One night, so special with you || Sateen ♥ Valentin

J’observais valentin d’une tout autre façon en dansant avec lui, sur cette chanson, c’était différent, un tout autre sentiment se dégageait. J’étais contente qu’il n’ait pas refusé de danser avec moi, bon on va dire que je ne lui ai pas vraiment laissé le choix, mais après il aurait pu me repousser et il n’en avait rien fait. En dansant ainsi doucement dans ces bras, j’oubliais ce désir charnel auquel je ne pouvais certainement plus répondre avec autant d’énergie ce soir.
Mon petit cœur battait aussi différemment, il me faisait de l’effet cet apollon, et bien plus que physiquement je ne pouvais le nier. J’étais bien là dans ces bras, je crois que mon côté fleur bleu que personne ne connait a part max Scott et Lukas, va se montrer un peu plus avec Valentin. Il a peut être même déjà remarqué et voit déformait autre chose que les autres, il voit bien plus que la fille souriante fêtarde. D’un autre côté il m’a vu avec les enfants et pire, il m’a vu pleurer… il a donc du déjà changé de regard, ça me fait me dévoiler bien vite a valentin, mais étrangement ça ne me dérange pas plus que ça. Je me sens bien avec lui et je crois même que je l’aime bien et peut-être un peu plus que bien…

Lorsqu’il se détacha de moi j’eu instinctivement envie de me recoller contre lui et de rester dans ces bras, et puis il déposa un caresse sur ma joue et un doux baiser sur mes lèvres. C’était complètement différent de tout à l’heure, c’était rempli de tendresse et non de passion, c’était tout aussi agréable. Je feu surprise lorsque je me retrouvai tel une princesse dans ses bras, j’étais loin de m’y attendre et eu un petit cri de surprise, il nous emmena jusqu'à ma chambre et me déposa sur mon lit.
Je senti son corps dénudé contre le mien, ses lèvres dans mon cou qui déclenchèrent un frisson, ses mains sur ma peau et là un murmure inattendu :


- Bonne nuit amour …

Mon cœur s’emballa instantanément sans que je ne puisse le contrôlé, il avait vraiment dit ça ???? Il avait vraiment prononcé ce mot ? Ou était-ce mes émotions qui me faisaient halluciner ?! Je savais pas vraiment si je devais répondre, après tout on avait passé une nuit torride, est-ce que nos jugement n’étais pas fossé. J’ai bien trop peur de lui répondre ces mots et d’avoir un énorme chut après. J’avais le souffle cours et hésitant, le cœur qui battait la chamade, je me contentai donc de prendre sa main et de la poser sur mon sein gauche pour qu’il sente mon cœur, pour qu’il comprenne l’effet de ces mots, qu’il comprenne que je ne lui était pas insensible, sans pour autant le dire clairement, au cas où tout changerait demain car il a dit des mots alors qu’il était fatigué, après tout il était 5 heure de matin… j’enlaça mes doigt au sien et serra son bras contre mon corps pour me coller un peu plus a lui.

-Bonne nuit mon apollon

Sur ces mots je fermai mes yeux, souri et m’endormi paisiblement, un peu rêveuse, et peut-être même amoureuse ♥

Elle était tellement délicieuse, la chantilly, surtout sur la blonde, qu'il pourrait continuer à en manger pendant encore longtemps. Mais apparemment elle aussi en voulait, puisqu'elle retourna la situation, ce qui plu bien évidemment au brun, qui se laissa bien faire. Elle finit par l'embrasser, puis se leva et alla allumer le poste. Une chanson qu'elle semblait connaître. Et elle se mit à chanter, tout en avançant vers lui, ce qui le fit sourire. Il la regardait, et finalement, il pouvait faire ça aussi pendant des siècles, tant qu'elle ne s'éloignait pas trop de lui. Ses désirs sont des ordres, puisqu'elle l'attira vers elle, pour qu'il danse avec elle. Elle chopa en même temps un bout de caramel qu'elle coinça entre ses lèvres. Valentin croqua le morceau de caramel avant de lui déposer un baiser et de manger le fameux caramel. Il la serrait contre lui et bougeait lentement, au rythme de la musique. Il ne dansait pas souvent, et pourtant il aimait faire ça avec les filles. Cette fois-ci, ce n'était pas pareil, il aimait ça plus que jamais, vu que c'était avec elle, et il pourrait même faire des choses qu'il n'aime pas faire, il en est persuadé.

Jusqu'au bout de la chanson, ils avaient dansé l'un contre l'autre, toujours aussi lentement, avec juste le plaisir d'être l'un contre l'autre. Il s'était apaisé et calmé. Il ressentait vraiment des choses différentes pour elle. Il aurait pu croire que ce n'était purement que charnel, mais au final, c'était tout autre chose. Il y avait cette envie d'elle, mais pas juste charnel, celui qui provoque du plaisir, que ce soit avec n'importe qui. Non, avec elle, il prenait du plaisir, même en restant collé à elle, même en sentant sa peau, parfumée de chantilly. Il n'avait envie de rien d'autre, ni même de comprendre.

A la fin de la chanson, il se détacha d'elle, lui caressa la joue, avec un tendre sourire, lui déposa un baiser et l'attrapa, telle une princesse, pour l'amener jusqu'au lit. Ils perdirent leur serviette sur le chemin, et s'installèrent dans les draps de soie. Valentin se mit dans son dos, colla son corps au sien et l'embrassa dans le cou, pour ensuite lui glissait à l'oreille :

- Bonne nuit amour ...

Oops, c'était sorti tout seul. Il espérait juste qu'elle ne le prenne pas mal et qu'elle remette les choses en place, puisqu'il voulait vraiment plus avec elle, pas juste la voir de temps en temps, passer ce genre de soirée. Non, il voulait l'avoir rien que pour lui, la voir et l'embrasser même en plein jour et devant tous les autres. Il espérait que c'était ce qu'elle voulait elle aussi et qu'elle ne regrette pas de l'avoir invité à passer la nuit ici avec elle. Et surtout qu'elle ait envie de le revoir par la suite, pour qu'ils puissent passer des moments aussi magiques qu'ils avaient pu vivre ce soir-là.

J’avais déjà valentin pour moi, mais le sentir me désirer comme ça me plaisait. Et je m’amusais, oui je m’amusais à le séduire à chaque seconde un peu plus, il ne resta pas insensible à la fraise que je dégustais sensuellement devant lui. L’apollon contre lequel j’étais collé déclenchait de multiples frissons en moi grâce aux multiples et délicates caresses qu’il faisait sur mes jambes. J’étais la à chatouiller ces lèvres avec la fraise que je tenais entre mes doigts en attendant qu’il ne la mange. Un petit sourire charmeur et malicieux se tenait sur mon doux visage.
J’avais mes yeux plongés dans les siens c’était vraiment un moment agréable, très agréable en sa compagnie, ce n’était certes beaucoup de sexe et cela créer souvent un certain plaisir, mais au fond de moi je sens que même s'il n’y avait pas ça, je passerais tout de même de super moment avec lui.
Et puis j’étais humaine après tout, je ne pouvais pas faire l’amour toutes les trente secondes, j’avais mes limites, il allait falloir attendre un peu avant de recommencer, l’athlète qu’il est lui permettrait certainement de continuer, mais je ne suis pas aussi résistante que lui. On avait un peu de nourriture pour nous occuper de toute façon, c’est d’ailleurs suite à cette pensée que valentin se décida à enfin manger cette fraise, et un petit bout de mes doigts aussi, il me taquina en disant que je l’avais cherché. Il avait complètement raison, et c’est pourquoi j’affichais un magnifique et doux sourire sur mon visage.
En une fraction de seconde tout changea, Valentin se retrouvait sur moi armé d’une bombe de chantilly, il en déposa un petit peu partout sur mon visage et ça me faisait sourire à chaque fois qu’il léchait la chantilly qu’il déposait, je sentis un peu plus le désir monter en moi quand il en déposa dans mon cou et qu’il mangea la chantilly qu’il avait déposée sur le haut de ma poitrine. J’avais à nouveau glissé une main dans ses cheveux et l’autre sous son menton, je remonte alors son visage près du mien et embrassai délicatement ses lèvres avant de lui dire :

