos”
Diego & Nina
J'arrivais pas à m'expliquer comment je pouvais faire ce que j'étais en train de faire avec un mec comme lui. Il faisait partie de ceux que je ne pouvais pas supporter et pourtant à chaque entrainement on ne se gênait pas pour se rincer l'oeil. C'était censé rester physique ou peut-être juste un fantasme, mais j'avais été plus loin que ça. J'avais bravé les interdits avec un mec que je n'aimais pas, que je détestais. Peut-être était-ce ça "un fantasme"? Peut-être que le fait de le détester était aussi excitant? Non, j'étais persuadée que seul son physique y était pour quelque chose. Il était beau gosse, mais c'était la seule chose qu'il avait de bon, parce que con il l'était. Il n'y avait qu'à l'entendre parler. Il ne savait pas aligner deux phrases sans mêler l'espagnol à l'anglais.
D'un geste de la main, j'avais fait tombé sa serviette et le lui avait fait remarqué de façon niaise, comme si je n'y étais pour rien. Je laissais toujours le bout de mes doigts se balader sur le torse du garçon. Il pourrait ainsi connaitre les frissons que je pouvais procurer et visiblement, je ne lui procurait pas que ça. L'excitation était bien présente pour lui comme pour moi tout comme les caresses, les "baisers". Il s'était ensuite arrêter net, me demandant de l'aider à lui enlever son alliance. Chose que j'avais mal pris, forcément. Il me prenait pour qui? A mes yeux le mariage ne valait rien et son alliance était censé être une preuve de fidélité. Ben ouais, ça se voyait. Voila pourquoi le mariage était une chose complètement débile qui ne servait à rien à part peut-être se prendre pour une princesse l'espace d'une journée. En tout cas, si je me mariais un jour, ça serait la seule raison. A l'aide de gel douche, j'avais réussi à enlever sa bague et la balancer dans l'évier, comme une chose inutile.
"Je vois qué La señorita es connaisseuse…" "T'avais des doutes?"
La suite n'était que plus agréable et surtout pour lui je crois. Je plaçais mon visage a hauteur de son bassin et m'appliquais au mieux pour offrir aux bel espagnol un plaisir que n'importe quel mec aimerait par dessus tout. Il me laissait à peine le temps de terminer ma phrase qu'il enchainait avec une remarque qui ne lui attirait qu'un regard noir de ma part, mais il n'en avait certainement que faire. Une dizaine de minutes plus tard, l'espagnol m'encourageait à me relever et sans aucune douceur particulière, attrapais mes jambes afin d'entourer sa taille. Je prenais appuie sur l'évier et lorsque le moment tant attendu arriva, ma respiration devenait plus audible, laissant sortir un tout léger gémissement. Quand Diego se décidait à enfin me regarder dans les yeux, j'en profitais pour en faire autant, tantôt ses yeux, tantôt ses lèvres tout en savourant l'instant. Parfois je me concentrais sur lui, parfois sur ma respiration qui s'accélérait en fonction du rythme du garçon.
Je le regardais dans les yeux après m'avoir parlé (encore) dans sa langue. J'avais un peu appris l'espagnol dans mon ancien lycée, mais pas de quoi tenir une conversation avec lui et même si je le pouvais, il en était hors de question. Il m'exaspérait à me parler comme ça. Il savait pas parler anglais, comme tout le monde ici? Je passais une main dans sa nuque et collais mon buste au sien et mes lèvres près de son oreille et lui murmurais:
C'est parce que tu le veux bien, tu ne fais aucun effort pour connaitre une autre facette de mon caractère, Bolderas. Pourquoi tu crois que tous les mecs de ta confrérie me veulent? Je ne suis pas QUE belle...
Plus les minutes passèrent, plus Diego accélérait la cadence et plus je regrettais que la fin approche. Je me doutais que c'était la seule fois où on arriverait à être aussi proche en se détestant autant. D'ici demain, on se recroisera, on se regardera peut-être une fois pendant une fraction de seconde comme si rien ne s'était passé parce que tout ça n'était qu'un jeu, tout ça n'était que du plaisir pure et simple, ça ne mérite même pas d'être ennoncé. Plus Diego y allait et plus je sentais l'excitation monter jusqu'à l'explosion. Mordillant ma lèvre inférieur, je passais une main dans mes cheveux, comme si la sensation que je ressentais était en train de se disperser un peu partout dans mon corps. Je le regardais, reprenant le peu de souffle manquant avant de m'écarter de lui. Il me fixait et me précisait que c'était l'unique fois. Je ne pu m'empêcher de lui lâcher un sourire espiègle et de lui répondre:
C'est ce qu'ils disent tous...Un jour t'en redemanderas
Je m'approchais de lui et lui déposais un dernier baiser sur les lèvres et me rhabillais, fis un noeuds avec le chemisier déchiré dont le Pi Sigma en était l'auteur et Je me plaçais devant un des miroirs et me regardais. Je passais une main dans mes cheveux de sorte à les remettre en place et ensuite sortais un porte cartes. Je pris une carte de fidélité gold et m'approchais de lui:
Ca, c'est pour le chemisier que tu m'as littéralement détruit. Si c'était un bête chemisier, j'en aurais rien à faire, mais il s'agit quand même d'une Burberry et je suis gentille, je te donne ma carte membre. T'as qu'à me la rendre à la soirée de Nathan ce soir, avec le chemisier, bien entendu. Ah mais non... C'est vrai t'es "marié", c'est fini les soirées pour toi. Dans ce cas, t'as qu'à rendre le tout à Nathan, tu lui dis que t'as perdu un pari et que ton gage est de faire tout ce que je veux... Ou alors tu lui dis que t'as trompé ta femme avec moi, mais les rumeurs se répandent vite à Wynwood. A toi de voir "Querido". Au plaisir Bolderas et merci pour la "douche".
