[TERMINÉ] Du GHB dans mon verre d'eau || Cheyenne

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Génial! Zack ne réagissait plus du tout. C’était pire que ce à quoi je m’attendais. Maintenant, je le savais : ne pas coucher avec un mec qui a pris du GHB surtout quand ce mec est une petite nature comme Zack. J’étais dépitée. J’avais fais une gros erreur. J’avais quelques petits mouvements de vas-et-viens quand la sonnerie retentit. Merde! Je ne pensais pas avoir pris autant de temps. Bon, ça aurait été un quicky mais surtout, j’avais eu une très mauvaise idée en faisant ça. La sonnerie avait retentit. Je devais vite me barrer. Je renfilais mes vêtements à toute vitesse. Maintenant, qu’est-ce que j’allais faire de lui? Le laisser là et lui permettre de se taper la honte avec son érection qui ne semblait pas vouloir s’arrêter. Je le regardais encore quelques instants. Je ne savais pas quoi faire. Je paniquais. Qu’est-ce que j’avais fais? Pourquoi j’avais fais ça? J’étais complètement conne. Je rhabillais le jeune homme. Je devais réparer un tout petit peu ma folie.

Je relevais Zack et quittais le vestiaire des filles aussi vite que je le pouvais. Je traversais quelques couloirs de plus. Je sortais du gymnase. Où allais-je l’emmener? Au bâtiment de sa confrérie ou à l’infirmerie. J’avais dis que je l’emmenais à l’infirmerie alors j’allais l’emmener à l’infirmerie. De retour dans le bâtiment du lycée, je galérais à trouver l’infirmerie. Dès que je la trouvais, je déposais Zack sur l’un des lits. Ensuite, je me pressais pour retourner dans ma salle de classe afin de récupérer mon sac et celui de Zack et sa bouteille. Il fallait pas laisser de preuve et cette bouteille était une preuve suffisante pour que je sois accusée. J’avais osé essayer de violer un élève. Mais quelle conne j’étais! J’avais battu tous les records de débilité. Il fallait que je me fasse interner.

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Du GHB dans mon verre d'eau

La jeune femme n’eut pas pitié de lui, mais elle arrêta un instant de l’embrasser pour le regarder. Il n’arrivait pas à garder les yeux fermés. Ce qu’il lui arrivait était trop flippant pour qu’il ferme simplement les yeux et attende que cela se passe. Et tant pis si ça lui faisait mal, s’il avait l’impression d’être exposé à trop de lumière… Ce n’était qu’un effet de la drogue. L’adolescent était étrangement conscient, même s’il n’arrivait pas à bouger un muscle, ne serait-ce que pour parler.

« Zack… N’ai pas peur : ça va être agréable. C’est agréable de faire l’amour. Je te jure que tu vas passer un bon moment… » lui promit Cheyenne, à califourchon sur lui.

Elle devait être folle. Complètement folle. Et lui se sentait peu à peu complètement sombrer dans un espèce de brouillard, tout en étant totalement aux aguets du moindre son, du moindre geste… Il sentit le tissu de son pantalon glisser sur ses hanches. Les yeux fixés au plafond, il ne bougeait plus. Tout était blanc. Tout était décuplé. Dans sa tête, c’était la panique totale, mais on aurait pourtant dit en le regardant qu’il était très calme et serein, du fait de son immobilité. Il pensait à Perle. Cela faisait quelques jours qu’ils étaient ensemble officiellement, et il la trahissait déjà. Il n’arrivait pas à se dire que ce n’était pas sa faute. Il avait dû faire quelque chose pour mériter ça.

La main de Cheyenne glissa sous le tissu de son boxer et elle lui saisit le sexe pour le caresser. Sa peau était brûlante, c’était comme si chaque particule de son corps avait décuplé sa sensibilité. Il ressentait chaque geste, chaque son… tout en amplifié. Au bout d’un moment qui aurait pu durer tant une seconde que l’éternité, la blonde rebelle descendit de son perchoir. Quand elle posa ses pieds sur le sol, Zack eu l’impression d’un bombardement tant le bruit résonna dans sa tête. Il crut un instant qu’elle allait partir et le laisser là, mais non. Elle se déshabillait. Quand elle revint dans son champ de vision, pourtant brouillé, il vit qu’elle était nue. Le brun savait ce qu’il allait se passer, bien évidemment… il l’avait compris. Mais il eut un choc quand il sentit la jeune femme s’empaler sur lui. Son sexe s’enfonça dans un vagin inconnu, et il se sentit tellement mal qu’il perdit pied. Cheyenne entama un mouvement de va-et-vient, complètement indifférente au malaise de sa victime. Lui, pourtant, ressentait toutes les sensations au centuple. C’était physiquement bon, mais sa situation l’empêchait de ressentir le moindre plaisir. Elle s’arrêta un instant pour venir embrasser ses lèvres mais, face au manque de réaction presque inquiétant de l’adolescent, se redressa. Cheyenne le regarda de longues secondes. Lui avait les yeux rivés au plafond, dans le vague. Le regard fixe, il ne bougeait pas un muscle, pas même celui de sa mâchoire. Il n’était pourtant pas évanoui. Simplement, complètement incapable du moindre mouvement.