-Tu sais très bien que j’avais déjà pris ma douche, je n’avais pas besoin que tu me nettoie a nouveau… je profitais d’une seconde de concentration de sa part pour lui voler son arme et déposer de la chantilly sur son torse…hum, tu en as oublié là !!

Je retournai donc la situation avec son aide et léchai la chantilly que j’avais déposée sur son torse. Je remontai de nouveau jusqu'à ses lèvres après avoir posé la chantilly sur la table, et l’embrassai ardemment. Ceux après quoi je m’ôtais de dessus lui et me dirigeai vers le poste musique. C’est alors la chanson « Lucky » qui se mit à raisonner, je pris la première bière qui me passa sous la main et dès que Colbie se mit à chanter je chantai également tout en m’avançant vers lui.
Mais bizarrement l’ambiance était tout autre, cette musique me faisait le voir sous un tout autre angle. Cette nuit n’était plus que purement sexuelle, il y avait quelque chose d’autre… il avait quelque chose qui me donnait envie de l’embrasser tendrement, ce quelque chose qui m’attirait autrement que physiquement, qui faisait euh… battre mon petit cœur.
Mais j’avais envie de profiter du moment, de ne pas me prendre la tête, je continuai alors dans mon délire et chantai en même temps que la fille. En faisant quelque tête bizarre et en lui offrant quelque sourire. Je finis par poser la bière, prendre un bout de caramel entre mes lèvres, tendre la main à Valentin pour le tirer vers moi et danser avec lui.
Une fois collé contre lui dans mon salon, j’approchais mes lèvres des siennes pour partager le petit bout de caramel que je tenais entre mes lèvres.

Le sportif n’avait jamais eu envie d’une personne charnellement parlant. Il ne comprenait pas ce qui lui arrivait, mais finit par s’en foutre et par succomber complètement à cette envie. Sateen était plus que consentante et cela lui faisait davantage plaisir. Comme s’ils étaient invincibles et que plus rien ne pouvait les atteindre. Comme si le temps avait arrêté de filer. Il était juste bien et il voulait garder ce souvenir à jamais dans sa mémoire. Ce souvenir avec elle. Depuis le début de leur soirée plus que mouvementée.

Il avait l’impression que son appétit pour elle ne se stopperait jamais et n’aurait aucune fin. Heureusement, après leurs ébats dans la douche et sous l’eau froide finalement, elle décida d’aller se chercher quelque chose à boire et à manger. Elle s’habilla d’une simple petite serviette. Il en fit de même et l’enroula autour de ses hanches avant de suivre la belle. Quand il vit ce qu’elle sortait du frigo, il ne put s’empêcher de rire. Elle allait le tuer à cette allure. Mais il voulait arrêter de lui sauter dessus, alors il préféra se taire et alla s’asseoir sur le canapé, attendant qu’elle vienne le rejoindre.

C’était officiel, il allait mourir d’ici quelques secondes. C’était comme si il n’avait jamais réussi à l’avoir contre lui, comme si ses envies étaient revenues au point de départ, comme s’il ne les avait jamais assouvi. Fallait dire que le coup de la fraise au chocolat, et qu’elle lui en propose une, elle risquait fort de se faire bouffer dans les secondes à venir. Elle jouait à un jeu dangereux. Mais à croire qu’elle aimait ça aussi. Val lui caressait doucement les jambes qu’elle avait installées sur lui, se retenant de montrer plus haut, et croqua dans la fraise qu’elle lui tendait. Ses lèvres avaient bien sûr touchées le bout des doigts de Sateen et cela lui donnait envie de manger chaque parcelle de son corps.

- Tu l’a cherché !

Il prit alors la chantilly, passa au dessus de sa belle et secoua la bonbonne et en versa un tout petit peu sur son nez, il lécha, sur ses deux joues, qu’il lécha aussi, sur ses lèvres, qu’il embrassa, sur son cou, qu’il lécha de nouveau, et sur le haut de sa poitrine, et se fit une joie de la manger. Tentation dure pour ne pas lui enlever sa serviette, mais il devait se calmer. Il prenait tout son temps. Il voulait profiter de chaque instant passer avec elle, comme si leur temps était compté.

J'étais encore avec Valentin, mais cette fois si était une erreur, une autre, ou est-ce que nos désirs avaient un sens ! J’avais promis de ne plus me poser de questions ce soir j’avoue. Mais comment me voyait Valentin ? Une fille facile qui a juste envie de coucher avec lui ? J’étais bien loin d’être ça, je le voulais juste lui, mais en refusant de réfléchir à ce qu’il y avait vraiment entre nous pour ne pas gâcher ce moment, en me donnant à lui comme ça pour la deuxième fois, est-ce que c’est l’image que je pouvais renvoyer. Et lui a quoi pensait-il ? Juste à mon corps ? Ou est-ce qu’il y avait quelque chose de plus profonds, n’était-ce qu’un désir charnel, ou avions nous toucher l’infini, cette chose qui peut nous rendre heureux au possible et l’instant d’après nous réduire à néant. Avions nous atteignent se paradoxe, où l’on devient naïf et fort à la fois, le moment ou l’on est simplement amoureux ! Je n’en savais rien je n'étais complètement troublé, par lui oui ! Par son corps, ses mains sur ma peau, l’eau qui coulait sur son torse.
Il était certain de nous étions en train de succomber à un des sept péchés capitaux, nous ne pouvions plus résister l’un comme l’autre à la luxure…
Et moi qu’est-ce que je faisais ! La chose la plus débile en un instant comme celui-ci, j’avais envie de me cogner la tête, non mais sérieux… je viens vraiment de lui demander si la température de l’eau lui allait . J’avais vraiment fait ça . Mais quelle gourde je faisais, c’était vraiment une question pathétique en l’état dans lequel nous nous trouvions. Il ne s’était pas moqué de moi a mon plu grand soulagement, peut-être par gentillesse, en tout cas ses paroles étaient explicites :

-Pour l'instant. Elle risque de devenir pas assez fraîche ...

