Wynwood University
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 Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ]

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MessageSujet: Re: Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ]   Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ] EmptyLun 25 Mar 2013 - 23:12


Une rencontre, parfois bonne à faire...
Les deux jeunes gens étaient là, l'un à côté de l'autre, ils ne connaissaient même pas le prénom de l'autre mais ils étaient tout de même assis très proche l'un de l'autre. Le jeune homme n'était pas de nature bavarde et d'ailleurs, depuis qu'il avait rattrapé au vol, ou plutôt à terre, la jeune femme qui se tenait à ses côtés, il n'avait toujours pas parlé. Et elle non plus. Il avait les jambes dans le vide et les faisaient bouger d'avant en arrière, faisant claquer les talons de ses baskets contre le mur rouge en briques. Il était maintenant bras nu, il avait retirer sa veste qui franchement, ne lui servait à rien et il se retrouvait en tee shirt, un col v blanc par dessus son jean foncé, taille basse. Ils fixaient tous les deux le ciel comme pour éviter le regard l'autre, mais au bout d'un moment. Un poids se fit ressentir sur la peau du jeune Sigma et il tourna la tête, la jeune femme le regardait et il plongeait ses yeux marrons clairs dans les yeux bleus de la jeune blonde. Ses yeux à lui étaient, comme toujours, animés par la petite étincelle, la même qu'avait son père. Qu'il fasse nuit, jour, elle était toujours en plein milieu de sa pupille. Il fixait la jeune femme dans les yeux et le simple fait que de la regarder les yeux dans les yeux semblait déranger la jeune femme, enfin, pas forcément la déranger mais la perturber. Ce n'était pas rare que cet effet là arrive mais bon, tout le monde ne réagissait pas de la même manière. Sans que le jeune homme ne dise ou ne fasse quoi que ce soit, elle posait sa tête sur son épaule nue. Et rompant le silence, elle se mit à le remercier, quand elle relevait la tête, ne détournant cette fois-ci pas le regard, elle le gratifiait d'un sourire qui renforçait ses paroles. Il lui renvoyait son sourire, le sien aussi était sincère et même s'il ne répondait pas à la jeune femme, son sourire laissait entendre un « C'est normal. ». Son sourire s'installait sur ses lèvres, ne partant finalement pas. Il ne savait pas pourquoi mais il gardait ses yeux dans ceux de la jeune femme.
Rompant à nouveau le silence qui s'était installé entre les deux inconnus, la jeune femme reprenait de sa voix commune à celle d'une jeune femme de son âge. Elle marqua une pose au milieu de sa tirade. Le jeune homme la regardait, elle parlait mais ça ne l'embêtait même si elle ne disait pas grand chose d’intéressant finalement.. « Eh bien, moi c'est Jonhattan, Jonhattan Kooles., répondit-il quand elle lui demandait à son tour son prénom. Elle, avait signifié s'appeler Nawel, joli prénom, pas commun, c'est sûr, mais c'était joli, trouvait-il. La jeune femme ne broncha pas non plus à son tour quand il répondait à sa question. Elle s'était encore une fois retournée vers lui et au bout d'un moment, son regard s'arrêta sur le bras marqué du jeune homme. Un peu plus proche d'elle encore, elle faisait courir son index sur la cicatrice qui tranchait encore la peau du Sigma Mu. Il ne disait rien, il regardait le doigt de la blonde parcourir sa peau, un frisson lui avait parcouru le bras au début mais il était vite partit, il baissait son regardait et suivait du regard le doigt de la jeune femme, elle releva la tête et se retrouvait encore plus près du jeune homme, elle eut un mouvement de recul mais sa main restait sur sa peau. Lâchant le regard bleu, le jeune homme regarda sa cicatrice. Se remémorant l'accident, il était marquant, mais personne n'était mort après tout.
« Un accident de bus... S'est arrivé trois jours après mon arrivée à Miami. » Il n'avait pas envie de développer plus, d'une il n'était pas du genre à parler de lui et en plus, il ne la connaissait même pas.


