La musique rend sourd (PV James)

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La musique remplissait sa tête. Quelque peu énervée et agacée qu’on lui parle sur ce ton. Ici les gens prenaient vraiment tout au pied de la lettre, pas une once d’humour. Elle qui pensait que la gente masculine était moins prise de tête, elle se trompait : du moins pour le peu de garçons avec qui elle avait eu la « chance » de discuter ou de croiser leur route. Jusqu’à aujourd’hui, Nicki s’était toujours bien entendue avec le sexe opposé, mais il semblerait que cette année, ou ce début d’année, cela soit impossible. La seule personne qui avait été gentille et agréable avec la jeune femme se prénommait Charlie. Une petite blonde à la chevelure bouclée, un visage d’ange et une gentillesse hors-norme. La timidité l’accompagne mais ne la rend pas trop vulnérable quand même : Charlie peut encaisser pas mal de choses, mais elle sait également se défendre quand il le faut. La rouquine aimait bien cette fille. Cela lui fit penser qu’elle ne l’avait pas revu récemment. Elle allait devoir se mettre à sa recherche, histoire qu’elles aillent boire un verre ensemble un soir.
Les minutes s’égrainèrent, sans savoir dire combien exactement, mais Nicki s’était renfermée dans sa bulle de musique et avait, pour ainsi dire, « oublié » le jeune homme. Toujours un peu énervée, elle ne s’était pas rendue compte que le volume de sa musique fût bien trop fort et qu’on pouvait l’entendre. Le mannequin ne manqua pas de le lui faire remarquer : il lui lança un petit projectile dans le dos. Surprise ; elle se retourna vivement. Ne jamais la surprendre, cela pouvait être fatal…

Elle retira son casque tout en coupant le son. Et les propos du jeune homme ne lui plurent pas du tout. Se fut la goûte qui fit déborder le vase. Sauf que cette fois-ci, elle ne voulait pas chercher la confrontation et se donner une réputation de grosse brute qui agresse les jeunes hommes à tout bout de champ. Sur ces mots, elle ferma son ordi, un peu brusquement, débrancha les câbles et commença à tout fourrer dans son sac.

-Tu sais, si j’ai dit ça au début, c’était pour engager la conversation, dit-elle tout en continuant son rangement. Maintenant, je vois que je t’emmerde, comme la plus pars des gens dans cette école, donc je vais te laisser, comme ça tu pourras t’adonner à ta passion ! Termina-t-elle au bord de l’explosion.

Elle épaula son sac et referma la porte derrière elle, un claquement retenti dans le couloir. Bouillonnante, elle marcha à pas vifs à sa voiture et démarra en direction de sa maison : au final, elle était bien plus à l’aise face à une bande de scientifiques.

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Je ne voulais pas entendre un bruit, je ne voulais pas qu’on m’observe, je voulais juste pouvoir faire ma musique sans demander mon reste. Mais il semblait que ça ne serait pas aujourd’hui que je serais tranquille. À croire que tout le monde voulait que je passe une mauvaise journée. C’était tout de même un comble. Entre mon photographe, mon agent, et puis maintenant elle. Non mais j’hallucine c’est vraiment impressionnant. Tout le monde me bousillait la vie. Elle finit par être désolée et me dire qu’elle était ailleurs. Si elle voulait vraiment être ailleurs qu’elle le soit autrement, pas en me fixant comme si j’étais un zombie ou un extra terrestre. J’étais de mauvais poil et voulais m’excuser pour mon attitude grossière envers la demoiselle mais je n’en fis rien. Reprenant juste mes accords de guitare. Le regard dans le vide. Je pensais au passé, à Chase, Sacha, Aliénore. Chase était mort, Sacha m’a brisé et je risquerais de brisé à mon tour Aliénore. Après mûres réflexions je voyais plus Ali comme une petite sœur, une personne que je devais protéger à tout prix, un jeune fille fragile qui a besoin d’un soutien gigantesque mais je ne pouvais pas accéder à son désir d’être ma petite amie. J’avais dis oui je ne m’étais jamais poser la question mais j’étais pas bien. Je lui mentais et ça me tuait. Nous étions dans cette relation suite à la perte de quelqu’un dans notre vie sentimentale. Nous avions couché ensemble, j’avais pris un certain plaisir mais aujourd’hui maintenant que j’y pensais, ce n’était que subterfuge, je croyais avoir oublié Sacha, je croyais pouvoir reconstruire ma vie mais je ne le pouvais pas tant que je ne tombais pas amoureux de nouveau. Cela m’était impossible. Alors que j’étais perdu dans mes pensée la jeune fille bossait toujours sur son ordi et j’entendais sa musique visiblement je ne pourrais pas être tranquille au calme et dans un endroit silencieux. Si je venais en salle de musique c’était pour éviter d’entendre le bruit tonitruant dans les couloirs des lycéens. Je lançais un bout de gomme dans le dos de la jeune fille. Elle se retournait vivement.

