a nightmare became dream | Sven & Devis

Parler de lui. Me fait oublier la raison pour laquelle je ne dors pas encore. Il m'explique alors le pourquoi les Nu Zêta. Tout comme moi ce n'est pas un écolo à 100 %. Il aime les animaux, la nature, mais ne mange guère bio tous les jours. Je crois que c'est un peu comme tout le monde. Pour ma par je trouvais que la confrérie me collait à la peau et pourtant je suis loin d'être la plus ardue des écolos. Mais il est prêt à apprendre dit-il. C'est une bonne chose, apprendre rien n'est plus enrichissant.

Il commence à se faire tard. J'ai retrouvé ma bonne humeur. Et le sommeil commence à montrer le bout de son nez. Enfin ! Les idées plus claires. Le sourire aux lèvres, je ne vois plus les nuages gris qui surplombaient mon beau ciel étoilées il y a quelque instant encore. Je regarde l'horloge, il est tard et demain il y a cours. Je ne veux guère que Sven soit fatigué pour les cours. A cause de moi ! J'aurais trop mauvaise conscience si cela serait le cas.

« Oui merci beaucoup ! »

Il se lève et retourne à la cuisine. Quelque instant après, il réapparaît dans la véranda. Il range les deux couvertures et m'invite à monter. Je souris. Le sommeil commence déjà à m'emporter et en vue des quelques heures de sommeil qui nous restent avant que notre réveille sonne. C'est une bonne chose. Arriver à l'étage. Il me regarde et me murmures que s'il y a un souci il est juste à coter. Il est vraiment gentil comme garçon. Je ne suis pas déçue de l'avoir rencontré.

Je souris et baise légèrement la tête vers le sol. Je ne suis pas mal à l'aise, mais un peu dérouté.

« D'accord et encore merci ! »

Quoi dire de plus. Je ne sais pas ! Il y a que ce mot qui sort de ma bouche. Alors qu'en temps normale j'ai un vocabulaire beaucoup plus développer. Il dépose sa main sur mon épaule et me fait la bise. Pour me dire bonne nuit. Je lui souris.

« Bonne nuit ! » Dis-je spontanément tout bas.

Je rentre alors dans ma chambre. Remonte dans mon immense lit et me plonge dans mes couettes. Le marchant de sable ne tarde pas à venir me prendre. Et m'emmener dans un profond sommeil. Enfin pour les quelques heures qu'il reste !

Le jeune homme bien gentil me fit remarquer que je n'avais guère besoin de m'excuser. J'avoue que c'est un petit défaut, que je fais tout pour cacher. Quand j'étais une enfant, j'avais pris le pli de m'excuser dès que je fessais quelque chose. Une salle manie que je croyais avoir vaincu. Elle réapparait des fois quand je me sens faible ou vulnérable. Le garçon m'expliqua alors qu'il venait d'Ecosse et qu'il ne savait pas forcément pourquoi il était ici. Qu'il avait beaucoup voyagé. Il aime les autres c'est tout en son honneur. C'est rare de nos jours les jeunes qui font de l'humanitaire.

À Londres, je passais beaucoup de temps à l'orphelinat, j'allais avec une association dans les orphelinats de la ville, dans les hôpitaux. Pour parler de notre histoire aux enfants, pour changer les idées des enfants malades. Ou encore s'occuper des nouveaux nés qui sont laissés à l'abandon à l'accueil de l'hôpital. C'est une bonne thérapie d'aider les enfants. Rien n'est plus beau que le sourire d'un enfant.

« Je n'ai pas voyagé autant que j'aurais aimé. Les cinq, six dernières années je les ai vécues à Londres et c'est le seul pays hors Usa que j'ai fait. Malgré que mon oncle lui a vu une grande partie du monde ! »

Je souris au jeune homme devant moi. En portant de nouveau ma tasse de chocolat à mes lèvres. Cela fait du bien de parler à quelqu'un à coeur ouvert. Je ne parle pas souvent à coeur ouvert même à mes proche. Je crois que le fait qu'on ne se connait ni d'Eve, ni d'Adam aide beaucoup.