C’est alors que la sonnerie retentit, annonçant aux élèves qu’il était l’heure de la pause. Ce bruit explosa littéralement les tympans de l’adolescent, qui avait l’impression que la cloche sonnait précisément juste à côté de son oreille. Mais peut-être était-ce une bonne chose ? Peut-être que cette foutue sonnerie allait faire fuir la Sigma Mu qui le regardait toujours sans bouger, empalée sur lui.

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Ma victime me demanda ce que je faisais. Je ne comptais pas répondre. Je ne pouvais pas répondre à moins de lui dire : “Je veux coucher avec toi et d’ailleurs, c’est moi qui t’ai drogué.”. Dans certaines circonstances, j’étais incapable de mentir et cette fois-ci, c’était le cas. J’hésitais. Est-ce que je devais arrêter et le laisser comme ça ou je devais continuer au risque de me faire coffrer par les flics suite à une plainte que Zack déposerait. Il me suppliait. Il ne voulait pas que je couche avec lui. Ce que j’allais faire était un viol. Je m’arrêtais mais restais toujours sur lui. Je devrais peut-être le rassurer, non?

-Zack… N’ai pas peur : ça va être agréable. C’est agréable de faire l’amour. Je te jure que tu vas passer un bon moment…, lui dis-je d’une voix douce.

Je venais de penser à quelque chose : j’aurais dû l’amener dans l’infirmerie. J’aurais couché avec lui dans l’infirmerie et je me serais barrée. Je lui aurais alors fait croire qu’il avait rêvé et que je n’avais jamais couché avec lui. Je fis glisser son pantalon le long de ses hanches. Je glisser la main dans son sous-vêtement, j’attrapais son sexe et le caressais. Je tentais de lui montrer que je ne voulais pas lui faire de mal et que je voulais juste qu’on passe un bon moment tous les deux. Après quelques minutes de ce régime là, je sortais ma main de son sous-vêtement. Je me relevais, ôtais mes ballerines, mon short en jeans et mon boxer. Je me rasseyais sur Zack de façon à ce que le sexe de Zack soit en moi. Je commençais des sortes de vas-et-viens mais avec cette chaleur c’était vraiment horrible de se bouger ne serait qu’un peu. Au bout de quelques instants, j’enlevais mon dos-nu que j’avais gardé. J’avais vraiment trop chaud et ce n’était pas qu’à cause du sexe et de mon désir de coucher avec Zack. J’arrêtais quelques instants le mouvement de vas-et-viens que j’effectuais pour embrasser les lèvres de Zack. Je me demandais si Zack était complètement cuit, s’il ressentait quelque chose, s’il était sonné et ne serait pas réactif. Si mes peurs étaient réelles, il était clair que ce serait beaucoup moins marrant que ce que j’aurais espéré. Visiblement, la drogue j’avais mis dans l’eau de Zack était trop puissante pour lui, il ne réagissait plus. Il était mort? Je m’arrêtais, cette fois-ci c’était plus longtemps que les fois présentes. Je regardais le jeune homme que j’avais drogué. C’était possible de mourir en absorbant du GHB?

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Du GHB dans mon verre d'eau

Elle se leva et passa le bras de Zack autour de ses épaules, puis le sien à la taille du garçon. Il se laissa un peu tomber sur elle, tandis qu’elle l’entrainait à l’extérieur de la salle de classe sous les regards inquisiteurs des autres élèves. Il titubait, perdait par instants conscience, sans comprendre ce qu’il lui arrivait. Cheyenne commença par l’entrainer vers l’infirmerie, mais elle rebroussa chemin. Dans une semi-conscience, le Khi s’en rendit compte. Il essaya de protester, en vain. Son corps ne voulait plus lui obéir. Il avait des sueurs froides, même par cette foutue chaleur. Quelque chose clochait, cela ne lui était jamais arrivé avant. Son esprit embrumé n’arrivait simplement pas à déterminer quoi précisément.