©Didi Farl pour Never-Utopia
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MessageSujet: Re: Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ]   Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ] EmptySam 5 Jan 2013 - 11:55

Juste après qu'elle soit tombé à terre, le jeune homme s'était précipité vers elle pour voir ce qui c'était passé, ou alors pour vérifié qu'elle aillait bien. La jeune irlandaise avait quand même du lui faire peur, ou au moins, le surprendre. Qui donc voit tous les jours une blonde lui rentrer dedans, lui faire des grands signes, se faire la malle et retomber dessus sur un toit désertiques sur laquelle et trébuche et s'étale de tout son long. Très commun tout ça, on en voit tous les jours. Cela n'empêcha pas Nawel d'être surprise du temps de réaction du garçon et du fait qu'il semblait quand même légèrement inquiet. Il l'avait attrapé et l'avait aidé à se relever pour l'installer en sécurité cette fois le temps d'aller chercher ses affaires qui étaient étalé sur le sol en ciment. Après cela, il revient vers elle et s'assit à sa gauche, ne disant pas un mot. La jeune blonde ne savait pas quoi dire, et elle restait là, assise à coté de ce parfait inconnus qui venait de l'aider pour la deuxième fois en peu de temps. Elle regardait le ciel, les oiseaux qui se réchauffait au soleil sur un bâtiment en face, la danse des arbres sous le vent. Elle jetait de temps en temps un coup d'oeil au mystérieux garçon, qui lui aussi sembler en contemplation devant le ciel.

Nawel senti son coeur se calmer enfin et la rougeur quitter ses joues. Elle pris alors son courage à deux mains et se tourna entièrement vers le jeune homme, sortant ses longues jambes du vide et les repliant en tailleurs. L'inconnu sembla percevoir le poids de son regard et se retourna. Ses yeux plongèrent dans ceux de la jeune blonde qui parut quelques peu déstabiliser par ce contact. Les yeux du jeune homme lui inspirait quelques choses d'inconnu encore pour elle, un tas de sentiments confus : douceur, imperméabilité, violence, joie ... Des sentiments contraires qui semblait s'affronter. Elle cru voir le tréfonds de l'âme du garçon, ce qui la déstabilisa encore plus. Complètement perdu, elle fit un geste qui la surpris elle même : elle mis sa tête contre l'épaule de l'inconnu, son front butant sur le bout de l'épaule. Et là, elle lui murmura :

" Merci, merci beaucoup. Tu n'étais pas obligé, tu me connaissais pas, et pourtant, tu l'as fait. Alors merci"

Elle releva alors a tête et réaffronta le regard du garçon, sauf que cette fois, elle ne se déroba pas et lui souris, afin de lui montrer qu'elle était sincère. Ils continuèrent à se regarder comme ça un instant, puis, sans rien dire, Nawel se remit à regarder le ciel. Ses jambes pendaient dans le vide, et elle s'amusaient à faire claquer ses talons entre eux. Sans regarder le jeune, elle se remit à lui parler, rompant le silence qui c'était installer entre eux.

"Je ne sais même pas comment tu t'appelles et à vrais dire, avant aujourd'hui, je t'avais même jamais vu dans Wynwood. Surprenant non ? C'est pas immense et j'arrive encore à faire toujours de nouvelles rencontres."

La jeune blonde marqua un temps d'arrêt avant de reprendre, cessant de faire claquer ses talons au passage.

" Au passage, je m'appelle Nawel. Nawel Norland. Et toi ?

Nawel se retourna alors vers lui, l'observant dans l'attente de sa réponse. Elle remarqua alors qu'il avait enlever sa veste. Elle pouvait maintenant voir que le jeune homme n'était pas ce qu'il laissait paraître : une musculature pas trop importante, mais assez conséquente pour que l'on la remarque quand même. Ses veines se dessinaient bien sur ses bras, et elle pouvait voir qu'à l'instar des bras, le torse n'était lui aussi pas à l'abandon. Le tee-shirt légèrement moulant à col en V lui allait parfaitement bien. Nawel continua alors discrètement son petit observatoire du jeune homme. C'était son petit truc ça. Elle aimait détailler les gens, les observer sous toutes leurs coutures, connaître leurs moindre petits détails pour ensuite s'en inspirer lors de dessins. Ce n'était pas facile de retranscrire les gens de mémoire sur du papier, mais c'est un exercice qu'elle aimait bien faire pour progresser doucement, mais surement.