- Tu sais que ta musique est limite plus forte que mes accords, je ne m’entends même plus penser.

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Le jeune homme n'avait pas aimé sa remarque. Il pensait qu'elle le prenait pour un imbécile; c'était le cliché que l'on avait attribué aux mannequins; qu'ils n'avaient pas de cervelle, qu'ils ne savaient rien faire que de marcher tout droit sur un podium ou de prendre la pose derrière un appareil photo. Nicki ne pensait pas cela, plus maintenant en tout cas et à vrai dire, elle ne s'était pas réellement penchée sur la question: est-ce qu'un mannequin à quelque chose dans le crâne?

Maintenant elle savait, et la réponse était simple: oui. Et la plus part des modèles faisaient cela pour gagner un peu plus d'argent, soit pour financer leur études soit, comme dans le cas du jeune homme envoyer de l'argent à ses parents. Une chose tout à fait admirable. Peu d'étudiants à Wynnwood faisaient cela, étant donné qu'ils étaient là grâce à la fortune de leur parents.

En se justifiant, il donna quelques informations sur lui, rien d'extraordinaire, mais bien plus que ne le ferait certaines personnes. Une petite pensée alla vers Alfred: avec qui elle ne savait pas s'y prendre... Elle poussa rapidement l'image du Français dans un coin de son esprit pour revenir au modèle qui avait terminé de lui prouver qu'il n'était pas un crétin.

Sans le faire exprès, elle resta bêtement à le fixer, le regard dans le vide à vrai dire. Elle repensa à ce qu'il venait de dire: la musique le détendait. Pour Nicki, la musique était bien plus, c'était sa vie, la seule chose qui lui donne la force de continuer contre eux. Ils avaient fait de sa vie un enfer! Lorsque la jeune femme regardait ou écoutait les informations, elle frissonnait lorsqu'elle entendait le mot ''guerre''. Tant que celle-ci ne se déclarait pas sur le sol Américain, elle pouvait être tranquille, ou presque... il suffisait qu'ils décident de l'envoyer là-bas pour voir si elle réussirait, si toutes les souffrances qu'ils lui avaient infligées s'avéraient bénéfique. Ils auraient trop peur de s'apercevoir qu'ils avaient investit tout ces millions dans un projet qui n'avait pas aboutit.

Et de ce fait, la chose qui détendait Nicki, c'était de détruire tout ce qui se présentait devait elle. Seulement des objets, rien d'autre...

Plongée dans ses pensées, elle le fixait toujours. Ce qui, perturbait le jeune homme et il ne manqua pas de le lui faire remarquer. Le son de sa voix tira Nicki de sa bulle pour revenir à la réalité.

-Désolée, j'étais ailleurs.

Elle remit son casque sur ses oreilles et retourna au travail sur son ordinateur, manipulant avec précision les multiples boutons présents sur la console.

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Je ne fis plus vraiment attention à la jeune fille. J’étais partie pour me concentrer essentiellement sur mes accords de guitare. Une fois bien accordé, mes accords s’élevèrent dans la salle de musique. Je ne réalisais pas toute suite que la fille présente dans la salle m’avait écouté c’est sa remarque qui me fis relever la tête vers elle. Je cherchais quelques chose à lui répondre.

- Vous avez bien un piètre opinion des mannequins. Sache jeune fille que de un j’ne suis pas un imbécile, de deux j’suis comédien et photographe professionnel. Et si je joue de la guitare c’est simplement parce que ça me détend. Et si tu veux une autre information sur moi, je suis à l’université et j’ai eu les félicitation du Jury. Je n’suis donc pas le stéréotype des mannequins. Si je pose c’est uniquement pour ne pas que je demande des sous à mes parents, alors tant qu’à faire si mon corps peu me permettre d’être indépendant et autonome, j’ne vois pas pourquoi je m’en priverais.

Je finis ma tirade rapidement mon ton n’avait pas été méchant, juste informatif. Je regardais droit devant moi avant de ne me désintéresser rapidement de la jeune fille. J’étais pas venu ici pour parlementer mais bien pour jouer. Le club de musique avait sa rencontre dans pas longtemps et il fallait que je puisse assuré s’il s’avérait qu’ils me demandent de jouer. Je baissais les yeux vers ma guitare et repris une chanson de Yodelice Talk to me. Oui je ne faisais pas dans l’joyeux mais je n’étais pas heureux donc bon j’avais une excuse. Je relevais les yeux et commençais à chanter. Quand je tombais sur la fille au cheveux rouge, qui n’avait pas repris son activité. Je continuais de chanter après tout si elle n’aimait pas elle n’avait qu’a remettre ses écouteurs sur ses oreilles. Bon okay je ne pouvais pas me concentrer si elle ne faisait que m’observer, ça me mettais mal à l’aise. J’arrêtais de jouer et de chanter, je déposais la guitare à mes côtés.