L’adolescent vit qu’ils arrivaient au gymnase. La Sigma Mu le soutenait toujours avec une force que Zack ne lui aurait pas soupçonnée. Elle poussa la porte et l’entraina vers le vestiaire des filles, complètement désert. Le Khi voyait des étoiles, il se sentit tomber sur le dos. Elle l’avait allongé sur une banquette en bois. Il sentit son bras tomber sur le côté, mollement et sa main rencontra le carrelage frais. Une fois allongé, l’adolescent sentit que Cheyenne lui enlevait sa chemise. Elle le manipulait comme un vulgaire pantin, et il n’arrivait pas à protester. Il se retrouva rapidement torse nu. Son corps ne réagissait plus. Ou du moins, plus comme il avait envie qu’il le fasse. Ce fut quand le Khi sentit son désir monter qu’il comprit enfin ce qu’il se passait.

« Ch… Cheyenne, qu’est-ce… qu… tu fais ? » bafouilla-t-il, en essayant de bouger, sans succès.

La blonde lui caressa le torse, absorbée dans la contemplation de celui-ci. Elle finit par venir s’installer à califourchon sur lui, tout contre son sexe qu’il savait dur à cause de ce qu’il avait dû ingérer sans le savoir. Le brun ferma les yeux, ne supportant plus que sa vision se brouille de la sorte. Il sentit les lèvres de Cheyenne lui parcourir le corps, comme s’il était dans une autre dimension. Il avait l’impression que tout cela n’était pas réel. Il se sentait mal, vraiment. Il avait froid, malgré la chaleur ambiante. La bouche de la Sigma Mu glissa sur la sienne, et elle l’embrassa, pour descendre à nouveau vers son torse par la suite. Ses mains de rebelle attrapèrent ensuite la braguette du jeune homme, qu’elle déboutonna. Si, jusqu’à présent, il avait réalisé ce qu’il se passait sans trop y croire, Zack comprit grâce à ce geste qu’elle allait le violer. Pour de bon. Cette pensée lui fit peur. Elle allait disposer de son corps et lui n’arrivait pas à bouger. Il n’arriverait pas à s’enfuir, il ne pourrait même pas crier. Alors qu’elle était sur lui, le brun réunit ses dernières ressources pour essayer de la repousser.

« N… ne fais pas… ça » supplia-t-il d’une voix faible, misérable.

Il n’espérait pas l’apitoyer, mais c’est tout ce dont il avait été capable. Il referma les yeux, sa vue se brouillant à nouveau. C’était comme s’il était au Paradis. Tout était blanc, lumineux. Beaucoup trop lumineux. Et son sexe dans son pantalon qui le faisait presque souffrir, à force d’être tendu. Il ne lui restait plus qu’à prier pour qu’elle ait pitié de lui et l’abandonne là à son triste sort.

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Dans le genre choses dingues faites, j’avais décidé de rajouter une chose vraiment mais alors vraiment très dingue et assez salaud, à vrai dire, à ma liste. J’avais repéré ce petit intello dans ma classe, P. Zack Woods. Il avait l’air assez coincé et je me suis dis que ce serait marrant de me le faire. Pour être sûre de ne pas rater mon coup, j’avais acheté de la drogue (du GHB). Pendant que Monsieur était au tableau, je lui ai versé du GHB dans sa bouteille d’eau. En attendant que la drogue fasse son effet, j’avais maté les abdos de ce cher garçon. J’affichais un grand sourire quand Zack demanda l’autorisation pour aller à l’infirmerie. Je me proposais immédiatement pour emmener Zack à l’infirmerie. C’était bien normal !

Je passais le bras de Zack autour de mon cou et enserrais sa taille de mon propre bras afin de l’aider à marcher. Je n’arrivais pas à y croire : même dans les couloirs on crevait de chaud. Surtout que j’étais pas tellement habillée. Je portais juste un dos-nu couleur framboise, un short court en jeans et une paire de ballerines. Même vêtue ainsi j’avais chaud… En fait, j’avais toujours chaud mais là, ce n’était pas qu’une métaphore pour dire que je voulais coucher avec un mec. Non, j’avais vraiment chaud.