Soudain, le regard de l'irlandaise s'arrêta sur une ligne blanche qui tranchait sur la peau du jeune homme. Elle s'attarda dessus et réalisa que c'était une cicatrice. Surprise, elle se mit à faire courir son doigt dessus, doucement, effleurant à peine la peau. Elle leva alors la tête vers le garçon à la cicatrice et devant son regrd, se mit à rougir de nouveau. Elle eu un mouvement de recul et se mit à bredouiller :

" Je suis désolé de mon indiscrétion, mais qu'est ce que c'est ? "
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MessageSujet: Re: Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ]   Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ] EmptyDim 16 Déc 2012 - 19:12

En effet, cette jeune fille là ne partit pas, mais quand elle se fut redressée après avoir récupéré son téléphone tandis qu'elle était assise, je pus me rendre compte de sa hauteur. Il est vrai, que jamais je n'aurais pu penser qu'elle n'aurait que quelques centimètres de moins que moi et pas une tête comme ont les filles la plus part du temps. Elle était en effet plutôt grande, mais elle n'avait pas cet air maladroit, ou bien gauche, qu'ont les grandes en générale. Je dis grande car pour les garçons, ce n'était pas pareil, eux ils paraissaient baraqués, adroit, mais en aucun cas droit comme les filles. Moi par exemple, je ne l'étais pas, j'étais plutôt carré comme mec, j'étais bien posé sur mes deux pieds, et là, à l'heure qu'il était, j'avais mes mains enfouies au fond de mes poches, redressant mes épaules.

La jeune femme sembla hâtée après qu'elle eut regarder son poignet muni d'une petite montre discrète. Elle partit derrière moi en faisant des grands signes que je n'eus pas très bien compris, pour tout dire. Je me suis retourné comme pour suivre ses pas, essayant de savoir ce qu'elle allait faire, là et ce qu'elle m'avait dit par ses grands gestes pas très compréhensibles. Je n'entendis plus rien que ses talons qui n'arrêtaient pas de claquer sur le sol de façon irrésistiblement énervante. Qu'allait-elle faire ? Allait-elle revenir ? Si non, je n'allais pas attendre là, comme un idiot, qu'une parfaite inconnue vienne expliquer les signes pas très explicites qu'elle m'avait fait avant de s'enfuir dans l'immensité vide de ce bâtiment. Et puis je regardais à ma gauche, alors que j'étais adossé au couloir. Il n'y avait plus personne et pas un bruit mis à part ses talons claquant. Je voyais la porte si habituelle maintenant pour moi, je me dirigeais vers elle, je n'allais pas attendre là des heures non plus.

Alors, sans voir la jeune femme revenir et le couloir désert je me décidais à débloquer discrètement la porte. J'avais pris le coup maintenant, espérons qu'ils ne changent pas la serrure parce qu'elle en était devenue simple à ouvrir. Après avoir fait un petit jeux de mains habituel, je retrais dans la petite pièce sombre avec les escaliers de service. Je les grimpais, trois par trois et arrivait à la dernière porte, la poussant doucement et la laissant se refermer derrière moi sans la pousser. A cette heure-ci, il n'y avait ni gardien, ni concierge, j'étais tranquille. Je venais au bord du toit, de telle sorte que mes jambes pendent dans le vide, je les remontaient ensuite en pliant mes genoux et posait ma tête sur mes coudes, mes bras pliés sous ma tête. Je restais ainsi, à regarder le ciel, je n'avais rien n'a faire de mieux, donc je restais là. Même si c'était moins beau le matin que dans la soirée quand on pouvait voir les étoiles dans le ciel bleu foncé. Il faisait plus froid en hauteur, mais le froid ne m'atteignais pas. J'avais ouvert ma veste avant de m'asseoir. Je l'aurais bien retiré mais je ne savais pas où la mettre, après.

