Invité Invité
| Sujet: Lady Cheshire Phantomhive Ven 4 Mai 2012 - 15:29 | |
| Wilhelmina A. Phantomhive ft. TwiggX
☝Age : 18 ans ☝Date et lieu de naissance : 8 février 1994 à Manhattan ☝Classe : 11th grade (si « redoublement » possible) ☝Confrérie : Aucune : Lambda (si possible d’en rejoindre une plus tard) ☝Riche ou boursed'étude ? Riche
WHAT YOU LOOK LIKE. « Franchement… oui, je m’aime bien. Je n’aurais pas été contre un peu plus de fesses et de poitrine, mais malheureusement, j’ai beau forcer sur les sucreries et les fast-foods, ça ne change rien. Enfin, malheureusement… je sais que là-dessus au moins je n’ai pas à me plaindre. Sans vouloir me vanter, oui, j’ai un physique de mannequin. Fine, le mètre 75 et un visage à la fois simple et caractériel. Oui, j’adore mon visage. Surtout mes yeux jaunes, tirant parfois sur le bleu. Avec du khôl, ils sont magnifiques. Non, non, je vous assure, je ne suis vraiment pas du genre vantarde, mais je ne vais pas non plus refouler la vérité pour vous faire plaisir. J’aime bien mon nez, pas trop gros, avec son piercing, j’aime mes lèvres fines, et surtout aussi, j’adore la blancheur de ma peau. Quoiqu’ont pu me faire mes parents et quoiqu’ils ont été, je les remercie au moins pour ça. Sinon, à l’origine j’ai les cheveux châtains. Mais noirs et turquoises maintenant. Voilà, voilà….. Oh ! J’ai une large cicatrice sur la paume de ma main droite, et une plus petite sur le dos de cette même main. J’en ai aussi une au-dessus de ma tempe droite, mais comme c’est perdu dans mon cuir chevelu, on ne la voit pas. Mais on la sent en passant son doigt dessus. » WHAT YOU THINK. « † Première chose à savoir, mon petit nom est Cheshire. Mon deuxième prénom est Alice, et au vu de mon… caractère, mon tuteur a eu la brillante idée de me surnommer Cheshire. Pourquoi ? Même si je ne le suis pas à cent pour cent, oui, j’ai comme lui un côté très nihiliste. C’est-à-dire que je ne comprends pas le pourquoi du comment de notre existence, et aussi que cela m’importe peu. En même temps, allez dire à quelqu’un qui ne se souviens que des deux dernières années de sa vie, plus cinq minutes d’il y a plus de trois ans, que sa vie a un sens.
† Aussi, comme le chat de Cheshire, je PARAIS tout bonnement folle. J’ai un comportement très étrange et très extrême, que ce soit dans un sens ou dans un autre, peu importe, et je peux en changer très facilement. Ce, grâce, en réalité, à mes grands talents d’actrice. Je m’amuse tout simplement, je fais passer le temps, j’embête les gens. Comme dirait une de mes chanteuses fétiches : « So I'll waste my time, and I'll burn my mind, on miss nothing, miss everything ». Enfin voilà quoi, je peux passer de l’hystérie à une morne platitude si l’envie m’en prend. A vrai dire c’est assez drôle de faire tourner en bourrique les gens.
† Mais non, non, je ne suis pas folle. C’est là toute la subtilité u chat de Cheshire. Je me comporte comme telle, mais c’est pour compenser cette horrible platitude qui gouverne mon esprit. Cette petite voix qui me souffle mon ridicule quand je ris aux éclats à une blague même très drôle, qui me souffle mon impuissance devant l’ignominie des êtres humains, qui se fous de moi quand je vais mal. Même amnésique, je sais trop de chose sur la vie et l’être humain pour arriver à vivre pleinement. Je suis méfiante, distante et essaye de m’attacher le moins possible aux gens. Même si ça non plus personne ne peut le voir.