Je fis quelques pas à reculons, profitant une dernière fois du visage de l'espagnol avant de faire volte-face et de disparaitre des vestiaires des hommes, sourire aux lèvres, satisfaite de ce que je venais de vivre.
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Diego R. Bolderas
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Sujet: Re: (X) Demasiado jugando con fuego, lo quemamos. [Ninouche & Diego] Mer 7 Aoû 2013 - 4:28
Demasiado jugando con fuego, lo quemamos.
Nina & Diego
Comment appelle-t-on cela ? L’amour ? Surement pas. La passion ? Peut-être un peu, oui. L’envie ? Sans aucuns doutes. Nous nous détestions d’ordinaire, c’était une chose véridique et sans appel, en effet et peut-être était-ce à cause de ça au final, que nous nous retrouvions dans une telle position. Les tensions sont souvent bien plus qu’on ne le laisse croire. Si on avait raconté ça à nos connaissances respectives, aucune d’entre elle ne nous auraient cru, je pense. Mais pourtant ce moment était bien réel. Ces caresses, ces baisers, tout ce désir enfoui.
Tandis que j’étais occupé à la flatter sans ménagement, et surement pas de manière très douce, comme je pourrais l’être avec… Thalia par exemple, la demoiselle baladaient ses mains un peu partout sur mon corps. Me faisant frissonner par moment. Douce sensation. Ses doigts descendaient au fur et à mesure que l’excitation se faisait ressentir, pour finalement détacher la serviette dans laquelle j’étais de plus en plus à l’étroit. Je m’arrêtais un instant pour regarder son visage. « Oups... Je crois que ta serviette a glissé... » Me dit-elle alors avec un air de sainte nitouche coquine. Un sourire mauvais, et que certains pourraient qualifier de mauvais s’étira sur mes lèvres. Un sourire qui voulait en dire long.
Alors que nos corps étaient à deux doigts de fusionner, je m’étais rappelé de ma bague. De mon alliance. Et je n’étais pas arrivé à me débarrasser de cette idée. De son visage. Si je gardais ça au doigt, vous pouvez être certain que tout allait se rendormir aussi vite qu’il s’était réveillé. J’aurais pu discrètement l’enlever, sans même quitter mes lèvres de celles de la jeune fille, mais je n’y étais pas arrivé. La chaleur M’avait emprisonné l’annulaire dans cet anneau d’argent. « T'es sérieux là? Au pire, si je t'emmerde, dis-le ! » Je ne bougeais pas mon doigt d’un poil, lui faisant bien comprendre que si elle ne m’aidait pas, de suite il n’y aura. En râlant elle attrapa du gel douche et frictionna l’annulaire pour le libérer de son emprisonnement, pour finalement qu’il atterrisse dans le lavabo. Pauvre petit bijou signifiant l’amour… « Le gel douche, c'est comme le lubrifiant ça glisse tout seul! » Me dit la brune tandis qu’elle m’attrapait pour me rapprocher d’elle. « Je vois qué La señorita es connaisseuse… »
Je continuais d’observer le corps magnifique et sans défauts de la demoiselle, déposant de petits baisers sur chaque parcelles de sa peau. M’amusant à faire dresser et frissonner sa poitrine par des effleurements du bout des doigts. Elle me demanda ensuite si l’on pouvait reprendre où l’on s’était arrêté, tout en descendant petit à petit. Quand elle prononça le mot « Mariage. » Je passai ma main dans ses cheveux. « Shhh. No se habla con la boca llena.* » Je fermais les yeux tandis que l’Eta me faisait le plus grand des plaisirs. Ça me prenait au ventre, au cœur, à la tête. Et je ne pouvais retenir quelques râles de plaisir.
C’était trop. Trop d’envie, trop d’excitation. Je la voulais, ici et maintenant. Sans penser à rien d’autre que nos deux corps en fusion. Je l’invitais à se relever, et enlèverais expressément son dernier sous vêtement, sans prendre la peine de retirer sa mini-jupe. J’attrapais ses deux jambes pour les mettre autour de ma taille pour que son palais puisse accueillir le prince comme il se devait. Sensation indescriptible. Mais tellement agréable. « Dios mio … » Les yeux fermés, la respiration courte. La tête enfouie dans son cou, je m’arrêtais une seconde. Certains mecs sauront de quoi je parle. Je relevais le visage pour pouvoir enfouir mon regard azur, mais tellement noir au fond, dans le sien, tout en continuant mes coups de reins. Tantôt rapide, tantôt plus calme, allant du plus doux au plus sauvage. La déstabiliser. La rendre folle. La surprendre. Voilà ce qu’était le vrai secret.
« Eres tan hermosa… Es una pena, eres una perra**. » Lui chuchotais-je à l’oreille, faisant exprès de ne pas quitter ma langue natale. Au fil que les minutes passaient, la chaleur de nos corps avaient empli la pièce de bué, sur les vitres des douches, sur les miroirs. « No deje… t’arrête surtout pas. » Même si en soi, c’était plutôt moi qui menais la cadence. Un feu d’artifice toujours plus rapide. Jusqu’au bouquet final. Haletant comme jamais, et pris de spasmes, je la regardais une toute dernière fois droit dans les yeux. « J’espère que ça t’as aimé, parce que ça n’arrivera plus. » Je relâchais les jambes de Nina, et m’abaissait pour ramasser ma serviette et mes vêtements. J’étais bon pour reprendre une douche… Une vraie cette fois.
*Trop honte pour traduire ça xD **Tu es tellement belle… C’est dommage que tu sois une vraie garce.