J'étais tellement concentré dans la contemplation des nuages que je n'avais rien entendu quand on avait poussé la porte et pénétrer dans le toit comme je l'avais faire quelques minutes, ou bien secondes avant. Je n'avais rien remarqué jusqu'à ce qu'un bruit strident vienne me déranger. Je me retournais presque immédiatement et je pouvais voir la jeune femme blonde qui m'avait percuté, en bas, dans le couloir, des minutes et des minutes auparavant. Elle était là, sur le toit, entrain de chercher son téléphone désespérément, qui sonnait encore et encore. Quand elle s'aperçut que je l'avais remarquée, elle devint toute rouge écarlate et elle faisait des pas en arrière sans trop vraiment regarder. Son téléphone avait maintenant cessé de sonner, al messagerie de la blonde inconnue aurait pris le relais mais elle, elle était toujours là. Mais quelquel milième de secondes plus tard, mes yeux toujours rivés sur l'étudiante, à mes oreilles parvint un énorme bruit, comme quelqu'un qui était entrain de s'étaler en beauté juste devant les escaliers. Je me levais en quatrième vitesse, elle aurait vraiment pu se faire mal. Je n'eus même pas le temps de rigoler, je n'avais même pas bien vu la chute.

« Ca va ?? »


Je m'approchais d'elle dans la hâte. J'étais arrivé à ses côtés dans les secondes qui avaient suivies l'accident. Je relevais la demoiselle et je l'examinait, comme pour savoir si elle avait quelque chose de casser. Mais tout paraissait d'aller. Je récupérais son sac qui avait quant à lui chuté un peu plus loin, je la soulevais doucement par la taille pour aller l'asseoir sur le toit et refermer la porte des escaliers par lesquels elle avait faillit faire un beau roulé-boulé. J'arrêtais de la tenir une fois qu'elle était assise. Je ne savais pas si elle avait mal ou non, elle n'avait toujours pas parlé, et ça m'étonnerait qu'elle ait perdu la parole. La pauvre fille était encore rouge écrevisse et ça n'allait pas en s'arrangeant. Je m'asseyais à côté d'elle et j'attendais qu'elle me réponde.
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MessageSujet: Re: Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ]   Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ] EmptyDim 16 Déc 2012 - 13:27

La personne qui se dressait en face de Nawel est une jeune homme, bien bâti et plutôt mignon. Les yeux de Nawel s'attardèrent sur les trait de son visage, le temps de d'étudier les lignes de son menton, la courbe de l'arrête de son nez et la couleur de ses yeux. Elle se perdit dans cette contemplation jusqu'à ce que la voix douce du jeune homme en question parvienne aux oreilles de Nawel. Une voix calme et posé qui cachait une horrible odeur : celle de la clope.

Oh mon Dieu ! Pourquoi est-ce qu'il faut que quasi tout les mecs que je trouve un temps soit peu mignon soient des fumeurs ? Bordel !! Pourquoi est-ce que les gens fument ? Hein ? Qu'est ce que cela peut bien leur apporter ? Sérénité, paix intérieur, joie ? Il y a bien d'autre moyens d'arriver au même résultat sans se bousiller la santé. C'est sur que pour les jeunes d'ici la raison du prix n'est pas un frein. On est quasiment tous des fils et des filles à papa, donc no problem. Mais bon. Aller Nawel, on oublis qu'il fume et on essaie de finir de ranger ses affaires.


Nawel remarqua alors que le jeune homme tenait dans sa main son portable. Elle n'avait pas vu qu'il avait glisser de son sac lors de leur percussion. Elle le pris doucement, la main légèrement tremblante et le fourra dans une des poches intérieur de son sac. Elle bredouilla un nouveau merci et tenta de se relever. Après s'être redresser, elle vit que son bel inconnu fit de même. Elle remarqua alors qu'il était comme elle : plutôt grand. Quand il l'a regarda, il sembla lui aussi réaliser que la jeune blonde n'était pas d'une taille ordinaire. Souvent, quand les gens voyait Nawel de loin ou assise, il ne s'imaginait pas qu'elle puisse être aussi grande. La faute au fait qu'elle était parfaitement proportionnée et qu'elle n'avait pas cette aspect gauche dans ses mouvements qui souvent, trahissaient les gens de grande taille.