- Tu sais je suis venue ici pour travailler. Ça fait un petit moment que je n’ai pas joué et j’ai un réunion important avec le club de musique. Donc c’est pas que tu ne me déranges pas mais le fait est que tu m’observes me perturbe quelque peu.

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Concentration. Musique. Enchaînements. Les yeux gris-bleuté de la jeune femme ne cessaient de faire des allers-retours entre l'écran de son MacBook ainsi que sa palette de mixage. La musique avait formé une bulle autour d'elle. Nicki n'entendait rien excepté la musique qu'elle était en train de reproduire. Naturellement, sa tête se balançait de bas en haut, comme pour marquer la rythme. Bien souvent cela signifiait que l'on aimait la musique que l'on écoutait. Observez les gens autours vous munis d'écouteurs; ils le feront presque tous. Cela devait bien faire un quart d'heure que la fille aux cheveux oranges était plus que concentrée sur son travail quand une main se posa sur son épaule.

Elle sursauta et retira vivement le casque de ses oreilles. Elle dû se contrôle pour ne pas plaquer l'inconnu au sol. L'incident avec Alfred lui avait amplement suffit: Nicki ne répétait jamais ses erreurs.
Le jeune homme était plus grand qu'elle, ce qui n'était pas compliqué au vu de sa petite taille. Les cheveux bruns en bataille, pas assez longs pour les mettre dans la catégorie « mi-long ». Ses yeux étaient marrons. Il annonça à la jeune femme qu'elle n'était désormais plus seule dans la salle de musique. Nicki lui répondit d'un simple « Ok ».

Elle avait reconnu le jeune homme; elle l'avait déjà vu sur la couverture de nombreux magasines. Il n'était pas une célébrité musicale, mais un mannequin; ce qui se comprenait lorsque l'on s'attardait sur son physique.

La Djette remis son casque sur ses oreilles lorsqu'il s'éloigna d'elle. Quand il se baissa légèrement pour prendre la guitare: elle ne put s'empêcher de mater son joli derrière. Un sourire amusé se dessina sur les lèvres de la jeune femme. Elle arrêta sa musique qui devait avoir dérivé puisqu'elle s'était soudainement stoppée. Elle entrepris d'écouter ce qu'elle avait fait jusqu'au moment où il l'avait dérangée. Elle l'apercevait du coin de l'œil en train d'accorder l'instrument.

Utiliser la guitare comme atout dans l'art de la séduction était courant. Pour ceux qui n'avaient pas un physique exceptionnel, l'instrument leur était d'une grande aide. Mais le mannequin faisait partit de ceux qui n'en avait pas besoin. Peut-être n'était-il pas doué dans le domaine de la drague, même s'il n'avait certainement pas besoin de dire grand chose pour attirer les filles.

Peut-être que Nicki se trompait et qu'il aimait tout simplement la musique. Elle ne pouvait le juger sans le connaître d'avantage. C'était bien l'une des premières choses qu'on lui avait apprise lors de ses entraînements: « Ne pas se fier aux apparences », ainsi que « Ne sous-estimes pas ton adversaire ». Ces dictons se croisaient d'un certain point de vue.

La jeune femme avait considérablement baissé le sons de ses écouteurs; elle savait qu'il arrivait que les autres entendes ce qu'elle écoutait, tellement la musique était forte. Elle l'avait diminuée pour ne pas déranger le jeune homme. Nicki avait horreur d'entendre la musique quand celle-ci émanait d'écouteurs fourrés dans les oreilles de quelqu'un d'autre. Par respect, elle fit glisser l'indicateur du volume vers le bas.

Elle effectuait quelques réglages sur son ordinateur quand il commença à jouer. Elle reconnu rapidement l'air joué; Hallelujah de Jeff Buckley, une très belle chanson. Était-il triste? Mélancolique ou nostalgique? Nicki ne se permettrait pas de lui poser la question ainsi de but en blanc. Elle ne connaissait même pas son prénom. Elle opta pour une pointe d'ironie.

-Je ne savais pas que les mannequins savaient jouer d'un instrument...

Elle dit cela sans aucune agressivité dans la voix, elle resta le plus neutre possible.