J’eus alors un petit sourire tandis que ses lèvres s’emparèrent à nouveau des miennes, que ses mains glissaient sur tout mon corps déclenchant de multiples frissons de désir. Je me contentais de glisser mes doigts dans ses cheveux en collant un peu plus mon corps au sien, comme s'ils étaient aimantés, comme si nous étions deux pièces d’un puzzle qui ne pouvait être séparée.
Et puis je sentis ses mains glisser sous mes fesses donnant une légère impulsion à mon corps pour que je place mes jambes autour de ses hanches et qu’il me plaque contre le mur pour plus d’appui. Je trouvais ça complètement excitant, et je faisais mes baisers des plus en plus ardant, lorsque je n’embrassais pas ses lèvres, je caressais son corps du bout de mes doigts et déposais des baisers dans son cou, je m’osais même à le mordre sensuellement de temps en temps. Et voilà que nous faisions l’amour dans la douche, c’était encore une fois absolument divin, ce gars me rendait complètement fou, j’étais comme dépendant de son corps, j’avais besoin de lui, de sentir ses muscles m’enlacer, de sentir nos corps se compléter, c’était du bonheur à l'état pur. Nous avions tout de même fini par arrêter et quitter la douche ! Après une bonne douche froide au final comme prévu, nos corps brulant coller l’un contre l’autre, nous avions échangé de tendres baisers pendant cette douche froide et puis j’avais enroulé une serviette autour de mon corps, bon certes elle n’était pas très grande mais bon on s’en foutée.




Et puis je pris sa main et me dirigeai vers la cuisine en sa compagnie, après cet effort j’avais d’une encore soif et en plus j’avais un peu faim je devais l’avouer. Il était une heure du mat et voilà que j’étais en train de sortir des crêpes et du Nutella. Normal quoi ! Tout le monde fait ça c’est bien connu. Je finis par dévaliser le frigo, chantilly, fraise, caramel, chocolat, tout ce qui allait avec cette soirée, et bien évidemment de quoi boire. Je déposais tout ça sur la table basse du salon et allai m’assoir avec Valentin sur le canapé, juste à ses côtés, je pris une fraise au chocolat et la mangeai de façon plutôt sensuelle, ceux après quoi je pris une autre fraise et après avoir posé mes jambes dénudées sur celle de valentin je lui tandis la deuxième fraise, l’approchant délicatement de ses lèvres. Je ne disais rien, absolument rien, j’avais bien trop peur de dire une connerie comme tout a l’heure.

C'était comme si le temps s'était arrêté. Il s'était passé quoi avant qu'il ne se retrouve juste avec elle ? Rien. Et il se passerait quoi une fois qu'il ne sera plus collé à elle ? Rien non plus. Il n'en avait pas envie et n'y songeait pas une seule seconde. Il n'avait pas jamais ressenti quelque chose d'aussi fort, même pas pour Rosalia. Encore moins pour elle. Lui qui avait cru qu'il en était tombé amoureux ... Peut-être, mais là, il était persuadé d'être complètement fou de Sateen. Peut-être un peu trop même. Et puis c'était le début aussi. Même s'il ressentait quelque chose de bien fort et qu'il pourrait se laisser convaincre que c'était la femme de sa vie. Aussi jeune et la rencontrer aurait été un véritable miracle, alors autant profiter un maximum d'elle, avant que le destin ne les sépare, car tout et n'importe quoi pouvait arriver.
Voilà pourquoi il ne voulait pas dormir. Et comme il savait qu'il ne réussirait pas à s'endormir, même en étant fatigué, il préféra proposer une douche à sa bien-aimée. Peut-être allait-elle croire qu'il avait simplement envie d'elle.Il ne l'espérait pas. Peut-être vaudrait-il mieux le lui préciser ?! Oh et puis il lui dirait plus tard ce qu'il ressent pour elle, ils avaient tout leur temps, surtout que peut-être qu'elle ne voulait pas de lui plus que ce qu'elle a déjà. Peut-être a-t-elle déjà un autre mec en vue et qu'elle se laisse aller avec l'italien ?! Il préféra chasser toutes ces idées de sa tête avant qu'elle ne vienne pourrir leur nuit torride.
Une fois arrivés dans la salle de bain, et sous la douche, la belle blonde ouvrit l'eau. Il n'avait même pas fait attention tellement il était obnubilé par elle. Même pas sûr que si elle avait été brûlante ou bien glacé qu'il l'aurait remarqué ou senti.

- La température de l’eau te convient ?
- Pour l'instant. Elle risque de devenir pas assez fraîche ...

Il sentait qu'il allait avoir besoin d'une douche bien froide avec elle oui, parce qu'il ne comptait pas du tout rester inactif sous l'eau. Oui il l'embrassait et l'embrasserait toujours, ou bien resterait proche de son visage, mais il la caresserait tout le temps et lui ferait davantage de bien. C'est tout ce qui lui importait. Comme une crampe dans ses tripes qui lui interdisait de s'arrêtait. Même s'il l'avait voulu, son corps l'aurait empêcher de faire de contraire. Ses tripes, ou bien autre chose. A ce stade-là, il n'avait pas trop cette notion pour définir quel organe de son corps était le prédominant. Pour lui, c'était autant son corps que son esprit qui lui indiquait ce qu'il devait faire. C'était presque même une possession tellement il avait l'impression d'être dans un état second. S'arrêter ? Non. Jamais. Il pouvait en crever qu'il ne le remarquerait même pas.
Et puis quand elle le regardait ... Il s'y perdait bien trop facilement, il était absorbé, envoûté. Impossible de se défaire de ce sort. Impossible de dire que c'en était un mauvais. Il aimait bien trop ça. Il l'attrapa de nouveau, la fit s'asseoir autour de ses hanches et la plaqua contre le mur de la douche italienne bien protique, et l'embrassa de nouveau, tout en savourant autant son parfum que sa peau si douce et alléchante.

Après le baiser de ce belle italienne, je m’étais laissé emporter par une fougue délicate, un seul de ses baisers me donner envie de l’embrasser un l’infini, c’est pourquoi je m’étais mise à l’embrasser avec légèreté, à certains moments je frôlais à peine ses lèvres, mais elles étaient toujours en contact, c’est pourquoi à ce moment-là je lui avais annoncé que je serais incapable de m’arrêter, que la seule raison qui y arriverait c’est qu’il me repousse, c’est alors suite à mes paroles qu’il me répondit :

- Seule une crampe pourrait réussir ... Et puis même, pas sûr qu'elle y arrive !

Un sourire se dessinait alors sur mes lèvres emmêlées au sien, pas vraiment pratique je dois l’avouer, mais je ne pouvais m’empêcher de sourire à ses paroles. Cependant ma gorge devenait de plus en plus sèche et j’avais extrêmement soif, je lui avais donc demandé ce qu’il voulait tout en me retirant du lit. J’étais partis vers la cuisine pour un bref instant je nous avais préparé deux verres d’eau, mais je me suis bien vite rendu compte que ce n’était vraiment pas pratique à boire dans un lit, j’optai donc pour deux simples petites bouteilles d’eau. Je but tout de même un des deux verres avant de rapidement le rejoindre et de me glisser à nouveau dans le lit.
Je m’écartais un instant de lui pour poser ma bouteille au sol et lorsque je revins en place je fus extrêmement surprise, en une simple fraction de second valentin s'était retrouvée sur moi, ses alors que son souffle c’était délicatement déposer sur ma peau avant qui ne m’embrasse à nouveau.
Il me proposa finalement :

- Je sais pas toi, mais moi, j'irai bien prendre une petite douche ...