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Sujet: Re: (X) Demasiado jugando con fuego, lo quemamos. [Ninouche & Diego] Lun 5 Aoû 2013 - 20:02
“Demasiado jugando con fuego, lo quemamos”
Diego & Nina
Le regard que je posais sur l'espagnol était des plus malicieux, je ne le lachais pas des yeux, je voulais qu'il faiblisse et je savais que j'y arriverais. J'avais toujours ce que je voulais d'une manière ou d'une autre. Je savais aussi ce que je valais aux yeux des hommes de ce lycée et même si Diego était marié, je savais que physiquement, je lui plaisais. Il me détestait tout comme moi je le détestais. Il était tout ce que je ne supportais pas et aux entrainements, rien que le voir m'énervait, sauf que je ne pouvais m'empêcher de détourner mon regard. En fait, j'avais l'impression que mon corps n'obéissait plus à mon esprit. Je pouvais regarder Diego pendant des heures, pour le plaisir des yeux, cependant quand je le croisais au détour d'un couloir, ma seule envie était de lui en coller une ou encore de passer mes nerfs dessus et pourtant là, c'était lui dont j'avais envie, ici et maintenant. J'avais jamais été aussi proche de ce mec qu'à l'heure actuelle et c'était pas pour me déplaire, pour une fois.
Je passais mon temps à l'aguicher, à tenter par tous les moyens de le corrompre et finalement, le meilleur moyen était le défi. Diego était bien un mec pour ça, il avait sa fierté mal placée. Finalement, j'optais plutôt pour l'envie, car même s'il m'avait "gentiment" refoulé, je me voyais mal aller raconter dans tous les couloirs que Bolderas était une lavette sans bijoux de famille, j'allais aussi me faire grillé et je ne voulais pas que ça arrive jusqu'aux oreilles de Noah. Dans les couloirs ou même dans les vestiaires des Cheerleaders, certaines filles ne se lassait pas de commenter le capitaine de l'équipe, et ce qui en ressortait souvent était "son accent espagnol". Apparemment, ça en faisait craquer plus d'une. Je devais surement être anormale, parce que moi ça m'exaspérait énormément et le pire, c'est qu'il prenait un vilain plaisir à augmenter la fréquence. J'en étais presque au stade "Tout espagnol, rien anglais" et encore, il ne fallait pas trop compter sur la traduction "Démerde toi, Nina" , "Merci Capitaine!".
L'espagnole me plaquait contre le mur. J'essayais toujours de réveiller les pulsions du garçon et, je crois que j'y étais arrivée lorsque mes lèvres rejoignais les siennes pour les embrasser, les mordiller et se frayer un chemin dans son cou alors que je sentais sa main s'introduire sous ma chemise. Je laissais les miennes parcourir sa peau mate, mes doigts emprunter le chemin que dessinaient ses abdos. Il s'empressait de défaire totalement ma chemise - que j'avais payée bien chère soit disant passant - sans même prendre le temps de défaire les boutons. Je fronçais les sourcils en le regardant droit dans les yeux, mais sans même y prêter attention ses lèvres vinrent se coller sur ma peau, le long de mon cou descendant tout droit vers ma poitrine. Je sentais l'excitation monter en moi et affichais un sourire satisfait. Comme je le pensais quelques secondes plus tôt, j'arrivais toujours à avoir ce que je voulais et ici, ça s'annonçait mieux que le reste. Mieux que ce que je ne pensais et j'étais fier d'être arrivée à mes fins.
Diego maintenait un de mes bras au dessus de ma tête et plus ou moins à auteur de la sienne. Je sentais ses lèvres se balader sur le haut de mon buste et passais une main dans sa nuque. Je laissais les sensations m'envahir et glissais ma main le long des côtes et de la taille de l'espagnol jusqu'à sa serviette de bain et délivrais les deux extrémités du tissus de sorte à ce que cette dernière glisse jusqu'au sol. Je souriais au jeune homme en me mordillant la lèvre inférieur.
Oups... Je crois que ta serviette a glissé...
J'embrassais avec toujours autant de fureur les lèvres du bel espagnol quand celui-ci me stoppait dans mon élan. Je fronçais les sourcils me demandant ce qu'il lui arrivait quand il me demandait de l'aider à enlever son alliance. Choquée de sa demande, je le dévisageais.
T'es sérieux là? Au pire, si je t'emmerde, dis le !
J'en revenais pas qu'à ce moment précis, il était en train de penser à son alliance et que pire encore, il me demandait de l'aider. Je lui lançais un regard exaspéré avant d'attraper son doigt. Je pris du gel douche et le lui frottait quand finalement, l'alliance se mis à glisser toute seule. Je la balançais dans l'évier sans aucune délicatesse et me tournais vers lui avec un sourire satisfait.
Le gel douche, c'est comme le lubrifiant ça glisse tout seul!
Je passais une main dans mes cheveux et tirais l'espagnol contre moi. Je laissais mes mains glisser à hauteur de ses reins et ensuite ses jolies fesses maintenant découvertes et baladais mes lèvres le long de son torse pour ensuite revenir à quelques centimètres de ses lèvres.
Tu crois qu'on peut reprendre là on où s'est arrêté où t'as encore d'autres gardes-fous liés à ton mariage querido..?
Sans même attendre une quelconques réponses, je parcourais son torse avec mes lèvres en descendant toujours un peu plus jusqu'à atteindre la virilité du bel étalon.
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Diego R. Bolderas
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Sujet: Re: (X) Demasiado jugando con fuego, lo quemamos. [Ninouche & Diego] Lun 22 Juil 2013 - 17:18
Demasiado jugando con fuego, lo quemamos.
Nina & Diego
J’essayais tant bien que mal de faire culpabiliser l’Eta Iota comme je le pouvais, pour qu’elle décide de me laisser tranquille, sans trop y croire. Tout le monde était au courant de mon mariage avec Thalia, tout le monde savais que l’on affichait maintenant notre amour au grand jour, et à tous. Y compris aux yeux de mon ex, Molly. Mais j’essayais simplement de me rendre un peu moins coupable en tentant de lui montrer que tout était de sa faute là, tout de suite. Quoique… En soit ce n’était pas totalement faux. Elle m’avait avoué s’être rendu dans les douches pour moi, et puis, c’est elle qui m’avaient piqué mes fringues également. S’il elle n’était pas venue, rien de tout ce qui est en train de s’enclencher ne serais arrivé.