Nawel lui adressa un sourire discret que le garçon sembla lui rendre. Elle resta comme ça quelques temps, car ni lui ni elle ne semblait avoir quelques choses à faire. Elle remis son sac bien sur son épaule droite et mit ses bras dans son dos, se balançant doucement d'une jambe sur l'autre. Le mec en face semblait lui aussi ne pas savoir quoi faire. Nawel regarda sa montre et en regardant l'heure, eu comme un hoquet de surprise.

Mince !!! Maman ! Elle est censé partir au boulot dans 10 minutes ! Il faut absolument que je l'appelle avant qu'elle ne quitte la maison. Oh merdouille de chez merdouille

Nawel attrapa son portable qui avait glissé au fond du sac, et commença à marcher. En passant à côté du jeune homme, elle lui adressa un signe de la main qui semblait lui demander d'attendre un tout petit peu. Il se retourna et la regarda curieusement tandis qu'elle disparaissait à l'angle du couloir.

Pourquoi est-ce que ça ne réponds pas !? Mais qu'est-ce que tu fiches Maman !!! Tu savais très bien que j'étais censé t'appeler à cette heure. Aller, décroche ! S'il te plait maman, je t'en suplis !

Après être tombée deux fois sur la messagerie, Nawel renonça et fourra rageusement dans son sac son portable. Elle fit alors demi-tour et repartis dans les couloirs, cherchant à chaque angle si c'était celui où elle avait percuté le jeune homme quelques minutes plus tôt, avec un fol espoir comme quoi il pourrait être toujours là. Elle avançais à travers les couloirs désert du bâtiments où seul le claquement de ses talons sur le sol retentissaient. Elle finis enfin par trouver l'endroit où elle avait abandonné le jeune homme. Il n'avait pas du comprendre son petit signe où elle lui demandais de l'attendre. Ou alors, il avait eu d'autre choses à faire.

Alors que Nawel composait encore une fois le numéro de sa mère en espérant que peut-être cette fois elle décrocherait, elle aperçus qu'une porte était ouverte, au fond du couloir. Intriguée, elle rangea son portable et s'avança vers la porte. Elle se rendis compte alors qu'il s'agissait de la porte qui permettait l'accès au toit du bâtiment. En temps normale, la jeune fille aurait fait demi-tour, car souvent, l'accès à ce genre d'endroit était interdis aux élèves. Mais là, une soudaine curiosité la poussa à ouvrir la porte alors entre-baillée.

Si ça se trouve, le garçon de tout à l'heure est là-haut. Je ne lai vu nul pars ailleurs alors que les couloirs sont vides. Bon aller, qui ne tente rien n'as rien et n'avancera pas dans la vie. Courage Nawou, courage !

En gravissant l'escalier, elle senti un petit vent frais se faufiler entre ses cheveux et l'ébouriffer légèrement. La porte qui l'attendait sur le palier était grande ouverte, et en sortant, elle fut accueillis par un grand ciel bleu complètement dépourvus de nuage. En s'avançant et en regardant tout autours d'elle, elle aperçus son mystérieux inconnus allonger sur le toit, les mains derrière la tête et les genoux légèrement repliés. Doucement, elle s'avança vers lui pour vérifier que c'était bien le même garçon. Il semblait assoupis et Nawel s'approcha alors encore plus doucement pour ne pas le déranger.