« Et pourquoi les Nu Zeta ? Même si la réponse est évidente ! »

Je n'aime pas réellement parler de moi. Ni même de mon passé. Pourtant, je me sens en confiance avec Sven. Je ne supporte pas d'être aussi vulnérable que je le suis ce soir. Et pourtant il faut que j'accepte de craquer, de succomber, de capituler une fois au moins. Cela est un bien pour un mal. Même si je me fais violence. Je vois un léger sourire se dessiner sur les lèvres du jeune garçon. Après m'avoir expliqué que lui aussi il était comme ça. Et que le positif dans cette histoire c'est d'en parler pour mieux réaliser. Qu'on n'en ressort que plus fort, mais surtout meilleur. Je souris alors à mon tour.

« C'est vrai, tu n'as pas tort. Cela nous fait donc un point commun ! »

Je ne sais pourquoi ces si facile de parler avec lui. En fait j'ai l'impression qu'il me comprend sans que j'ai besoin de parler. Ce qui je dois dire est assez étrange. Je serre ma tasse dans mes mains, avant de porter cette dernière à mes lèvres. Un chocolat chaud qui réchauffe le corps et le coeur, disait ma mère. Je n'ai que peu de souvenir d'eux et de ces années avant leur mort. Mais je crois que c'est de loin les plus beaux ! Je souris en repensant à cela.

C'est idiot de ma par et surtout pas très délicat de lui demander aussi crument de ne pas en parler. Si l'on se ressemble autant que je le pense, je n'aurais pas dû lui demander cela. Il l'aurait fait naturellement. En même temps qui voudrait savoir cela ! Ce n'est guère une histoire passionnante.

« Je suis désolé, je manque de tact par moment. » Dis-je a mis voix.

Je baisse les yeux sur ma tasse. Ne savant trop quoi dire après cette aveux. Qui dit-en passant est loin d'être à mon avantage. Je pris alors mon courage à deux mains et essaye de nouveau a relancé la conversation.

« Oserais-je te demander comment tu as atterris à Wynwood ? »

Étrangement après avoir raconté mon cauchemar qui n'en est pas vraiment un. Je me sens mieux. Comme si je partageais ce lourd fardeau qui met étés confier. Je ne sais même pas si quelqu'un qui n'a pas vécu cela peut comprendre. Mais le fait qu'il soit là, qu'il me sorte de ce cauchemar. J'avais l'impression bizarre de le connaitre. Tout ce qu'on peut ressentir quand on est plus vulnérable. Tout ce bouscule dans ma petite tête brune. Tout redevient flou et dans le font je préfère cela. Le souvenir est des fois trop dures à accepter, à supporter. Il est gentil. Il est franc au moins un bon point pour lui. Je ne connais que trop bien le blabla que l'on te sort. Comme quoi avec le temps ça guéri, mais c'est que des conneries, du baratin encore plus absurde que celui qu'un mec te raconte pour te mettre dans son lit. Drôle d'exemple. Il était honnête et j'aime les gens honnêtes. Alors, moi aussi je dois être honnête avec lui.

« Merci ! Tu sais je suis une personne qu'on peut qualifier de bonne vivante. J'aime la vie et je suis toujours de bonne humeur. Le truc c'est que je ne dis jamais quand ça ne va pas, c'est mes soucis pas ceux de ceux que j'aime. Et je considère que la vie est trop courte pour ne pas la vivre pleinement. Je me suis relevée et j'en suis sortie plus forte, même si cela ne se voit pas beaucoup ce soir. »

Je ne suis pas le genre de personne à me lamenter sur mon sors. J'aime vivre et je veux une vie bien remplie. Je veux vivre pour tous ceux qui n'ont pas pus le faire. C'est peut-être con comme ça, mais je me dis que c'est mieux de penser comme ça. Je préfère voir le monde tel que je le vois, que comme un cimetière ambulent. Parce que oui tout le monde meurt un jour, mais avant la mort il y a la vie ! Et moi j'aime croire en la vie. Comme je considère celle-ci comme plus forte que la mort. Tout comme l'amour.

Il me demande gentiment si cela m'a fait du bien d'en parler. Et étrangement oui. Cela ma fait du bien et je ne saurais trop dire pourquoi.

« Oui cela ma fait du bien. Et je vais t'avouer que je ne sais pas pourquoi. »

Ici personne n'est au courent de mon passé. On me voit comme la jeune fille toujours sourire aux lèvres. Le rayon de lumière qui aime la vie. Personne ne sait réellement ce qui a comblé mon passé. Ni même le pourquoi j'ai déménagé de Miami ou encore le pourquoi je suis revenue. Mais je préfère que cela reste secret, car je ne veux pas de pitié. De compassion et tout autres sentiments qui si rapproche. J'ai surmonté seule ce drame et je l'ai accepté. Ce n'est plus cela qui guide ma vie désormais.