Sa main n’avait pas quitté ma peau, et ses caresses se faisaient de plus en plus envieuses. C’est alors qu’elle m’afficha un sourire absolument hypocrite, en m’annonçant d’une voix douce, presque mielleuse, qu’elle était au courant de tout ça, comme j’aurais pu m’en douter. Et elle remit en cause mes paroles, me balançant toutes mes faiblesses à la tronche. Cette fois, je ne pouvais pas lui donner tort. Elle avait raison sur presque toute la ligne. Ce qui m’agaça encore plus. Mais comment osait-elle ? A cet instant, je n’étais qu’un jouet. Un jouet qu’elle voulait, et qu’elle ne lâcherait pas sans avoir pu le tester. Et pauvre con faible que je suis face à la gent féminine, je laissais les choses s’envenimer. « Qu'est-ce qui te retient? » Cette simple phrase débloqua la seule pièce qui retenait l’engrenage de se mettre complètement en route. Elle dégagea ma main de son visage, avec autant de vigueur que quand je l’avais posé et m’engueula presque de lui parler en espagnol.
« Tu devras faire avec mi bella. Es así y no de otra manera.» Dis-je en la plaquant contre le mur de la douche. Mon corps était quasiment collé au sien, pour qu’elle ne puisse plus se défiler. Mon cœur s’accélérait au fur et à mesure que je sentais ses lèvres bouger près de mon oreille. « Je viens de faire de toi un homme faible... Bolderas . » Je fermais les yeux, et sans pouvoir rétorquer quoi que ce soit, ses lèvres viennent embrasser les miennes langoureusement, presque sauvagement sous les mordillements. Il ne me fallut qu’une bonne minute pour réaliser. Pour réaliser ce que j’étais en train de faire. Je ne me laissais pas faire, bien au contraire, je me surpris même à avoir passé mes mains sous sa chemise. « Je vais te montrer qui est faible aquí. »
Et d’un seul coup de main sec, j’ouvrais sa chemise, faisant sauter tous les boutons. Mes lèvres s’engouffrèrent à l’intérieur de son cou, mes baisers se voulant langoureux et sensuel, tout en descendant progressivement dans son décolleté, flattant sa poitrine ferme. D’une main, je lui tenais un bras au-dessus de nous, comme pour avoir une dernière once de contrôle, et de l’autre, je caressais fermement une de ses cuisses, la remontant autour de mes hanches. Ma respiration se voulait plus haletante au fur et à mesure que les secondes passaient. Et cette fois, il était bien trop tard pour empêcher ma virilité de se réveiller. Ondulant sensuellement le bassin au rythme de nos baisers et de nos caresses, mon excitation atteignait presque un point de non-retour.
Il n’y avait rien de doux dans tout ça, rien de romantique, aucuns sentiments. Simplement une envie et un désir innommable. Ce n’était pas comme avec Thalia… Avec Thalia c’était si… Si… Mais attendez, qu’est-ce que je suis en train de faire là ? C’est une autre que je suis en train d’embrasser, et avec qui je suis sur le point de commettre l’irréparable, et je trouve le moyen de penser à ma femme. C’est d’autant plus dégueulasse. Je suis véritablement un pourri. « Attend… Attend. » Fis-je en haletant. Il fallait que je l’enlève, je ne pouvais pas garder ça aux doigts alors que… Non, je c’était au-dessus de mes moyens. Je tirais sur mon annulaire tant bien que mal pour l’enlever mais rien n’y fit. Et soudain, Je me souvenais que pour enlever des bagues, il fallait humidifier pour qu’elle glisse plus facilement. « Garde tus comentarios pourris et y ayúdame à enlever ça. » Dis-je en lui présentant mon annulaire orné de mon alliance et en passant ma langue sur mes lèvres sucrée de par son gloss fruité.
* C'est comme ça et pas autrement.
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Sujet: Re: (X) Demasiado jugando con fuego, lo quemamos. [Ninouche & Diego] Mer 17 Juil 2013 - 2:14
“Demasiado jugando con fuego, lo quemamos”
Diego & Nina
Mon regard se baladait toujours un peu plus sur le corps bronzé de l'espagnol. Ca faisait déjà plusieurs semaines que j'avais remarqué et que j'avais ce garçon en ligne de mire. Il était sexy, charmant et son côté hyspanique en faisait surement fondre plus d'une. Ensuite, c'était le capitaine des Cannonballs. Tout ça à lui tout seul, forcément j'étais pas insensible. Les autres jours, je m'étais juste contenter de le regarder, avec insistance. Il avait surement grillé à plusieurs reprise, j'avais pas essayé d'être discrète. Même Cha l'avait remarqué et jusqu'à aujourd'hui je lui avais toujours ressorti l'excuse "Ben, je fais rien de mal c'est juste pour le plaisir des yeux". Sauf qu'après frustration et dispute avec Noah et surtout, le silence qu'il imposait, j'avais largement décidé de passer les limites du raisonnable. Ce mec était prétentieux et savait qu'il était beau. Il représentait ce que je n'aimais pas chez un homme et son côté superficiel m'exaspérait - sans parler de son espagnol dont personne ne comprenait rien - Mais à côté de ça, il était tellement séduisant...