† Talent d’actrice = hypocrisie, assez souvent. Une fois, une fille avec qui je jouais la parfaite hypocrite m’a engueulé sur ce fait. « Quoi ? Tu veux que je t’arrache les yeux et que je t’éviscère vivante parce que c’est de ça dont j’ai vraiment envie ? Ou alors tu préfères que je continu à être hypocrite ? » Et elle à choisit la deuxième option. Bien sûr, je ne joue cette carte qu’en cas de nécessité. Sinon, je préfère tout bonnement ne plus fréquenter les gens que je n’aime pas. Je suis plutôt haineuse dans le genre. Quand on me fait un sale coup, je ne l’oublie jamais. Mais je ne me vengerai pas. Je me contenterai de vous dévisser la tête si vous m’adresser la parole. Moi, violent ? Oui, ça m’arrive. Je tiens ça de mon cher… papa…
† Oh ! Il ne faut pas croire que je suis une garce sadique. Même si, il est vrai, que la vie des autres m’importe peu, je suis tout de même quelqu’un de très sociable, tolérant et amical. Ce n’est pas parce que les gens ne m’intéressent pas que je dois être méchante avec eux. Ce n’est pas parce que j’ai la capacité émotionnelle d’une petite cuillère que j’estime que c’est le cas de tout le monde. Non, je suis sympa en règle général, et je file des coups de main sans hésiter. Bon, après, je ne suis pas mère Theresa. Je n’aide pas tout le monde tout le temps, je n’aime pas qu’on m’aide, alors faut pas trop me solliciter non plus. Et surtout ne venez pas me trouver en larmes pour des questions de couple, ça m’énerve. Surtout que niveau amour, j’ai zéro référence réelle. Uniquement celles des films que je trouve oh combien cuculs. Je déteste les films d’amour. Par contre, je chiale comme une madeleine à la fin. « Et Maurice va chercher la petite cuillère, Will s’est encore effondrée ! » *BAF* Mmmh… bref. Non mais c’est une catastrophe. Bon, au bout d’un certain nombre de visionnage du même film, ça me passe, mais un CERTAIN NOMBRE. Bref. Je ne suis donc pas une grosse salope, même si j’aime beaucoup jouer au « Clash Invité ». En plus j’ai une sacrée langue de vipère. J’ai la critique très facile. Ce n’est jamais vraiment méchant, ça n’est jamais dans le but de blesser, mais ce n’est pas gentil non plus et des fois, oui, ça peut faire mal. Je dis la plupart des temps des choses tout à fait juste en même temps. J’en suis bien désolée si je blesse les autres, mais je ne suis pas quelqu’un de gentil non plus. Ce qui fait que je peux avoir un sens de l’humour assez douteux des fois. Très noir aussi parfois. Mais bon, en général on m’aime bien quand même et on se paye de bonnes barres.
† Je n'ai pas vraiment d'amis. Plutôt des compagnons de jeu. Voir des jouets quand ils sont, comme dirait l'expression "trop bons, trop cons". Je n'aime pas particulièrement jouer avec les gens, mais je ne les aime pas particulièrement non plus. Mais quand je m'attache à quelqu'un je deviens très câline et d'une loyauté implacable (ou presque....) Mais... étant très exigeante sur ce point... rares sont ceux à qui je m'attache vraiment.
† Je suis loin d’être hyperactive, (c’est même carrément le contraire, je suis une feignasse internationale,) je suis toujours partante pour aller faire la fête ou du shopping. Oui, même si je n'aime pas trop dépenser les sous de mon tuteur, je suis trop fane de fringues pour résister. Qu'ils soient punk, emos, gothique, pin-up ou bourges. Tant qu'ils sont classes (et chers). Bref, c’est à peu près tout. Ou quand j’ai mes accès d’hyperactivité, qui sont assez rares, et surtout de très courte durée. Sinon, ça va être chaud de me décoller de mes mangas ou de mon casque. Je suis à la fois sociable et solitaire. Je passe mon temps seule, mais si quelqu’un squatte, je ne le repousse jamais. A moins qu’il ne soit particulièrement chiant. Je ne supporte pas ça. Lors des soirées, il m’arrive souvent de me retrouver toute seule dans un coin à siroter mon cocktail et à penser à carrément autre chose. Mais dès que l’on me parle, je reviens tous de suite à la réalité, dispo et agréable. Je suis assez rêveuse comme personne j’avoue. Un peu trop des fois. Il est déjà arrivé que je ne capte pas que l’on me parle. Cela arrive aussi quand je suis très concentrée sur quelque chose, ou quand je lis ou regarde la TV.
† Sinon en plus d’être rêveuse, je suis une grande bordélique. Je ne range jamais rien, mais je retrouve toujours tout. Disons que ma chambre est un bordel organisé. Les seules choses qui seront toujours rangées à la perfection, sont ma penderie et ma coiffeuse. Mais sinon, ma chambre est un véritable BG (=BattleGround…. Du coup ça me fait marrer quand un mec dit que c’est un BG, parce que je pense à champ de bataille à chaque fois… et des fois, sa gueule y ressemble bien… bref…)
† A part ça, j’aime les fruits, la viande bien saignante, le fromage français, les sushi, l’odeur de la cannelle, quasiment tous les dérivés du rock, l’électro baroque, les films fantastiques, les films sur les psychopathes, les bouquins de Stephen King, les dessins de Victoria Frances, la mode, les yukata, les mangas, les poupées, les Walt Disney, les hommes travestis, le bruit des skateboards, la pluie quand il fait chaud, les balades dans la forêt, les animaux, le bruit de la ville, le shopping, les musées, le calme des églises, les bruits de la nature.