J’entraînais Zack jusqu’à l’infirmerie qui, pour changer, était loin d’être déserte. Hummm… J’avais une autre idée. Une meilleure idée. J’allais l’emmener dans le bâtiment de ma confrérie. Mais je passais devant le gymnase du lycée… Tiens, j’avais jamais fais de cochonneries dans un gymnase… J’allais essayer un nouveau lieu ! Tant mieux. J’avais un immense sourire à la Chestshire Cat. J’emmenais mon petit drogué jusque dans les vestiaires des filles (Ca serait plus drôle par la suite). J’obligeais Zack à se coucher sur l’un des longs bancs qui traversait le vestiaire. Evidemment, j’avais choisi le banc le moins visible de la porte d’entrée. Je ne me gênais pas pour lui enlever entièrement sa chemise. Sans son accord –de toute façon, il était drogué-, je caressais son torse. Ca pourrait être marrant de lui faire se percer les tétons. « OK, OK, Cheyenne calme-toi. T’es de plus en plus folle ! », me dis-je alors. Je grimpais à califourchon sur Zack. Bon… Qu’est-ce que j’allais faire maintenant ? Le violer ? Je ne savais même pas s’il ressentait quelque chose sous l’influence du GHB. Bon, peu importe. Je l’embrassais dans le cou, remontais jusqu’à sa joue puis ses lèvres et redescendais sur son torse. Je déboutonnais son pantalon mais je ne fis rien d’autre. Je le regardais et j’essayais de trouver autre chose de plus intéressant à faire.

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Du GHB dans mon verre d'eau

Mercredi premier mai. Cours de mathématiques. Les élèves de Junior Year A étaient installés dans une des classes du rez-de-chaussée, et la fermeture de la fenêtre était cassée. Celle-ci était donc hermétiquement close pour un temps encore indéterminé, si bien qu’il régnait dans la salle de classe une chaleur insoutenable. Monsieur Zvell, le professeur, les avait même autorisés à retirer leur haut, pour les garçons, si bien que pas mal d’entre eux étaient torse-nus, ou la chemise largement déboutonnée. C’était également le cas de Zack, qui avait ouvert sa chemise à manches courtes, dévoilant ainsi son torse finement musclé. Il avait pourtant essayé de résister, mais c’était trop insoutenable, même pour lui. Ses abdos, c’était de la gonflette, certes, mais ça lui avait bien servi pour repousser les quelques mecs qui le martyrisaient avant, quand il était encore un Khi boutonneux et chétif. A présent, on lui foutait plus ou moins la paix.

Ils étaient en train d’étudier les probabilités, et le professeur demandait un volontaire pour aller au tableau. Zack, qui était en train de boire un coup d’eau, leva la main. Un murmure soulagé accompagna son geste, et Zvell le désigna donc pour faire l’exercice. Le brun posa à la hâte sa bouteille d’eau sur son banc, sans la refermer, et se leva pour aller au tableau. Il se saisit d’une craie blanche et commença, sans plus se soucier de ce qu’il se passait dans son dos. Pourtant, il aurait peut-être mieux fait de regarder ce qu’il se tramait… il aurait ainsi vu que sa voisine de classe, Cheyenne de son prénom, mettait quelque chose dans son eau. Malheureusement pour lui, il ne remarqua rien, et aucun autre élève non plus, apparemment. Une fois l’exercice terminé – et ce fut plutôt rapide – il revint tranquillement à sa place, tandis que monsieur Zvell commençait l’explication pour le reste de la classe.

Au bout de dix minutes, Zack eut à nouveau soif. Il but donc plusieurs gorgées d’eau, sans remarquer de goût particulier. Il reposa sa bouteille, cette fois refermée, et continua de suivre le cours. Pendant ce temps, la drogue fut absorbée par son système sanguin et entama sa route vers son cerveau. En bon dépresseur du système nerveux central, le GHB provoqua au bout de quelques minutes à peine un étourdissement chez le Khi Omikron, qui ferma brièvement les yeux. Il mit ça sur le compte de la chaleur, mais lorsqu’il se sentit à nouveau mal, il leva la main.

« Oui, Zack ? » questionna son professeur, étonné.

« Je ne… me sens pas très bien. Est-ce que je peux aller à l’in… firmerie ? » demanda-t-il d’une voix faible, tandis qu’un nouvel étourdissement, plus puissant cette fois, le faisait fermer les yeux.

Monsieur Zvell, voyant son état et sa pâleur subite, l’autorisa à quitter la pièce. Zack se leva de sa chaise et vacilla, provoquant quelques rires moqueurs dans la classe. Il fit un mouvement brusque en avant, sans même l’avoir réellement désiré, bousculant son banc, qu’il partageait avec Cheyenne. Sa bouteille d’eau tomba par terre et roula jusqu’aux pieds de la blondinette… qui proposa d’accompagner Zack.

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