J'essayais d'analyser l'attitude du Pi Sigma. Il était sur la défensive et son hostilité le rendait presque encore plus attirant. Décidément, sa femme avait de la chance... Ou pas. J'avais toujours ce que je voulais et là, maintenant, tout de suite, c'était lui que je voulais. Pas pour la vie, et surement pas pour courir me marier avec. Non, je voulais juste son corps et son physique. Je voulais aussi satisfaire mon égo en me disant que le capitaine des cannonballs était un bon coup. Du moins, c'était ce qu'en disait les rumeurs. Moi je voulais juste me contenter de les vérifier. Non, en fait je voulais juste la satisfaction. J'en avais rien à faire de ces rumeurs sur ces espagnols. Déjà, si lui je pouvais la lui boucler avec son baragouin, j'aurais été plus qu'heureuse. Je gardais en otage les vêtements de l'espagnol et m'amusais à le regarder chercher, quand son regard noir geais croisait le mien. J'avais l'impression que je venais de me lancer un propre défi: Faire craquer Bolderas. Si ça c'était pas un challenge de taille, je ne m'appelais plus Nina Palmer.
Je roulais les yeux au ciel quand il continuait sur sa lancée hispanique. Il pouvait pas parler une seule langue? J'en avais rien à faire de son espagnol - même si ça le rendait drôlement plus sexy - . Il tentait tant bien que mal de récupérer ses fringues en se rapprochant dangereusement. Plus il s'approchait, plus mon sourire espiègle s'intensifiait. Le reste n'était plus qu'un jeu d'enfant. Il n'était plus qu'à quelques centimètres de moi lorsqu'il m'attrapait le bras pour que j'ôte ma main de sa serviette. Je plongeais mes yeux ténebreux dans les siens et glissais mon autre main dans le creux de son dos. Je laissais le bout de mes ongles effleurer sa peau alors qu'il m'informait, proche de mon visage, son mariage avec sa copine. Ce qui me fit sourire.
Je le sais, ça. T'es tellement amoureux que t'es encore là, et que tes yeux ont plongé, à plusieurs reprises, dans mon décolleté. Je ne suis qu'une fille Diego, t'as peur de quoi? Tu pourrais les récupérer facilement, tes fringues et te barrer... Mais t'es toujours là, à même pas 50 centimètres de moi... Qu'est-ce qui te retient?
Suite à ça, je lançais un regard satisfait à l'espagnol. S'il avait vraiment été amoureux de sa copine, il n'aurait pas eu de problème à se débarasser d'une fille d'1m63 et 53 kilos tout mouillés. Pour un capitaine aussi musclé, c'était un poids plume. Je maintenais mon regard dans le sien. Un regard qui s'avérait malicieux et presque vainqueur. Il restait là, sans agir mais sans disparaitre, quand d'un coup il fit tout valser sur le sol, y compris ses vêtements. Je regardais un instant tous les produits se trouvant à terre et lui en profitait pour attraper mon visage et me forcer à le regarder. J'avais rien compris à sa langue ce qui m'énervait. Je décollais la main du garçon, de mon visage et lui rendait le même regard.
Putain, j'y comprends rien à ton espagnol de merde Diego!
J'eus même pas le temps de dire quoique ce soit, qu'il m'avait collé contre le mur. Je le regardais pendant un instant, toujours avec se regard plein de défi. J'approchais mes lèvres de son oreille et susurrait le fond de ma pensée.
Je viens de faire de toi un homme faible... Bolderas.
Mes lèvres continuaient le prolongement de sa mâchoire, frôlant à peine sa peau pour arriver vers ses lèvres, les mordillant et puis l'embrassant avec fougue, laissant mes ongles se balader sur le torse musclé et bronzé du garçon.
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Diego R. Bolderas
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Sujet: Re: (X) Demasiado jugando con fuego, lo quemamos. [Ninouche & Diego] Dim 30 Juin 2013 - 19:57
Demasiado jugando con fuego, lo quemamos.
Nina & Diego
Un instant plus tôt, alors que j’étais en train de tenter de cacher un minimum de ma peau bronzé, et avant d’aller chercher mes vêtements pour me rhabiller, j’entendais la demoiselle me provoquer d’avantage. Ça l’énervais que je parle en Espagnol ? He bien tant pis pour elle, je ne vais quand même pas faire les choses pour lui plaire non ? Surtout que je sens bien son regard qui ne me quitte pas, et sans vouloir me vanter, je crois que je lui plais bien assez comme ça, je ne vais certainement pas en rajouter. Ignorant donc la remarque à mon égard, je continuais de lui parler à moitié dans ma langue natale. Je n’étais absolument pas certain de ce que j’avançais. Elle était bien trop sure d’elle pour s’être trompé de mec. Et, sinon, pourquoi resterais-t-elle planté ici ? Mes fringues en main ?
Voilà, je le savais, elle m’affirma que c’était bien moi qu’elle cherchait. Et ça, j’aurais bien voulu savoir pourquoi, exactement. J’aurais également bien aimé lui rétorquer que je croyais que toute les Etas en étaient, des débiles. Mais je me retins. Moins je lui parlerais, plus vite je serais sorti d’ici. Parce contre son « Querido » elle aurait pu se le garder. Pendant que mes mains cherchaient dans mon sac, ma tête se retournait pour lancer un regard de travers et assez noir pour qu’elle comprenne que cela ne me plaisait pas. Mais pas du tout.
Revenons au présent. C’était la demoiselle qui n’avait pas bougé d’un poil qui avait mes affaires dans les bras. J’avais fait la bêtise de m’approcher d’elle pour lui demander de me rendre ça, et de lui demander par la même occasion, à quel jeu jouait-elle. J’essayais de tenir mon regard sur son visage et rien d’autre. Ne pas tomber dans son décolleté, ni même sur ses jambes. J’essayais de garder mon sang froid au maximum, et normalement, tout devrait bien se passer. Dans un murmure, nouvelle provocation. « Crois-moi, no me necesitas pour les visiter. Basta ya, rend-moi ça !» Dis-je tandis qu’elle planquait mes fringues derrière elle. Surement pensant que je tomberais dans son petit jeu. Je levais les yeux au ciel, en soufflant, lassé de tout ça.