Alors qu'elle n'était qu'a quelques mètre de lui, son portable se mit à sonner. Elle essaya de l'attraper rapidement sauf qu'il semblait être tombé au fin fond de son sac. C'est enfin quand elle l'attrapa que sa messagerie pris le relais. En relevant la tête, elle vit que le jeune homme la regardais avec un regard qui semblait mêler la surprise et le fait qu'il n'était pas très content d'être dérangé. Morte de honte, Nawel devint écarlate et commença à reculer en faisant des signes de main étrange, complètement gênée par la situation. En reculant, elle buta sur une petite marche et partis à la renverse, s'étalant de tout son long sur le sol froid.

Décidément, ce n'est pas ma journée aujourd'hui. J'aurais mieux fait de rester coucher.


Dernière édition par Nawel Norland le Sam 5 Jan 2013 - 11:56, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ]   Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ] EmptySam 15 Déc 2012 - 22:35


« 7hoo du matin,

Le réveil retentit dans la petite pièce qu'était ma chambre. Je n'eus même pas besoin d'ouvrir mes yeux : ils étaient déjà ouverts. Encore une nuit sans avoir vraiment dormi un minimum de cinq heures. Je n'avais pas pour habitude de dormir longtemps, beaucoup, mais je dormais en général plus que les quelques semaines qui précédait cet énième matin-là. Peu après que mon réveil avait sonné, j'avais soulevé la couverture qui me couvrait. Je dormais toujours avec une couverture même si elle ne me servait foutrement à rien, étant donné que j'avais toujours chaud. Je me glissais hors de mon lit et ouvrait la fenêtre qui donnait sur la cour, par laquelle je passais ensuite mon visage, torse nu, les coudes posés sur le rebord. Je regardais en bas, de toute façon, il n'y avait personne. Il était trop tôt et tous les étudiants étaient encore entrain de dormir ou pour certains, de se préparer. Je prenais mon paquet de clopes qui se trouvait un peu à ma gauche, sur la table basse.

Je prenais une cigarette et l'allumait, avant de jeter mon paquet et mon briquet sur la table basse sur laquelle ils étaient avant les avoir touchés. Je fumais toujours en me réveillant. Pour bien m'achever après une nuit sans sommeil. Ce n'était pas bien de fumer à geint mais de toute façon, je n'avais rien n'a perdre. C'était une matinée grise, triste, une matinée où on ne sait pas s'il va pleuvoir mais où on espère de tout cœur qu'elle se tiendra au moins telle quelle. Je n'aimais pas la pluie, le froid, à la limite, ça ne me dérangeais pas, de toute façon, je ne le sentais pas, mais la pluie, c'est contraignant. S'il pleut, autant qu'il neige. Au moins, c'est plus agréable, et plus beau. Et en plus, ça ne vous fit pas froncer des sourcils comme vous le fait froncer la pluie. Je fumais ma cigarette et l'éteignais avant de la jeter par la fenêtre. Nous n'avions pas le droit de fumer dans nos chambres et je n'avais pas envie d'avoir d'ennuis même si ça n'aurait pas été la première fois.

Je fermais le fenêtre et me retournais, regardant ma chambre. Par réflexe, je passais ma main sur ma main sur ma cicatrice, sans la regarder et j'avançais vers la douche. C'était un réflexe que j'avais depuis que j'avais enlevé dans cette salle d'eau le bout de verre, de vitre, de fenêtre, qui était planté dans mon bras. On ne revient pas d'une guerre indemme. Un accident ça marque et cette cicatrice, c'est la marque. Même si j'aurais préféré ne pas l'avoir. Ce n'était pas très esthétique, sur un corps que je sculptais pour essayer de ne pas dégradé. Trop tard, on m'avait rattrapé. Mais bon maintenant, elle était moins visible, et de ce temps là on ne se met pas trop torse-nu ou en t-shirt, sinon les gens nous prend pour des fous donc bon, ça ne gênait pas. Je ne la regardait jamais en plus, ou très rarement, après ces trois mois je la connaissais par cœur. Ce n'était pas des traits droits qu'elle formaient, c'était des espèces de vagues qui se chevauchaient. Faut dire que c'était moi-même qui m'avait enlevé mon épine et je ne suis pas médecin à vrai dire.