Le petit sourire qui suivit ses paroles indiquaient à peu près tous les pensées qui se dissimulaient derrière ses paroles. Et cela ne me dérangeait pas le moins du monde, en plus faire l’amour avec lui n’était pas de tout repos, donc une douche n’était pas de refus. Avec lui en plus la douche n’en serait que plus agréable, l’idée ne me déplaisait pas le moins du monde, elle était même plutôt alléchante. Je n’eus pas le temps de répondre que je sentais ses bras se glisser sous mon corps et m’attirer contre le sien pour me porter jusqu'à la salle de bain, lorsque l’on fut à l’intérieur de cette dernière j’allumais la petite lumière, et oui j’avais pas mal de gadget dans ma salle de bain, et lampe à lumière tamisée je l’avais. Je me rapprochais de lui, glissèrent mes doigts dans ses cheveux tout en attirant son corps contre le mien, mes lèvres se déposèrent sur les siennes tandis que la lumière passait au violet.
Je connaissais ma salle de bain par cœur et à ce moment-là j’étais contente d’avoir une douche italienne, au moins on n’aurait pas de risque de se prendre les pieds dans le rebord de cette dernière, je reculai donc doucement sans me décoller de lui, une fois a l’intérieur de la douche je décollai une main de son corps et tâtai le mur afin de trouver la poigner pour allumer la douche, la température étant déjà réglée. Je continuais de l’embrasser encore et encore tandis que l’eau commençait à couler sur nos corps, ma main se reposa alors sur son corps et je caressais son dos de cette dernière, je finis par décoller mes lèvres des siennes pour lui demander :

-La température de l’eau te convient ?

Je lui fis un simple petit sourire et attendis sa réponse. Moi elle me convenait totalement, c'est une bonne idée qu'il avait eue là, j'appréciais de sentir l'eau couler sur ma peau, je regardais un instant son torse sur lequel perlait cette eau, avant d'y déposer main et de plonger à nouveau mon regard dans le sien.

HRP:

Juste rester là des heures, près d'elle, à l'avoir dans ses bras. C'est tout ce qu'il souhait à cet instant précis, et il semblait que ce soit la même chose pour elle. Il était vraiment heureux de voir ça, de voir que son envie d'être avec elle était partagé. Mais voudrait-elle plus ?! Ça il n'en savait rien et commençait à redouter le moment où ils se quitteraient, pour peut-être au final ne pas se revoir, ou juste se dire bonjour et rien de plus.
Après la réponse de l'italien, et son baiser, elle se laissa emporter et l'embrassa en retour, plus que jamais.

- Je crois que je pourrais t’embrasser tout la nuit si tu ne m’arrête pas !
- Seule une crampe pourrait réussir ... Et puis même, pas sûr qu'elle y arrive !

Ils continuèrent à s'embrasser savoureusement, jusqu'au moment où elle lui avoua en quelque sorte qu'elle avait soif :

- Tu veux quelque chose ?
- De l'eau s'il te plaît !

Lui aussi était déshydraté et un peu d'eau lui ferait le plus grand bien. Sateen se leva alors et revint aussi vite que l'éclair dans le lit. Il en avait profité pour la regarder. C'était fou comme elle était belle et qu'il était fier et content de l'avoir pour lui tout seul, parce que oui, il la veut pour lui tout seul.
Il but l'eau qu'elle lui avait apporté et ce fut à ce moment-là qu'il ressentit le besoin de prendre une douche. Mais pas tout seul. Non. C'était beaucoup moins bien. Nuit de folie, c'est pas juste au lit. Et puis faire l'amour avec elle lui avait donné sacrément chaud, et même s'il aurait pu dormir ainsi, il ressentait le besoin et l'envie d'aller prendre une douche. Il vint se placer sur sa bien-aimé et l'embrassa, pour ensuite lui dévoiler :

- Je sais pas toi, mais moi, j'irai bien prendre une petite douche ...

Il lui sourit, avec un sourire peut-être un peu trop pervers, et se redressa. Il l'attrapa et la porta jusqu'à la salle de bain.

Spoiler:

J’étais aux anges, heureuse à ses côtés, je me sentais protégé et j’avais vraiment l’impression d’avoir de l’importance à ses yeux. J’aimais sa façon de prendre soin de moi, de me toucher avec délicatesse mais de me désirer avec ardeur. J’étais juste bien, cet athlète ne cessait pas de me surprendre à chaque instant et au vague souvenir que j’avais de la dernière fois cela me semblait plus « froid », c’était juste un moment torride où l’on dévorait le corps de l’autre. Alors que là, ce soir je sentais de la tendresse, de l’attention, bien plus qu’avant et j’aimais ça. Je l’apprécie tellement, mais une question me reviens sans cesse, même essayant de l’éviter je n’arrête pas de me demande : *est-ce que je l’aime lui ?*. J’étais vraiment confuse, nous étions l'un comme l'autre attirés inévitablement comme des aimants, pourquoi !
Je m’étais blotti tout contre lui, dans le creux de ses bras ce qui me fit oublier mes pensées inquiétantes et je profitais de son corps incroyablement sculpté, tandis que je caressais délicatement son torse du bout des doigts, je sentais ses mains effleurer mon dos, ses doigts se mêlaient délicatement dans mes cheveux avant de caresser délicatement mon visage. Je lui avais alors fait part de ce que j’avais ressenti de cette nuit qui d’ailleurs n’était pas fini, je voulais rester éveillé encore et encore a ses côtés, sentir ses mains sur ma peau, son corps contre le mien, son souffle dans ma nuque, je voulais qu’il reste là avec moi.
Un sourire illumina son magnifique visage et je lui rendis instantanément, tandis qu’il me disait :

- Je dirais même plus ...

J’attendais la fin de ses paroles, mais à la place il attira mon visage vers le sien, approcha délicatement ses lèvres des miennes avant de les entrelacer. C’était bien meilleur que quelconque parole, ses lèvres m’envoutaient complètement, et à chaque fois qu’elles se posaient sur les miennes j’avais inévitablement envie de les savourer à nouveau.
Je décalais délicatement mon corps sur le sien tout en glissant mes mains dans ses cheveux avant d’accrocher de nouveau mes lèvres aux siennes, je faisais glisser mes doigts dans ses cheveux avec une délicatesse sans pareil et les baisers que je lui offrais se voulaient léger telle une plume. J’interrompis nos baisers un instant sans pour autant éloigner mes lèvres des siennes, il pouvait alors sentir mon souffle sur sa peau à chaque mot que je lui délivrais :

-Je crois que je pourrais t’embrasser tout la nuit si tu ne m’arrête pas !

Ah ce moment-là j’étais quasi certaine que ma phrase n’avait aucune utilité, car il n’avait aucune raison de m’arrêter, mais d’autre part par cette phrase il savait que j’avais sans cesse envie de l’embrasser, quoiqu'il dût déjà l’avoir compris. Il se passait de longues minutes après lequel je finis par me décoller de son corps, faire l’amour avec lui m’avait donné extrêmement soif, mais j’avais voulu rester à ses côtés c’est pourquoi j’étais encore là, mais à ce stade je ne tenais plus il fallait que je m’hydrate, je déposais un baiser sur ses lèvres et lui demanda :

-Tu veux quelque chose ?

Je couvrais mon corps d’une robe de chambre car je n’avais pas l’habitude de me trimballer les seins a l’air dans la suite, je me dirigeai donc vers la cuisine, pris à boire et reviens vite à ses côtés me glissant à nouveau dans le lit après avoir ôté ma robe de chambre.