(HRPG: Je suis désolée pour le retard uu')

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Toujours dans un état assez catastrophique, mais tout de même un peu remis depuis la soirée des Pi sigma. Je voulais être tranquille pendant une petit heure. Et le meilleure endroit était la salle de musique au moins j’y trouverais une guitare. Depuis ma rencontre avec Mila, j’avais repris un peu l’instrument en main. M’amusant à composer. Le solfège était bien loin dans ma tête, mais je me souvenais un peu des accords, heureusement vous me direz. Parcourant les couloirs vide de toute vie, sans aucun bruit pour perturber le silence mis à part mes pas qui claquaient contre le sol. Mes écouteurs sur les oreilles pour ne pas me sentir trop seul. Enfin j’arrivais devant la salle de musique dont la porte était fermé. J’ouvris donc celle-ci et fus surpris de voir une jeune fille au cheveux couleur de feu assise avec un ordinateur devant ses yeux et des écouteurs sur les oreilles. Apparemment je n’étais pas le seul à ne pas avoir cours. C’était quelque peu pénible moi qui pensais me retrouver seul avec moi-même et une guitare voilà que la salle était occupée. Bon après tout ce n’était pas bien grave. Je m’avançais vers la jeune fille posant ma main sur son épaule ce qui la fit sursauter. Elle déposa ses écouteurs à côté de son pc. Et je pris la parole:

- Excuse moi de te déranger… Mais je voulais te prévenir que tu n’étais plus toute seule dans la salle.

Oui je ne voulais pas l’entendre piailler ou que sais-je encore alors que j’étais venu ici pour avoir la paix mais surtout être tranquille. Je lui souris, je ne voulais pas paraître impoli non plus et je me dirigeais vers les guitares. Une fois mon choix fait je m’installais sur une chaise calait la guitare sur ma cuisse droite et je commençais par accorder la guitare. Une fois ma tâche faite je commença par quelques accord simple. Accord de Hallelujah de Jeff Buckley. Me souvenant des accords quand j’étais sur la plage avec la brune. J’étais fier de ma mémoire pour le coup. Je n’avais pas prêter attention à la jeune fille présente. Je l’avais juste prévenu qu’elle n’était pas toute seule et je devais bien avouer que mes yeux étaient concentrés sur ma main gauche, je voulais voir si je ne me gourais pas et si je plaçais mes doigts correctement sur cet instrument de malheur. Enfin non ce n’était pas un instrument de malheur mais qu’est-ce que ça ne faisait pas de bien à mes doigts. J’aurais jamais dû arrêter. Je serais encore plus doué qu’avant à l’heure qu’il est.

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La salle de musique. Nicki revoyait ce nom en imprimé dans sa tête, mais elle ne parvenait plus à se souvenir où elle l’avait vu la dernière fois. Elle fouillait sa mémoire, s’énervant de plus en plus. Jamais sa mémoire ne lui avait défaut. Elle devrait en parler à ses parents en rentrant ce soir, cela n’était pas normal. Elle était surentraînée et oublier quelque chose, la moindre information pouvait lui être fatal dans un autre contexte. Ce problème la travailla toute la journée. Lors que la sonnerie marqua la fin de son dernier cours, Nicki se rendit dans le hall, mais n’en sortit pas. Elle se dirigea vers le panneau d’affichage. Peut-être ici. Elle avait scruté ce tableau durant de longues minutes pour retenir chaque information qui s’y trouvait. Rien.

La jeune fille lâcha un soupir contrarié, serrant les poings. Elle alla s’asseoir sur l’une des marches qui partait du vaste hall. Ouvrit son sac et le fouilla pour en sortir les documents qu’elle avait reçu à son arrivée. Elle les relut un par un. Cela prenait du temps, mais elle ne voulait pas que ces quatre mots lui échappent ! Les couloirs commençaient à se vider, devenaient silencieux, bientôt elle n’entendait plus que quelques paroles étouffées au bout d’un couloir. La luminosité dans le hall s’amenuisait.

L’énervement la gagnait encore plus, lorsqu’elle trouva !

HA !! LA ! S’exclama-t-elle.

Il y avait effectivement une salle de musique dans l’école. Sa passion pour la musique s’éveilla et sans trop réfléchir elle partir à la recherche du lieu. Peut-être que là-bas elle pourra s’entraîner sans que ses parents interviennent. Lorsqu’elle arriva à la fameuse salle, Nicki n’y trouva personne, une aubaine !

Avant d’y entrer elle la scruta ; divers instruments y étaient déposés, les murs étaient recouverts d’une plaque isolante pour éviter que les sons envahissent l’école. Tout au fond il y avait des platines. La jeune femme s’en approcha et les inspecta. La qualité n’était pas aussi bonne que celles qu’elle avait l’habitude d’utiliser, mais cela ferrait très bien l’affaire.

Elle posa son sac dans un coin, brancha son ordinateur ainsi que ses écouteurs aux platines et commença à mixer. Elle n’était pas là pour créer un nouveau son ; cela n’était pas possible car il manquait trop de matériel pour cela. Elle se contenta de reproduire celui de son idole David Guetta : Alphabet.

Bien trop absorbée par la musique elle n’entendit et ne vit pas le garçon entrer.