« Je peux te demander de ... n'en parler à personne ? S'il te plait »

Un cauchemar qui a l'allure d'un vieux disque railler. Une sensation déjà vu. Enfin de déjà vécu je devrais dire. Je ne comprends toujours pas pourquoi cela revient sans aucune raison. Je n'ai même pas encore passé devant mon ancienne maison depuis mon retour. J'ai beau réfléchir je ne vois pas pourquoi tout ça remonte maintenant. Alors, qu'un nouveau départ s'ouvrait à moi. J'y croyais dur comme fer pourtant. De nouvelles personne peuple ma vie. De nouveau sourire colle à mes lèvres. De nouveau fou rire guide ma journée. Et je croyais que de nouveau rêve allait combler mes nuits. Mais je me suis trompé, c'est toujours ces mêmes cauchemars qui reviennent me hanter.

C'est vrai que je n'ai pas fait vraiment attention. Mais il est rentré dans ma chambre. Je ne peux même pas lui en vouloir, je ne peux que le remercier. Il reprit pour m'expliquer qu'il avait reconnu les bruits qui venaient de ma chambre. Sa soeur semblait elle aussi avoir des crisses d'angoisse. Une chance pour moi. Mais il n'a pas à avoir peur, je ne crois rien. Cela m'étonnerait de trouver un pervers ou tous autres énergumènes de ce genre dans une confrérie comme celle-ci. Je fais confiance au jugement de Marissa sur ce point. Je remonte doucement la couverture et prend ma tasse de chocolat chaud dans les mains. Je souffle doucement sur cette dernière. Puis je souris à ce nouvel ami devant moi. Ne savent trop quoi dire, toujours remuer par se souvenir. Il reprit la parole m'invitant à lui raconter mon soit disant cauchemar. Il paraitrait que cela fait du bien d'en parler. Peut-être qu'il a raison. Sauf que du coup on oublie la discrétion sur mon passé. Je trouve quand même le courage d'aligner deux ou trois mots pour faire un semblent de phrase.

« En fait cela serait plus un souvenir qu'un cauchemar ! Je suis née un 24 décembre à minuit pille. Et le jour de mon cinquième anniversaire, un incendie ces déclencher. Je n'ai pas vraiment beaucoup de souvenir enfin quand je suis éveillé. Je me rappelle les bras de ma mère, une silhouette flou qui me sort de la maison. Et puis je suis toute seule devant la maison, ma mère et mon père à la fenêtre ne pouvant sortir. Cette nuit là mes parents, mon frère, mes grands-parents. Enfin presque toute ma famille on périt dans l'incendie. Chaque année ont fêtait mon anniversaire en même temps que Noël c'est pour cela qu'il y avait tout le monde à la maison cette nuit là. » Une larme roule sur ma joue. J'avais une boule à l'estomac et le coeur lourd. Je n'avais jamais parlé de ça à personne ou en tout cas pas aussi clairement.

« J'ai déménagé après l'incendie. J'ai étés trois ans en famille d'accueil et dès que mon oncle a eu l'âge il m'a adopté. Mon oncle est la seule famille qui me reste, il était genre puni cette nuit là. Voilà toute l'histoire. Tu es le premier à qui j'en parle vraiment. Pour dire vrai tout est flou dans ma tête quand je suis réveillé. Je ne saurais même pas dire qui m'a sorti de la maison. »

J'espère ne pas le faire fuir avec mon histoire assez glauque et triste. L'histoire de ma vie. C'est pour ça que je ne vois que le coter positif des choses et que le sourire guide ma vie. À défaut d'avoir eu une mère pour essayer mes larmes, m'écouter pleurer ou simplement être là. Ben j'ai hérité d'un oncle trop jeune pour avoir un enfant et une famille de près adulte qui aime les expériences diverses. Voilà d'où viennent mon esprit ouvert et surtout la force que j'en retire.

« Je ne suis pas toujours aussi fragile que cette nuit. Je veux dire ... D'habitude je n'en parle pas et donc personne ne sait ! » Dis-je pour me défendre des larmes qui coulent sur mes joues. Je le regarde et lui souris.