L'italien se sentait pousser des ailes, il se sentait si bien avec elle, un bien être et un bonheur que même avec son ex Rosalia il n'avait jamais connu. Il ne savait pas encore si c'était vraiment de l'amour qu'il ressentait avec Sateen, mais une chose était sûr il ne voulait en aucun cas que ce moment ne se finisse. Et même s'il lui faisait l'amour avec envie et ardeur, il se retenait pour que le plaisir dure le plus longtemps possible. Il faisait de rares pauses, ne tenant pas bien longtemps, et finit par atteindre la "jouissance" juste après l'orgasme de sa belle. C'était si agréable d'être en elle alors qu'il n'est pas bourré, il peut vraiment la savourer. Ce n'était pas juste de l'envie, du désir sexuel qu'il ressentait envers elle, non, c'était beaucoup plus fort.
Alors elle vint se blottir dans ses bras, il n'en attendait pas moins de sa part et la prit avec douceur dans ses bras pour la caresser dans son dos, jusqu'à ses cheveux et son doux visages. C'est là qu'elle lui avoua qu'elle avait trouvé ça délicieux. Valentin se mit à sourire de satisfaction et de joie, pour ensuite lui répondre :

- Je dirais même plus ...

Il attira son visage vers le sien et y déposa un énième baiser sur ses lèvres. Ils se caressaient l'un l'autre leur corps, et c'était toujours à ce moment-là que Val s'en aller ou s'endormait, et surtout qu'il se rendait compte s'il voulait revoir la fille qui était dans son lit. Et là, il avait juste envie de veiller toute la nuit pour la sentir et la garder dans le creux de ses bras. Même s'ils ne parlaient pas, même s'ils ne faisaient rien, il voulait juste être là, avec elle, et que cette nuit dure encore des siècles. Seulement le lendemain ne tarderait pas, et il avait vraiment peur de "l'après". Est-ce qu'elle avait autant envie que lui d'être avec lui ?! Seul l'avenir le lui dirait.

Il me faisait bouillir tout entière, il déclenchait en moi un désir intense, je mourrais d’envie depuis tout a l’heure qu’il me prenne. Mais nous prenions un malin plaisir à faire monter l’envie et le désir, n’était-ce pas ainsi bien plus intéressant et encore plus savoureux. Pour ma part il me semblait que si, et cela ne semblait pas déranger Valentin.
Mais voilà que nous étions de nouveau nu dans mon lit, dans ma chambre, que de souvenir… enfin non pas tellement je ne m’en rappelle plus vraiment, à part que j’avais apprécié et que je m’étais réveillé dans ses bras. En ce jour il était certain que j’allais m’en rappeler et je ne tenais plus, c’est pourquoi après avoir retourné la situation, après avoir murmuré quelque mot auquel il me répondit :

- Volontiers ...

Il finit par se relever contre mon corps dénuder, sans cesser d’embrasser mes lèvres ce que je lui rendais volontiers et plein d’ardeur. Après nos paroles il ne mit pas longtemps avant d’agir. Je me mordis la lèvre lorsque je le sentis rentrer en moi, la sensation de nos corps entrelacés était vraiment délicieuse et répondait tout à fait au désir qui était monté. J’émis naturellement des petits gémissements de plaisir, avec lui je n’avais pas besoin de simuler, je le désirais tellement que je n’avais même pas besoin d’y penser. C’était à la fois effrayant et extrêmement agréable de ne pas avoir à penser à ses côtés, tout se faisait de façon complètement naturel.
Il me serra un peu plus contre lui pour de nouveau retourner la situation, tandis que nos corps « fusionnaient », je le sentais en moi qui faisais des vas et viens de plus en plus rapide ayant pour effet instantané d’augmenter mon plaisir, je dévorais complètement ses lèvres lorsqu’il me les offrait. Je serrais un peu plus ma main sur sa peau à chaque pulsion, voilà que se déroulait encore entre nous une nuit des plus torrides, et même si je ne voulais pas me poser de questions, je sentais bien que tout ça étais différent. C’était diffèrent entre lui et moi, il y avait quelque chose de plus… des sentiments différent qui me troublaient de plus en plus. Était-ce ceux que je pensais ou tout à fait autre chose ?
Arriva le moment ou l’extase arrivait à son comble, après un bon moment… la jouissance arrivait à son terme, j’avais complètement pris mon pied et espérais qu’il en soit de même pour lui. Les voisins allaient certainement raller pour le vacarme que nous avions fait. Il faudrait que je pense à décoller mon lit du mur un jour.
Valentin était sorti de moi, après ce long moment intense j’avais extrêmement chaud, une chaleur bien différente que la première amenée par le désir, mais je n’avais pas pour autant envie de me décoller de lui, je me blottis alors tout contre son corps et posa ma tête sur son torse, y déposant au passage quelque baiser. Il avait sans aucun doute compris le plaisir qu’il m’avait procuré, et je n’avais pas forcément envie de parler mais pour bien lui faire comprendre je lui dis dans un murmure :

-Délicieux !

Nous n’avions jamais réalisé notre première nuit, mais maintenant il savait ce que j’en pensais réellement. D’un mouvement délicat je me mis a caresser son torse du bout des doigts, j’avais toujours aimé faire ça, mais je serais incapable de vous en expliquer les raisons… j’appréciais simplement surtout sur un corps d’athlète tel celui de valentin.

HRP:

Ce stress quand on couche pour la première fois avec l'être aimé, Valentin ne le connaissait pas avec Sateen et c'était une sorte de libération. Il n'avait pas de pression de se dire qu'il devait assurer. Il avait déjà passer une nuit plus que torride avec la belle et elle ne serait pas là dans ses bras, et lui dans son lit s'il n'avait pas assurer. Il ne s'en serait pas remis s'il n'avait pas gérer, même si cela avait été un coup de tête et une envie subite à l'époque. A présent c'était presque la même chose, mais ils n'allaient pas couché ensemble simplement parce qu'ils étaient attirés l'un par l'autre, c'était plus profond que cela.
Elle s'était alors débrouillée pour se retrouver sur lui. C'était sacrément excitant pour le jeune homme qu'elle prenne ce genre d'initiative, il aimait les femmes comme elle, sûre d'elle et de ses charmes et avec qui il partage un certain sens de l'obligation et de la force. Elle finit par lui ordonner, après lui avoir mordu légèrement la lèvre :

- Prends moi
- Volontiers ...

S'étaient-ils dit entre deux baisers après être fin prêt à passer une seconde nuit des plus torrides, des plus sensuelles et des plus sportives. Il sentait qu'il pourrait lui faire l'amour toute la nuit. C'était l'un des avantages à voler le cœur d'un athlète qui ne vivait que pour le sport. N'importe quel sport.
Il se releva légèrement pour qu'ils soient assis tous les deux, continuant de l'embrasser, puis ne tarda pas à à rentrer en elle et à lui donner du plaisir. Le sien passait en premier, même s'il ne pouvait s'empêcher de prendre son pied lui aussi. Il la serrait contre lui, il aimait la voir au dessus de lui, mais dans l'action, il finit par se retrouver de nouveau sur elle, et à aller davantage plus vite.