« Tu peux m'aider, si tu veux » Dit-elle en attrapant le bord de ma serviette, que je m’empressais de tenir pour ne pas qu’elle glisse, pour m’approcher plus près d’elle. Cette fois je ne pus contenir mon regard ailleurs que dans son décolleté plongeant qui me faisait face. Sous la serviette, je sentais bien que ça commençais à se réveiller. Je ne suis qu’un homme après tout. L’excuse bidon… « Déjame ir* Nina. » Dis-je en serrant les dents, et en attrapant son bras, alors que nos visages étaient de plus en plus proches. Aussi proche que je pouvais sentir l’odeur fruité de son gloss qui pulpait sa bouche. Mais elle n’en avait que faire puisque son autre main libre vint effleurer ma hanche pour aller se nicher dans le creux de mon dos. La sensation de ses doigts sur ma peau encore mouillé me procurait un frisson du diable.
« J’suis marié. Yo estoy enamorado de Thalia, c’est dégueulasse ce que tu fais aqui. » Parce qu’en soit, ce n’était pas tellement ma faute. Mais maintenant, j’étais partagé entre le fait d’attraper mes affaires et de m’enfuir, ou de rester là… quitte à faire une grosse, grosse connerie. Mes vêtements… Pourquoi à cet instant précis, je n’y pensais plus vraiment ? Ma phrase était presque susurrée à son oreille. Sans lâcher son poignet, et sans la toucher directement, je sentais l’odeur de son cou, comme enivrant. Son souffle dans le mien, faisait battre mon cœur plus fort, faisait réveiller Prince Diego de plus en plus. Je fermais les yeux doucement. Il fallait que je me réveille, que je me fasse violence pour arrêter la machine qui était déjà bien en route. Mais le reste de mon corps refusait de m’obéir.
D’un coup de bras rapide, je dégageais le plan du lavabo, faisant tomber tous les produits, et mes fringues par la même occasion. J’étais clairement énervé, contre cette fille, et contre moi-même. Elle était en train de faire ressortir mes mauvais côtés, et je n’aimais clairement pas ça. De ma main libre j’attrapais son visage, pour la forcer à me regarder dans les yeux, pour qu’elle voie à qui elle avait vraiment à faire. Et pas simplement à mes muscles. Qu’elle puisse voir le fond de mon âme. Qu’elle puisse regretter sans pour autant pouvoir faire marche arrière. « No vendrá quejarse ahora.** » finissais-je par dire en la plaquant contre le mur extérieur à la douche.
*Lâche-moi. **Il ne faudra pas venir te plaindre maintenant.
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Sujet: Re: (X) Demasiado jugando con fuego, lo quemamos. [Ninouche & Diego] Sam 29 Juin 2013 - 2:06
“Demasiado jugando con fuego, lo quemamos”
Diego & Nina
Après avoir "gentiment" invité le beau brun à sortir de sa cabine de douche, ce dernier s'exécutait mieux que je ne le pensais (ou ne l'espérais). Je gardais les fringues du garçon contre moi quand mes yeux ne pu cesser de descendre. Ca commençait du visage, puis jusqu'à son torse et enfin, l'endroit X m'arrachait un sourire malicieux.. J'en demandais pas temps. Le garçon attrapais une serviette après avoir percuté que ce n'était pas sa "bella" qui l'attendait. Continuant dans mon sarcasme je me hâtais...
Dis donc, tu devrais te tromper de meuf plus souvent, ça fait plaisir aux yeux... Par contre, arrête de baragouiner en espagnol, ça m'enerve, j'comprends rien.
Assise sur le lavabo, je gardais toujours ses fringues en otage. Je croisais les jambes entrainant un rehaussement de ma jupe et haussais les sourcils lorsqu'il commençait son mélange anglo-espagnol. Qu'est-ce que ça pouvait m'énerver. J'étais américaine de pure souche, je ne comprenais rien à l'espagnol et de toute façon, ça ne me servait à rien. Je soupirais lorsqu'il me disait que je m'étais "trompée de mec". S'il savait...
Euh, non. C'est bien toi que j'ai suivi. Crois moi, j'suis pas assez débile pour me tromper de mec. J'avais un entrainement, t'as débarqué, je t'ai suivi, aussi simple qu'1 + 1 font 2 "querido"!
L'espagnol s'énervait presque et moi, ça me faisait sourire. J'avais entendu des "on dit" sur lui et sur son pseudo-couple. Au final, c'en était plus risible qu'autre chose et moi, actuellement, j'étais là, face à lui à déguster en visuel chaque partie de son corps, chaque muscle qui ne demandait qu'à être regardé. C'était un mec, un espagnol et un PS : il attendait que ça, non? Il attachait sa serviette autour de sa taille et se mis à chercher ses fringues, ce qui me forçait à rigoler, quand il posa les yeux sur ce que j'avais entre les mains. S'il les voulait, fallait qu'il vienne les chercher, mais s'il venait les chercher, je ne donnais pas cher de son couple... Je le regardais Diego qui se demandait à quoi je jouais, je le regardais les yeux pleins de malice alors qu'il s'approchait. J'attendais qu'il soit un peu plus proche pour qu'avec un simple murmure, il perçoive ma réponse...
Ca ne se voit pas? je visite...les douches.. Très intéressantes d'ailleurs...
Je glissais ses fringues derrière mon dos et le fixais toujours avec autant d'intensité dans le regard. Je lui lançais un sourire et reprenais en me penchant légèrement pour attraper le bord supérieur de sa serviette et l'attirer un peu plus près...
Tu peux m'aider, si tu veux
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Diego R. Bolderas
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Sujet: Re: (X) Demasiado jugando con fuego, lo quemamos. [Ninouche & Diego] Jeu 27 Juin 2013 - 2:22
Demasiado jugando con fuego, lo quemamos.