Blottie dans les bras du nouveau venu. Il a l'air de savoir quoi faire, ce qui n'est pas mon cas ! Cela devenait tellement plus réel à chaque fois. Je ne sais plus trop ce qu'il faut que je fasse, mais surtout j'aimerais savoir pourquoi ces souvenirs reviennent comme ça, sans crier garde. Ce n'est guère leurs habitudes, en temps normal il y a un déclencheur. Après avoir remercié le jeune nouveau d'une voix à peine audible, il me leva la tête. Un sourire rassurant ce lis sur ses lèvres. Il m'invite à le suivre d'une douce voix. Ce que je fis, avec plaisir, j'avoue que je n'avais pas envie de rester seule pour l'instant. Il m'aide gentiment à sortir de mes draps et on sort de ma chambre.

Nous descendons les escaliers qui nous mènent à la cuisine. Batman toujours à mes coter, comme s'il ressent ma peur ou simplement mon mal être de l'instant. Je suis là debout, planter comme une idiote à regarder ce gentil garçon préparé deux tasse de chocolats chauds. Des fois mon corps n'écoute pas ce que ma tête lui dit, c'est assez bizarre. J'ai envie de l'aider, mais mon corps reste planter comme un piquet.

« J'vais rester un petit peu avec toi, histoire que tu te calme et puis nous retournerons nous coucher, le chocolat chaud te fera du bien »

À l'écoute de ces quelques mots, je suis soulagé. J'adresse un sourire à mon nouveau héro, enfin façon de parler. Avant de répondre une nouvelle fois par le seul mot qui daigne sortir de ma bouche depuis que ce séduisant et gentil garçon qui m'a réveille de ce cauchemar si violent.

« Merci »

Des fois je dois vraiment paraitre stupide ! Je suis vraiment une idiote par moment. Batman, un chien plus qu'adorable. Il me fait penser à mon chien. Je devais vraiment être drôle à voir dans mon petit pyjama short. J'ai dû changer quelque peu ma garde-robe quand je suis venue à Miami, vu que le climat d'ici et d'où je viens sont assez diffèrent. Le micro-onde retentit et le jeune homme si attentionnée prend les deux tasse fumante avant de se diriger vers notre belle véranda.

Nous prenons place dans les canapés, pour ma par, je m'installe dans celui face au jeune homme. Il dépose une couverture sur mes jambes et prend place dans le canapé à coter du mien. Il dépose les deux tasses sur la table. Cela fait longtemps qu'on n'a plus pris soi de moi comme il le fait. C'est assez étrange, mais cela fait du bien j'avoue.

« C'est comment ton prénom déjà? Moi c'est Sven. »

Sven, un beau prénom pour un séduisant jeune homme, me direz-vous. Je ne sais trop quelle est cette sensation étrange, j'ai l'impression de le connaitre. C'est peut-être grâce à ce qu'on vient de vivre, enfin dit comme ça, ça sort du contexte. Personne ne savait pour mes cauchemars peut-être que c'est pour cette raison que je me sens si proche de lui ou du moins que j'ai une impression égale.

« Moi c'est Devis, enchantée »

J'ai enfin su alignée quatre mots à la suite. Cela ne constitue pas une réelle phrase, mais bon c'est déjà un bon début !

Je déteste vraiment quand mon passé refait surface. Personne ne connait réellement mon histoire. Le pourquoi j'ai quitté Miami, le pourquoi j'ai quitté New-York, Le pourquoi j'ai dû quitter Londres et revenir ici. Miami, ville de cauchemar qui se révèle être étrangement plus ensoleillé que dans mes souvenirs. J'avais tant l'habitude de garder tout pour moi, pour protéger ceux que j'aime et qui m'entour. Cela fessait des années que je n'avais plus fait ces cauchemars qui on hanter mes nuits pendant longtemps.

J'accepte mon passé, mon histoire a fait qui je suis aujourd'hui. Mais ces cauchemars deviennent de plus en plus vrais. Ces cauchemar sont des souvenirs certes, mais ils sont de plus en plus dur à vivre, la nuit c'est fait pour dormir! Je pers pas mal d'heure de sommeil à cause de ces bêtises, ces images deviennent trop lourdes sur mes petites épaules et pourtant je ferais tout ce qui est en mon possible pour garder cela secret.