Valentin était parti en direction de la chambre lorsque je lui avais sauté dessus, une fois qu’il m’eut habilement réceptionné. Seul inconvénient, j’étais incapable de me détacher de ses lèvres et c’était bien loin d’être facile pour lui. Si moi je pouvais me diriger dans l’appart sans difficulté j’oubliais complètement que ce n’était pas le cas de Valentin. En même temps dans ses bras j’oubliais tout, absolument tout, a par le désir de son cœur, l’envie de sentir ses lèvres sur ma peau ! Je ne cessais pas de jouer avec ses cheveux tandis que je lui donnais des baisers ardant. Nous arrivions enfin dans ma chambre, il nous fit alors basculer sur le lit en faisant attention à ne pas m’écraser. C’était étrange comme le simple fait d’être dans ma chambre me donnait encore plus envie de lui. Certainement parce que le fait d’être là allongé sur mon lit avec lui me rappelait la nuit torride que nous avions déjà eu. Ses lèvres sur mon corps, ses mains sur ma peau et le fait que mon intimité ne lui était pas inconnue. Mais cette fois si c’était différent, quoi que le désir soit semblable.

J’avais enlevé le dernier vêtement qui recouvrait mon corps, tandis que Valentin en faisait de même. Nous voilà une fois de plus nu dans le même lit, enveloppé d’une chaleur corporelle démesurer qui augmentait au contact de nos deux corps. Se caressa redoublait d’ardeur et de force, il parcourait chaque courbe de mon corps de multiples baisers. Me faisant frissonner de partout, malgré ma faible force je retournai la situation me positionnant à califourchon, m’emparant inlassablement de ses lèvres, je descendis mes baisers sur son torse et descendis encore et encore, suivant mes baisers de multiples caresses. Je finis par remonter jusqu'à ses lèvres, je mordis légèrement sa lèvre inférieure de façon sensuelle avant de murmurer délicatement à son oreille d’une voix suave :

-Prend moi

C’était dingue, il me rendait complètement dingue ! Je n’avais jamais autant désiré quelqu’un. Je le voulais lui tout entier, je voulais que son corps se mêle au mien.

Le désir montait de plus en plus, que cela soit chez le sportif ou bien chez la cheerleader. Il avait l'impression d'être transporté dans un autre monde, et ne songeait pas un seul instant à ce que cette envie et se moment se termine un jour. Val était à fond, il était prêt à faire des folies, n'importe où, même dans la baignoire (a) mais cela ne semblait pas être le cas de la belle Sateen. Il la sentit le pousser légèrement pour qu'il puisse se mettre debout. Une fois effectué, elle grimpa sur lui à califourchon. Il la rattrapa au vol. Il se dirigea ensuite vers la chambre, qui n'était pas bien loin, mais qui fut un peu galère, puisque Sateen ne décollait pas ses lèvres des siennes. Il avait donc du mal à y voir, mais il finit par y arriver sains et sauf, si on ne compte pas le coup au genou qu'il se prit au pied du lit. Il n'y fit même pas attention puisqu'il se laissa tomber avec la blonde, tout en évitant de l'écraser.

Cela lui rappelait quelques vagues souvenirs en fin de compte. Il se rappelait avoir eu le même désir pour elle, mais un désir beaucoup plus hargneux, alors que celui-ci était beaucoup plus affectif. Au final il avait tout autant envie d'elle.
Ils retirèrent alors tout ce qu'ils leur restaient de vêtements. C'était fou ce qu'il faisait chaud, et il n'avait eu qu'une seule envie depuis qu'il était entré dans cette chambre, c'était de se déshabiller. Sateen en était bien sûr l'une des principales causes. Mais maintenant que c'était fait, il avait bizarrement encore plus chaud. Non pas qu'il transpirait, mais il était chaud comme la braise, autant au sens propre qu'au figuré. Il fallait vraiment qu'il succombe à ce désir ardent, il avait du mal à se retenir, mais il ne voulait pas aller trop vite, il voulait profiter un maximum d'elle, prendre son temps, et la savourer comme il se doit, tout en parcourant son corps de baiser et de caresses, toujours plus passionnées les unes et uns que les autres.

Le désir déjà fulgurant qui régnait entre nous semblait grimper et envahir la pièce a chacun de nos contacts, avec l’ardeur qui s’y mêlait c’était complètement insoutenable, j’avais envie de lui. De son corps musclé contre le mien et je ne m’en privais pas. Mais une telle source de désir était elle l’à cause de phénomènes bien plus profond ! Oh et puis zut pour la philosophie, j’avais un apollon absolument splendide qui me désirait tout autant voir plus que ce que je le désirais. J’avais bien l’intention d’en profiter.
Valentin ne mit pas longtemps avant de me libérer de cette robe, un peu superflue, un tissu bien négligeable face à l’envie qui nous animait. Je sentais ses mains se hâter sur ma peau, la force de ses mains qui me caressaient.
J’étais complètement enivré de ses lèvres, notre baiser devenait de plus en plus ardant, jusqu'à ce que dernier interrompe nos baisers, pour que ses lèvres enflammées viennent parcourir ma peau, déclenchant des frissons dans tout mon corps lorsque son souffle vint se glisser dans mon cou, que ses lèvres vinrent se poser sur ma poitrine, cette poitrine qu’il ne tarda pas à découvrir de tout tissu superflu a son désir et au mien. J’aimais sentir les pressions de ses mains sur mon corps dénudé. Mais je devais aussi avouer que le canapé n’était pas des plus confortables. J’attirais de nouveau ses lèvres aux miennes tandis que ma main se poser sur son torse de telle sorte à le repousser légèrement et que nous nous levions toujours collés l’un à l’autre, passionné par des baisers ardant !
Je glissais alors mes mains sous son tee-shirt et lui enleva, couvrant alors son torse de caresse sensuelle, je n’avais plus mes talons aux pieds et devais me dresser sur la pointe des orteilles pour pouvoir m’emparer de nouveau de ses lèvres, j’y déposais quelque baiser avant de les disperser à mon tour sur son corps, mordillant légèrement son cou, jouant farouchement avec ses cheveux.
Je mis ensuite mes bras autour de son cou et lui sauta dessus de telle sorte à ce que mes jambes enlacent sa taille, c’est dans ces moments-là que j’étais contente d’avoir acquis de la souplesse et de la pratique dans mes sauts pendant mes entrainements de cheerleader.
Je déposais des baisers tous autours de sa bouche, le long des commissures de cette dernière histoire de faire encore un peu monter l’envie.

A peine ses paroles terminées, Valentin n'avait pas résisté à l'envie de l'embrasser et de passer ses mains sous sa robe, pour sentir davantage sa peau si belle et si douce. Il avait envie d'elle, de la bouffer. Il n'arrivait plus à se calmer, à résister. Mais il semblait qu'elle non plus. Il avait déjà vu qu'elle le désirait littéralement quand il lui avait répondu. Il avait trouvé ça encore plus adorable et excitant. Il n'avait pas pu se retenir bien longtemps.