Après m'être déshabillé, je passais sous la douche, laissant d'abord couler sur mon corps, l'eau froide le temps que l'eau chaude monte pour laisser mes muscles se relaxer sous la chaleur de l'eau cristalline qui rebondissait en petits éclats sur ma peau froide. Je ne restais pas longtemps sous la douche, peut-être dix minutes, tout au plus. Quand je sortais, je pris une serviette et me séchais les cheveux en pétards, et mon corps aussi, avant de nouer la serviette à ma taille pour pouvoir retourner dans la pièce où je dormais. Je cherchais un jean dans mon armoire qui n'était décidément pas rangée. Je me jurais qu'il fallait que je le fasse dans la semaine, mais je ne trouvais jamais le temps. Ou alors, je n'en avais pas envie. C'était plutôt que j'en avais pas l'envie, oui. Il fallait que je range ma chambre aussi, mais même problème. Je pris un jean noir qui me tombait sous la main et un tee shirt blanc en col en v que j'enfilais rapidement. Je passais devant le miroir et me coiffait. Comme je me coiffait d'habitude, en pétard, je passais un peu de gel et j'étais prêt pour aller en cours.

Je pris mon sac à moitié vide, mon téléphone, mes clés, mes clopes et je sortis de cette chambre sinistrement blanche. Bien que je sois sur place, j'arrivais à mon premier cours en retard. Je n'aimais pas me presser pour aller en cours, de toute façon ça ne servait plus à rien, les profs ne me demandaient même plus d'excuses à leur présenter, ils connaissant la raison, et je ne leur ai jamais caché. Alors je toquais, rentrais, regardais vaguement le prof en allant m'asseoir au fond de la classe, croisant son regard. J'en avait rien n'a faire de son cours de toute manière, en plus, il ne me servirait quasiment à rien. Au bout d'une looooongue heure d’ennui. La sonnerie retentit et la libération se fut. Tous les élèves de la classe à qui j'avais dit vaguement bonjour en arrivant se dépêchait d ranger leurs affaires tandis que je prenais rapidement mon sac pour sortir et me dirriger dans le couloir bondé de monde.

Je n'avais pas cours pendant deux heures et je songeais à monter sur le toit vu que je ne savais qui n'avait pas cours non plus que je n'allais pas m'isoler dans ma chambre sans rien faire. Autant prendre l'air frais. Je marchais alors tranquillement en direction de la porte qui menait vers le toit, j'aurais ensuite attendu qu'il n' est plus personne dans le couloir en question. Je marchais sans trop regarder devant moi mais je me fis lourdement percuté par une personne qui m'était totalement inconnu. La jeune blonde en question que j'arrivais enfin à apercevoir, s'excusa tout de suite. Il n'y avait plus beaucoup de gens dans les couloirs et je regardais la fille ramasser son calepin qu'elle avait fait tomber et regardais un peu plus loin dans le couloir, elle avait également fait tomber son téléphone mais si je partais le chercher elle aurait pu croire que j'étais mal poli. Je lui adressais mon éternel petit sourire en coin et lui répondit.

«  Non, non. Ce n'est rien, ne t'inquiète pas, je ne regardais pas non plus où j'allais à vrai dire. Mais par contre, tu as du perdre ça dans la bataille. »


Je faisais quelques pas en avant et récupérais un portable assez commun avant de revenir à la place de la jeune femme et de le lui tendre pour qu'elle le récupère. Je n'avais rien n'a faire, et si elle était restée là, j'en déduisais qu peut-être elle non plus n'avait pas cours. Enfin, c'était sûrement qu'une idée. Parce que d'habitude les élèves qui renverse accidentellement ne reste pas après s'être excusé. Ils partent, comme ils sont arrivés.
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MessageSujet: Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ]   Le hasard peut parfois bien faire les choses :) [ Jonhattan F. Kooles ] EmptySam 10 Nov 2012 - 13:43