Mes cauchemar sont tellement vivant que je n'arrive jamais à en sortir seule. Je vis donc mon cauchemar jusqu'au bout ou du moins cette scène qui a changé ma vie. Quand j'étais enfant Travis venait presque chaque nuit pour me réveiller. Il glissait doucement sa main sur mon visage et me serais fort tout contre lui. Par la suite je me suis habitué à revire cette scène en boucle.

Une main glisse sur mon visage et murmure à mon oreille :

« Hey calme toi, ça va aller »

Je saute au cou de mon sauveur, dit comme cela ça fait très dramatique! Tout mon corps tremblait de peur, j'avais déjà vécu cette scène dans la vraie vie et pourtant elle me fessait toujours le même effet. Le jeune inconnu qui me sort de mon cauchemar me sert tout contre lui et je tombe en pleure dans ses bras. Je dit laisse échapper à mit voix :

« Merci ! »

Je ne sais comment, mais je me sentais en sécurité dans ses bras.

Mon réveil affiche 22h et le sommeil ne dénient pas ce montré. La nuit elle arrive à grands pas, emmitouflée confortablement dans mes couettes je n'arrive pas à dormir. À chaque fois que je ferme les yeux je revois la maison qui brûle, les cris et son visage. Je ne sais pourquoi cela revient maintenant alors tout va bien dans ma nouvelle vie. J'ai des nouveaux amis géniaux, en cours tout va pour le mieux et coter amour ... c'est compliqué. L'anniversaire tant redouté est passé et cela fait 1ans maintenant que je n'avais plus revu ses images dans ma tête, ni même fait c'est horrible cauchemars qui guidait mes nuits quand j'étais enfant et bien après.

Les minutes sont aussi longues que des heures. Et je n'arrive toujours pas à enlever ses images de tête. La nuit promet d'être longue. Le passer reste le passer et je n'y peu rien changer. Ni leurs morts, ni ma peine, ni même ce qui ses passés après alors pourquoi tout ça remonte à la surface ? J'ai toujours su faire face, je ne vois pas pourquoi cela changerait aujourd'hui alors que tout va bien dans le plus beau des mondes. Je me suis toujours relevée des épreuves que la vie à mit sur mon chemin truffer d'embuche. Les rencontres que j'ai faite ici sont des rencontres que je ne voudrais jamais oublier, ni même perdre de vue. Oui Londres me manque cruellement, mais Miami est une ville à grande échelle et j'y ai rencontrée des personnes formidables !

Je ne changerais ma vie pour rien au monde, mon passer a fait de moi ce que je suis aujourd'hui et sans cela je ne serais certes pas ici, je n'aurais pas connus tout ce que j'ai connus et je n'aurais pas rencontrée toutes ces personnes qui font partie de ma vie à ce jour. Et puis j'ai eu de la chance, beaucoup de chance dans mon malheur, car j'ai eu Travis. Le meilleur des oncles qu'y peu existé sur terre. Je ne sais si d'autres auraient fait tout ce qu'il a fait et sacrifier tout ce qu'il a sacrifier pour moi ! Alors, oui je suis une chanceuse, on a tous des malheur ce qui nous forge et le but c'est de toujours sens sortir non ?

Enfin je trouve le sommeil. Merci à la pensée positive ! Mais très vite ses images qui me hantent depuis mon enfance, transforme mon beau rêve en un cruel cauchemar. Dont, comme toujours je n'arrive pas à me sortir. La fumée envahie les pièces, On n'y voit plus rien. Maman me prend dans ses bras et cours vers la porte, mais elle est fermée de l'extérieur. Tout le monde commence à cris, les doux mots de maman dans mes oreilles. Je t'aime mon petit papillon. L'air devient mortelle, tout le monde commence à manquer d'oxygène, ils perdent connaissances. Des bras me portent. Ferme les yeux. Je les ouvre que quand l'air devient pure et là je le vois ! Un visage qui bien longtemps est resté brouiller, flou. La maison brûle, le sourire de maman à la fenêtre avant de s'effondrer contre le sol.

Je ne sais qui me sort de ce cauchemar si violant. Mais je ne saurais comment lui dire merci. Quand j'ouvre les yeux rempli de larmes qui coulent le long de mes joues. Je tombe en larme dans les bras si musclé de mon sauveur, si je puis dire.