Nina & Diego
L’eau continuait de couler sur mon corps musclé, tandis que j’avais demandé qui était dans la pièce suite au bruit que j’avais entendu. J’avais décalé ma tête en arrière pour entendre une quelconque réponse, mais rien de vint tout suite. Ou alors était-ce moi qui n’avais pas attendu assez longtemps. Quoi qu’il en soit, il ne devait y avoir personne d’autre dans cette pièce. Peut-être juste le concierge qui était passé voir si je ne mettais pas enfuis avec les clefs, ou quelqu’un qui s’était trompé de salle. Pas que je sois forcement méfiant, peureux, ou même pudique mais bon, je n’aime pas être pris par surprise. Je continuais de rincer la mousse de mes cheveux sans ne me douter de rien.
« … sors de …douche chico, … verras …toi-même. » Quoi ? Je retire de nouveau ma tête de sous l’eau. Cette fois je n’ai pas rêvé j’ai bien entendu une voix. Et elle s’adressait à moi qui plus est. Aucune fille sur le campus ne s’adresse à moi en espagnol, pas même Molly. Enfin là, ce serais vraiment du grand n’importe quoi, ne serais-ce que d’imaginer une seconde que c’est elle qui est ici. Après notre dernière conversation… Aucune fille disais-je… A part une. Une seule s’adressait à moi dans ma langue natale, qui était d’ailleurs aussi la sienne. Thalia, ma ravissante femme épousée un soir de beuverie dont on ne se souvient que très peu de la soirée. Mais malgré nos débuts chaotique, je dois bien avouer que j’en suis amoureux… Elle est celle qui ose me dire clairement les choses, qui ose m’envoyer bouler quand je suis trop chiant, qui ose hausser le ton. Et aussi celle qui sais lire en moi comme dans un livre ouvert.
Un sourire vient se nicher au coin de mes lèvres. La petite coquine, moi qui pensais qu’elle me faisait vraiment la gueule depuis notre retour à Miami… Finalement, je crois que j’aime ce genre de surprise. J’arrête alors l’arrivée d’eau pour pouvoir sortir de la douche et rejoindre ma belle. Je ne prends même pas la peine d’attraper ma serviette au passage. C’est Thalia je vous rappelle. Elle m’a déjà vu dans le plus simple appareil… et bien plus encore d’ailleurs. Mon regard se pose à terre alors que je prends la pose contre le carrelage de la douche, lui faisant face, et lui laissant le plaisir de m’admirer tel une statue grecque. « Bah alors mi Bella …. … Nina ?!» QUOI ?! Alors que je relevais ma tête en même temps que je prononçais ces mots d’une voix suave, je me rendais compte que la jeune fille devant moi était tout sauf ma femme.
« joder de mierda! » Jurais-je En quatrième vitesse je ramassais ma serviette, et la tenais devant moi uniquement pour cacher le petit prince. Une fois la chose faite, je retournais devant la demoiselle, qui affichait un sourire satisfait au coin des lèvres. Elle était appuyée contre les lavabos, me donnant l’occasion de pouvoir voir ses courbes parfaites, et le peu de tissu que sa jupe cachais, me laissais observer sa peau parfaitement bronzée. Ses jambes interminables… Je déteste l’été. « Qu’est-ce que tu fout aquí toi ?! Tu t’es trompé dé Chico yo créo.» Grondais-je, agacé. Pourquoi l’étais-je ? Parce que je connais cette fille de vu, j’ai bien remarqué son petit jeu lors des matchs, lors des entrainements, ses regards insistants sur moi. Mais je sais également qu’elle a sale caractère, et les « on dit » on eut raison de moi. Je ne veux rien avoir à faire avec elle. Bien que sa beauté ne me laisse pas totalement de marbre.
Enroulant cette fois la serviette complètement autour de ma taille, pour éviter toute catastrophe. Ou peut-être pour cacher tout ce qui pouvais se passer par là, je décidais de détourner les yeux une bonne fois pour toute et d’aller immédiatement me rhabiller pour sortir au plus vite de cette galère. On dirait une vague parodie de la fois où c’est moi qui suis rentré dans les vestiaires des cheers pour coincer Thalia. J’attrapais mon sac, rien dedans. Je jette un rapide coup d’œil au portant rien non plus. Je me retourne vivement vers la brune, qui tenait fièrement mes vêtements contre elle. Bordel… Je soupirais en me rapprochant d’elle. « Me hace Nina. A quoi tu joue, là ?»
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Sujet: Re: (X) Demasiado jugando con fuego, lo quemamos. [Ninouche & Diego] Jeu 27 Juin 2013 - 1:35
“Demasiado jugando con fuego, lo quemamos”
Diego & Nina
6h30, mon portable vibre sur ma table de nuit. Je tente d'attraper tant bien que mal cet objet de malheur et ouvre un oeil histoire de voir qui pouvait m'appeler à une heure pareille: Charlott. Je décrochais et posais l'appareil contre mon oreille, à moitié endormie lui donnant toute l'attention dont j'étais capable ce matin. Elle m'expliquait qu'elle donnait rendez-vous aux cheers ce matin pour un entrainement sur le terrain des cannonsballs. Chouette alors. Enervée je raccroche sans même lui donner de réponse et m'empresse de rejoindre les douches de la confrérie. Sortie de là, j'attrapais mon sac, ma tenue et me grouillais à descendre les escaliers et rejoindre ce super terrain que je détestais tant, sauf peut-être quand les mecs s'entrainaient.