Encore une matinée grise, un nouveau matin triste, morne, sans aucunes importances apparentes. Un matin de cours … Nawel sortis de son lit, posa doucement un pied sur le sol froid de sa chambre avant de poser le suivant. Le jour perçait doucement à travers les rideaux de sa chambre et nimbait son oreiller d’une douce lumière dorée. Après un léger passage à la salle d’eau, elle enfila une jolie un col roulé écru tout doux, une jolie robe en laine marron qui lui arrivait au milieu des cuisses, des collants blanc en laine aux motifs entrelacé et de ravissante petites boots en cuir à talons ! Elle se regarda dans la glace, et, satisfaite de son apparence, releva ses cheveux un chignon lâche de ballerine. Une petite touche de parfum frais compléta sa tenue, et elle sortit discrètement de la chambre pour ne pas réveiller sa coloc qui dormait encore.

Un petit vent frais l’accueillis sur le pas de la porte et la fis frissonner. Mais qu’à cela ne tienne, elle prit la direction du bâtiment où elle avait cours ce matin-là. Sur le chemin, elle croisa tout un tas de personne comme elle qui se dépêcher de se faufiler dans la douce chaleur des bâtiments pour échapper au froids mordant qui rougissait les joues avec un petit vent. Elle aperçut quelqu’un de sa classe, et ne sachant pas trop ou se situer la classe, le suivit en espérant que cette personne saurait, contrairement à elle. Elle se faufila entre les différents groupes dans les larges couloirs de Wynwood, relevant parfois la tête pour voir si son petit guide improvisé était toujours devant elle. Elle salua vite fait les gens qu’elle connaissait comme ça, mais elle n’avait pas vraiment la foi de saluer tout le monde. Une fois devant sa salle, elle entra et partis au fond de la salle s’installer en priant pour que le cours ne soit pas trop long ou trop barbant. Le professeur entra et une heure d’ennuie commença.

Allez Nawel, on se motive ! Tu n’as qu’une heure de cours, et après, tu as une sacrée pause de deux heures ! Tu vas pouvoirs en profiter pour aller appeler maman et tout ira bien. Ensuite, pense à la petite virée shopping que tu pourrais faire hein ? Owi, une bonne petite pause shoping. En plus, Maman vient de me filer de l’argent pour la semaine. Owi, je vais ‘enfin’ pouvoir m’offrir les belles bottes en cuirs que j’ai repéré l’autre jour au magasin au coin de la rue pas loin de la petite place à la fontaine. Mais bon pour ça, faudrait que ce prof finisse son cours. Allez, motivée motivée !

Le cours passa à une vitesse incroyablement lente et Nawel eu tout le loisir de voir que comme elle, TOUS les gens de sa classe s’ennuyaient ferme. Ils baillaient aux corneilles, griffonner un gribouillage sur le coin de leurs feuilles, échanger des petits mots, et ceux au fond de la salle envoyer des textos. Mais le plus drôle était que le prof s’emblait n’en avoir rien à faire. Il continuait son cour, imperturbable. Nawel sortit alors de son sac un calepin, attrapa un crayon de bois tout mordillé et une gomme qui ne payait pas de mine. Elle entreprit alors de croquer quelques élèves de sa classe pour passer le temps. Le cours se déroula ainsi jusqu’à la sonnerie.

Diiiiiiing !

Enfin la sonnerie ! Finis de ce prof barbant ! Allez, go call mummy et direction le shopping! Yeah!


Nawel fourra vite fait ses affaires dans son cabas, mis son calepin sous le bras, et sortis rapidement de la salle de cours en bousculant au passage deux ou trois élèves. Elle se dirigea rapidement vers l’extérieur en faisant un petit détour, et, alors qu’elle regardait un mec qu’elle trouvait plutôt mignon, elle ne fit pas attention en changeant de couloir et rentra en plein dans quelqu’un !

" -Oh ! Excusez-moi ! Je suis désolé, je ne vous avais pas vu ! Vraiment désolé !"

Tout en s’excusant, elle ramassa son calepin qui été tombé par terre, et en se redressant, elle contempla la personne d’elle avant de rajouter de nouveau qu’elle était sincèrement désolé.


Dernière édition par Nawel Norland le Sam 5 Jan 2013 - 11:57, édité 2 fois
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