La blonde l'avait attiré contre elle, et elle s'était allongée sur le canapé, tout en le serrant contre elle. Elle n'avait pas envie de le lâcher, et tant mieux parce que lui non plus. Il n'avait pas attendu bien longtemps pour remonter ses mains, tout en la caressant, avec une pression assez importante tellement il avait envie d'elle, jusqu'à remonter au plus haut pour lui ôter sa robe.
Il l'embrassait toujours et aurait pu ne jamais s'arrêter, mais il avait envie de la bouffer et ne put retenir sa bouche pour descendre jusqu'à son coup, ses épaules et sa poitrine, où il enleva son soutien-gorge pour profiter un max de cette fabuleuse poitrine. Une de ses mains vint accompagné ses baisers, tandis que l'autre resta au niveau de ses cuisses pour bien vite remonter jusqu'à ses fesses. Elle avait un corps sublime, des rondeurs magnifiques, là où il fallait, là où il aimait. Tout comme sa personnalité.
Jamais il n'aurait pensé craquer aussi vite pour une fille. Il était surpris par lui-même, et se demandait bien ce qu'elle lui avait fait pour qu'il en arrive à ce stade-là, et à ne pas comprendre ses ardeurs aussi violentes et enivrantes.

Je lui avais tout d’abord demandé s'il désirait quelque chose, je souhaitais qu’il ne me réponde pas qu’il me désirait moi car dit franchement j’aurais été incapable de résister, mais sa réponse fut semblable et il fut extrêmement dur de me calmer, je restai instant dans la cuisine pour me calmer et ne pas courir vers lui en arrivant dans le salon pour me réfugier dans ses bras, je lui apportai donc ce qu’il me demandait :

- Tu sais très bien quoi, mais je prendrais bien aussi une bière, si tu as ...

Qui n’avait pas de bière chez lui ! J’avais ouvert deux bouteilles et avais bu la moitié de la mienne d’un cou, sachant pertinemment qu’une fois as ses côtés je serais bien trop captivé par lui, par cette envie qui me dévore. Je lui avais alors donné sa bière et lui avais présenté mes excuses, ce n’était peut-être pas grand-chose vu extérieurement, mais je ne supportais vraiment pas de porter un jugement, j’aimais encore moins ça lorsqu’il pourrait me séparer d’un tel être pour de stupide a priori. Je me sentais soulagé, un poids en moins sur le cœur. Il avait sourit à la fin de mes paroles et là il se leva s’approchant alors de moi il posa ses mains sur mes cuisses ce qui déclencha en moi un frisson parcourant chaque parcelle de mon corps.
En même temps je portais une simple légère robe, ce léger morceau de tissus soyeux était léger comme l’air et si fin, je pouvais sentir la chaleur émanait de ses mains, en plus de l’effet que produisait chacun de nos contacts je me mordis la lèvre inférieure pour réussir à l’écouter sans me jeter dans ses bras.

- Tu sais que moi aussi je ne t'aimais pas du tout au début ?! Trop gentille, trop parfaite, trop belle. Ça m'énervait, et je ne sais vraiment pas pourquoi, parce que maintenant je suis fou de toi et que je risque d'avoir du mal à me passer de toi à présent ...

Oh temps de compliment même si ceci l’avait poussé a me détesté, il l’avait aussi poussé à me désirer et a nous mener ici aujourd’hui. C’était compliqué entre lui et moi et savoir que je comptais autant pour lui m’importais beaucoup. Je pourrais tergiverser longtemps sur mes sentiments pour essayer de savoir ce qui nous uni réellement mais mes pensées furent interrompu de la plus belle et désirable façon qu’il soit.
Valentin avait approché son visage du mien pour m’embrasser encore sans s’arrêter je ne pouvais plus lui résister, mon cœur s’emballait petit à petit, je le désirais la maintenant. Je lui rendis ses baisers avec ardeur, glissant mes mains dans sa nuque, jouant avec ses cheveux j’attirais alors son corps contre le mien. Faisant mes baisés de plus en plus ardant je glissais l’une de mes main le long de son corps.
Je témoignais d’une ardeur sans pareil avec lui, frottant délicatement mon corps contre le sien… son parfum m’enivrait, sa chaleur me berçait et ses lèvres m’ensorcelait. Un tel désire était-il possible ? J’avais fini par m’allonger sur le canapé son corps collé contre le mien, ses lèvres embrasant les miennes a chaque baisé. Jamais un homme ne m’avait fait tant d’effet.
Je sentais ses mains se balader sur mon corps et j'aimais ça, j'appréciais sentir ses mains désirer mon corps, j'aimais sentir sa peau effleurer la mienne de multiple caresse aussi douce,sensuel où torride pouvaient-elles l'être.

On aurait dit des amoureux transits. C'était certainement le cas. Comme s'ils étaient accro à l'autre, comme s'ils ne pouvaient plus se passer l'un de l'autre. Valentin avait vraiment cette sensation qui lui faisait presque peur. Était-il possible d'aimer une personne à ce point ? Il se sentait amoureux, mais il sentait quelque chose de tellement plus fort, à la fois plus fort l'attirance physique et que l'amour réunit. C'était peut-être ça la passion. Peut-être la pire. Il espérait quand même pas à ce point.
Mais pour l'instant tout ce qu'il lui importait, c'était qu'elle lui dise ce qui la tracassait. Il aurait cru qu'elle allait rester près de lui pour lui faire sa confidence, mais non. Elle lui avait dit de faire comme chez lui et s'était enfui dans la cuisine, sûrement pour rapporter à boire. Elle lui avait demandé s'il voulait quelque chose :

- Tu sais très bien quoi, mais je prendrais bien aussi une bière, si tu as ...

En de telles occasion, il aimait boire une bière. A vrai dire, il aimait la bière tout court. La seule vraie concurrente de Sateen était certainement cette dernière, même si finalement Elise risquait d'être un obstacle, vu qu'il était quasiment sûr qu'elle était déjà tombé amoureuse de lui. Mais lui ne pensait pas à elle. Pas avec Sateen. Plus depuis qu'il s'était retrouvé dans la même pièce qu'elle quelques heures plus tôt.
La belle blonde était finalement revenue de la cuisine et s'était assise en face de lui, à une distance trop grande, mais bien plus raisonnable pour parler. Et il l'écoutait, s'étant appuyer sur ses coudes posés sur ses genoux. Il ne comprenait pas. Elle s'excusait pour un petit détail de rien du tout. Mais il l'écouta jusqu'au bout, pensant qu'il y aurait plus que cela. Mais non, elle s'était arrêtée. Il la regardait, un peu trop hypnotisé par ses yeux et sa beauté. Mais il finit par réagir en souriant. Elle ne pensait tout de même pas qu'il allait lui faire la gueule juste pour ça ?! Elle était vraiment adorable, et le fait qu'elle soit si attentionné faisait un peu trop craqué l'italien. Il aimait tout chez elle, c'en était affolant. Lui qui lui aussi ne l'aimait pas du tout au début ... D'ailleurs il fallait qu'il lui dise lui aussi du coup quelque chose.
Il se leva donc et se mit accroupi face à elle mettant ses mains sur les belles cuisses de la blonde. Il ne pouvait pas rester sans contact c'était atroce. Il savait cependant qu'il arriverait à lui dire ce qu'il voulait :

- Tu sais que moi aussi je ne t'aimais pas du tout au début ?! Trop gentille, trop parfaite, trop belle. Ça m'énervait, et je sais vraiment pas pourquoi, parce que maintenant je suis fou de toi et que je risque d'avoir du mal à me passer de toi à présent ...