Cha était surement la seule au taquet, Moi j'étais là, assise sur un banc, attendant vainement les autres demoiselles tout en me disant que j'étais surement la seule pimbêche à avoir pris la peine de venir ce matin quand le reste de l'équipe nous rejoignait. L'entrainement se passait plutôt bien et dans un sens, j'étais contente qu'elle l'ait mis plus tôt: j'avais l'impression d'avoir gagné des heures sur ma journée. A la fin de l'entrainement, on se dirigeait toutes vers le vestiaire des Cheers. Le bruit des douches chaudes et les odeurs que les gels douches dégagaient était signe de féminité. On était coquette, on était belle, on était... des demoiselles. Toutes en train de se refaire une beauté, je terminais en passant un coup de brosse dans mes longs cheveux bruns et patientait sur un banc, dehors, attendant patiemment que Charlott me rejoigne. J'observais droit devant moi quand mes yeux fixèrent un type. Je l'avais déjà vu, chez les Pi Sigma pour commencer et encore chez les cannonballs. A chaque fois que je voyais ce mec, je ne pouvais m'empêcher de me dire que ma vie était d'un gachi... J'attendais un mec qui ne savait pas encore s'il était prêt à se caser et j'avais en face de moi, à l'instant, au loin, ce dieu vivant. Je le fixais, quand la chef des cheers me rejoignais.
Tu sais Cha', ça me bouffe de me dire que j'attends que Noah se bouge quand je vois des mecs comme lui. C'est du gâchis, ça ne se fait pas.
L'éclat de rire de la brunette parvenais à mes tympans. Je la regardais, souriais et observais toujours ce garçon se diriger vers les vestiaires des Cannonballs.
Tu sais qu'il a une copine? C'est Diego, le capitaine des Cannon'
Je tournais la tête vers la brunette.
Et alors? Carter aussi avait une copine, l'un n'a pas empêché l'autre...
Je lançais un clin d'oeil à la jeune fille avant de lui demander de prendre soin de mon sac et de me diriger à mon tour, à mon aise, vers les douches des garçons. Je tentais tant bien que mal de ne pas trop me faire remarquer et sous le brouhaha de la douche, je fermais délicatement la porte de la pièce, une fois entrée à l'intérieur. Une odeur de Monoï se baladait un peu partout, c'était assez plaisant. Mes yeux se posaient sur des vêtements. Sur SES vêtements. J'attrapais les tissus conçus afin qu'il ne doive pas se promener à poil et les gardais contre moi. Je me reculais ensuite contre le mur, attendant que le Pi Sigma sorte de sa douche, quand un sèche cheveux automatique se mis en route et me fis sursauter par la même occasion. Je m'empressais de m'écarter.
¿Quién está ahí?
Je ne pu m'empêcher de sourire malicieusement suite à cet accent espagnol qui avait ce petit côté sensuel. J'attendais un moment avant de répondre.
Bah sors de ta douche chico, tu verras par toi-même.
Je tenais toujours les fringues du garçon dans les bras, attendant patiemment qu'il sorte de sa cabine. J'avais hâte de savoir plus sur lui, ou de son anatomie, à voir. Me doutant qu'il sortirait bien un jour ou l'autre, je passais une main dans mes cheveux et m'installais sur les bords de deux éviers, faces aux douches.
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Diego R. Bolderas
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Sujet: (X) Demasiado jugando con fuego, lo quemamos. [Ninouche & Diego] Mer 26 Juin 2013 - 23:11
Demasiado jugando con fuego, lo quemamos.
Nina & Diego
Même en plein été il n’est pas rare de me voir courir sur le stade de l’équipe de foot, et de me faire un ou deux petit entrainements seul. Ces derniers mois, les plats traditionnels de mon pays ont eu raison de mon poids, et ce petit surplus de peau que j’avais pu apercevoir en sortant de la douche hier soir m’avais complètement affolé. Encore pire qu’une gonzesse. Pas moyen que je me transforme en bonhomme Michelin. Je décidais alors de me reprendre en main une bonne fois pour toute. Un rythme et une alimentation équilibrée.
Le programme de la matinée ? De huit heures à neuf heures et demie un petit footing dans le parc de l’école, pause de trente minutes, pour le souffle, de dix heures à onze heures et demie, étirements et entrainements. Le stade est entièrement vide, je n’ai pas même un ou deux coéquipiers avec qui partager ce moment, ils sont tous en vacances, ils profitent. Qu’ils fassent dont… Moi je n’ai pas grand-chose à faire de plus. J’aurais pu appeler Tarik, mais il ne me semble pas tellement matinal ces derniers temps. Thalia ? Je ne sais même pas où elle est. C’est vous dire.
Je suis en nage, je sens mes vêtements coller à ma peau dorée. Je jette un coup d’œil à ma montre et décide de me rendre dans les vestiaires mon équipe de foot. J’ai réussi à avoir les clefs par le concierge, en temps normal il ne les prête pas comme ça, mais la vue d’un petit billet de vingt dollars a su faire de lui un homme généreux. Je sors mes fringues propres, et les accroche à un portant, avant de me déshabiller entièrement, serviette autour de la taille pour me rendre sous la douche. Je la laisse tomber à terre, et tourne le robinet d’eau froide, mêlant l’eau chaude pour une température parfaite.
Le bruit de l’eau, le silence régnant. Quoi de plus reposant. Je penche la tête en arrière et ferme les yeux. Je veux profiter de cet instant de répit, avant de retrouver ce monde complétement fou dehors. Je reste un bon moment comme ça, j’adore être sous l’eau, comme si celle-ci était MON élément. Je ne pense à rien, strictement à rien. Je relâche tous mes muscles meurtris par plusieurs heures d’efforts intensifs. Je décide enfin de me bouger. J’attrape mon gel douche parfumé au monoï et m’en badigeonne avant de rincer le tout. Mais ce n’est pas pour autant que je vais sortir de sous l’eau tout de suite… A moins que… ? Un bruit attire mon attention, ce n'est sans doute rien m'enfin...
¿Quién está ahí?
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(X) Demasiado jugando con fuego, lo quemamos. [Ninouche & Diego]
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