† Mais je n’aime pas les pâtisseries, les bonbons qui piquent, les pâtes, le hip-hop, les films d’amour, les films de guerre, les encyclopédies, l’art abstrait, les BD (trop de trucs à lire), les bruit de la tuyauterie, le parquet qui craque, le bruit de la trotteuse, les marionnettes, les femmes travesties, la technologie trop avancée, Apple, le silence, les poissons, les abrutis, les chambres rangées. » WHAT YOU LIVE.« Mon histoire ? Qu’est-ce que j’en sais moi ? Je sais qu’il y a deux années de cela, je me suis réveillée dans un hôpital de New York City. On m’a dit que mes parents étaient morts. Je n’ai pas pleuré. Personne n’a compris pourquoi sur le coup. En fait, j’avais perdu la mémoire. Le médecin l’avait plus ou moins prédit. C’était tout à fait possible après un coma de 13 mois. Un choc pour moi? Un peu… mais en même temps, je ne me souvenais de rien. Même si j’avais toujours mon identité inscrite sur mes papiers d’identités et des photos de famille, cela ne me disais strictement rien. D’un côté, il était peut-être mieux que je ne me souvienne pas de mon passé. La cicatrice dans la paume de ma main, celle sur le dos de cette même main et celle sur le côté de mon crâne, toutes résultantes d’une même balle, ne me disaient rien qui vaille.
J’avais donc 16 ans à la sortie de mon coma. Je ne fus placé nulle part car un homme me prit très rapidement sous son aile et devint mon tuteur. Pourquoi ? Je n’en savais strictement rien. D’autant plus qu’il s’agissait du senateur de l’état de New-York. Surtout que je ne le fréquentais quasiment jamais une fois chez lui, et qu’il me laissait faire absolument tout ce que je voulais. Et finis assez rapidement dans les bars, en boîte, et tout ça. Et aussi avec les cheveux turquoise et un style grunge/punk/emo. Ce n’était pas un rejet de la société ou quoique ce soit de « rebelle », juste parce que j’en avais envie. La première fois qu’il me vit ainsi, il se contenta de rire et de dire qu’il trouvait ça sympathique comme style. En même temps, comme les trucs du genre drogue et alcool ne me branchaient pas plus que ça, il avait surement ses raisons de ne pas trop s’inquiéter pour moi. En tout cas, je n’allais pas non plus me plaindre, car je vivais désormais dans un énorme, magnifique et très moderne « appartement » à Albany. Bah oui, il était riche. Et moi-aussi, puisqu’il engraissait mon compte en banque. Pendant deux années, je travaillais à la maison, avec mon prof particulier. En même temps, j’avais tout le programme scolaire à me retaper. Et oui, on l’oublie souvent, mais l’amnésie ne fait pas oublier que notre vie, mais aussi le savoir qu’on a acquis pendant celle-ci. Mais pas les règles élémentaires de vie. Heureusement. Au bout d’un an, je commençais à faire d’horribles cauchemars. J’étais une petite fille, et un homme me battait. Ces rêves étaient étranges comparés aux autre, à la fois plus flous et pâteux, mais bien plus… vrai. Plus ils évoluèrent en la version qui continue de passer dans mon esprit certaine nuit. Ce même homme était debout dans une cuisine, tenant une arme. Une femme était parterre devant lui, ensanglantée. Elle venait de se faire battre. Il leva larme et tira. J’entendis un cri sortir de ma gorge. Il se tourna vers moi et tira. Je levai une main, la balle traversa ma main, et alla se loger dans ma tête. Dès la première fois que je fis ce rêve aussi clair que de l’eau de roche, et que je vis les visages de mes parents dedans, je compris qu’il s’agissait d’un souvenir. Et je rejetai toutes les vagues effluves de mon passé en bloc. Qu’il aille se faire foutre.
Je vécu une année de plus avec mon tuteur. Mais je devais bien l’avouer, cette situation m’ennuyait au plus haut point et je préférais partir. Plus une autre raison. Bref. Ce n’était pas du tout mon genre de profiter de l’argent d’un quasi-inconnu, et je faisais tache parmi tous les richards coincés du coin. Je me fichais totalement de ce que les gens pensaient, ce n’était pas le problème, c’était juste que ce n’était pas du tout mon élément. Et comme cela faisait maintenant 2 ans que j’étais sortie du coma, je voulais essayer de me débrouiller toute seule, et de me reconstruire MA vie, indépendamment de cet étrange tuteur. Ce dernier me comprit et me proposa de rejoindre un lycée à Miami. Un endroit éloigné qui me permettrait de tout recommencer à zéro pour de bon. En plus, super tuteur connaissait le directeur. Alors mes quelques lacunes scolaires encore restantes ne seraient pas trop un problème. » JUST WAIT A MINUTE.
Code : Ok
Secret envoyé ? ✔ | hopy
Comment avez-vous connu le forum ? par un top-site (le orange avec un dragon rouge, je sais pas le nom ^^)
Une remarque ? Nop !
Dernière édition par Wilhelmina A. Phantomhive le Lun 7 Mai 2012 - 18:12, édité 4 fois |
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