Ce soudain attrait pour elle était vraiment étrange, mais c'était peut-être pour cela qu'il ne l'avait pas du tout apprécié au début. Il savait qu'il risquait de tomber amoureux d'une telle créature, et il s'était protégé de cette façon là.
Cependant, il ne résista pas autant que Sateen et rapprocha son visage du sien, pour l'embrasser, encore et encore. Avec elle, il n'avait aucun mal à être lui-même et à lui faire comprendre ce qu'il ressentait et ce qu'il voulait.

Nous étions tous les deux collés l’un contre l’autre dans le taxi, je venais d’annoncer à Valentin que quoiqu'il advienne il fallait absolument que l’on parle. Et cela allait entrainer l’action la plus difficile que j’ai eu à faire, c’est as dire ne plus embrasser Valentin jusqu'à ce que nous ayons parlé, car une chose était sûre, avec le désir qui nous inspirait tous les deux, un simple baiser une simple caresse ce serait la goutte d’eau qui ferait déborder le vase, je serais incapable de me décoller de lui, de ses lèvres comme j’avais difficilement réussi à le faire chez Sam et Jimmy. Jusqu’à aujourd’hui je n’ai jamais autant désiré quelqu’un, j’avais envie de lui, comme jamais je n’avais eu envie de quelqu’un.
Valentin avait réagi a la fin de mes paroles, ce qui ne m’étonnait pas du tout :

- Dur ... Oui en effet !

Un petit sourire se dessinait sur mes lèvres, je n’avais qu’un envie c’était de glisser mes mains sur sa peau, dans ses cheveux, de mêler mes lèvres aux siennes. Je le voulais lui et les paroles qui me murmuraient m’indiquaient qu’il me désirait tout autant si ce n’était plus.

- T'imagine pas à quel point je me retiens là ...

Oh si j’avais ma petite idée là-dessus, car là maintenant je ressentais une agréable et étrange sensation de torture, le fait que nous devions nous retenir était vraiment extrêmement dure te cela ne faisait qu’empirer cette sensation de désir. Je ne répondis pas à ses paroles pour ne pas aggraver les choses, car le simple fait de le dire pourrait me donner envie de craquer.

Nous étions rapidement arrivé à l’hôtel, une fois que Valentin eut payé le taxi, j’avais pris sa main et m’étais dirigé vers ma chambre en sa compagnie d’un pas pressé, si j’avais pu courir je l’aurais faits. Une fois arrivait la haut et que j’eus ouvert la porte je dis à Valentin de faire comme chez lui et de s’installer sur le canapé de la suite s'il voulait, je m’étais éloigné d’un pas pressé de lui assez rapidement. Je ne voulais pas repousser encore une fois le moment de lui parler, et rester à ses côtés était vraiment trop difficile sans le toucher, l’embrasser.
Bref je m’étais dirigée vers la cuisine et avais demandé à valentin :

-Tu veux quelque chose ?

En espérant qu’il ne me réponde pas « toi » car c’était vraiment le genre de chose qui pouvais rendre toute cette tension difficile, tout du moins encore plus irrésistible qu’elle ne l’était déjà. Je revins dans le salon et m’asseyais dans le canapé en face de valentin. Je commençai à lui dire alors :

-Ne t’inquiète pas je ne te fuis pas, mais je serais incapable de me concentrer à côté de toi. Je vais être brève car là c’est vraiment difficile mais je refuse de repousser ces excuses encore une fois. Valentin je tiens à m’excuser car j’ai fait avec toi quelque chose que je ne supporte pas de faire, je t’ai jugé et mal jugé en plus. Lorsque nous nous sommes rencontré je t’ai détesté avant même de te connaître réellement, et chaque fois que l’on se voit je suis agréablement surprise car tu détruis un à un tous les jugements que j’avais pu porter à tous égards et qui m’avaient porté à te détester. Depuis qu’on a couché ensemble la première fois mon point de vue sur toi a changé. Valentin je veux que tu sache que je ne te déteste pas, quoique maintenant tu dois l’avoir compris je pense. J’espère que tu m’excuseras de t’avoir mal jugé, et jugé tout simplement.

Après mes paroles je me mordis la lèvre inférieure assez fortement, pour deux raisons, d’une j’avais irrésistiblement envie de me coller à lui et de deux j’espérais de tout cœur qu’il me pardonnerait. Je restais là à attendre une réponse, ne préférant pas bougé car je savais pertinemment ce qui allait se passer dans le cas où je me reprochais de lui.

Sateen ♥ Valentin

La taxi n'avait pas tardé une fois que Valentin eu raccroché. Il ne devait pas être en demande à cette heure-ci et dans ce coin de la ville surtout, certainement. Il était dur de ne pas se coller à Sateen, mais la torture n'était pas nécessaire, ils pouvaient restés l'un contre l'autre à présent, tranquillement, même si l'envie devenait bizarrement de plus en plus grande. Lui qui croyait qu'elle allait s'arrêter un peu une fois qu'ils ne seraient plus obligés de rester décoller l'un de l'autre. Faux. Il avait encore plus envie d'elle. Tellement qu'il ne savait pas si c'était juste physique. Ou si c'était plus. C'était une sensation étrange et qu'il ne connaissait pas du tout. Il n'avait jamais autant désiré une fille à ce point.

Une fois à l'intérieur du taxi, les doigts restèrent entrelacés et elle déposa sa tête sur son épaule, histoire que leur corps restent bien en contact. L'inverse aurait sûrement été insupportable. Une telle passion et une telle envie était-elle possible ? Val était en train de cogiter essayant de réfléchir au pourquoi du comment, quand Sateen lui confia :

- Valentin quoi qu’il advienne il faudra vraiment que l’on parle, j’ai certaine explication a te donner je crois… mais je suis consciente qu’il va être difficile de parler ce soir.

A cette dernière petite remarque il se mit à sourire. Mais elle avait une explication à lui donner ... ? A propos de quoi ? Il ne voyait pas du tout de quoi elle voulait parler. Peut-être avait-il zappé quelque chose ou oublié simplement. En attendant, il se demandait bien ce que cela pouvait être, même s'il n'y avait qu'une seule chose qui lui tardait.

- Dur ... Oui en effet !

Rien qu'à ce moment là il mourrait d'envie de la prendre sur ses genoux, de l'embrasser et de la prendre là dans le taxi. Fallait qu'il se calme ! Il avait l'impression de devenir une bête avec elle. Il se demandait alors s'il n'avait pas été trop brutal lorsqu'ils avaient couché ensemble pour la première fois. Cela avait du l'être, parce que alcool plus haine chez Valentin, cela ne donnait rien de bien doux, surtout qu'au pieu il était loin de l'être, même s'il faisait toujours bien attention de faire plaisir aussi à la femme qui partageait son lit. Une fois que la brutalité chez lui partait, c'était plutôt mauvais signe, cela voulait dire qu'il n'avait plus envie de rien.

- T'imagine pas à quel point je me retiens là ...

Il lui fit un petit sourire en coin. Il avait envie d'elle, et depuis quelques heures il ne s'en cachait pas. En même temps, il ne s'en était rendu compte qu'une fois qu'il avait eu l'irrésistible envie de la réconforter.
Heureusement pour lui - ou pour elle - ils arrivèrent vite à l'hôtel de la belle. Valentin paya le taxi et ils descendirent. Il suivit ensuite la blonde jusqu'à sa chambre. Parce que oui il se souvenait à peine du chemin.